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 Get away from her || Alice & Azur

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Alice Kensington-Crowlley




Alice Kensington-Crowlley
ADMIN & POSH - la reine mère


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MessageSujet: Get away from her || Alice & Azur   Get away from her || Alice & Azur EmptyVen 20 Mar - 17:56

Get away from her !
Azur & Alice
« Je ne suis pas convaincue... J'ai l'impression qu'elle est surtout faite pour les jeunes filles de bonne famille qui veulent se faire violer dés qu'elles sortiront de chez elles. »  Alice regarda la robe une fois encore, critique. Elle recherchait une tenue particulière, sans savoir exactement ce qu'elle désirait. Bien souvent quand elle faisait les magasins elle marchait au coup de coeur. Dans deux semaines elle devra se rendre à Manchester pour une soirée de charité. La direction d'Alexander McQueen avait envoyé l'invitation à toutes les grandes maisons de créateurs d'Angleterre. Evidemment, Burberry était en tête dans la liste d'invité, et Alice avait été demandé auprès du directeur pour représenter la marque. Mais elle n'était pas là pour faire de la publicité pour Burberry. C'était une soirée de charité, pas un gala de mode, alors elle devait trouver elle-même sa tenue, et n'attendrait pas de recevoir un sous pour sa présence. Elle s'en fichait pas mal, en outre, elle était même prête à faire un gros chèque pour les enfants abandonnés en Chine.
Cela faisait une heure qu'elle se trouvait dans le magasin le plus chic d'Oxford. C'était une petite boutique avec une arrière-boutique très étonnante qui comportait énormément de belles choses, et de robe de haute couture. Mais décidément ils n'avaient encore saisi la notion de classe et d'élégance, présentant à Alice des vêtements de Dorothy Perkins comme s'il s'agissait des seules robes qui valaient la peine d'être présentée.
Elle soupira, et rejeta une fois encore ce que la vendeuse lui présentait. Elle s'assit sur un des canapés de la boutique, et sa chienne vint auprès d'elle quémander quelques caresses. Elle allait partout avec son berger Allemand, elle était dressée et l'écoutait au doigt et à l'oeil. Elle prit le verre d'eau que la vendeuse lui avait offert et le but d'une traite. Elle était la seule cliente dans le magasin, ce qui n'avait rien d'étonnant. C'était le genre de magasin où on allait lors de grandes occasions, et peu d'étudiantes pouvaient se permettre de claque autant d'argent dans une seule robe. Tout à coup un brouhaha incroyablement se fit entendre dans la rue, et Alice tourna un air intrigué vers les grandes vitres. « Ce n'est pas ...? »  « Si c'est bien elle. Je ne savais pas qu'elle se trouvait à Oxford ! »  « Et tous ces paparazzis qui la suivent partout, c'est dur de passer inaperçue. »  « La grande Madame Crowlley à Oxford, qui l'aurait cru ? »  L'échange entre les vendeuses exaspéra grandement Alice qui n'attendit pas plus longtemps pour sortir à la rencontre de sa belle mère . La jeune londonnienne s'approcha des journalistes, qui encerclaient Madame Crowlley comme s'il s'agissait d'un morceau de viande, une manière d'agir qui exaspérait grandement Alice. Elle-même - dans sa condition de fille de célébrité - avait appris à jouer avec les paparazzis. Elle était même devenue amies avec certains d'entre eux, surtout ici à Oxford. C'était quand même de bonne relation quand il s'agissait de détruire quelques réputation, et cela coutait souvent moins cher qu'un détective privé. Elle s'approcha de l'un de ces journalistes et lui tapota dans le dos. « Alice Kensington ! Aurions-nous le droit à une jolie photo de toi embrassant chaleureusement la mère de ton fiancé ? Ca serait super pour les affaires. »  La jeune fille sourit, et pencha la tête sur le côté. Soupirant elle prit l'appareil photo des mains de son ami . « John... Toi et tes compaires allaient soudainement oubliés la présence de Madame Crowlley à Oxford, sous peine de perdre non seulement votre réputation, vos emplois et vos précieux appareils photos... mais également sous peine de voir vos misérables vies détruites. » Dit-elle avec toute la douceur cruelle dont elle était capable. Les autres prirent soudainement conscience de sa présence, et reculèrent de plusieurs pas. « J'en sais assez sur vous tous, et vous me connaissez assez pour savoir que ce ne sont pas des paroles en l'air. Alors si vous ne voulez pas faire trop de vagues ou de scandales... Partez. » Il n'en fallut pas plus pour qu'en moins de trois minutes tous les paparazzis disparaissent, se dispersant dans toute la ville.
Alice put alors jouir de la présence de sa belle-mère. Elle lui sourit, et vint auprès d'elle. Elle était habillée avec tant de classe et d'élégance qu'Alice ne put résister à l'envie de la détailler. « Azur ! C'est un joie que de vous voir à Oxford. Comment allez-vous ? »  Dit-elle en lui faisant la bise comme deux femmes du monde qu'elles étaient. Après tout elles s'entendaient plutôt bien, et Azur avait été plus ou moins chaleureuse avec Alice lors de leurs dernières rencontres. « Eliakim s'est enfin décidé à ne plus vous gardez jalousement pour lui seul ? »  Dit-elle sur le ton de la plaisanterie. Son homme adorait sa mère et elle savait qu'il était plus que ravie que leurs relations se soient tant améliorées. Ils étaient devenus très proches, et Alice avait su s'effacer pour leurs laisser leur intimité. « Vous vous installez définitivement à Oxford ? »
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MessageSujet: Re: Get away from her || Alice & Azur   Get away from her || Alice & Azur EmptyMar 24 Mar - 13:00




« Get away from her »

ft. Alice & Azur.

Azur Crowlley était sans doute une des femmes les plus célèbres et prisée du monde de la mode. En même temps la femme d’affaire avait bâti tout un empire autour de son nom qui aujourd’hui sonnait presque comme une marque de luxe référentielle. Elle avait collaboré avec les plus grands de ce monde, s’était fait de précieux contact d’un bout à l’autre de la planète. Aucune réception quelconque et officielle ne pouvait se dérouler sans la présence de LA Crowlley.
Assise devant son ordinateur portable la rédactrice tente tant bien que mal d’ouvrir ses mails, n’y comprenant pas grand-chose à l’informatique elle saisit alors son portable. « Lise ? » un sourire sadique se dessine sur ses lèvres. Pauvre secrétaire, même à l’autre bout de l’Atlantique Azur prenait un plaisir malsain à malmener la demoiselle. « J’apprécierai qu’en attendant l’arrivée d’une nouvelle assistante plus compétente que vous, vous soyez toujours dans la capacité d’ouvrir mes mails et me faire un résumé rapide des plus importants d’entre eux. J’ai bien d’autres choses plus importantes qu’ouvrir des courriels. Ce ne serait pas trop vous demander. » A l’autre bout du fil Lise tente comme elle peut de refuser ce qui lui est demandé. Stupéfaite Azur se redresse et quitte le siège sur lequel elle était, posant une main derrière sa hanche. « Lise, il ne s’agissait pas là d’une question. Vous ferez ce que je vous ordonne, au plus vite, ou bien vous retournerez écrire des articles minables pour un canard miteux et travaillerez sans relâche jours et nuits pour pouvoir vous offrir ne serait-ce qu’une misérable bouchée de pain. Me suis-je bien faite comprendre ? » Manifestement même Oxford et la présence d’Eliakim n’avait su adoucir le requin qu’elle était. « Je vous laisse une heure. » Elle raccroche. Satisfaite. Elle jette un œil à sa montre, la journée ne fait que commencer.
Deux heures plus tard, après s’être apprêtée et avoir reçu le résumé de tous ses mails Azur quitte la demeure de son fils chez qui elle résidait le temps que les travaux de sa nouvelle maison en Angleterre soient terminés, de même que ceux des nouveaux locaux du magazine. Lise lui avait fait savoir parmi d’autres nouvelles qu’Alexander McQueen organisait un gala de charité auquel Madame Crowlley était bien entendue conviée, à Manchester. Azur ne raffolait pas des œuvres de charité. Pour elle il s’agissait là d’une belle perte de temps, la mode, ses adeptes et ses créateurs méritaient bien mieux que de couvrir les frais de pauvres petits enfants malheureux en Chine ou ailleurs dans le monde. Bref, elle n’avait de toute façon pas le choix que d’accepter l’invitation, s’y présenter, sourire et banquer. Joignant le pseudo-utile à l’agréable la mère d’Eliakim, son Birkin de la Maison Hermès au creux de son bras, monte dans un taxi qui la conduit jusqu’au centre d’Oxford, là elle se rendrait dans une ou plusieurs boutiques présentant des articles aussi décevant les uns que les autres, aux prix exorbitants, jusqu’à ce qu’elle trouve la perle rare : la tenue qu’elle pour ce fameux gala.
En règle générale, Azur n’avait pas pour habitude d’aller faire les magasins. Elle avait des employés pour ça. Des sous-fifres qui avaient pour mission de faire le tour des boutiques pour sélectionner des vêtements qu’elle choisirait ensuite. Mais son équipe n’étant pas encore installée à Oxford la rédactrice se vit dans l’obligation de se débrouiller seule.



«  Azur ! Azur ! Un instant s’il vous plait ! » A peine descendu du taxi que les paparazzi étaient déjà là, telle une horde de loup autour d’une pauvre chèvre sans défense, prêt à lui sauter dessus ne serait-ce que pour obtenir le cliché de l’année. C’était insupportable. C’était d’ailleurs pour ça qu’elle ne sortait que très rarement seule, surtout lorsqu’elle faisait l’objet d’une polémique certaine. Entre l’annonce de son divorce et son arrivée en Angleterre le nom Crowlley était sur toutes les bouches. Chacun se demandant pourquoi elle était partie des Etats-Unis, pourquoi elle avait divorcée après de si longues années de mariage… Un tas de questions qui restaient sans vraies réponses, motivant les journaux à lui inventer une vie, encore.
Résistant à l’envie d’envoyer valser la foule autour d’elle à coup de sac de luxe, Azur aperçoit au loin une tête blonde qu’elle reconnaît, se faufilant au travers des photographes. Alice, la fiancée d’Eliakim. Il eut fallu moins d’une minute pour que la demoiselle sorte sa future belle-mère de la situation dans laquelle elle se trouvait ; faisant disparaitre un à un les journalistes, ne laissant plus qu’elle sur le trottoir. Alice s’approche d’elle la saluant, d’une bise tout à fait conventionnelle « Azur ! C'est une joie que de vous voir à Oxford. Comment allez-vous ? » Azur sourit à sa future bru. « C’est également un plaisir… Alice » Elle s’en était souvenue cette fois. Heureusement. « Vous n’avez fait qu’une bouchée de ses journalistes, je vous félicite. Je vois que mon fils s’est choisi une femme de caractère, comme sa mère. » C’était limite grandiose ce qui venait de sortir de sa bouche, La grande Crowlley venait de comparer Alice à elle-même. Autant dire que c’était le plus beau compliment qu’elle pouvait lui faire. « Eliakim s'est enfin décidé à ne plus vous gardez jalousement pour lui seul ? » Décidément cette gamine lui plaisait bien. Azur sourit, riant presque à la remarque d’Alice. « Vous vous installez définitivement à Oxford ? » Tiens, voilà une question que se posait la presse entière. Azur retire ses lunettes de soleil de son nez avant de les glisser dans un étui dans son sac à main. Posant ses petits yeux bleus azur sur la jolie blonde. « Oui je m’installe de manière définitive. Je pourrai ainsi être auprès d’Eliakim de manière permanente. Nous avons suffisamment souffert ces dernières années pour que je l’abandonne une nouvelle fois. » Ces mots dans la bouche sonnaient presque comme une confession. Alice pouvait s’en sentir flattée. Ce n’était absolument pas dans les habitudes d’Azur que de faire quelconque aveux ou même de livrer des informations plus ou moins personnelles à n’importe qui. Mais Alice n’était pas n’importe qui c’était celle que son fils avait choisi pour partager sa vie, et la rédactrice s’était étrangement prise d’affection pour ce petit bout de femme pleine de caractère qu’elle était. Elle se retrouvait un peu en Alice, se revoyant à la fleur de l’âge, resplendissante avec du mordant. Un délice de femme. «  Je m’apprêtait à faire le tour des boutiques de luxe dans l’espoir de trouver la tenue parfaite pour un ennuyeux gala de charité. Nous pourrions en profiter pour passer un peu de temps toutes les deux ? Si vous n’avez bien entendu rien d’autre de plus important à faire. Vous avez séduit mon fils, c’est à mon tour d’être séduite, qu’en pensez-vous ? » Pourtant elle était déjà vraisemblablement sous le charme pour lui faire une telle proposition. Autant dire que le temps de la Crowlley était précieux, mais il s’agissait là d’Alice et de son fils, et peu importe le temps que cela prendrait, elle voulait la connaître d’avantage.


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MessageSujet: Re: Get away from her || Alice & Azur   Get away from her || Alice & Azur EmptySam 28 Mar - 23:43

Get away from her !
Azur & Alice
Alice se retrouvait face à la femme la plus influente dans le monde de la mode et elle ne ressentait aucune gêne ni aucune peur. La majorité des jeunes filles ne savaient pas comment parler à Madame Azur Crowlley, et pour cause, cette femme semblait pouvoir faire de vous une seule bouchée si elle le voulait. Mais Alice n'était pas facilement impressionnable, et si Azur était un de ses modèles, elle n'était pas non plus un monstre ou un traumatisme pour elle. Elle était la femme de l'homme qu'elle aimait. Elles avaient cela en commun, et Alice se doutait que le fait de rendre Eliakim heureux la rendait plus agréable aux yeux d'Azur également. Malgrè cela Alice ne prenait pas le respect de cette grande dame pour acquis, et faisait tout pour rester dans ses petits papiers et pour lui rendre la vie plus facile. En outre elle ne supportait pas le comportement des paparazzis que l'ont trouvé à Oxford. Dés son arrivée elle avait fait en sorte de les avoir dans la poche pour en faire ce qu'elle voulait. Alice n'aimait pas être prise de cours, et elle ne voulait être la victime de personne. Elle maitrisait son image dans tous les médias, autant sur les réseaux sociaux que dans les journaux people. C'était une des règles de son père. Elle avait tout une liste de règles sur l'image et la communication qu'elle s'appliquait à suivre depuis qu'elle était entrée dans l'adolescence. Pour l'heure elle avait à présent une maitrise des choses tout à fait exceptionnel et elle avait dans l'esprit d'en faire également son métier à la suite de son père. Elle savait qu'un jour elle reprendrait son agence, mais avait cela elle devra voler de ses propres ailes. Agent d'artiste, ou de grandes dames comme Azur Crowlley. Ce devait être passionnant de travailler pour une femme comme elle. Mais passons, Alice tirait déjà des plans sur la comète son esprit allant à deux cent à l'heure. « C’est également un plaisir… Alice » Elle sourit de toute ses dents, ravie de voir que sa belle-mère se souvenait de son prénom, et selon les dires d'Eliakim c'était une chose assez exceptionnel. Peut être qu'Alice l'avait marquée finalement. « Vous n’avez fait qu’une bouchée de ses journalistes, je vous félicite. Je vois que mon fils s’est choisi une femme de caractère, comme sa mère. » La jeune femme fut plus que ravie face à ce compliment. « Il faut dompter ce genre de vermines, c'est une chose que mon père m'a apprit. Et je ne souhaite pas les voire pourrir la vie des gens que j'aime. »  Dit-elle en regardant les journalistes qui s'éloignaient encore, regardant de temps en temps derrière eux, comme s'ils hésitaient à revenir. Mais Alice pouvait détruire leur petit vie, et cela ils en étaient tout à fait conscients. Après tout elle savait beaucoup de choses à leur sujet. Elle savait aussi que tout le monde avait un point faible. Les gens se mentaient à eux-mêmes et mentaient à leur proche. Elle le savait, et elle savait que découvrir leur secret lui ouvrait la porte du pouvoir. Elle avait comprit depuis longtemps que le bien le plus précieux dans la société ce n'était pas l'argent ou la beauté. Mais bien les secrets. Elle pouvait faire chanter la personne la plus riche de ce monde si elle savait ce qu'il cachait. Et elle n'aurait aucun scrupule à le faire. Fouineuse et manipulatrice, la jeune femme était une véritable peste quand elle le voulait. Mais toujours pour son bien et celui de ses proches.
Elle commença à converser avec sa belle-mère, désireuse de profiter de sa présence. C'était la première fois qu'elle avait la jeune femme pour elle seule et elle comptait bien en profiter au maximum. « Oui je m’installe de manière définitive. Je pourrai ainsi être auprès d’Eliakim de manière permanente. Nous avons suffisamment souffert ces dernières années pour que je l’abandonne une nouvelle fois. » Alice était touchée par cette révélation. « Eliakim doit être l'homme le plus chanceux du monde en ce moment. Je sais qu'il est plus que ravie de vous avoir à ses côtés aujourd'hui. »  Dit-elle, partageant les dires de son homme. Il lui avait révélé il y a quelques semaines de cela que ses parents divorçaient, mais elle n'oserait point en parler directement à Azur. Après tout elle doutait qu'Azur voulait en parler librement avec elle. Elle ne l'obligerait pas à quoi que ce soit. Elle voulait lui offrir un moment sympathique. Elle voulait profiter de cet instant. Alice n'avait pas eu la chance d'avoir sa mère au moment où elle en avait eu le plus besoin. Elle l'avait perdu bien trop tôt, et elle la pleurait encore aujourd'hui. Tous les ans elle allait déposer une fleur sur sa tombe, et passait la journée à prier pour elle. C'était sans doute la seule preuve de la foi d'Alice en outre. Elle aurait aimé lui parler de ses premiers coups de coeur, partager des instants shoppings, ou des dimanches à regarder des films romantiques à la télévision. Elle aurait aimé danser, et faire du cheval avec sa mère. Mais elle avait fait tout cela seule, ou avec Iseult sa meilleure amie. Elle avait su s'entourer de personnes intéressantes. Fort heureusement pour elle Alice avait un don inné pour se faire aimer des autres. Elle espérait pouvoir se faire également aimer d'Azur. Elle imaginait sa mère aussi charismatique que la Crowlley.
Pour l'heure elle espérait surtout qu'Azur Crowlley accepte de passer un peu de temps avec elle. « Je m’apprêtait à faire le tour des boutiques de luxe dans l’espoir de trouver la tenue parfaite pour un ennuyeux gala de charité. Nous pourrions en profiter pour passer un peu de temps toutes les deux ? Si vous n’avez bien entendu rien d’autre de plus important à faire. Vous avez séduit mon fils, c’est à mon tour d’être séduite, qu’en pensez-vous ? » C'était inespéré, mais Alice serait folle de refuser. Après tout elle était dans la même situation... Alors elle acquiesça, relevant le défis de la mère d'Eliakim sans même être inquiète. Il lui suffira d'être elle-même, après tout elle ne pouvait pas berner une femme telle qu'elle. « Ce pourrait-il que vous soyez également invitée au Gala de charité d'Alexander McQueen ? » demanda-t-elle, sous-entendant qu'elle s'y trouvera également. Elle proposa à Azur de l'accompagner dans la boutique où elle était jusqu'à présent, et où les vendeuses l'attendaient encore. « C'est le seul magasin où on peut trouver des vêtements assez chics pour être portés en public, mais il est tenu par des incompétents. » Déclara Alice en ouvrant la porte devant sa belle-mère. L'intérieur du magasin était très chic. Les murs d'un blanc immaculés, étaient cependant baignés d'une lumière douce et chaude. Les vêtements étaient rangés par marque et par type et taille. Au centre la caisse était fait dans un design moderne et lumineux. Quand aux vendeuses elles portaient toutes des tailleurs noirs, les cheveux attachés et un maquillage léger. La gérante était une femme charmante et très classique qui savait parler de mode sans hésitation. Malheureusement elle était aussi malade et souvent absente ces derniers temps.
Enfin, un coin salon, avec des canapés en cuir et une table où les vendeuses servaient du champagne aux rares clientes attendaient Alice et Azur. Tout comme la chienne de l'étudiante qui remua la queue pour les accueillir. « Vous avez la chance de recevoir une femme illustre, alors tâcher de faire votre travail convenable pour changer. »  Dit Alice à l'attention des vendeuses qui se mirent à la recherche de robes pour les deux clientes. Alice en profita pour se tourner vers sa belle-même après lui avoir offert de s'asseoir. « Champagne ? C'est un des lieux les plus calmes de la ville, mais aussi l'un de ceux où on peut passer le plus de temps pour trouver la tenue parfaite. Cependant je n'ai jamais été déçue en venant m'habiller ici. » Dit-elle en proposant à Azur de lui servir un verre tandis qu'une vendeuse posa une nouvelle coupe sur la table. « Est-ce moi ou il est de plus en plus difficile de voir des gens compétents dans leur travail ? » 
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MessageSujet: Re: Get away from her || Alice & Azur   Get away from her || Alice & Azur EmptyDim 5 Avr - 18:04




« Get away from her »

ft. Alice & Azur.

Azur Crowlley fut dés son plus jeune âge passionnée de mode. Mais jamais elle n'aurait pensé un jour en faire une partie de son métier. Oui elle travaillait dans la mode mais pas seulement; être rédactrice en chef n'était pas une mince affaire. Tout n'était pas qu'une question de goût et d'aval. Un tas d'autres tâches lui étaient réservées. Heureusement elle avait une assistante, voir deux, pour l'aider dans celles-ci. Depuis son arrivée à Oxford, Azur ne s'était pas encore trouvée de nouvelles assistantes, elle était alors résignée à faire elle-même son shopping. Chose qu'elle détestait. En réalité, Azur avait bien souvent la chance de se voir envoyer de sublimes robes haute couture par les plus grands couturiers et stylistes du monde. Et si ce n'était pas le cas, ses assistantes partaient dans tous les magasins de la ville pour lui dénicher LA tenue parfaite.
Aujourd'hui, pour la première fois depuis de nombreuses années Azur devait faire elle-même son propre shopping, et après avoir rencontré par hasard sa future bru : Alice, cette "épreuve" lui semblait moins terrible qu'elle ne l'était. " Ce pourrait-il que vous soyez également invitée au Gala de charité d'Alexander McQueen ? " la questionne Alice avant de l'inviter à entrer dans cette boutique juste à côté, apparemment tenue par des incompétents. Elle n'y allait pas avec le dos de la cuillère. Azur la suit, acquiesçant au sujet du Gala, c'est bien ça.


L'endroit est agréable, épuré, minimaliste. La rédactrice suit la blonde, jusque dans un salon, qui lui propose du champagne après avoir avertis le personnel de la présence de sa majesté Crowlley. Silencieuse Azur acquiesce à sa bru d'un sourire et s'installe sur un des canapés de cuir après avoir déposé une caresse sur la tête du berger allemand d'Alice. " Est-ce moi ou il est de plus en plus difficile de voir des gens compétents dans leur travail ?" Azur rit, cette petite ne manque pas de cran, ça lui plait, et elle ne peux qu'être d'accord avec ce qu'elle venait d'entendre, ayant elle même renvoyé une flopée de jeunes femmes stipulant une incapacité au poste, pour un simple détail le plus souvent. Mais elle était comme ça, exigeante, après tout ce n'était pas un défaut de ne vouloir que le meilleur.  " Et bien à vrai dire, je me fais souvent moi-même la remarque, me voilà rassurée que d'apprendre que je ne suis pas la seule !" Azur trinque avec Alice qui vient de se faire servir avant de boire une gorgée de champagne, elle pose sa coupe et son visage s'assombrit. Azur lève les yeux vers la vendeuse, ses lèvres se pincent, son sourcil gauche se hausse, elle est dédaigneuse. Froide, sa voix s'élève en direction de l'employée. " Voulez-vous bien disparaître quelque part dans le centre ville d'Oxford nous trouver deux bouteilles de Crtistal Roederer, 1996. Avant cela, envoyez nous vos deux meilleurs vendeuses. Et par pitié, disparaissez. Servir un tel champagne à une femme comme moi, dans certain pays est passible d'un renvoie." Son visage s'adoucie lorsqu'elle pose à nouveau les yeux sur Alice, la vendeuse s'exécute et disparaît. Azur plonge sa main dans son sac à main, à ses pieds, et en sort un long porte cigarette, elle y glisse une fine vogue qu'elle allume et crache un long nuage de fumé blanche dans le petit salon. " La dernière fois que j'ai fais mon propre shopping il était encore autorisé de fumer dans les magasins. Je ne vais donc pas me priver de revivre un souvenir. Vous en voulez une ? "
Tirant une nouvelle fois sur son porte cigarette orné de diamant Azur rayonne, à l'aise, femme fatale, comme si Alice était une ancienne amie, ou une amie tout court, insouciante et décontractée, elle se débarrasse de son long manteau en vison découvrant un élégant ensemble tailleur jupe Dior vert émeraude , fendu sur le coté droit, dévoilant ses belles jambes croisées l'une sur l'autre sublimées d'un collant noir transparent, chaussées d'une paire d'escarpins noirs classique du même créateur que sa tenue. Elle passe une main dans son épaisse chevelure blanche parfaitement brushée et tire une nouvelle fois sur sa cigarette comme une dame du monde qu'elle était. " Et bien Alice, nous ne nous sommes pas vu depuis Aspen il me semble ? Eliakim m'a fait savoir que vous vous étiez fiancés, à Paris. Félicitations. " Elle tire une fois encore sur son porte cigarette et sourit à Alice. " Veillez à le rendre heureux, je vous ai à l'oeil !" Ces paroles pouvaient sonner comme une mise en garde, mais c'était le comportement naturel d'une mère qui s’apprêtait à confier son fils à une parfaite inconnue. Azur ne connaissait pas encore très bien Alice, même si elle l'appréciait déjà beaucoup, la jeune femme demeurait encore une totale inconnue aux yeux de la rédactrice.
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MessageSujet: Re: Get away from her || Alice & Azur   Get away from her || Alice & Azur EmptyLun 6 Avr - 23:01

Get away from her !
Azur & Alice
Alice était une femme du monde. Depuis qu'elle était enfant elle était amené dans les soirées de Charité, et dans les coulisses des grands évènements. Sa mère était une jeune duchesse riche, et que la presse adorait. Elle était une grande donatrice pour les différentes association caritative, elle était avait été actrice, mannequin, chanteuse. Et son père était un homme du monde, connu des plus grands depuis des années. Il s'était occupé de l'image du président de la république Française, de plusieurs Sir Anglais, avant d'être chargé de la communication et de l'image de la famille royale depuis plusieurs années à présent. Alice n'avait pas eu le choix, elle avait dû apprendre à être bien habillée, à contrôler son image, et à ne pas faire trop de vagues. Elle devait être aimée par le public, car c'était la plus grande force dans la société de nos jours. Être aimée du public, c'était être important dans le monde, et être convoité par tous. Alice faisait partie du monde. Elle n'avait pas la chance de pouvoir être qui elle voulait, de pouvoir choisir son destin, son futur. Elle devra épouser quelqu'un de son rang, quelqu'un qui pourra lui permettre d'être encore plus aimée par le public. Elle devra faire de grande chose pour le monde, elle devra toujours être à la pointe de la mode, contrôler son image sur les réseaux sociaux. Elle savait tout cela, mais depuis plusieurs années à présent elle avait appris à en jouer.
Elle ne devait pas être la simple esclave de ce rang sociale. Elle devait aimer cela, elle devait être elle-même aussi, se découvrir, et jouer avec les règles de la société. Elle était bonne actrice. Mais en ce qui concernait ses sentiments elle avait appris qu'elle ne pouvait pas les contrôler. Elle avait eu la chance de tomber amoureuse d'un Crowlley. Elle l'avait détruit, elle avait joué avec lui. Ils avaient un lourd passé, mais elle lui était destinée, elle n'en doutait plus aujourd'hui. Elle avait la chance de pouvoir respecter les règles. Elle sera quelqu'un d'important. Et elle admirait les gens de ce monde. Elle admirait Azur Crowlley, qui était sans doute l'une des femmes les plus indépendantes et fortes qu'elle n'avait jamais rencontré. Elle l'adorait littéralement, elle était son modèle, une source d'inspiration. Alice sentait bien qu'elles allaient s'entendre, qu'elles étaient semblables quelque part. Elles connaissaient les règles, mais au lieu de les dénigraient, de les détestaient, elles avaient appris à s'en accommoder, et même à les aimer. Malheureusement tout le monde n'était pas aussi lucides et perfectionnistes qu'elles, et Alice en fit la remarque alors qu'elles prenaient place dans la boutique. « Et bien à vrai dire, je me fais souvent moi-même la remarque, me voilà rassurée que d'apprendre que je ne suis pas la seule ! » Alice ne pouvait qu'acquiescer alors qu'elle buvait encore une gorgée du champagne qu'ils lui avaient servi. Elle ne le trouvait pas fabuleux, mais elle n'était pas encore très connaisseuse dans ce domaine. Par contre il était évident que sa belle-mère l'était plus qu'elle. Elle reposa la coupe avec vivacité. « Voulez-vous bien disparaître quelque part dans le centre ville d'Oxford nous trouver deux bouteilles de Crtistal Roederer, 1996. Avant cela, envoyez nous vos deux meilleurs vendeuses. Et par pitié, disparaissez. Servir un tel champagne à une femme comme moi, dans certain pays est passible d'un renvoie. »  Alice haussa un sourcil et regarda l'employée partir dans demander son reste. Alors elle tourna un regard admiratif et plein de fascination vers Azur. « Je sens que je vais beaucoup apprendre à vos côtés. »  Dit-elle simplement. Avec toute la classe, et la grâce qui la caractérisait Azur sortie un porte-cigarette et une vogue qu'elle glissa entre ses lèvres. « La dernière fois que j'ai fais mon propre shopping il était encore autorisé de fumer dans les magasins. Je ne vais donc pas me priver de revivre un souvenir. Vous en voulez une ? »  Alice refusa poliment d'un geste de la mort. Elle sortie son propre paquet de Chesterfield de son sac. « Je vous remercie mais j'ai les miennes. »  Décidant qu'elle ne pouvait pas laisser Azur fumer seule, elle prit une cigarette à son tour et prit son zippo encore neuf pour l'allumer. Elles commencèrent à fumer, comme si c'était la chose la plus naturelle. Alice avait l'impression de se trouver hors du temps. Une employée avança timidement vers elles, mais bien trop terrifiée elle n'osa pas leur interdire la cigarette. Alice se tourna cependant vers elle. « Fermez à tout autre client, je sens que nous en avons pour un moment, et personne ne doit nous importuner. » Dit-elle d'une voix autoritaire. Alors la jeune employée sortie la pancarte de privatisation du magasin. « Et faites donc votre travail, présentez nous quelque chose de décent. » Demanda-t-elle. Alors elle partie à la recherche de plusieurs robes de soirée, mondaine, pour les deux jeunes femmes. Elles commençaient à les mettre sur des montant afin de les leur présenter petit à petit. Pendant ce temps les deux femmes avaient largement le temps de discuter. « Et bien Alice, nous ne nous sommes pas vu depuis Aspen il me semble ? Eliakim m'a fait savoir que vous vous étiez fiancés, à Paris. Félicitations. »  Alice sourit, et présenta la bague que son fiancé lui avait offerte à sa belle-mère. C'était un magnifique solitaire, un diamant énorme qui lui allait fort bien. Une bague fine, délicate, mais incroyablement brillante. « Veillez à le rendre heureux, je vous ai à l'oeil ! »  Alice acquiesça. « Votre fils n'a pas été heureux depuis longtemps, Azur, avouez-le. Vous êtes ravie de le voir à nouveau rire, et parler de l'avenir avec ce sourire divin sur les lèvres. »  Dit-elle, confiante, et heureuse. Elle aussi voulait un avenir avec son Eliakim. Elle aussi voulait le voir rire aux larmes, et sourire comme un enfant. Elle voulait lui offrir des enfants, un avenir radieux, une vie qu'il n'aurait même jamais pu imaginer. Ils allaient être très heureux ensembles, elle en était sûre. « Et vous, quels sont vos projets à présent ? Une femme de votre rang ne restera pas inactive. » 
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