Lynn E. Forester ~ Take the best, fuck the rest

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Lynn E. Forester
On dit souvent que ce sont les meilleurs qui partent en premier, alors, j’ai eu peur pour moi.

identification complète Lynn Eleanor Forester âge 24 ans lieu/date de naissance Londres, le 12 avril 1991 études suivies et année Cinquième année, Parcours Littérature (littérature anglaise) job Pour quoi faire ? orientation sexuelle Hétérosexuelle statut Célibataire statut social ££££ caractère Orgueilleuse ~ Manipulatrice ~ Courageuse ~ Réfléchie ~ Obstinée ~ Comédienne ~ Cynique ~ Sens de l’honneur ~ Aristocrate ~ Intelligente ~ Rusée ~ Moqueuse ~ Ambitieuse groupe Oxford students, même si son objectif est d’intégrer tôt ou tard (et plutôt tôt que tard) les Posh avatar Blake Lively

Welcome to the jungle
Aristocrate. C’est un des premiers mots qui peut venir en tête quand on observe Lynn. Physiquement, elle a naturellement un port très altier, hérité de sa mère. Haute taille, longs cheveux blonds, yeux bleus, peau pâle et sans défauts. Ajoutez à cela une garde-robe haute couture venant tout droit de Paris, une maîtrise parfaite des arts de la table et des civilités de mise dans une conversation entre gens de bien, et vous aurez l’apparence parfaite de la jeune fille de bonne famille de l’aristocratie londonienne. Quand elle se met à parler, le son est à la hauteur de l’image. Intellectuellement, Lynn est loin d’être idiote. Grande amatrice de littérature, parlant couramment le français, elle adore citer des auteurs de-ci de-là pour émailler son propos. Capable de parler de politique comme du dernier CD de hardrock sorti, elle est le genre de personne qui a toujours réponse à tout et qui sait s’adapter à toutes les situations et aux personnes qui se trouvent en face d’elle.

Très intuitive, elle est vive et sait saisir toute occasion pour emmener son interlocuteur où elle le veut quand elle le veut. Très bonne oratrice et jouteuse, elle sait tirer les vers du nez de quelqu’un et vous démontrer par A + B que c’est blanc quand toutes les preuves vous poussent à dire que c’est noir. Têtue, pour ne pas dire butée, elle ne lâche jamais rien, mais toutes ses actions sont toujours extrêmement réfléchies et calculées. Elle ne laisse rien au hasard, et est une adepte convaincue de la devise « On n’est jamais mieux servi que par soi-même ». Elle veut tout contrôler, et est pour cela très maniaque. C’est une bosseuse. Elle est capable de travailler d’arrache-pied pour obtenir ce qu’elle veut, que ce soit d’un point de vue de résultats universitaires, socialement, ou dans un règlement de comptes. Autre aspect : son côté aristocrate se révèle dans son attitude : elle a un sens de l’honneur très poussé, elle paiera toujours ses dettes, quoi qu’il arrive. Un marché est un marché. Cela se traduit également par un orgueil confinant à l’hubris. Elle a une très haute opinion d’elle-même et de sa famille, et, si on se battait encore en duel de nos jours, elle n’hésiterait pas à provoquer ses adversaires à la première offense. Cela mis à part, elle n’a aucun scrupule à se montrer manipulatrice, cynique, moqueuse, voire parfois cruelle. Elle n’est pas du genre à se lamenter : elle ne pleure pas et va jusqu’au bout, dans chaque combat. Un simple précepte suffit pour résumer sa vie : « Vaincre ou mourir ».

Elle n’a pas de côté fleur bleue. Ce n’est pas une petite fille fragile, blessée au fond d’elle-même, qui se cacherait derrière un masque de fer manipulateur qui se briserait en mille morceaux à l’instant même où elle tomberait amoureuse, la passion reprenant le dessus. Non. Elle est cynique et manipulatrice, c’est sa nature même. Certes, elle n’est jamais tombée amoureuse, jamais vraiment, mais elle s’en moque. Cela l’arrange, même. Elle préfère croire que la perte totale de raison, les larmes, l’amour fou, cela n’existe que dans les films et les romans à l’eau de rose. Si elle se mettait à penser que cela est possible, elle aurait trop peur que cela lui arrive. Car, s’il y a bien une chose à laquelle elle tient, c’est de garder le contrôle de ses émotions et de son esprit. Quand les gens dépassent l’image de jeune aristocrate sage et parfaite, ils la perçoivent souvent comme une garce sarcastique, voire sans cœur, et c’est sans doute vrai. Non pas qu’elle ne ressente rien. Ce n’est pas une machine. Certaines attaques vont la toucher, mais jamais au grand jamais elle n’en laissera rien paraître, elle a trop d’orgueil pour cela. Et au fond d’elle-même, elle dépasse petit à petit les attaques, elle a trop d’estime d’elle-même pour se laisser abattre bien longtemps et elle est trop persuadée que son destin est écrit pour briller pour être atteinte profondément par des attaques extérieures. Du moment que ses apparences de jeune femme élégante et cultivée du monde sont sauves, qu’importe, au fond, ce qu’on peut penser d’elle ? Elle a fait sienne cette phrase de Churchill : « L’Histoire me sera indulgente, car j’ai l’intention de l’écrire ».

Cela coule de source quand on voit le reste de son caractère : Lynn est une jeune femme ambitieuse. Même si dans ses rapports avec les individus elle est cynique et sans concessions, cela ne l’empêche pas d’avoir de grands idéaux dans l’absolu. Qu’elle ne met pas véritablement en pratique à titre personnel, mais c’est une autre histoire. Elle aime se voir en sorte de Machiavel. La fin, noble, justifie les moyens, tous les moyens, aussi cruels et manipulateurs qu’ils soient. Elle a de grandes idées sur la fin de la pauvreté, l’accès à l’école pour tous, une haute idée de la culture, et aussi un fort patriotisme. Cela lui vient entre autres de sa famille d’ambassadeurs : elle est très fière d’être britannique en général, et anglaise en particulier, et elle croit au rayonnement anglais dans le monde. Le fait d’être dans l’une des deux meilleures universités du Royaume-Uni flatte par conséquent considérablement son ego. A long terme, elle aimerait bien mettre en pratique ces idéaux. Elle ne sait pas encore par quel moyen cela se fera, peut-être fera-t-elle de la politique, peut-être écrira t’elle pour défendre ces grandes causes (elle adore la littérature), peut-être deviendra-t-elle ambassadrice, comme nombre de personnes dans la famille Forester avant elle ? En attendant, elle sait que, quel que soit le choix qu’elle fera, elle veut être de ceux devant lesquels on se tait quand ils se mettent à parler. A Oxford, elle a donc pour ambition de faire partie des Posh. Petit cercle de jeunes filles à l’image prétendument irréprochable, et dont l’influence est plus grande que ce qu’on se contente d’imaginer, Lynn considère y avoir tout à fait sa place et va tout mettre en œuvre pour atteindre cet objectif.

Question affinités, Lynn est une passionnée d’escrime. Sabre, comme fleuret, elle a tout appris auprès de son grand-père, et mieux vaut ne pas avoir à l’affronter sur ce terrain-là. Elle apprécie aussi l’équitation. C’est une grande lectrice, passionaria de la littérature européenne en général, anglaise en particulier. Elle connaît des poèmes entiers par cœur, mais n’allez pas la prendre pour une de ces fleurs bleues se plaisant à réciter de la poésie et rêvant du Prince Charmant. Elle aime la beauté de la langue, son dynamisme, le talent des grands auteurs, elle aime la noblesse qui se dégage de leurs textes et aime par conséquent à se les réciter, quand elle est seule dans un silence complet. Elle n’est pas du genre à s’épancher et à rêvasser dessus. A l’inverse, que déteste-t-elle ? Disons la junk food, la soupe musicale actuelle et un certain nombre de gens. Pour faire court.

Dernière édition par Lynn E. Forester le Mar 2 Juin - 22:33, édité 4 fois

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The story of my life

Chapitre I : Not-so-royal baby

Lynn Eleanor Forester a deux parents, comme la plupart des gens. Sa mère est Olivia Forester, Lady Forester, héritière de l’immense fortune de la famille Forester, servant la couronne britannique depuis des siècles, d’abord dans l’armée, puis en tant qu’ambassadeurs. L’arrière-grand-père, le grand-père et le grand-oncle de Lynn ont été des ambassadeurs de Sa Majesté la Reine, et on en trouve encore d’autres en remontant l’arbre généalogique. D’où, un titre de Lord qui se transmet de générations en générations, un patriotisme à toute épreuve, et une fortune considérable se traduisant entre autres par un hôtel particulier à Londres, un manoir familial dans le Sussex et un autre dans le Yorkshire. A l’inverse, son père est Alexander Harris, simple bourgeois londonien, médecin, fils de simples commerçants. Milieu aisé, certes, mais symboliquement très loin de l’aristocratie Forester. Il suffit de remarquer que Lynn ne porte pas le nom de son père pour comprendre qu’il y a anguille sous roche.

En 1990, les Forester se retrouvent pour leur traditionnel rendez-vous familial, comme chaque été, dans leur manoir du Sussex. Olivia Forester a alors vingt-quatre ans et est étudiante en économie à Cambridge, promise à un glorieux avenir. Elle rencontre alors par hasard, sur la plage ou au détour d’une promenade dans les bois, Alexander Harris, jeune étudiant lui aussi, mais en médecine et à l’université publique de Londres. Inutile de préciser que la romance est restée secrète, tant la famille Forester aurait réservé un accueil des plus glacials à ce roturier Harris s’ils avaient eu vent de l’histoire. Ils ne prévoyaient pour Olivia qu’un mariage (d’amour certes, ne soyons pas réactionnaires) avec un aristocrate. Pas de bourgeois, aussi riche qu’il fut, encore moins un petit médecin issu de la classe moyenne. Chance ou malchance, la romance d’un été, aux accents de Roméo et Juliette, fit qu’Olivia tomba enceinte. La famille Forester ne fit pas de drame ni de fracas, non. Elle ne chassa pas Olivia. Elle fut simple, pragmatique, résolue : la petite fille née de cette union, baptisée Lynn, irait vivre avec son père et ses grands-parents paternels, loin de la famille Forester, dont il était hors de question qu’elle entende parler. Quant à Olivia, on la renvoya poursuivre ses études à Cambridge, et la famille tira un trait sur cette histoire, tournant la page et faisant comme si rien ne s’était passé.

Chapitre II : Before, I was good. But that was before.

Pendant la première partie de sa vie, Lynn s’appelait donc Lynn Eleanor Harris. Elle grandit élevée seule par son père, qui en parallèle avait fini ses études de médecine, dans une banlieue aisée de Londres. Ce fut une enfance qu’on peut qualifier d’heureuse : la petite fille grandit dans une belle maison avec jardin, fêtait Noël avec ses grands-parents paternels, partait en vacances au bord de la mer… Elle adorait son père, littéralement. Ce dernier était très présent pour elle, lui lisait des histoires avant qu’elle ne s’endorme, venait presque tous les soirs la chercher à l’école… La petite fille ne voyait pas sa mère. Cette dernière ne cherchait d’ailleurs pas spécialement à prendre de nouvelles, elle se contentait d’envoyer un chèque, pour participer au financement de l’éducation de l’enfant. Une des seules choses dont Lynn se souvenait était cette boîte en carton dans lequel son père rangeait tous ces chèques. Sur le couvercle était collé un papier où était inscrit « Non merci ».

Tout cela s’arrêta en 2000, Lynn avait alors huit ans. Un accident de voiture, simple, bête, tragique. Son père décéda sur le coup. La petite fille aurait alors pu être confiée à ses grands-parents paternels, mais la famille Forester en avait décidé autrement. Harold Forester, son grand-père, avait une fille unique, Olivia. Il sentait venir sa vieillesse et sa fille ne semblait pas disposée à lui offrir d’autres petits-enfants dans un avenir proche. Aussi pensait-il souvent avec nostalgie à cette petite fille qui grandissait dans la banlieue londonienne, à moins d’une heure de son hôtel particulier. Quant à Olivia Forester, si elle n’avait pas de regrets quant à la décision qu’elle avait prise à la naissance de Lynn, considérant qu’elle avait fait le meilleur choix possible compte tenu des circonstances, une fois le père de son enfant décédé, son sens de l’honneur, typique des Forester, se réveilla. Un enfant est élevé par ses parents. Si le père n’était plus en mesure de le faire, c’était à elle, la mère, de prendre le relai, que cela lui plaise ou non. Un point c’est tout. C’était l’avis général du clan Forester, et la petite Lynn rejoignit donc la lignée aristocratique.

On lui donna le nom de Lynn Forester, et elle reçut une éducation digne de son rang. Envoyée dans les meilleures écoles privées de Londres, où elle obtenait d’ailleurs des résultats brillants, éduquée par les meilleures gouvernantes, élevée dans l’hôtel particulier familial… Son grand-père s’occupait lui-même de lui apprendre l’escrime et l’équitation. La petite fille voyait toujours peu sa mère qui, devenue une conseillère en marketing réputée, voyageait beaucoup entre Paris, New-York et Tokyo. On aurait pu penser que Lynn aurait été (au moins implicitement) ostracisée par une partie de la famille Forester ou par leurs amis aristocrates. Ce n’était pas le cas. Elle était perçue ainsi avant, mais, à partir du moment où le choix de l’intégrer dans le clan avait été fait, on ne revenait pas en arrière. Elle faisait partie des Forester, à présent, au même titre que tous les autres.

Comment la petite fille réagit-elle à ce changement de milieu ? Comme le prouva Lavoisier, « rien ne se perd, rien ne se crée. Tout se transforme ». Lynn se transforma donc, elle muta, elle s’adapta à ce nouveau monde. Pour autant, elle ne perdit pas ce qu’elle était auparavant. Elle pensait toujours tendrement à son père, et elle continuait de rendre visite à ses grands-parents paternels. Mais, l’éducation Forester avait fait son effet. Ce passé n’était désormais qu’une part secondaire de sa vie. Elle se sentait Forester avant tout, avant de se sentir Harris. Elle sut saisir sa chance, et se retrouva de plein pied dans un milieu qu’elle apprivoisa à la perfection. Si son grand-père put avoir des doutes au début, se demandant si la part « roturière » dans le sang de sa petite-fille ne jouerait pas, il se détrompa vite. Lynn dépassait toutes ses espérances. Brillante, rusée, manipulatrice, comédienne douée, la jeune fille, sous ses airs rangés, était capable du cynisme le plus total pour arriver à ses fins. La tête froide, elle calculait, planifiait, ne laissait rien au hasard. Harold Forester voyait tous ses espoirs renaître en elle : la dynastie Forester était bel et bien présente en Lynn. Il reportait sur Lynn toutes les espérances qu’il avait pu avoir sur Olivia, et qu’il avait perdues en la voyant tomber enceinte. Il voulait faire de Lynn son héritière.

Chapitre III : Forester one day, Forester everyday

Lynn avait une attitude ambivalente par rapport à ce grand-père qui misait tous ses espoirs sur elle. Car Harold Forester, s’il estimait sa petite-fille, la formait à la dure. Il ne lui expliquait rien, ne la guidait pas. Il se contentait de la jeter dans la fosse aux lions, en disant « Voyons comment tu t’en sors, maintenant ». Elle avait avec lui un rapport à la fois pervers et séduisant. Chacun jaugeait l’autre, voulait montrer à l’autre qu’il était le plus fort. Sans que jamais cela ne soit dit clairement, à haute voix, Harold Forester mettait en permanence sa petite-fille au défi, la poussait à aller plus loin, à faire mieux, toujours mieux, la narguant du regard, avec une sorte de mépris interrogateur : « Y arriveras tu cette fois ? ». Et, à chaque fois, Lynn relevait le défi et le réussissait, lui adressant un regard signifiant « Je suis plus forte que tu ne le penses ». Cela s’exprimait à l’école, poussant la petite fille à se surpasser, pour obtenir les résultats les plus brillants possibles, mais également en société. Ils s’estimaient, mais leur rapport était pervers. Il n’y avait pas d’amour filial, de tendresse d’un grand-père. C’était un baptême du feu ; l’ambassadeur passait le relai à sa petite-fille pour porter le flambeau de la famille Forester. Et Lynn se sentait plus à la hauteur que jamais.

Quant à sa mère, c’était bien simple : Lynn la haïssait. Elle lui ressemblait énormément physiquement. En soi, c’était un cadeau : la très grande beauté d’Olivia Forester transparaissait dans les longs cheveux blonds, le visage à l’ovale parfait et les grands yeux bleus de sa fille. Pour autant, Lynn, si elle avait conscience de son potentiel de séduction et n’hésitait pas à s’en servir, détestait l’idée de le devoir à sa mère. Peut-être au fond ne lui avait-elle jamais vraiment pardonné de l’avoir abandonnée ? Mais si c’était le cas, Lynn elle-même n’en avait pas vraiment conscience, refusait de se l’avouer. Elle a décidé d’enfouir cette partie de sa vie, d’avant ses huit ans, de ne plus y penser que comme une espèce de vie parallèle qu’elle ne retrouvera plus. Non, si elle hait sa mère, c’est car elle hait tout ce qu’elle est et fait. Elle déteste ses pseudo allures de dame du monde, elle déteste l’entendre dire à quelle point elle est « jet-laggée », parce que « tu comprends, darling, pourquoi faut-il toujours qu’ils organisent la réunion annuelle à Tokyo ? », elle déteste quand elle lui envoie un message de Marrakech pour lui souhaiter son anniversaire. Réciproquement, Olivia Forester n’a pas beaucoup de tendresse pour sa fille. Elle ne la déteste pas, mais elle n’a jamais été spécialement maternelle et n’a jamais vraiment fait attention à elle, laissant les gouvernantes s’en occuper et son grand-père la former à la dure. Mais Olivia sait que sa fille la hait, elle le sent. Lynn ne le lui a jamais dit, pourtant, jamais en face, mais cela transparaît, dans la manière dont elle la regarde, dont elle parle d’elle. Mais c’est ainsi, les deux se sont fait une raison.

A dix-huit ans, Lynn, après un parcours brillant dans le secondaire, postula pour Oxford. Au vu de ses résultats, elle l’obtint. Elle avait choisi Oxford par pur esprit de contestation envers sa mère, qui avait étudié à Cambridge, et pour narguer son grand-père, qui lui aussi s’était rendu à Cambridge, afin de lui montrer qu’elle était capable de réussir par elle-même, pour elle-même, ailleurs que là où lui-même avait réussi. Maintenant qu’elle est à Oxford, elle a comme objectif de continuer sur la lancée qu’elle s’est fixée : réussir, à la fois en terme purement scolaire, mais aussi socialement, intégrer les Posh, et continuer à défendre le nom des Forester. Un programme ambitieux. Tout comme elle.

Que répond le petit whisky à ces QUESTIONS TORDUES ?
Que représente Oxford pour toi ? Une des deux meilleures universités du Royaume-Uni, repère d’élites, je me devais donc d’y être. De plus, c’est un moyen de narguer ma mère, qui s’était rendue à Cambridge et qui aurait bien aimé que je suive ses traces.
Plutôt bon verre de scotch ou shots de tequila ?Verre de scotch, sans hésitation. Un bon single malt, au coin du feu. Même si je suis capable de prendre plusieurs shots de tequilas en soirée (paraître social oblige). Je tiens très bien l’alcool, ce n’est donc pas un problème.
Il parait que le sexe c'est mal, t'en penses quoi toi ? D’un point de vue religieux, social, moral, oui. De mon point de vue, les gens sont libres, je suis libre et je suis là pour profiter des opportunités qu'offre la vie. L’essentiel est que cela ne se sache pas.
As tu fait quelque chose dont tu n'es pas très fière ? Avoir de l’honneur, c’est assumer ses actes. De facto, je n’ai jamais honte de ce que j’ai fait, aussi immoral que cela puisse être aux yeux des autres. A partir du moment où je l’ai fait, je l’assume.
Ça te fait quoi quand l'Oxymoron publie des infos sur toi ? Il est très difficile de me faire perdre le contrôle de mes nerfs. Mes actions sont toujours calculées, et j’ai réfléchi à la portée de mes propos ou de mes actes. Par conséquent, je maîtrise l’image que je renvoie de moi, et, dès lors, l’Oxymoron ne m’effraie pas plus que cela.
Je suis sûr que tu as une petite manie insupportable, laquelle?Psychiquement, probablement ma tendance à vouloir tout contrôler. Physiquement, il est fréquent que je torde une mèche de mes cheveux blonds autour de mon doigt. Ce n’est pas un signe de nervosité (encore une fois, je maîtrise assez bien mes émotions et suis capable de ne rien laisser paraître, ou au contraire, de feindre une émotion quand cela m’arrange), c’est juste une habitude un peu sans explications.

pseudo/prénom Inès âge 20 ans lieu d'habitation La Terre ? où as-tu connu le forum Google t'en penses quoi? Beau design (notamment depuis la maitenance :waii:

), et le concept est top ! Je cherchais un forum dans ce style, et j’ai flashé dessus ^^ Scénario ou Inventé? Inventé Voulez-vous un parrain pour vous aider sur le forum ? Pour le moment, je ne pense pas en avoir besoin, merci :love:

un dernier mot? Nutella ? :32:

Code:: [code][b]Blake Lively[/b] ✗ Lynn E. Forester[/code]

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Bienvenue à toi & bonne chance pour ta fiche ♥

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Bienvenue !

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Bienvenue par ici !

Invité Invité

Merci à vous trois ! :57:

☆ date d'arrivée · **☆ date d'arrivée** : 06/12/2014 **☆ potins balancés** : 4007

OMGGGGGGGGGGGGGGGGGGGGGGGGGGGGGGGGGG :dr:

BLAKE LIVELY JE MEUUUUUUUUUUUUUUUUUUURS OwO

Elle fait tellement grande dame :dead:

Je sens que tu vas nous faire un personnage SOOOOOOOOOOOO PERFECT :dr:

surtout avec elle :gnihihi:

Bonne chance pour ta fiche, si tu as la moindre question n'hésites pas à contacter le staff :love:

Je le dis on sait jamais : demain soir il y aura une maintenance sur le forum avec un changement de design et pas mal de trucs sympas :dr:

La CB sera ouverte, mais si tu veux continuer ta fiche, nous te conseillons de la copier/coller dans un éditeur de texte du coup :dr:

nous devrions réouvrir au plus tard Dimanche matin :love:

☆ date d'arrivée · **☆ date d'arrivée** : 08/12/2014 **☆ potins balancés** : 5082

Voila Alice a tout dit :mdr:

Je te souhaite la bienvenue, si tu as besoin tu peux demander de l'aide/un délais au staff, nous serons ravi de t'accorder des jours en plus :gnihihi:

Tu disposes de 7 jours pour finir ta fiche mais en effet, nous avons une maintenance demain. Donc nous te conseillons de copier/coller ta fiche dans un éditeur pour la continuer tranquillement :siffle:

Blake

Cette femme a tout, la classe, la beauté, bref :love:

Bisous

Invité Invité

Blake Lively :bave:

!
Elle est canon :angel:

Bienvenue par ici, courage pour ta fiche :36:

J'ai hâte de voir ce que tu vas nous pondre :dr:

Invité Invité

Hahahaha merci à tous pour l'accueil :34:

Et je dois avouer que Blake rocks, j'étais en mode *OMG* quand j'ai vu qu'elle était encore libre ^^ Mais vos avatars à vous aussi envoient du très lourd aussi, il nous faudra absolument un lien ! :65:

Pour la maintenance, je continuerai ma fiche sur un éditeur de texte, du coup, et je la posterai dimanche à la réouverture :love:

Invité Invité

Il nous faut un lien baby :hinhin:

Spoiler:

Bref bienvenue et bonne chance pour ta fiche :coeur:

Invité Invité

Bienvenue

☆ date d'arrivée · **☆ date d'arrivée** : 06/12/2014 **☆ potins balancés** : 4007

Heathcliff Blackbird a écrit:

Il nous faut un lien baby :hinhin:

Spoiler:

Bref bienvenue et bonne chance pour ta fiche :coeur:

Ta jolie demie-soeur, espèce d'oedipien en force :02:

☆ date d'arrivée · **☆ date d'arrivée** : 06/12/2014 **☆ potins balancés** : 2583

BLAAAAAKKKKEEEEEEEEEEEEEE :love:

J'ai rien d'autre à dire :dr:

Bienvenue sinon! :43:

Invité Invité

Mais je n'ai rien contre l'inceste, moi :siffle:

Et de toute façon, un lien avec Ed Westwick, ça ne se refuse pas :bave:

Et encore merci à tous pour l'accueil :love:

☆ date d'arrivée · **☆ date d'arrivée** : 08/12/2014 **☆ potins balancés** : 5082

Félicitations, tu es validé !
jusqu'à l'excès

Ma belle, tout ce qu'on attend d'une femme du monde c'est parfait :love:

Je te valide avec plaisir, ton histoire est parfaite et ton perso roxe du kiwi :dada:

Vérifie que ton avatar est dans le bottin. Tu intègres, à partir de maintenant, les Oxford Student . Tu peux à présent te balader et poster dans tout le forum comme bon te semble. Tu peux aller demander des liens, des rps, ou encore intégrer un club ! Ouvres toi une page Instagram, et crées-toi un téléphone portable ! Tu peux aller flood ou discuter sur la Chatbox ! N'hésites pas à proposer un scénario ou à poster une recherche de lien important ;) Si tu as des questions n'hésite pas :coeur:

Et surtout éclates toi sur Jusqu'à l'exces !

Invité Invité

Merci beaucoup ! :34:

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