[Hot] Irlande / Le besoin fou d'entendre ta voix.

Phone calling. Le besoin fou d'entendre ta voix.
Eliakim & Alice
Elle dormait. Elle avait eu du mal à s'endormir, et pour cause, elle était plutôt bien entourée ces derniers temps dans son lit. Elle n'avait pas le corps chaud et dur de son amant contre elle, et elle pleurait encore cette absence dans son lit. A la place de cela elle avait le droit à un petit corps chaud contre sa poitrine, qui dormait le museau entre ses seins, un boule de poils qui avait décidé de dormir sur sa hanche, même si c'était dans un équilibre précaire, et un gros machin qui s'éclater à prendre tout le reste de la place dans l'immense lit deux places de la belle anglaise. Alice n'arrivait pas à croire qu'elle se trouvait dans une telle situation.
Elle dormait, un sommeil lourd. Elle passait des journées infernales, quant bien même elle était en vacances. Elle préparait les examens, et les compétitions d'équitation. Quand elle n'avait pas la tête dans les bouquins, elle était sur un cheval. Elle dormait peu, mais elle devait dormir bien. Alors quand son téléphone se mit à sonner, elle grogna avant d'enfouir son visage dans les coussins. Elle espérait que cela s'arrête, mais ca ne s'arrêtait pas. Elle laissa échapper quelques injures. Jusqu'à ce qu'il ne sonne à nouveau. Summer se mit à aboyer, et après lui avoir donné une tape sur le museau Alice se leva - virant Chester de sa hanche au passage - et décrocha. « Allô ?! »  dit la jeune femme un peu plus sèchement qu'elle ne l'aurait voulu. Elle espérait que c'était un appel important, ou tout du moins plaisant.
Elle se laissa aller dans les draps lorsqu'elle entendit la voix suave de son amant de l'autre côté de l'appareil. « Bonsoir ma princesse... Excuse moi de te déranger je voulais entendre ta voix. » Alice laissa échapper un petit rire. Elle était fatiguée, c'était pas forcément une bonne chose. Elle était sans doute encore plus vulnérable que lorsqu'elle était bourrée. Et quand elle était bourrée elle était très vulnérable. « A trois heures du matin ? Tu me fais une petite insomnie mon ange ? Tu as besoin de ta femme pour t'aider à te détendre pour t'endormir ~ » Demanda-t-elle d'une voix incroyablement séduisante...

Phone calling. Le besoin fou d'entendre ta voix.
Eliakim & Alice
Elle était heureuse d'avoir son homme au téléphone. Elle essayait de retenir son côté impulsif et possessif pour le laisser au maximum profiter de son voyage sans qu'elle ne le harcèle. Alors elle s'enfonçait dans les études, et les compétitions. Alice était une acharnée elle ne savait pas faire les choses à moitié. Mais l'avoir enfin au téléphone même si c'était à trois heures du matin était une chance. Elle n'alluma pas la lumière. Elle se laissa aller dans les draps chaud, alors qu'elle dormait en nuisette. Une petite nuisette très sexy, noire, qu'Eliakim adorait.
« Tu me manques tout simplement et en effet, je n'ai pas eu ma dose de ma femme. Ni même mon bisou de bonne nuit... » Elle bouffa, se moquant ouvertement de la candeur de son homme. Il l'appelait à trois heures du matin parce qu'il avait pas eu son bisou ? Elle n'était pas dupe. Un homme n'était réveillé à cette heure là uniquement parce que son corps était trop... Excité pour pouvoir se reposer. « Tu n'as pas eu ton bisou... mais oui, évidemment. » Dit-elle d'une manière sarcastique, le défiant littéralement d'être honnête avec lui-même et avec elle.
Elle ne se souvenait pas de son rêve, mais vu l'état dans lequel elle se trouvait, ce ne devait pas être le rêve le plus chaste du monde. « Il me manque aussi ma dose de toi, ton odeur, ta peau, tes caresses, tes seins contre mon torse... » Là elle le retrouvait déjà plus. Elle garda les yeux fermés et commença à caresse son ventre et ses jambes doucement, laissant échapper un petit soupir de satisfaction. « Je te crois déjà un peu plus là ... Tu t'ennuie de moi et de mon corps de rêve ? Mini-Eli a envie au creux de mes reins hein ? » Demanda-t-elle d'une voix encore une fois très suave. Le cherchant littéralement.

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Eliakim & Alice
Elle n'avait jamais fait ce genre de chose. Elle ne s'était jamais sentie autant en confiance avec quelqu'un, pas au point de se laisser aller à ce point au téléphone. Elle ne se posait cependant aucune question et ne s'arrêta pas ne serait-ce que pour réfléchir à la situation. Elle se laissait totalement aller à ses pulsions et à ses envies de l'instant. Elle ne se connaissait pas aussi hédoniste, mais forcé de constater qu'elle adorait cela. Elle profitait de l'instant sans se poser la moindre question et le vivait véritablement à fond. « Mini ? Tu le vexes bébé... » Elle ne s'en excusa pas, et ne fit pas la moindre remarque. Elle voulait le chercher. Elle se sentait excitée par cette situation sans réellement comprendre pourquoi. Après tout il n'avait rien dit qui puisse vraiment la mettre dans cet état. Et pourtant elle était excitée. Elle avait envie de lui, là maintenant. Et il se trouvait à plusieurs centaines de kilomètres avec sa meilleure amie. Tout ce qui lui restait c'était sa main droite et le téléphone. La voix de son amant, et ses fantasmes personnels. Et cela l'excitait. « Je sais que tu es déjà trempe, juste en entendant le ton de ta voix. » Elle laissa échapper un gémissement alors que sa main se baladait autour de sa poitrine. « Et toi je suis sûre que tu es déjà tendu et dur comme du marbre. »  répondit-elle du tac au tac. « D'autant plus si je te dis que mes tétons sont pointés, et ma culotte trempée. »  Elle voulait s'amuser, mais elle savait aussi qu'elle n'était pas patiente. La fatigue, l'excitation, et la voix de son amant la transportèrent dans un espace parallèle de volupté et d'envie où elle se laissait aller complètement. « Dis moi des choses, bébé. Sois cru. » 

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Eliakim & Alice
« Tu n'imagines même pas à quel point ! » Oh si elle imaginait très bien et très facilement à quel point il pouvait être excité. Il lui suffisait de fermer les yeux pour voir le sexe tendu de son homme prêt à être chevauché. Ou léché. Elle adorait jouer à l'allumer, il devenait très vite insatiable. Elle adorait son membre dur si parfait. Il la remplissait si bien, entièrement sans pour autant lui faire mal. Il était véritablement fait pour elle. C'était l'épée de son fourreau. Il était son âme soeur, surtout physiquement. Elle se demandait encore ce qu'il lui trouvait pour le reste. Alors elle le tenait par le sexe. Et elle adorait le sexe avec lui. Le sexe avec lui était parfait.
Elle lui demanda de l'aider, d'être cru. Elle ne l'avait jamais fait auparavant, mais elle n'eut pas même peur qu'il n'en soit offusqué. Rien ne pouvait offusquer Eliakim Crowlley en matière de sexe. Il était très loin d'être quelqu'un de prude. « Alors tu attends quoi pour caresser tes seins mon cœur ? Pour imaginer ma bouche sur ton ventre, ma langue sur ta poitrine et sur tes tétons, léchant, suçant, mordillant jusqu'à ce que tu me supplie de te prendre ? » Mordant sa lèvre inférieure elle fit exactement ce qu'il lui demandé. Elle caresser ses seins, alors qu'elle fermait les yeux pour imaginer que c'était lui. Sa bouche, ses mains, se doigts agiles, ses lèvres, et sa langue. Elle adorait la manière dont il lui faisait l'amour. « Je suis ton esclave bien docile. Hum... J'aimerai que tu sois là pour me défoncer. »  Dit-elle d'une voix roc et suave. Elle pinça un de ses tétons et poussa un petit cris de plaisir. Elle avait envie de plus, de bien plus. Alors elle ouvrit le tiroir de sa table de chevet pour sortir son Eli-stick.. « Je vais me caresser avec le jouet que j'ai acheté avec ton départ... » Dit-elle faisait référence à son sex-toy qu'elle lui avait fièrement présenté la veille de son départ, pour le rendre fou et l'excité en même temps.

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Eliakim & Alice
Elle était très excitée, et elle sentait qu'elle pourrait venir très rapidement si il voulait bien la laisser se caresser et jouir. Mais elle ne ferait rien sans qu'il ne le lui demande, ou qu'il ne le lui autorise. Elle voulait jouer avec lui, c'était beaucoup plus excitant que de jouer toute seule. Elle ne s'empêchait pas de jouer seule, mais elle préférait de loin lorsqu'il était là pour la guider. « J'ai pensé à te faire un moule du mien mais je me suis dit que tu deviendrais accroc et que je ne te servirais plus à rien. » Elle ne put s'empêcher de rire, perdant le fil de ce qu'elle voulait faire pendant un instant. « Aucun gode ne pourrait remplacer ton coup de hanche si démentiel mon amour. Ne t'inquiète pas pour cela. »  répondit-elle. Elle ne voulait pas entrer dans le sentimentalisme, elle voulait du sexe. Tout simplement du sexe. Il ne devait pas attendre d'elle des mots tendres à cet instant précis. Elle l'aimait, il le savait, et elle savait qu'il l'aimait. Mais elle avait toujours soif de sexe avec lui, et parfois de manière violente. Il semblait encore avoir du mal à l'accepter parfois, apeuré qu'elle pense qu'elle doute de son amour. Mais ce n'était pas le cas. C'est justement par amour qu'elle se laissait aller avec lui.
Elle l'entendit marcher, et prendre quelque chose dans un sac. Sans doute un jouet pour lui aussi. Ensuite il revint sur le lit. Elle reconnu le bruit des draps qui frottaient contre sa peau. « Reprenons notre jeu veux-tu ma princesse ? Où en es-tu ? » « J'en suis à être trempée et impatiente mon amour. »  Dit-elle d'une voix un peu crue, et brute. Elle avait envie qu'il la fasse jouir. « Tu sais que je t'aime chérie ? Tu es porteuse de mon bonheur... » Elle soupira, et laissa échapper un petit rire. « Chéri, si tu ne me demande pas de jouir dans deux secondes je te jure que je murmurerai un autre nom au moment de la jouissance. Arrête de faire du sentimentalisme et demande moi de me baiser comme si c'était son pénis entre mes cuisses. »  Dit-elle alors que la frustration commençait à se faire sentir. Elle commença à insérer le gode entre ses cuisses doucement, lâchant un gémissement de plaisir.

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Eliakim & Alice
Elle était en train de faire une sexphone avait son fiancé. Elle était en train de se toucher avec que seule la voix de son amant la guidait. Et elle adorait cela. Elle pensa un court instant à tout ce qu'il lui avait fait découvrir. Le sexe, certes, car c'est lui qui lui avait pris sa virginité alors qu'elle avait dix-huit ans. Il lui avait fait découvrir la jouissance, d'abord clitoridienne - comme la majorité des filles - puis virginale, et aujourd'hui elle ne pouvait plus s'en passer. Il lui avait fait découvrir le plaisir orale, la joie de satisfaire un homme avec sa bouche. Il lui avait appris à aimer le plaisir, à aimer le sexe, à aimer l'amour. Elle avait apprit à aimer grâce à lui. Elle avait appris à être elle-même, et encore aujourd'hui elle découvrait énormément de choses avec lui. Elle découvrait le plaisir d'être désirée, et de désirer un homme tant et si bien que même la distance ne changeait rien à ce désir. Elle avait envie de lui, quant bien même il n'était pas auprès d'elle. Jamais elle n'avait désiré comme ca à ce point. SOn désire prenait même le pas sur sa raison, sur sa bienséance, sur sa parole, ou son amour. Le désir et la passion qu'elle ressentaient pour lui étaient plus forts que tout. Plus fort que l'amour romantique d'une jeune universitaire. « Je n'ai pas besoin de le dire, tu te fais déjà plaisir toute seule. » Elle sourit, continuant à se caresser et à se faire du bien. « C'est parce que tu n'es pas un bon garçon, et que je suis une vilaine fille. » répondit-elle. Elle fit tourner le gode en elle, claquant au fond de son sexe. Elle laissa un cri quitter ses lèvres. Elle avait envie de jouir, là maintenant. « Là tu vois j'imagine bien tes lèvres glisser sur mon membre, m'accueillant dans ta bouche chaude... Et toi ? » Elle faisait des allers et venus plus rapide en elle. Elle avait chaud, elle sentait le feu monter entre ses cuisses. Elle allait venir plus vite qu'elle ne l'aurait voulu sans doute. Mais sa voix, ses mots, et ses fantasmes la rendaient folle. Elle avait envie de jouir. « J'imagine que tu laboures mon sexe si violemment que je vais jouir dans... Bébé... Je vais jouir, et je veux que tu jouisse avec moi. »  Exigea-t-elle. Suite à cela ce ne furent que gémissement, et cris de temps en temps, alors qu'elle perdait la raison. Elle ferma les yeux, sa tête lui tournait. Elle allait venir, elle allait jouir.
Elle imaginait le corps d'Eliakim sur elle, ses allers et venus claquant contre ses hanches, alors que son sexe la possédait si bien qu'elle avait l'impression de ne faire qu'un avec lui. Elle avait chaud, elle avait la tête qui tournait, elle sentait la boule de plaisir qui échauffé son bas-ventre, et soudainement, un instant suspendu, juste avant la jouissance et l'orgasme. Le vide, elle quitta son corps, elle quittait le monde pour laisser place au seul plaisir. Elle n'était plus un corps, elle était la jouissance, elle était l'amour, elle était la chaleur. Et elle jouit.

Phone calling. Le besoin fou d'entendre ta voix.
Eliakim & Alice
« Ho bordel... » Il jouit. Alice resta sur le lit sans bouger, la main encore sur le sex-toy sorti de son sexe. Elle sent encore les palpitations post-orgasmique dans son vagin et sourit comme une demeurée. Une vague de bien être l'envahie, alors qu'elle se laisse s'enfoncer un peu plus dans les draps de son lit, la tête sur les coussins moelleux. Elle n'a pas envie de bouger, elle reste là, l'oreille collé à son téléphone, écoutant la respiration saccadée de son amant à l'autre bout du fil. Elle aurait aimé se coller contre lui, et embrasser son torse, elle aurait aimé lui dire qu'elle l'aimait, et l'embrasser. Elle aurait aimé aussi lui faire une dernière petite gâterie avant de se rendormir. Mais il était en Irlande. Il profitait de sa meilleure amie et cela aussi c'était géniale.
Elle était amoureuse d'Eliakim, mais pas de cet amour étouffant qui vous fait perdre pied à la réalité. Elle l'aimait pour ce qu'il était, et si il voulait resté avec sa meilleure amie, ou traverser la moitié du globe pour un concours de mangeur de hot dog avec Clyde alors elle l'aimait pour cela. Son amour était pur, sincère, et il n'avait rien d'étouffant. Elle était tombée amoureuse de lui petit à petit. Elle le connaissait par coeur, elle aimait ses plus terribles défauts, et elle admirait tout ce qu'il était. Il l'énervait, l'agaçait, la gonflait, mais jamais au grand jamais elle ne voudrait le voir changer. Elle voulait l'aimer au grand jour, elle voulait le voir heureux. Mais elle voulait que son bonheur soit grâce à elle. Elle voulait égoïstement être la source de son bonheur. Elle était comme ca.
Elle entendit son homme boire, et la même soif la tira hors du lit dans un mouvement lascif. « Ça va princesse ? » Elle ouvrit l'eau, et se servit un verre, alors qu'elle déposa le gode sur le côté de l'évier pour le laver. Elle but une gorgée. « Très bien mon amour. Et toi ? »  demanda-t-elle alors qu'elle connaissait déjà la réponse. Il allait bien, mais elle lui manquait. Il en était de même pour elle. Le contraire serait étonnant. Elle termina son verre, et prit le gode pour l'essuyer avec du savon et de l'eau. Elle le laissa sécher sur le côté. « Je t'aime... »  Dit-elle avec une voix tendre, et douce. Elle sentait la fatigue revenir au galop. Il était quatre heures du matin à présent et elle devait bosser le lendemain. Elle retourna s'allonger nue dans le lit. « Tout se passe bien en Irlande mon Amour ? Tu penses à mon cadeau hein ? Tu me rappelles demain soir pour tout me raconter ... ? »  Demanda-t-elle. Elle ferma les yeux, et sa respiration se calma petit à petit...