(inachevé) HOT -18 ! ❝un orage, une clé, un paquet de sucre❞ (pv julian)

je vous souhaite une bonne fin de semaine et vous dis à lundi en forme ..., je ramassais mes livres en saluant quelques camarades qui s'éloignaient déjà de la classe et les glissais dans mon sac à bandoulière que j'enfilais de travers sur mon blouson en cuir noir. Simplement vêtue d'un jean slim et de bottes montantes, je ne m'attendais pas à trouver un tel déluge en sortant de l'amphithéâtre. La pluie tombait violemment contre les carreaux des vitres qui formaient les couloirs menant vers l'extérieur, envahissant l'espace en bruit assourdissant et lorsque je me retrouvais face à l'extérieur, j'hésitais à traverser le campus pour me rendre dans ma chambre. Bien que les températures soient relativement tiède, je n'avais qu'un simple tee shirt blanc et mes bottes à talons allaient rendre le périple sans doute bien plus difficile que si j'avais porté une simple paire de baskets. J'entendis soudain une voix m'appeler Scarlett!!??, je tournais la tête vers une jeune fille blonde, au sourire ravageur, elle était dans un voiture noire et avait baissé la vitre pour me parler. Je t'appelle ce soir pour la soirée de demain... tu viens toujours dis ??Oui bien sur bien sur... appelle moi ce soir on verra ça ...., elle me salua et leur voiture démarra pour se diriger dans le sens opposé à ma direction. Prenant mon courage a deux mains, je me lança et me jeta sous l'eau. Il ne fallu pas plus que quelques minutes pour me rendre dans mon bâtiment mais il  env avait fallu bien moins pour que je me retrouve trempée jusqu'aux os, mes cheveux collés à mon visage, sans parler de mes vêtements et l'eau que je sentais à l'intérieur de mes bottes, sans doute fichues.

A peine passée la porte d'entrée, je me frayais un passage entre les étudiants de Nom du bâtiment , les poussant sans ménagement, m'excusant pour pouvoir attendre mon allée, saluant quelques personnes que je connaissais puis montant au 3ème étage pour me rendre à ma chambre. Je claquais des dents et rejetant ma tignasse dégoulinante en arrière, je m'enquis à chercher mes clés dans mon sac. Dieu merci, l'intérieur était presque sec. Enfin mon trousseau en main, j'introduisis la clé dans la serrure, elle avait toujours été dure et je forçais alors quand soudain le bout de la clé me resta entre les doigts et l'autre dans la serrure. J'explosais alors Oh bordel de Dieu!!!! je tapa contre le mur a coté de moi puis avec mon pied contre la porte et toujours en vociférant de plus belle. Je voulu retirer ma veste mais elle s'emmêla dans mon sac et je me retrouvais à essayer de me dépatouiller, sentant mon impatience me gagner. Enfin libérée, j'attrapais mon téléphone et appela un service de serrurerie, il me disait qu'il ne pourrait pas venir avant demain matin pour en mettre une nouvelle mais qu'ils allaient voir pour trouver une solution plus tôt. Je raccrochais alors, hors de moi, jetant mon téléphone dans mon sac, je me laissais alors glissé contre le mur entre ma porte et celle de la chambre voisine. Je tournais la tête, jetant un regard curieux, il m'avait semblé entendre un bruit, depuis que j'étais installée, je n'avais encore jamais vu qui était mon voisin d' à côté, nos horaires étaient sans doute différents. Je sentais l'eau qui continuait à dégouliner dans mon dos et j'avouais que je commençais sérieusement à me dire que j'allais attraper un rhume.

Je retirais alors mes bottes et les prenant dans mes mains, je me relevais et me plantant devant la porte voisine, je restais quelques secondes, hésitante, puis j'osa et tapa à la porte. Une seconde plus tard, la porte s'ouvrit et sans attendre que la personne ne dise quoi que ce soit, bien décider à ce qu'elle ne me dise pas non, j'ouvris la bouche et allais balancer ma tirade. Dites, excusez moi de vous déranger mais ...., je me retrouvais en face d'un beau brun au yeux d'un bleu électrique, il était plutôt pas mal et finalement je me dis que j'avais eu bien raison de frapper à sa porte, je poursuivais Je viens de casser ma clé dans la serrure et le gars vient pas avant un bon moment ou peut être même demain... J'ai une copine qui va arriver vers 18h mais ..., je marquais un hésitation, jetant un oeil rapide derrière lui et d'un ton un peu plus hésitant ....je sais que ça va vous paraitre culotté mais ... vous pourriez pas me prêter un tee-shirt ... j'étendais mes bras de part et d'autres pour qu'il constate mon état trempé je vous le rendrais ... laver bien sûr ... je suis votre voisine

 

Je n'étais pas du genre à passer par quatre chemins, de nature plutôt franche et sans gêne, je n'avais pas hésité a frappé à la porte d'un parfait inconnu, pour lui demandé un de ses tee shirt. Il n'avait fallu que quelques secondes pour que mon voisin, car oui c'était un gars, plutôt pas mal ce qui ne gâchait rien, pour m'ouvrir et comme à mon habitude je déblatérais ce que j'avais a dire, sans vraiment lui laissé le temps d'en placer une. C'est quand je lui montrait mon état que je pris conscience que j'avais un tee shirt blanc et donc qu'il avait pas du passer à côté de voir ce que je portais au dessous. J'aurais pu rougir, mais si ça pouvait m'aider à avoir ce que je voulais, j'allais pas faire la sainte nitouche, j'ajoutais même un petit sourire joueur, histoire de au cas où il hésiterait.

Je le détaillais discrètement lorsqu'il se décala en m'invitant à entrer. Grand, brun, avec un regard que je n'étais pas près d'oublier tellement leur bleu était fascinant. J'attrapais mes affaires, dégoulinante dans son entrée, je laissais le tout dans un coin et sentant le parquet sous mes pieds nus, j'avançais juste de quelques pas, un peu gênée, pas de ma tenue, mais de salir chez lui plutôt. " Je vais m'en chercher un autre, pendant ce temps là changez vous et asseyez vous sur le canapé. ", me déclara t il en retirant le tee shirt qu'il avait sur lui pour me le tendre. Je restais un instant les yeux bloquer sur ce gars qui venait de se dessaper devant moi. J'arquais un sourcil en esquissant un sourire en saisissant le tee shirt Euh... merci... mais c'était pas la peine de me donner celui que vous aviez sur vous.... enfin je vais pas m'en plaindremurmurais-je plus bas en le suivant du regard alors qu'il allait à sa chambre. Je jetais un regard vers la porte et tournant alors le dos à sa chambre je retirais mon haut et mon jean mouillé, les laissant tomber sur le sol et me glissant dans son tee shirt sec. Il m'arrivait au niveau des cuisses, c'était un peu court mais peu importe, j'avais moins froid, j'attrapais alors une pince dans mon sac et me remontant mes cheveux, je les attachais à la va vite, laissant quelques mèches m'encadrer le visage.

Je regardais alors autour de moi, cherchant un sac, mais peine perdue, rien de ce que je voyais aurait pu me permettre de mettre mes vêtements mouillé. La chambre était simple, une chambre, une porte donnant sur la salle de bain je supposais, une kitchinette et un coin salon avec un canapé et un grand écran, pas étonnant, et dans le coin un bureau. Sur la table basse, je vis un ordi portable d'où provenait un bruit, il devait être en train de le regarder quand j'avais frappé. Pressé de l'éteindre. Je souris amusé, l'avais je dérangé? J'étais encore debout entre vers l'entrée quand il revint, avec une chemise sur le dos, légèrement ouverte. Je tirais légèrement sur le tee shirt en baissant mon regard sur mes mains et déclara d'un ton un peu gênée mais amusé à la fois ... pas très long... , je me pinçais alors les lèvres, baissant un instant les yeux, toujours en tirant légèrement sur le tee shirt. Même avec, je grelottais encore un peu, mes cheveux mouillé me dégoulinaient dans le dos et durant un instant je me dis que j'allais lui demandé un serviette mais à la place je demanda  ... dites, je voudrais pas abusé mais vous n'auriez pas un truc à boire pour me réchauffer ..., mes yeux tombèrent alors vers la table où trônait une bouteille de whisky et de tequila. Je retournais ma tête vers lui, il avait bien vu ce que je venais de voir, alors je me pressais alors de déclarer ... non ... on va pas jouer à ça j'éclatais de rire et ajouta je me contenterais d'un café ... ça sera très bien.

Je laisse mes yeux se balader autour de moi en l'attendant, le tee shirt sec me fait du bien, mais ne me réchauffe pas suffisamment, je grelotte encore, m'enlace et me frotte les bras pour essaye de me revigorer, mais sans vraiment grand succès. J'essaye alors de m'occuper l'esprit et laisse mon regard examiner son intérieur, tout est bien ordonné, clair, pour une chambre de mec, je trouvais bien étonnant de ne pas voir le sol jonché de vêtements de sport ou de chaussettes sales. Je le vois alors revenir, vêtue élégamment d'un chemise blanche, parfaitement bien coupée, légèrement entrouverte en haut, son regard se pose sur moi, le froid me provoque des frissons que je n'arrive à calmer. Il me tend un sac pour y mettre mes vêtements, je le remercie d'un sourire, mais un peu gênée et lui fait remarqué en riant que la longueur de son tee shirt est un peu courte. Il ne peut s'empêcher de répliquer un Je ne trouve pas sur un ton amusé. Je lâche un petit rire, embêtée et lui demande si il n'a pas une boisson chaude pour me réchauffer, mais mes yeux ne peuvent s'empêcher de remarquer, les deux bouteilles d'alcool trônant au centre de sa table basse. Son regard croise le mien, il m'a comme on dit, prise la main dans le sac et le voyant venir, je déclare immédiatement qu'il est hors de question de jouer à ce jeu là, bien que j'avoue, je ne dirais pas non, il est plutôt charmant et j'ai déjà commencé à jouer, ma tenue que je porte n'est pas celle que je porterais si je n'étais pas intéressée. Mais, même si je le trouve très attirant, j'ai pas non plus envie de passer pour une fille facile.

Je vois alors la couverture sur l'accoudoir de son sofa, en cuir, d'un ton marron chocolat et comme il me l'a indiqué avant de me quitter pour enfiler sa chemise blanche, je m'installe sur le canapé et me recouvre de la couverture en remontant les jambes sur moi, tournée vers lui. Vous avez tord, je connais un cocktail aussi chaud que le café qui vous réchaufferez surement plus., j'éclate de rire et lui réponds d'un ton taquin en arquant un de mes sourcils Auriez vous l'intention de m'enivrez pour abuser de moi cher voisin ? en continuant à rire, j'avance alors la main vers la bouteille de tequila et ajoute Et puis je ne suis pas whisky et je doute que vous ayez du citron ainsi que les shooters pour jouer sérieusement avec la tequila, je la repose et me love de nouveau dans le creux de son sofa. Et puis ... j'hésite, si je pars sur ce terrain là, il est bien possible que tout parte en sucette, lui, moi , la soirée .. ou peut être pas, et puis tant pis, j'aime jouer avec le feu, alors j'ajoute, un sourire en coin, posant de nouveau mon regard autour de moi, évitant le sien qui, je dois bien l'avouer est carrement électrisant ... quand on parle de tequila, je suis assez résistante, peut être a cause de mon côté russe de ma mère... je ne voudrais pas qu'on m'accuse de VOUS avoir enivrer . Je tourne de nouveau la tête vers lui, le fixant sans sourciller et effectuant un léger mouvement de tête de manière à lui faire comprendre ce qu'il allait donc répondre à ça.

Lovée dans le creux de son canapé, les jambes remontées contre moi, je saisis la bouteille, joua avec quelques minutes, le provoquant volontairement en lui déclarant que je tenais plutôt bien l'alcool et son regard accompagné d'un sourire amusé, il sembla joué le jeu, rétorquant d'abord qu'il ne joue qu'avec des femmes consentantes, je souris Encore heureux murmurais je tout aussi amusé que lui. Osez vous croire que je suis un petit joueur ? dit il en sortant shooters, citron et sel. J'esquissais un sourire, découvrant mes jambes de sa couverture, je me levais, attrapant la bouteille et le fixant sans sourciller, je m'avançais vers lui, jouant avec mes cheveux en glissant mes doigts entre mes mèches, je me plantais devant lui, si près que nos bouches n'étaient qu'à quelques centimètre l'une de l'autre. J'avais envie de jouer et il était clair que lui aussi. Dos à son plan de travail, j'ouvrais la bouteille et tout en restant devant lui, je passe mon bras près de lui et je remplis un de ses verre, effleurant son corps avec le mien, frôlant mon visage avec le sien pour regarder ce que je faisais, je baissais mon regard vers sa bouche, puis vers son regard si bleu qu'on aurait pu s'y noyer désolée murmurais je en me passant la langue sur les lèvres et le chuchotant dans le creux de son oreille. Les verres remplis, je pris alors le sel et lui lança en lui souriant d'un air amusé et en soulevant un de mes sourcils Alors ... commençons ... , marqua une courte pause avant de glisser ma main dans la sienne et la retournant, lui saupoudra de sel entre le pouce et l'index et je le caressa avec ma langue, doucement, délicatement, mon regard toujours fixé dans ses yeux, j'attrapais alors mon verre, le leva devant lui et l'avala d'un trait puis glissant le citron entre ses lèvres, je le mordis pour l'attraper entre les miennes, lui effleurant les siennes au passage. Je secouais la tête sous l'effet du liquide brulant ma gorge. A votre tour ... lâchais je alors d'un air de défis, impatiente de voir comment il allait gérer ça et pour être sûre qu'il saisisse que j'étais pas non plus une petite joueuse, je retirais mon tee shirt devant lui, le laissant tomber juste entre lui et moi, lui adressant un sourire faussement confus Oups, j'arquais un sourcil et arrêtant de sourire d'un coup j'attrapais alors le sel et m'en saupoudrais alors le décolleté. Voyons donc voir si vous tenez .... si bien l'alcool que ça cher voisin...  

Il est vrai qu'au départ, j'avais frappé à sa porte en tout bien tout honneur, mais à la seconde où mon regard s'était posé sur lui, un un étincelle avait allumé une envie irrésistible de jouer avec lui. 20 minutes plus tard, la bouteille de tequila à la main, mon regard aussi bleu que lui, le fixait, me mordillant la lèvre, j'avais passé à l'offensive. Son attitude était aussi clair que la mienne, le jeu promettait d'être très excitant. Le sel et le citron sorti, je souris. Mes lèvres caressant les siennes, ma laissait une envie de recommencer avec beaucoup plus de passion, mais je me retiens, jouant de la pointe de mes doigts, m'effleurant le décolleté l'invitant à passer sa langue dessus pour y récupérer le sel que je viens de déposé. Sans aucune timidité, le regard qui ne me quitte plus, mais hésite tout de même, un frisson terrible me parcoure d'abord quand je le vois s'approcher de moi et un courant électrique me prend quand je sens sa langue sur ma peau, frémissante sous cette douce sensation. Je me mords la langue, m'interdisant d'exprimer un début de plaisir qu'il me cause indéniablement.
Il me saisi alors par hanche et m'allonge sur le plan de travail, je vais pour lui demander ce qu'il a l'intention de faire, mais il lève la main, le citron entre les doigts et commence à le presser d'abord sur ma poitrine, plus sur mon ventre et de plus en plus bas. Consciente de ce qu'il va se passer, je me mordille l'index, sentant ma respiration s’accélérer et alors qu'il incline la tête vers moi, je me cambre instantanément sous la sensation de nouveau, de sa langue sur moi de plus en plus, à mesure qu'il la descend vers mon nombril et ne peux m'empêcher de laisser échapper un léger gémissement alors qu'il arrive à la limite de mon shorty. Je passe mes doigts dans les cheveux, encore bien humide et déclare, d'une voix un peu troublée j'avoue que c'est une solution très efficace pour me ... faire remonter la température. Je lui attrape alors d'abord une main et me relevant, je le plaque contre le mur derrière lui et la lui remonte au dessus de sa tête, me plaquant contre lui, le fixe et mon regard passe de sa bouche à ses yeux, j'approche mon visage du sien, lui effleure légèrement les lèvres, me reculant alors qu'il va pour m'embrasser et caresse alors sa chemise en remontant, et de l'autre main, commence à lui ouvrir un à un les boutons, souriant d'un air coquin. je me sens un peu seule... serais tu timide? , je hausse un sourcil et termine sa chemise en glissant deux doigts le long du rebord de sa ceinture et le rapprochant d'un geste brusque contre moi, j'approche ma bouche de son oreille, lui murmure en attrapant la bouteille a côté J'ai encore quelques frissons, je crois qu'il faudrait poursuivre ... et lui mordillant l'oreille, je verse de la bouteille dans chacun de nos shoots, les attrape, lui tends le sien, attrape le sel, en met cette fois si sur le creux de ma main, me lèche, bois mon verre et mord dans un autre quartier de citron. Secoue de nouveau un peu la tête en sentant l'acidité du citron.
 

Voir le bleu de ses yeux se poser sur moi était tellement plaisant, si surprenant d'apprécier de jouer avec lui, le séduire alors qu'au départ, ma seule idée avait été de me trouver un vêtement sec. Mais il était craquant et à l'instant où il m'avait dévoilé sa plastique parfaite sous mon regard subtilement intéressé. Je craquais, je succombais à son charme. Il était sans doute un tombeur, celui qui jouait sans remords avec les filles qu'il rencontrait, mais qu'importe, à cet instant même je le voulais. Quelques minutes plus tard, je lui offrais ma poitrine, la possibilité de faire frémir ma peau sous les caresses de sa langue... réitérant cet effet en le laissant presser le citron sur mon ventre plat, me cambrant instantanément d'abord en sachant ce qu'il allait faire et ensuite quand je sentis sa langue glissant jusqu'au rebord de mon shorty .
Je craquais, je me relevais et le plaquais sans ménagement contre le mur, mon envie de lui grimpait, j'avais envie de plus et ma patience avait des limites. Inconsciemment je savais qu'il allait me faire un effet scandaleusement explosif, je savourais chacun des contact qu'il avait avec moi. Ses mains se trouvant sur moi, épousant mes courbes qui étaient comme aimantées par ses caresses, je me perdais dans un tourbillon de sensations étrangement familière, libérant un à un les boutons de sa chemise, luttant pour ne pas l'arracher d'un geste violant, arquant un sourcil, je me mordis la lèvre en découvrant de nouveau son buste parfaitement sculpté et cette fois ci je ne dissimulais pas le plaisir que j'avais de poser mon regard sur lui et glissant mes doigts sur la bordure de la ceinture qui était encore fermée, Timide? me demandait il, haussant les sourcils je lui murmurais à l'oreille, prenant soin de jouer de nouveau avec elle du bout de ma langue,Jamais... espérant le rendre tellement dingue qu'il ne puisse plus tenir. Et ça ne rata pas, je me retrouvais à mon tour contre le mur mmmh... on prend les commandes ayé? mais à peine ai je prononcé ses mots qu'il m'effleure la poitrine, la réveillant instantanément, je poussais un léger gémissement, mes yeux se fermèrent sous l'effet qu'il me provoqua, mais il ne s'arrêta pas là C'est à ton tour d'être timide..., Je m'agrippais à sa ceinture, crispant mes doigts sur le cuir de celle-ci, alors que j'essayais de calmer les battements de mon coeur je sentis sa main se glisser entre mes cuisses, et me caressant, je devais me calmer, en quelques secondes il avait réussi à me faire ressentir un effet que bien peu d'hommes avaient réussi a atteindre. Son regard dans le mien j'essayais de rester maître de moi, mes lèvres tremblante, je me mordis surement presque jusqu'au sang. Je sentis mon souffle se couper, je le repoussais doucement, non sans caresser son torse, crispant mes doigts de nouveau un instant... , je soufflais un coup et attrapant de nouveau la bouteille je nous servis pour boire d'un trait un autre shooters, histoire de me remettre sur les rail. Il me suivis, je laissais mon regard je le dévorer sans aucune gêne, il revient vers, ses mains, mes mains, j'ai envie de l'embrasser mais étrangement je sens son regard qui se change J'ai déjà couché avec toi !, je sursaute sur ces mots, mon cerveau ne fait qu'un tour, je fronce les sourcils. Peu d'hommes je vous l'avez dit. Comme si mon corps répondait sans peur à ses caresses, voilà pourquoi je m'étais sentie si attirée et sans aucune timidité depuis le début. Puis soudain un flash et sa phrase L'Espagne. Une plage et un bal masqué. Cela ne te rappel rien ? Je le repoussais franchement, je reculais alors, perplexe. Oui j'avais participé à un bal masqué il y a quelques mois. Je me positionnais dos à l'ilot centrale de sa cuisine, les deux mains saisissant le bord du plan de travail. Je ne me souviens pas ... et pourtant ... puis je me rappelais soudain, je portais ma main à la bouche qui dessinais à ce moment là un O parfait Si je m'attendais ... oui ... la soirée masqué en noir et blanc...

c'était une soirée organisée à l'occasion de la sortie de la collection d'un grand couturier. J'avais réussi à m'y faire inviter en y faisant office de mannequin, présentant une des robes de cocktail d'un blanc virginale en mousseline et bustier. La fin de soirée avait été bien plus excitante que le reste, passant tout le début à me descendre du champagne hors de prix, j'avais finis allongée sur la plage, les bras en croix, fixant le ciel étoilé quand il avait débarqué au dessus de moi. Ce regard. Comment ne l'avais je pas reconnu? Je m'étais dis à cet instant, que je n'avais jamais vu d'yeux plus beau.

... masque que je n'avais pas gardé longtemps d'ailleurs... contrairement à toi..., je revenais vers lui nous servant de nouveau un verre, approchant ma bouche de la sienne,

ça avait dérapé jusque derrière une crique, il avait gardé son masque tout du long, nos corps s'étaient emmêlés durant la nuit entière avant que le lendemain, je me réveille seul dans une des chambres de l'hôtel, pour seul souvenir, son masque sur mon oreiller... que j'avais gardé d'ailleurs...

Mais au lieu de poser ma bouche sur la sienne, difficile de résister, j'attrapais mon verre et le basculais de nouveau pour ensuite me diriger vers le fauteuil, je me posais en travers et lui balança Oui... c'était une nuit très ... je posais mon doigt sur ma bouche esquissant un sourire, levant les yeux d'un air enfantin, j'ajoutais ... scandaleusement torride..?je tournais ensuite mon regard vers lui d'abord en riant puis fronçant les sourcils ... je me rappelle d'ailleurs m'être réveillée seule...  , je gardais mon regard dans le sien. Le fait qu'il ait réaliser que nous avions déjà coucher ensemble m'attirait d'autant plus me souvenant de cette nuit, du moins une bonne partie, l'alcool avait d'ailleurs joué un grand rôle sur le fait, que je ne me souvienne pas de la fin.