Paris, Paris s'éveille (Aaron) [Pas pour les enfants -18]
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Sujet: Re: Paris, Paris s'éveille (Aaron) [Pas pour les enfants -18] Sam 11 Avr - 15:18
You can stay with me, baby.AARON&ANDREA;
You want everyone to think you're above it all... but I can see right through you.
❆
You say having feelings makes me weak, but you're weak for hiding from them.
Si, au vu de son regard qui me dévore du regard, que j’étais le centre absolu de son attention. Il en était de même pour lui. Il est sacrément sexy avec ce jean qui tombe à la perfection sur ses hanches, mes yeux se fixent sans même que je ne contrôle sur cette partie de son corps. Je me rapproche de lui, inconsciemment, la chaleur de son corps et l’excitation qu’il dégage m’attirant comme un aimant. L’issue de cette soirée n’avait aucun secret pour nous deux. Et ce n’était pas pour me déplaire. D’ailleurs mon érection était grandissante face à la perfection et à cette tentation que représentait mon homme.
Sentant son regard brûler mon corps, je souffle doucement avant de faire de même. Je pars de son visage, un visage aux traits fins. Des yeux malicieux par excellence, encadré par des cheveux jais où j’aime y glisser mes doigts, les décoiffer. Un nez que j’aime attaquer de mes dents, pour le taquiner. Des lèvres que j’aime embrasser, mordiller, découvrir même que je les connaissais par coeur. Passons à son torse. Tout aussi fin que son visage, il était l’image de ce que j’aimais le plus chez un homme. Il était fin, élancé, mais pourtant il ne manquait pas de muscle, juste ce qu’il fait pour que ça m’excite dès le premier regard. J’adorais poser mes mains sur ce torse, ce ventre. J’avais du mal à croire que tout cela est comme à moi, m’appartenant. Descendant mon regard un peu plus bas. Je ne peux pas dire qu’il l’est mal loti, c’est même tout le contraire. Je ne dirais pas que c’est ma partie préférée, mais ce n’en est pas loin. J’adore tout chez lui, comme ses fesses où mes mains adoraient se retrouver. Et ses jambes, n’en parlons pas, elles qui s’accrochaient à ma taille lors de nos ébats, elles dont mes ongles raffolaient à marquer. Tout son corps n’était que pure perfection. Il me faisait tourner la tête tous les jours. Il avait un pouvoir énorme sur mon corps, mon esprit. Il marquait mon âme de son regard. J4étais totalement dépendant de lui. Et j’allais, maintenant, lui montrer à quel point j’étais dépendant de lui, à quel point il pouvait faire exactement ce qu’il veut de moi et de mon corps. Mais je n’allais pas lui rendre la tâche plus facile en étant parfaitement obéissant, c’était bien mal me connaître si on pensait une telle chose. Et puis il sait que j’adore jouer avec lui, alors je ne rate jamais une occasion de m’amuser un peu. Même s’il mettait un peu trop de temps pour démarrer, mais à la façon dont il serre ma cravate, je sais qu’il n’est pas loin, du précipice lui aussi. Finissant par m’approcher de lui, tout mon corps me crie qu’il me prenne, maintenant. Mais il semblait enfin avoir retrouver ses esprit, je vois son regard changer, sa posture aussi, ça ne me rends que plus fébrile et impatient.
Je le laisse faire, grognant légèrement quand même. Mais j’étais docile, je me laissais faire, j’avais une confiance aveugle en lui. Je sursaute en sentant le lien être très serrés, je bouge mes doigts, sentant encore le sang passer. Je frissonne de tout mon corps lorsque je te sens bien trop proche, mais dans mon dos. Je soupire doucement à tes mots, la chaleur montant encore d’un cran. Je me tortilles, tes baisers me brûlent la peau, m’arrache des soupirs. Je ferme les yeux, j’essaie de ne pas faire monter le plaisir trop rapidement. Je te cherche des yeux alors que tu reviens finalement devant pour profiter de mes lèvres comme une friandise. Hum…. Ca promettait vraiment. Je n’étais plus très patient, je cherchais à me coller contre toi, à ce qu’on ne fasse plus qu’un. Je souris de manière effrontée alors que tu me promets de me punir. Si tu savais que je n’attends que ça, que je serais prêt à recommencer encore. Je m’approche de toi avant de susurrer « Et je recommencerais volontiers bébé… Si c’est cela ma punition, alors je recommencerais tous les jours. » Mais j’ai à peine le temps de terminer que j’atterris brutalement sur le lit, les mains toujours liées. Reculant dedans pour être bien installé, je secoue mes mains engourdies avant que tu ne me les attache au lit. attrapant les barreaux, je gémis lamentablement, te voir me surplomber ainsi ne fait que m’exciter au plus haut point. Cherchant plus de contact avec toi, je gémis de nouveau, tu me faisais trop languir, que ça en devenait presque douloureux. « Je n’ai pas peur, je suis tout à toi, j’ai confiance en toi. » JE te souris, tu n’as pas à avoir peur parce que je sais que jamais tu ne me feras de mal. Gigotant alors que tu te touches, j’émets un son rauque, mélange de plaisir et d’impatience. Poussant une plainte en sentant le froid m’envahir alors que tu t’éloignais. Je fronce les sourcils me demandant bien où tu allais soudainement comme cela. Ok, là ça devenait complètement excitant. Décidément tu étais vraiment surprenant. Je ne tenais pas en place, si je ne me retenais pas cela ferait longtemps que j’aurais joui. Ca devenait douloureux et je sais que tu t’amuses à prendre ton temps pour m’amenait à mes propres limites. Je grogne pour simple réponse, je n’étais pas capable d’aligner deux mots cohérents, je lâchais prise et me laissais aller dans les affres du plaisir. Je hoche la tête pour te laisser commencer avant de crier littéralement de plaisir quand la première goutte de cire brulante tombe sur un de mes tétons. Chaque goutte ne fait qu’attiser un peu plus mon désir déjà brulant pour toi. Ne lâchant pas ton regard, j’étais en train de m’offrir totalement à toi. Mais tu sembles soudainement bien plus excité et pressé que moi puisque tu arrête ce petit jeu. Je lâche un rire rauque alors que tu me dis ne plus pouvoir attendre. Je gémis longtemps en sentant ton désir. « Bébé….. » Ce gémissement veux absolument tout dire sur ce que je ressens pour toi, sur combien je te veux maintenant. Attrapant ton doigt, je laisse couler mon regard sur ton corps finalement nu. Mais le manège est bien trop court. Je grogne avant de gémir en sentant ton doigt entrer dans mon entrée. Me cambrant, cherchant encore plus de contact, même si c’était légèrement douloureux. Mais j’attendais cela depuis tellement longtemps que ce n’étais rien comparé au plaisir que je ressentais à ce moment-là. Prolongeant ton baiser tout aussi torridement que toi, je laisse mon corps se cambrer sous ta langue. Je me déchaine contre les liens qui me tiennent. Je hoche la tête avec enthousiasme, enfin on passait aux choses sérieuses. Me retrouvant sur le ventre avant de hurler en te sentant me pénétrer. Bordel que c’était bon. « Oh putain bébé… » La douleur est vite reléguer au second plan. « Bouge. » je grogne, tandis que mes doigts attrapent ce qui est à leur portée. Sentant tes coups, je grogne, crie, et fais trembler les murs. JE ne regrette absolument pas le spa.
Sujet: Re: Paris, Paris s'éveille (Aaron) [Pas pour les enfants -18] Lun 13 Avr - 0:38
"Living For Love."
Le sex. Depuis le premier jour où j’y avais goûté, cela remonte maintenant à un peu plus de huit ans environ, lorsque dans les vestiaires après un cours de sport j’avais fricoter avec un camarade semblant tout aussi intéressé que moi par le goût de l’expérience, j’en étais alors devenu un véritable accro. Mais le véritable plaisir, le véritable sex avec amour que j’ai connu pour la toute première fois, ce fut en compagnie de Andrea. Je n’étais pas à mon premier essai lorsque l’on s’est rencontré, mais je peux vous assurer que c’est pourtant bien lui qui me fit découvrir les joies d’un véritable orgasme. C’est simple, je considère que c’est Andrea qui fut ma première fois, certes dans le sens concret des choses ce n’était pas véridique, mais dans mon sens à moi c’était pourtant bien lui. Car avant lui le sex n’était qu’une banalité sans grand intérêt. À ses côtés j’ai appris à découvrir ce qu’était le véritable sens premier du sex, celui que l’on ne peut pratiquer qu’avec un élément rare, mais pourtant primordial, l’amour. En effet, le sex dans tous les cas, ou du moins apriori c’est censé représenté un moment de satisfaction et de plaisir, partagé ou non. Mais là où l’amour vient prendre tout son sens, c’est qu’il permet au sex de devenir l’élément ultime qui soude un couple. Le sex amoureux est la chose la plus jouissive qui puisse exister à mon sens. Je sais de quoi je parle, j’ai de quoi comparer. Je me rappelle que la première fois que Andrea et moi avions fait l’amour, j’avais cru en mourir tellement cela avait été puissant et intense entre nous. Mon corps lui appartenait comme jamais il n’avait appartenu à personne. Mon plaisir avait été tellement fort que j’en avais perdu toute lucidité pendant de longues minutes. Non rien ne vaut le sexe amoureux.
J’ai d’ailleurs longtemps recherché la satisfaction que j’avais pu ressentir tout le long de notre relation, après notre rupture en devant le Dom Juan, que tout le monde connait aujourd’hui. Oui, durant ces six dernières années j’avais tant bien que mal espéré pouvoir oublier la douleur de ma rupture, mais j’avais aussi espérait pouvoir retrouver un jour l’extase que j’avais connu avec Andrea. Manque de chance, je n’avais jamais retrouvé cet état là. Mon seul plaisir n’était que personnel et très limité. Imaginez-vous donc mon bonheur lors de nos retrouvailles avec Andrea il y a de ça quelques mois. Lorsque l’on s’était retrouvé dans son bureau, la tension qui nous avait animée était celle que j’avais trop longtemps cherché à retrouver.
Aujourd’hui donc, dans cette chambre d’hôtel magnifique où il venait de me faire sa demande, à laquelle je n’avais pas pu répondre autre chose qu’un énorme oui, voilà que l’on se trouvait à nouveau animé par cette tension incontrôlable et tellement puissante. Il était le seul à avoir ce pouvoir sur moi, le seul à me faire autant d’effet. Et le moins que l’on puisse dire c’est qu’il venait de réveiller ma libido comme jamais. En effet, il m’avait laissé entendre son souhait que je lui fasse à mon tour l’amour, que je m’occupe de lui. Car depuis que l’on s’était retrouvé c’était lui qui avait pris le dessus naturellement, car entre nous jamais on avait accordé de rôles à l’un ou à l’autre, tout se faisait au feeling. Il est vrai que je m’étais laissé tenté par être celui qui recevrait les coups de reins depuis la Saint-Valentin, peut être parce que je ne me sentais pas à la hauteur, face à à cet être au corps si parfaitement sculpté. Moi à côté, j’étais bien moins bâtit que lui, je n’étais pas maigre, ni gros, mais je n’étais pas aussi musclé que lui, d’ailleurs j’avais l’ambition de me mettre au sport, dès notre retour. Enfin bref, il m’avait fait entendre sa requête de devenir le dominé et c’est avec une excitation débordante que je m’étais lancé à jouer de mon côté le rôle du dominant. Après tout je dois avouer que j’apprécie tout particulièrement ce rôle. Savoir que mon homme devient l’objet de tous mes désirs, qu’il devient mon esclave, c’est bien trop jouissif et excitant pour que je refuse cette invitation.
On se retrouve donc maintenant dans cette chambre si luxueuse que devoir la salir de notre ébat si passionné et anti-chatolique en serait presque un châtiment irrespectueux, mais peu importe, je ne peux plus résister à la tentation que tu représentes. Rien que mon regard en dit long sur ce que tu est entrain de créer en moi. Tu viens de libérer la bête sauvage, le monstre qui était resté bien trop longtemps enfermé dans sa cage. Je sens mon corps tout entier entrer en ébullition. Il m’en faut alors pas plus pour prendre les devants et commencer à t’infliger les prémisses de ton supplice. Je commence alors par t’attacher à ce lit. Hum cette positon de soumission que tu représente maintenant, ne vient qu’augmenter mes pulsions perverses. Tu libères la partie sombre de ma petite personne, tu n’imagines pas à quel point je peux devenir incontrôlable quand je te vois ainsi. D’ailleurs il m’en faut pas plus pour commencer mon petit manège, aimant te faire endurer les peines de l’attente et de l’excitation poussée à son extrême, je m’amuse quelques minutes avec la bougie et la cire chaude que je fais couler sur ton corps si parfait. Mais mon envie de me retrouver en toi, de te posséder littéralement est bien trop présente pour que je continue à jouer. C’est alors que je décide de passer aux choses sérieuses. Ne perdant pas de temps, je le retournais aussitôt, appréciant la vue sur son fessier digne des plus belles oeuvres jamais créer sur cette terre et sans prévenir, je m’enfonce alors en lui. Cette sensation m’avait tant manqué, tellement qu’au moment de continuer mon avancée en toi, j’ai l’impression que je ne vais pas pouvoir résister à me laisser aller. Par chance, ma raison est plus forte que ma passion et je parviens à me contrôler tant bien que mal. C’était tellement bon, oh mon dieu que c’était bon. Sentir à nouveau mon corps entrer dans le tien c’était digne des meilleurs trips qu’un drogué aurait pu ressentir en consommant sa substance illicite. Je me trouvais maintenant là où j’avais trop longtemps, beaucoup trop longtemps espérait pouvoir me retrouver. Ne perdant pas pour autant mon objectif, celui de t’épuiser, j’enchaine alors aussitôt des mouvements de vas et viens profonds. Je commence doucement pour ne pas te faire mal, du moins pas encore, mais je vais si profond que je t’en arrache des cris si audibles, que tout l’hôtel doit être au courant de ce que l’on est entrain de faire en ce moment même. Si tu continuais à crier comme tu le fais, l’on risquait même de se retrouver entouré par une horde de policiers, croyant intervenir sur une affaire de viol. C’était si bon de te voir si emprunt de moi même. Tu m’appartenais et j’allais te montrer à quel point. « Hum, tu peux pas savoir comment tes fesses m’avaient manqué bébé » Oh que oui elles m’avaient manqué et je faisais en sorte que cette sensation de me sentir en toi te rappelle à quel point cela t’avait manqué aussi. Me penchant un peu plus sur toi, j’accélérais alors soudain mes mouvements en toi, tout en venant posé l’une de mes mains sur ta bouche, pour éviter qu’on ne vienne frapper à notre porte. Le plaisir qui m’envahit, me vaut des gémissements, des hurlements sourds et prononcés. Entre nos deux respirations fortes et saccadées, résonne le claquement de mes mouvements contre tes fesses rebondies. Ce moment charnel devient vite une véritable addiction. J’en veux plus, toujours plus. Une vague de plaisir m’envahit et je me relève alors un peu, tout en l'entrainant dans mon mouvement. Se retrouvant en position de levrette, si je puisse dire, à quatre pattes, les mains toujours attachées au lit, j’attrape alors ses hanches de mes mains et vient les amener de façon abondante vers moi, lui faisant ainsi sentir chaque centimètre de mon sexe. « Putain que tu es sexy bébé » Oh que oui, cette position mettait parfaitement en avant la moindre courbe de ton corps, mon regard se baladait sur chaque millimètres de ton corps que je connaissais par coeur. Continuant mes mouvements, prenant de temps en temps même l’initiative de ralentir la cadence tout en jouant de mon déhanché pour bien te faire ressentir le frottement de mon sexe contre ta paroi anale, je me laissais alors aller à une petite liberté qui me démangeais depuis un petit moment maintenant « Tiens ! ça c’est pour avoir été désobéissant toute à l’heure quand je t’avais interdis de te retourner » lançais sur un ton sexy et dominateur tout en te donnant une fessée de ma main droite, assez forte, puisque je laissais alors là une jolie trace rouge sur ta fesse. Bien déterminé à être conscient du plaisir que je lui procure, bien que ses hurlements en soit déjà le signe, je décidais de changer à nouveau de position. Sortant ainsi mon sexe sans même le prévenir, ce qui lui vaut à nouveau un cri de douleur cette fois-ci, je le détache alors de ses liens et prenant une voie directive je lui donnais un ordre « Sur le bar du salon ! maintenant ! » Lui emboitant le pas, je le retrouvais alors assis sur le bar, les cuisses écartées prêt à m’accueillir. M’avançant vers lui, je collais mon sexe au sien que je venais alors prendre en main ensemble pour venir effectuer quelques mouvements de mains. Profitant de cet instant, je lui volais un baiser fougueux avant de lui demander « Tu en veux encore hein … je sais que tu veux me sentir en toi … je le vois dans tes yeux Andrea » Lâchant l’emprise de ma main sur nos sexes, je l’attrapais alors par ses hanches et amenait son corps à venir se retrouver coller au mien. Le laissant prendre appuie dans mon cou, je le pénétrais alors une nouvelle fois violemment lui volant encore un cri, qui m’excitait au plus haut point. Admirant la perfection de mon homme alors que je m’avancer davantage en lui, je laissais entendre toute mon admiration à son égard « Tu es tellement sexy … je t’aime mon amour » Me laissant à nouveau envahir par mes pulsions, je repris mes mouvements plus amples et profonds, accélérant une nouvelle fois la cadence. J’aurais voulu que cet instant ne se termine jamais. Je me trouvais là dans un autre espace temps, dans un autre monde. Plus rien ne compter à par lui, à part la réunion de nos deux corps. Jamais je n’avais pris autant de plaisir qu’à cet instant précis et j’espérais que ce plaisir soit tout aussi réciproque de son côté. L'amour était donc définitivement le meilleur moyen de pouvoir ressentir ce qu'était réellement le sex.
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Sujet: Re: Paris, Paris s'éveille (Aaron) [Pas pour les enfants -18] Ven 17 Avr - 19:31
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Je n’avais jamais était particulièrement accro au sexe pour la simple et bonne raison que ça ne m’attirait pas plus que ça à la base. Bien sûr, je n’étais pas non plus ce genre de personne qui pouvait absolument s’en passer, mais je n’étais pas aussi insatiable que ne l’était mon homme. Pourtant, quand j’ai découvert Aaron, et quand je l’ai retrouvé, j’ai un appétit sexuel bien plus développé que la normale. Peut-être parce qu’il y avait cette connexion entre nous, ce petit quelque chose en plus qui rend chacun de nos ébats uniques et puissant. Aaron fût le seul à me convaincre de me laisser dominer, tout en gardant également le rôle de dominant. Je prenais autant de plaisir dans l’un ou l’autre des rôles. L’amour, la puissance de celui-ci a rendu toutes nos étreintes révélatrice de cet attachement pour l’autre, de ce besoin de l’autre que l’on a. Et surtout, avec lui, je ne me suis jamais lassé, au contraire j’en redemandais encore et encore. C’était si parfait que j’en devenais accro.
Pendant notre séparation, j’avais comme perdu le goût de tout. Plus un homme ne m’intéressait après toi. D’aussi peu que quelqu’un tentait une approche, c’était Aaron qui s’imposait dans mon esprit, je n’ai jamais pu imaginer quelqu’un d’autre à sa place. C’était tout bonnement impossible. Je n’avais donc pas couru après bien grand monde, à vrai dire, je préférais réellement être moine plutôt que de tomber amoureux d’un autre homme. J’étais comme lié à vie envers Aaron. Chaque homme dont je m’attardais un peu, c’était comme tromper Aaron. Et pourtant c’est arrivé une fois, une seule. Et depuis, je le regrette chaque seconde. Mais j’avais retrouvé Aaron il y a quelques mois et je ne voulais pas tout gâcher avec une incartade qui n’avait aucun sens. Pourtant je lui dois la vérité. Mais mon esprit est bien trop occupé en ce moment.
Il avait choisi une suite complètement paradisiaque. Si j’avais pensé qu’un lieu touristique serait propice à ma demande, c’est en fait tout le contraire qui s’est passé. Cet endroit hautement intime pour nous deux s’était révélé parfait pour ma demande. Et, peut-être que c’était beaucoup mieux que les toits de Paris, je ne sais pas si j’aurais pu attendre de revenir à l’hôtel pour profiter de son corps en totalité. Il est bien trop désirable pour mon propre bien, je serais capable de perdre la tête par trop de plaisir. J’avais besoin qu’il prenne le dessus, qu’il se laisse aller. Qu’il arrête d’avoir cette culpabilité inutile. Le passé et le passé, et quand bien même il est difficile à accepter, on avait réussi à passer au-dessus. Bien sûr ça ne me dérangeais pas d’être au-dessus, mais on avait tellement l’habitude qu’entre nous il n’y ait pas de rôles prédéfinis que je commençais à me demander si ce n’était pas lui qui se forçait à être le soumis. Je me demandais bien pour qu’elle raison il ferait cela. Ce n’est pas comme s’il m’avait quelque chose de regrettable, au contraire. J’adorais le sentir en moi. Et voilà que maintenant je devais presque le supplier !
Mais il accédait enfin à ma requête dans cette chambre, qui allait être le témoin d’un corps à corps endiablé, fiévreux. Tu serais celui qui m’emmènerais loin dans la débauche de mes propres sentiments. tu serais le gardien de mes cris et de gémissements. Tu perds peut-être le contrôle mais moi-même je ne contrôle plus rien, je ne suis que gémissements. Je me délecte de l’attente que tu m’infliges. L’impatience guette à chaque recoin, mais l’attente, elle, ne fait que décupler mon propre désir et mon plaisir pour toi. Me retrouvant finalement attaché aux barreaux du lit, être complètement à ta merci est à la fois douloureux et extrêmement excitant. Pourtant je finis par lâcher prise et mon corps se détend imperceptiblement. Je n’ai que mon regard pour te dévorer. Je ne loupe pas une miette du spectacle que tu m’offres. Me retrouver complètement passif, ce n’est pas ce que j’avais imaginé au départ, mais je me laisse faire. J’ai une confiance absolue en ta personne, je sais que tu ne me ferais jamais le moindre mal sans mon consentement. quand j’ai vu la bougie, je me suis demandé ce que tu allais me faire, mais je n’ai pas bronché, me contentant de plonger mon regard dans le tien. Je te laisse jouer, même si je ne pense qu’à une seule chose :celle de te sentir en moi. Je pousse un cri de surprise quand tu me retournes brutalement, avant de sourire. Mon supplice arrivait à la fin. Enfin c’était vite dit, car je lusse un hurlement de plaisir et de douleurs mêlées. Je mors dans l’oreiller pour me retenir afin de ne pas venir maintenant. Ce serait gâché le plaisir. Heureusement tu sembles également dans le même état que moi. Tu te stoppes pendant quelques secondes, me laissant ainsi le temps de reprendre mon souffle qui me manquait. Desserrant ma prise autour des barreaux, je pousse une longue expiration, reprenant enfin un tant soit peu le contrôle de mon corps. Ce corps qui n’était plus que sensations, tremblements, ce corps t’appartenait entièrement. Corps et âmes, j’étais désormais lié à toi pour toute la vie et beaucoup plus. Mais très vite ma pensée fût court-circuitée par l’annoncement de tes mouvements rapides et profonds. M’arrachant des râles profond de plaisir, ceux-ci se transforment rapidement en de véritables cris de jouissance. Mes jointures de mes articulations des doigts blanchissaient à vue d’oeil. Je ne pouvais pas m’empêchais de me retenir de crier, c’était trop bon et bien trop fort pour que je parvienne à contenir quoique ce soit. Alors tant pis pour les voisins. de toute manière je ne pense pas qu’il y ait bien grand monde dans un hôtel en plein après-midi. Tout comme le fait que cela doit bien être insonorisé. gloussant à tes mots, j’amorce un mouvement pour te sentir plus profondément. « Et moi combien ça me fait du bien de me sentir baisé par tes soins bébé… » Je termine ma phrase par un cri strident alors que tu t’enfonçais un peu plus en moi. Bon sang, je n’allais pas tenir des lustres à ce rythme. Sentant ta main sur ma bouche alors que tu prenais un rythme effréné, je ne me retiens pas et mords dans ta paume pour étouffer mon cri de plaisir. Je n’avais aucune pitié, tu aurais la trace de mes dents, signe ostentatoire de mon plaisir. Je me remplissais du bruit de nos peaux qui s’entrechoquent. Tirant sur mon lien. J’avais besoin de te sentir, de te griffer, mais le lien ne cédait pas. Surtout que dans le même temps tu me changes de position. Me retrouvant appuyé sur les genoux, changeant ainsi le ressenti. Gémissant, je ferme les yeux, une vague de plaisir m’envahissant soudainement. « Oh bébé… encore » Que j’aimais te sentir en moi de cette manière, c’en était étourdissant. Je sentais ton regard brûler sur mon corps, me rendant encore plus fébrile. Je grogne alors que tu ralentis la cadence. J’en voulais encore plus, alors je bougeais des hanches pour te retrouver plus profondément en moi. Mais je suis saisi par tes paroles, arrêtant ainsi mon manège jusqu’au moment où je sens ta main retomber brutalement contre l’arrondi de mes fesses. Ma peau chauffe et doit être certainement rougi. Criant de plaisir puis de frustration quand je me sens vide de toi. Je fronce les sourcils avant de te sentir te pencher pour me détacher. Massant mes poignets tout en m’asseyant sur mon postérieur, je ne bronche pas et prends mon temps avant de me redresser, avant de le faire languir. Je file ensuite m’asseoir sur le bar, écartant les jambes. J’étais l’image parfaite d’un débauché. Mon regard s’ancre dans le tien tandis que nos deux sexes battent à l’unisson. Glissant mes bras autour de ton cou, j’enserre de mes doigts tes cheveux avant de les tirent de te voler un baiser passionné. nos langues jouant un ballet connus d’elles seules, je glisse mon visage dans ton cou tout en t’écoutant. « Je ne veux que ça bébé, je te veux toi, encore et toujours. » Mon corps se retrouvant de nouveaux soudés au tien. Te sentant entrer en moi violemment, je cri dans ton épaule avant de te mordre une nouvelle fois. Glissant mes mains sur ton postérieur, je le prends à pleines mains avant de le malaxer avec rudesse. Alors que tes mouvements s’accéléraient de plus en plus je sentais que j’atteignais l’orgasme. Un orgasme dévastateur. Grognant pour essayer de te prévenir, ce n’est que deux coups de reins plus tard que j’hurle de plaisir avant de me libérer sur ton torse. Tout mon corps tremblait d’excitation tandis que je m’allongeais contre le bar en essayant de reprendre mon souffle. Je te gardais prisonnier, j’avais juste besoin de quelques secondes pour reprendre mes esprits avant de continuer cette étreinte.
Sujet: Re: Paris, Paris s'éveille (Aaron) [Pas pour les enfants -18] Dim 10 Mai - 13:04
"Living For Love."
Retrouver cette sensation de plaisir intense était quelque chose que je n’avais jamais imaginé pouvoir retrouver un jour, car la première fois que je l’avais ressenti c’était avec Andrea, lors de notre premier ébat sexuel, dans sa chambre chez sa mère et la dernière avait été le soir juste avant notre séparation. Depuis toutes mes autres relations sexuelles avait été bien qu’agréables pourtant pas aussi jouissantes que ce que j’avais pu connaître avec Andrea. Je m’étais alors longtemps dit que c’était une question de talent et que je retrouverai un jour un homme aussi doué que lui et pourtant même avec des hommes aux engins et talents démesurés, je ne retrouvais pas cette sensation si exquise qui m’avait envahit durant de nombreux mois lorsque j’avais goûté aux plaisirs du sex avec Andrea. Je m’étais alors fait à l’idée que la présence de sentiments était alors le générateur de ce plaisir si particulier.
Jusqu’à notre arrivée à Paris nous avions bien évidement goûté à l’attraction de nos deux corps, qui n’avaient pas mis bien longtemps pour retrouver leur complicité d’autre fois. D’ailleurs à peine je l’avais croisé au détour de son bureau alors que nous n’étions pas encore ensemble officiellement, que l’alchimie trop parfaite qui s’était installée avait fait que nous avions franchis le cap et que je m’étais retrouvé sur son bureau à m’offrir à lui complètement pour retrouver enfin ce plaisir que j’avais longtemps cherché à vivre à nouveau. Mais même si cela ne m’avait jamais dérangé d’être le dominé avec lui, aujourd’hui lorsqu’il m’avait fait entendre son désir que ce soit mon tour de jouer au dominant, durant tout notre vol et jusqu’à notre arrivée ici, je n’avais alors pensé plus qu’à ça. C’est peut être un peu pervers et malsain, mais m’imaginer pouvoir offrir à mon homme ce plaisir m’avait alors omnibuler. Et le moment venu voilà que j’avais alors pris les choses en main pour lui faire ce cadeau dont il avait apparemment rêvait depuis un certain temps.
Notre ébat était ainsi devenu plus que jamais sauvage, passionnel, le tout dans une atmosphère où l’amour régnait en maître. Nos deux corps ne cessaient de se chevaucher, de claquer violemment l’un contre l’autre. Mes coups résonnaient autant que les cris qu’il pouvait laisser échapper, toujours de plus en plus fort. Je ne regrettais pas d’avoir abandonné le rôle de soumis que j’avais adopté depuis nos retrouvailles, pour prendre celui du dominant aujourd’hui. Je mettais même tout mon coeur dans ce nouveau rôle. Il voulait voir en moi l’homme viril et amoureux que j’étais, j’allais lui montrer sans prendre de pincettes. En effet, je n’y allais pas de mains mortes avec lui, j’enchainais les coups violents et abondants tout en prenant soin de ne lui laisser la possibilité de prendre le dessus, étant donné qu’il se retrouvait à moitié attaché. Finalement dans le feu de l’action, mon envie de lui faire l’amour dans les moindres recoins de notre suite, nous emmena à nous retrouver sur le bar de la chambre où il vint à m’attendre les cuisses écarter, un véritable appel à la débauche. Je me retrouvais alors maintenant à lui infliger à nouveau la puissance de mes coups de reins, alors que je le sentais proche de libérer tout son plaisir, d’atteindre l’orgasme d’un instant à l’autre. Sentant ainsi ses mains venir agripper mes fesses, quelques mouvements plus tard c’est ainsi qu’il libérait son éjaculation contre mon torse, ce qui me fit grogner à mon tour de plaisir. Ralentissant alors mes mouvements pour ne pas lui gâcher ce moment de pure plaisir, je l’embrassais à pleine bouche, cherchant à être plus tendre. Le laissant finalement s’allonger sur le bar pour reprendre ses esprits, je venais à caresser du bout de mes doigts son torse tout en descendant le long de ses abdos, restant admiratif de son corps sculpté à la perfection « Tu es divin mon amour … » Me penchant sur lui pour lui voler un nouveau baiser, je commençais de léger mouvement de bassin pour accompagner ce dernier, avant de reprendre « J’ai envie de terminer ça sous la douche … » Restant ainsi en lui je lui fis signe de s’agripper à mon cou à l’aide de ses mains, ainsi que de resserrer ses jambes autour de ma taille, pendant que je le soulevai de mes bras pour l’emmener jusqu’à la salle de bain. Là je le posais sur le lavabo, tout en me retirant délicatement de lui. Mon sexe était toujours en érection et il ne demandait qu’à continuait ce que l’on avait commencé, même si mon tour d’atteindre l’orgasme n’était pas loin. Je lançais alors l’eau de la douche et une fois à bonne température, je l’invitais à me rejoindre. Une fois à ma hauteur, je laissais mes instincts sauvages prendre le dessus et venait alors à le plaquer contre la paroi en verre de la douche. Là, je le pénétrais à nouveau sans le prévenir et tout en lui donnant de nouveaux coups violents, je venais à mordre le lobe de son oreille. Nos deux corps étaient collés l’un à l’autre, seul le mouvement de mon bassin à son encontre faisait venir claquer dans un bruit sourd. Quelques minutes s’enchainèrent quand finalement à mon tour je laissais échapper mon orgasme dans un râle de plaisir. Restant comme ça quelques instants, nos deux souffles faisaient écho au son de l’eau ruisselant sur nos corps chauds et abîmés par notre ébat animé. Me retirant pour de bon de lui, je le laissais se retourner face à moi, avant de l’embrasser de tout mon amour. Plongeant mon regard dans le sien je lui laissais entendre le fond de ma pensée « Je t’aime plus que tout Andrea, ne me quitte jamais, je ne survivrai pas cette fois-ci … » Je le serrais ainsi dans mes bras, profitant de cet instant que je gravais dans ma mémoire à jamais.
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Sujet: Re: Paris, Paris s'éveille (Aaron) [Pas pour les enfants -18] Lun 11 Mai - 22:33
You can stay with me, baby.AARON&ANDREA;
You want everyone to think you're above it all... but I can see right through you.
❆
You say having feelings makes me weak, but you're weak for hiding from them.
Je n’avais jamais imaginé pouvoir ressentir un jour de nouveau un tel plaisir euphorisant. Il n’y a qu’avec Aaron que je peux ressentir un sentiment aussi puissant et euphorisant qu’est l’amour. Notre première fois à tout les deux a été parfaite, tout simplement. C’était dans ma chambre alors que ma mère était en soirée et nous avais laissé la maison à nous deux. Bien sûr j’avais sauté sur l’occasion pour goûter aux joies d’un ébat amoureux avec lui, seulement quelques petites semaines après notre mise en couple. Et, depuis notre séparation tumultueuse, je n’avais pas trouvé d’homme à sa hauteur, en même temps je n’ai jamais trop cherché à retrouver une relation après Aaron. Je ne parvenais pas à l’oublier, ce qui était un sacré frein pour me reconstruire. Ma famille, même si elle adorait tout particulièrement Aaron, avait essayé de m’aider à passer à autre chose, sans aucun succès. Aaron était cette personne que l’on ne peut rencontrer une seule fois dans sa vie, et encore quand le destin le décide.
Depuis nos retrouvailles, et même depuis que l'on s’était revu dans mon bureaux. nos deux corps s’attiraient tels des aimants. Incapable de résister à la tentation qu’il représentait, j’avais faibli dès les premières secondes de nos retrouvailles. Et depuis j’avais l’amour qui coulé dans toutes les veines de mon corps. Il était ma drogue, et je n’avais aucunement l’intention de m’en sevrer. Depuis notre entrevue au bureau, j’ai su que je ne pourrais pas résister à l’appel de la tentation qu’il représentait. Et depuis j’étais véritablement accro à lui et à son corps plus que parfait à mes yeux. Bien sûr j’adorais profiter de son corps sous toutes les coutures, mais j’avoue que j’avais une légère frustration de n’être jamais dans la position de dominé. Même s’il n’y avait jamais de rôle bien défini entre nous, c’était selon l’envie du moment, et parfois on enchainait les deux rôles. Mais depuis quelque temps j’étais totalement obsédé par le fait qu’il puisse, enfin me dominer. Il avait avorté toutes mes tentatives d’inverser les rôles. J’avais désespérément attendu sans rien dire pour autant mais je n’avais pas pu me retenir aujourd’hui. Et j’avais bien fait.
Parce que maintenant c’était littéralement bouillant entre nous, cette suite d’hôtel se réchauffait grâce à la chaleur de nos deux corps. Des bruits obscènes pour autrui se faisait entendre dans la pièce. Je laissais entendre audiblement des sons de plaisirs sous ses accoups. C’était bien trop fort pour mon esprit. Je n’avais jamais ressentis autant de plaisir, comme si l’attente rendait encore plus fort le plaisir. C’était un fait avéré que les choses rares sont excellentes. Et bon sang laisser Aaron prendre complètement le dessus sans que même je n’y oppose la moindre résistance était totalement exhaltant. Je ne sais plus où je suis, la seule chose dont j’ai pleinement conscience, c’est d’Aaron en moi, violemment, entièrement. C’était bon, c’était fort, c’était euphorisant même. En faisant ma demande, je ne pensais pas une seule seconde que le plaisir serait au summum de ce que j’ai pu connaître et pourtant c’est le cas. Mais j’ai à peine le temps de me rendre compte que j’étais détaché qu’on bougeait pour gagner le bar. Le froid, la frustration de ne pas le sentir en moi font de ma personne un vrai débauché, mais il n’y a que lui qui peut me voir ainsi. Je grogne de plaisir alors que je le sens m’emplir de nouveau. Près de l’explosion, je m’accroche là où mes mains trouvent appui, et plus particulièrement sur une partie de son anatomie que j’affectionnais tant. Quelques secondes plus tard je me libère contre lui dans un puissant râle qui me couple le souffle. Essayant de retrouver une respiration normal, je m’effondre sur le bar, passant une main sur mon visage… « Mon dieu… » Je souffle longuement, encore dans le moment de l’extase, je n’ai aucune envie de redescendre sur terre là. Ma peau frissonnant sous le passage de ses doigts, j’émet un râle de plaisir, plongeant mon regard dans le sien. « tu es plus que parfait toi aussi mon amour » Je glisse mes doigts dans sa tignasse décoiffée avant de prolonger avidement son baiser. Dévorant littéralement sa bouche, je grogne alors qu’il s’éloigne. Mais mon érection revient très rapidement sous son insinuation. Accrochant mes mains comme il me le demande, j’enfouis mon visage dans son cou et j’en profite pour grignoter son cou et y apposer ma marque. Je m’y applique tandis qu’on se dirige, enchevêtrés, vers la salle de bain. M’appuyant sur le lavabo, je ne le quitte pas du regard. Mes yeux glissant sur ses fesses rebondies, ma langue passe sur mes lèvres, il est un véritable appel à la luxure. Et il est surtout à moi. Je me perd dans la contemplation de son corps avant de le voir me tendre la main. Je sort de mon hébétude avant de m’en emparer, mais j’ai à peine le temps de faire un pas que je me retrouve plaqué contre la paroi de douche, face contre le mur. Alors que j’allais protester je pousse un cri de douleur et plaisirs mêlés, mon homme ne me donnait aucun répit. Attrapant ses mains, je croisais nos doigts tandis que je cherchais à avoir plus de contact avec son corps. J’étais avide de lui, accro à son corps et à la perfection qu’il représente. Gémissant de manière obscène, je me libère une seconde fois, en même temps que lui. Posant le front sur le mur, bien plus froid que mon corps bouillant, je reprend mon souffle après ce second orgasme qui vient de ma faucher. Me retournant, avant de le prendre contre moi, je dépose un baiser sur son front avant de glisser mes bras dans son dos en de tendres caresses tandis que nos langues s’entremêlent. Le baiser est doux, rempli de promesses. Je caresse sa joue avant de sourire. « Je ne t’ai pas demandé en mariage pour te quitter un jour… » Glissant ma main dans ses cheveux, je pose mon menton contre sa tempe. J’étais au comble du bonheur. « Quoique je veux bien te redemander en mariage chaque jour qui passe si c’est aussi intense entre nous bébé… »