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Sujet: (terminé) Feel like teen spirit. ALIKIM [HOT -18] Mar 2 Juin - 1:19
Feel like teen spirit. Eliakim & Alice Alice se trouvait dans la salle 231, la salle de son cours de Politique, où elle avait eu un entretient avec son professeur titulaire. Celui-ci avait désiré la voir pour lui parler de la suite de ses études, et était parti après lui avoir laissé deux choix entre les mains : soit elle acceptait de devenir son assistante pour l'année suivant, soit elle rejoignait Rae pour l'aider à gérer la communication de l'Université dans son enceinte et vers le reste du monde. Il faut dire que la belle irlandaise avait le désire de reprendre ses études. Du reste, la bonne nouvelle c'est qu'Alice avait réussi ses examens, et c'était sans doute un véritable miracle. Elle avait pas mal travaillé dans les dernières semaines, mais du reste elle avait raté pas mal de cours, et c'est surtout son implication dans la vie de l'Université qui lui permettait de se détacher des autres élèves. Il faut dire qu'elle était présente sur tous les fronts, et elle était très fière. Elle ne voulait pas s'arrêter en si bon chemin, mais avec son nouveau poste elle devra sans doute ralentir pas mal de choses. Sans doute devra-t-elle former sa co-capitaine dans le club d'Equitation pour qu'elle prenne en charge ses responsabilités petit à petit. Mais pour l'heure Alice était sur un petit nuage. Elle avait eut ses examens, et elle était arrivée dans le haut du panier. Elle était première de sa promotion, et c'était une chose inespérée. Alors, sur un coup de folie, elle avait laissé ses pulsions parler pour elle et elle avait envoyé un sms à son fiancé. Elle n'avait pas revu Eliakim depuis quatre jours. Elle était arrivée chez lui un jour à l'improviste et ils avaient discuté en toute honnêteté. Une chose qu'Alice avait tout simplement adoré, mais dont elle n'avait pas abusé de peur que les choses entre eux ne deviennent étrange. Après cela elle avait enchainé les moments de stress et d'attente avec Aaron principalement. Puis les résultats étaient tombés : la veille. Et elle avait fêté cela dignement avec plusieurs cavaliers, et des personnes du comité d'Accueil. Une fête qui n'était pas des plus mémorable mais qui avait laissé un arrière gout alcoolisé dans sa gorge. Ou pas, car depuis qu'elle avait apprit officiellement qu'elle était enceinte elle ne buvait pas, et avait même arrêté de fumer. Elle avait par contre une horrible envie de sexe.
Du sexe violent. D'où le fait qu'elle soit restée après que son professeur soit partie, en demandant à son fiancé de la retrouver. Elle lui demandait de ne pas parler de leurs différents, s'appliquant uniquement à venir la baiser comme il savait si bien le faire. Il ne semblait pas tout comprendre à ce qu'elle disait mais elle ne voulait pas s'en formaliser. Elle voulait du sexe, et du sexe avec lui. Il faut dire qu'il avait été son unique amant et qu'elle savait qu'il était doué. Sans compter qu'il semblait vraiment vouloir se racheter auprès d'elle et revenir. Sans doute lui avait-elle manqué, sans doute avait-il comprit la leçon. C'était une bonne chose, elle était prête à lui pardonner, et à le lui montrer de la plus séduisante des façons. Elle l'attendait assise sur le bureau du professeur, la clé de la salle sur la serrure, attendant pour être tournée. Pour qu'ils puissent être tranquille. Et lorsque son homme entra, Alice lui sourit d'une manière sensuelle : « Ferme la porte, ne pose pas de question, et viens me faire toucher les étoiles, Beau Brun. » Elle laissa ses chaussures à talons tomber sur le sol, laissant ses jambes nues, sa robe courte remontée sur les hauts de ses cuisses, et sa poitrine avait grossi. Elle se mordit la lèvre et leva les sourcils d'un air entendu et séducteur.
Eliakim A. Crowlley
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Sujet: Re: (terminé) Feel like teen spirit. ALIKIM [HOT -18] Mar 2 Juin - 2:39
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« Feel like teen spirit. »
« Si tu ne comprends pas quelque chose, reviens me voir. » Avec un dernier sourire il regarde la jeune fille brune se lever, ranger ses affaires et sortir de la salle. Elle risque de redoubler son année mais avec l'aide de son professeur de biochimie, nul doute qu'elle réussira ses rattrapages. Il fera tout pour en tout cas. Son année n'a pas été facile et les problèmes ce sont accumulées, il comprend bien qu'elle n'ai pas eu la tête aux études pendant quelques temps. Sauf que dans la prestigieuse université d'Oxford, seul les meilleurs passent leur année. Alors c'est dans son devoir d'aider ceux qui ont du mal, comme lui même a été aidé. Avec un sourire mélancolique il tape sur son ordinateur portable quelques mots encore. Il rentre quelques commentaires sur les bulletins de ses élèves, des meilleurs aux pires. Il ne regarde pas les noms de famille et ne note pas en fonction des parfois, prestigieux, noms qui accompagnent les copies. Il donne des notes en fonction du niveau de la copie et certainement pas du nom de la réputation de la famille.
Alors qu'il fixe son écran et que ses yeux commencent à le piquer, son portable dans son jean vibre. Il y a quelques secondes il a envoyé un sms à Alice mais il ne pensait pas qu'elle répondrait si vite. Il attrape son cellulaire. Elle lui demande de le rejoindre en salle 231, une classe de politique si sa mémoire est bonne. Dans son message elle lui fait clairement comprendre qu'elle a envie de lui alors sans attendre, il se lève, range son ordinateur portable et lui envoi un message également. J'arrive. Simple, court, net. Sans attendre il sort de la salle, verrouille la porte de la classe et trace jusqu'au bon bâtiment. Il arrive rapidement, le tremblement de ses mains trahit son impatience et la légère excitation qui monte en lui. En effet voilà des jours et des jours qu'il n'a pas connu la chaleur des bras de sa future femme, qu'il ne lui a pas fait l'amour, qu'il ne c'est pas perdu en elle. Si bien que lorsqu'il arrive en classe, il est déjà excité. Les images dans son esprit sont on ne peut plus explicitent, il se choquerait lui même. Il pousse la porte de la classe, entre et se tourne vers Alice.
Assise sur le bureau, les jambes écartées dans sa direction, elle l'invite clairement à venir lui faire l'amour. Il remarque que sa robe rouge est remontée jusqu'à ses cuisses et en laissant ses yeux vagabonder sur son corps, il admire ses seins gonflés. Ils ont grossis et pas qu'un peu ! En réflexe il se mord violemment la lèvre, résistant à l'envie de la prendre sans même la préparer. « Ferme la porte, ne pose pas de question, et viens me faire toucher les étoiles, Beau Brun. » Il lui obéit, il ferme la porte et verrouille cette dernière pour être sur de ne pas être dérangé. Dans son jean trop serré, il sent l'excitation durcir son membre déjà sensible. Il la veut tellement que ça en devient douloureux. Il sait qu'il l'a faite souffrir plus qu'il n'aurait du, qu'il n'est pas honnête avec elle. Mais lui imposer des jours et des jours d’abstinence est une chose qu'il n'a jamais fait encore. Lentement il pose au sol sa sacoche d'ordinateur, enlève ses clefs et son portable de ses poche et pose le tout sur une des tables à disposition. En s'approchant d'elle, sans la quitter des yeux, il déboutonne sa chemise et la laisse tomber au sol, dévoilant son torse fin.
Enfin devant elle il ne cherche pas à l'embrasser, non au contraire il pose ses mains sur les cuisses nues de sa femme, appréciant leur douceur. « Laisse moi faire. » Ce n'est pas un conseil mais un ordre. Sensuellement il remonte ses mains vers la taille d'Alice, caresse sa peau, joue sur cette dernière. Enfin il attrape la robe et la fait passer par dessus sa tête. Il l'admire un instant, il se mord plus violemment la lèvre encore. Pour se laisser le temps de respirer il vient dégrafer son jean et l'ouvre légèrement, juste assez pour éviter qu'il ne se sente trop compressé. Et doucement il pose une main sur la nuque de sa femme, l'autre derrière son dos pour venir détacher son soutien gorge qui rejoint la robe, magnifique, de sa future épouse. Enfin dans un geste désespéré il lui vole un baiser, violent, passionnel, un reste de toute la frustration qu'il a accumulé depuis des jours. « Quand ce sera le moment tu te mettras dos à moi, tu te tiendras au bureau et tu tendras ton bassin vers moi. Tu veux du sexe violent, tu en auras... » Lui murmure Eliakim tout contre ses lèvres. Et enfin doucement, il la pousse à s'allonger sur le bureau. Peut-être trop rapidement il vient enlever sa culotte déjà trempe et la lance à travers la classe. Il l'embrasse partout, joue avec ses seins gonflés, fait attention a ne pas lui faire mal. Mais en laissant sa bouche glisser sur son corps il dépose un baiser incroyablement tendre sur son ventre. Elle porte son enfant, il ne l'oublie pas malgré tout, malgré ce qui a pu se passer. Elle est enceinte de lui.
Pourtant il veut satisfaire sa fiancée alors avec un sourire aguicheur, il s'agenouille devant elle, l'attrape par les hanches et lui offre l'un des plus beaux plaisir oral qu'elle n'aura jamais. Il veut s'imprimer en elle. Jamais elle n'aura autant de plaisir avec un autre. Et même si elle fait tout les amants du monde, seul son corps, son sexe, sa langue, son savoir faire pourra la faire hurler jusqu'à s'en déchirer la voix.
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Sujet: Re: (terminé) Feel like teen spirit. ALIKIM [HOT -18] Mar 2 Juin - 5:51
Feel like teen spirit. Eliakim & Alice Elle l'aime à en mourir, et cet état de fait la rendait vulnérable. Depuis des jours et des jours maintenant elle se torturait l'esprit et le corps, ne sachant que faire de cette relation qui mettait en péril des années de réputation durement travaillée dans l'enceinte de l'école. Alice n'était pas folle, elle savait que tout risquait de s'apprendre à Oxford. L'université était minuscule et elle doutait d'être la seule élève aussi bien renseignée. Qu'adviendra-t-il le jour où un autre élève dévoilait la vérité sur le passé de Leigh et d'Eliakim ? Le jour ou toute cette histoire sera parut dans l'Oxymoron - car elle ne doutait pas que ce journal fourbe et sadique ne crache sur une terre parution ? Qu'adviendra-t-il alors d'Elle ? La reine des abeilles qui se targue de n'avoir aucune faiblesse, d'être intouchable... La rumeur qu'elle puisse être une femme cucofiée se répendra bien vite dans les couloirs, elle le sait. Elle s'y prépare, elle l'attend même, et imagine comment très vite elle devra faire taire ce genre de rumeur pour garder sa place forte au sein de cette école. Ne pas perdre la face, ne pas perdre sa réputation, ne pas perdre son outil de travail, et ce qui fait d'elle ce qu'elle est. Elle ne sait rien faire d'autres, elle ne sait pas être quelqu'un d'autre que cela. Eliakim la haïssait sans doute pour ça, et il lui avait bien fait comprendre, mais il ne pouvait pas savoir. Sa réputation il l'avait acquise par son travail, parce qu'il faisait un travail qui mérité le respect des autres. Mais quel respect une héritière comme Alice pouvait espérer autre que la survivance que son père lui a laissé : l'image, toujours l'image. Être irréprochable sous rapport, ne jamais laissé les faiblesse transpercer. Ne jamais se laisser humilier. Si un autre homme qu'Eliakim l'avait trompée avec son ex-petit ami, elle aurait détruit sa réputation dans l'enceinte de l'université, pour s'assurer qu'il parte loin et que jamais plus ils ne se recroise. S'assurant que sa vie professionnelle serait sur le déclin, et réduisant celle de l'amant à l'état d'impossible. Elle savait qu'elle en était capable. Mais c'était Eliakim, et là était son erreur : elle était tombée amoureuse de lui. Elle le laissait l'humilier, refusant de faire quoi que ce soit contre lui ou contre Leigh. Parce qu'elle ne voulait pas qu'il s'éloigne, et parce qu'il ne le lui pardonnerait jamais. C'était un comble sans doute, car elle était plus victime que coupable dans l'histoire, mais que pouvait-elle y faire. Elle ne pouvait que redouter l'arrivée des rumeurs en espérant que cela ne se reproduise pas. Ne serait-ce qu'avec un autre homme...
Mais le pire dans toute cette histoire ce n'était pas tant sa réputation qu'elle avait la quasi-certitude de pouvoir préserver, c'était le sentiment d'abandon. Elle n'arrêtait pas de se demander si vraiment il l'aimait encore. Comment il avait pu la tromper sans ressentir à aucun moment une once de regret ou de culpabilité à son égard ? Est-ce qu'il avait eu une pensée pour elle à n'importe quel moment ? Se doutait-il qu'elle allait terriblement en souffrir ? Y avait-il pensé ? Où avait-il agit en pure égoiste, convaincu qu'elle lui pardonnerait de toute façon et qu'il n'avait rien à craindre d'elle ? Il ne la craignait pas, et forte heureusement pour leur couple, mais elle n'avait pas dû être assez claire sur les règles du jeu. Un seul écart ne méritait pas une si grosse sentence. Elle l'aimait toujours, et sans doute ressentait-il quelque chose aussi. Peut être, tout du moins l'espérait-elle. Ou alors il était un très bon manipulation.... ou alors durant ces semaines d'abstinence qu'elle lui avait infligé il s'était fait plaisir à aller voir ailleurs pour tenir le choc. Elle ne savait pas. Elle avait renvoyé le détective privé qui le suivait pour ne pas le mettre plus en colère, pour tenter de lui faire confiance, mais forcée de constater qu'il restait encore beaucoup trop de questions en suspens. Et pour l'heure elle n'avait pas envie de les poser. Ravalant l'angoisse qui montait en elle doucement, elle plongea son regard dans celui de son amant qui était entré depuis quelques secondes à présent, déversant sur elle ce flot d'hésitation avant de les rejeter d'un seul geste avec ses mots : « Laisse moi faire. » Elle sourit, alors qu'il s'était approché d'elle en ôtant ses vêtements, laissant sa sacoche et son ordinateur sur son passage... Une chose qu'elle remarqua à peine tant elle était prise dans son regard. Capturé par l'intensité de l'océan de ses yeux. Elle sentit les larmes lui venir. Décidément cette grossesse commence à te rendre émotive... Pensa-t-elle agacée par ces réactions. Elle avait envie de violence, et d'amour en même temps. D'une tendresse passionnelle, de caresses destructrices. Perdue dans le flots de ses sentiments elle décida de laisser faire son amant comme il le lui proposait. Il ôta sa robe avec un infini tendresse, découvrant des sous-vêtements en dentelle fines, qu'elle ne pourra sans doute plus porter bientôt... Elle sourit, alors qu'il venait dégrafer son soutien-gorge en s'approchant d'elle. Elle ferma les yeux, respirant son odeur qui l'enivrait. Et lui avait tant manqué. La dernière fois qu'il avait failli faire l'amour, c'était chez lui. Le lieu du crime si elle pouvait penser ainsi. Mais là c'était un espace neutre, en outre extrêmement excitant, et elle prenait de mieux en mieux sur elle, refoulant ses émotions pour le garder près d'elle. Elle arrivait de mieux à mieux à se contrôler et elle en était extrêmement fière. Il vint lui voler un baiser enflammer, et presque instantanément elle se rattacha à lui, mettant ses deux mains derrière sa nuque, et ses jambes entourant ses hanches. Le sentir proche d'elle, à elle pendant quelques secondes, quelques minutes. Se rappelait qu'il lui appartenait, tout du moins un petit peu. Qu'elle pouvait le revendiquer comme le sien. Il était son fiancé après tout, elle portait son enfant, alors il était à elle, et il semblait l'avoir oublié. Ses craintes se changèrent en colère désireuse, une vague de désir l'emporta alors qu'il se détachait d'elle à nouveau, dans un grognement de mécontentement de la part de la jeune femme. « Quand ce sera le moment tu te mettras dos à moi, tu te tiendras au bureau et tu tendras ton bassin vers moi. Tu veux du sexe violent, tu en auras... » Elle le garda contre elle cependant avant qu'ils ne commencent, et planta son regard foudroyant et passionnelle dans celui de son amant : « Je veux que tu me dises que tu m'aimes. Et je veux que tu me dises que tu as envie de moi. » Dit-elle d'une voix impérieuse, le mettant presque au défis de le lui refuser. Elle voulait lui rappeler les règles, lui montrait combien cela pouvait être bon avec elle aussi.
Il se baissa, descendant vers son intimité, alors qu'elle s'allongeait sur le bois froid du bureau. Elle mit sa main sur les cheveux de son amant et le conduit jusqu'à son antre déjà humide, prête à le recevoir. Elle ne voulait pas sa langue, mais elle voulait avoir la totalité de son être en elle, à elle. Elle le poussa le plus possible sur sa vulve gonflée, alors que l'excitation lui faisait voir les étoiles. Elle se cambra sur la table, alors qu'une de ses mains venait caresser sa poitrine énorme. Elle laissa échapper des gémissements et des plaintes de plaisir. Elle voulait que ce soit bon, mais pour lui aussi. Elle voulait qu'il n'ait jamais eu autant de plaisir qu'avec elle. Elle voulait, égoïstement, narcissiquement, qu'il soit si comblé que jamais plus il n'aurait de désire pour un ou une autre. Lui rappeler ce qu'il avait failli perdre, ce qu'il perdra s'il devait recommencer. Elle voulait être parfaite pour lui. « Prends moi putain ! » S'exclama-t-elle alors qu'elle retirait durement le visage de son amant. Elle le maintient en l'air de la sorte, et se laisse glisser du bureau pour venir devant lui. Elle le laisse se relever, et défait complètement son jean pour le faire glisser de ses jambes, et libérer son membre durci et énorme qui n'attend que l'intimité de sa personne. Elle le sait. Elle lève une de ses mains vers sa bouche, mais récupérer un peu de lubrifiant naturelle pour venir prendre la verge tendue, et la caresser jusqu'à la limite de l'extase, ne le laissait pas jouir dans sa main. Elle se retourna alors, comme il lui avait demandé, et se cambre pour l'inviter à entrer en elle, d'une manière scandale sans doute, car elle avait le sentiment d'être vulgaire en plus d'être diaboliquement sexy, une posture qu'elle adorait, jouissant de sa force de femme sexy jusqu'à ne plus en pouvoir. « Vas-y, montre moi combien je t'appartiens... »
Eliakim A. Crowlley
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Sujet: Re: (terminé) Feel like teen spirit. ALIKIM [HOT -18] Mar 2 Juin - 16:53
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« Feel like teen spirit. »
Il n'est pas du genre à se poser et il sait d'avance que sa vie sera compliquée et certainement pas dans les normes. Il n'aura jamais une vie calme, propre, une maison et deux enfants ainsi qu'un chien. Non lui il aura des passions peu commune, des squelettes dans un placard et mieux encore, des conversations inavouables dans son portable. Il le sait, il en a conscience et Alice est comme lui même si elle ne le sait pas. Ils sont deux aventuriers, ils ont besoin de ce frisson qui accompagne leur dispute et surtout leur réconciliation. Elle a besoin de le détester pour mieux l'aimer, lui a besoin d'avoir peur de la perdre pour se rendre compte à quel point il tient à elle. Ils sont deux masochistes, deux fous d'amour qui se sentent vivant seulement dans la haine. Car Alice non plus ne veut pas d'une vie trop rangée, elle s’ennuierait plus qu'elle n'imagine. Et elle finirait par le détester, le haïr de l'avoir enfermée dans une vie trop calme où elle ne se reconnaîtrait pas. Ainsi elle passerait tout son temps au boulot, ils élèveraient leur enfant et ensuite quand ces dernier quitteraient la maison, ils se retrouveraient face à face en ayant plus rien à se dire. Entre eux il n'y aurait plus d'amour, de passion, de tendresse. Elle aurait un amant, lui également. Et ils se déchireraient, se détesterait et s'entre-tuerait avant le début de leur cinquantaine.
Et il refuse cela alors ils entretiennent la passion, l'amour. Et la haine. Elle le déteste tout autant qu'elle l'aime. Il l'adore tout autant qu'il peut la haïr parfois. Il ne supporte pas son côtés prétentieux, son besoin de reconnaissance et sa manie de devoir tout contrôler et prévoir à l'avance. Mais c'est en même temps cela qui le fait sourire quand il se retrouve face à elle. Et Dieu qu'il peut l'aimer de tout son cœur et de toute son âme. Elle le pousse dans ses derniers retranchements. Lui qui c'était promis de n'aimer aucune femme ni même homme, car l'amour fait souffrir, il est vicieux et violent. L'amour pousse aux crimes les plus violents, à la pire des passions et des haines. Notons Roméo et Juliette, deux enfants condamné car épris d'un amour impossible. Sans parler de Ariane laissée à l'abandon par Thésée, alors qu'elle lui aura tout donné. Non il c'était promis de ne jamais retomber dedans et pourtant simple mortel faible qu'il est, c'est un amour pur et véritable qu'il a connu avec Alice. Après avoir eu le cœur brisé.
« Je veux que tu me dises que tu m'aimes. Et je veux que tu me dises que tu as envie de moi. » Il va lui dire et le lui prouver du mieux qu'il peut. Il lui sourit et vient l'embrasser mais ne lui donne pas tout de suite ce qu'elle demande. Avant il profite de son corps, chérit ses seins, son ventre, ses cuisses musclées grâce aux heures d'équitation. Il adore ce sport au final, surtout que ça taille un corps magnifique à Alice. Il remarque que sa taille est plus marquée, signe qu'entre ses examens, le sport et tout ce qui la fait stresser en ce moment, elle a sans doute perdue du poids. Déjà qu'elle n'est pas épaisse, cette constations le fait froncer les sourcils. Doucement il s'agenouille devant elle et lui fait plaisir du mieux qu'il peut. Il savoure ses gémissements, son goût de femme sur sa langue et la douceur de son sexe dans sa bouche. Mais rapidement elle lui relève la tête, il pousse un grognement en la regardant. Mais sans faire attention aux protestations de son homme elle se laisse glisser sur le bureau, lui enlève son jean et vient le caresser. Il ferme les yeux et pose sa main sur le bureau tant le plaisir le submerge. Mais avant qu'il ne lui dise d'arrêter, toute seule elle se place dos à lui et lui offre son bassin.
Il se mord la lèvre face à cette invitation a la luxure et a la débauche et, doucement l'attrape par les hanches. « Vas-y, montre moi combien je t'appartiens... » Et alors qu'elle termine sa phrase, il se positionne et entre en elle violemment, entièrement. Enfin il remonte ses mains jusqu'aux seins d'Alice et en commençant ses mouvements il la force à venir contre lui. Là il lui murmure doucement, la tête dans son cou. « Je t'aime, de toute mon âme, entièrement. Tu es mienne, je t'appartiens. Et je crève d'envie de toi. » En terminant sa phrase il la pénètre plus violemment, savourant la sensation de plaisir qui coule dans son corps et fait bouillir ses veines. Il ferme les yeux, se mord la lèvre et touche Alice partout où ses mains peuvent atterrir. Mais insatisfait de cette position il se retire d'elle, lui demande de se remettre sur le bureau, se cale entre ses cuisses et enfin retrouve son sexe bouillant et trempe. Il la tient par les hanches et les cuisses, maîtrise le rythme de ses pénétrations et peut même se pencher pour l'embrasser. Chose qu'il fait, il vient lui voler plusieurs baiser en tapant en elle lentement. « Et toi dis moi que tu m'aimes. » Ordonne Eliakim en se collant à elle. Il cherche plus de contact, de douceur, de tendresse. Intérieurement il n'espère qu'une chose, c'est qu'elle passe ses mains dans ses cheveux pour le câliner. A cette idée il sent les larmes lui monter aux yeux. Lui faire l'amour lui a tellement manqué...
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Sujet: Re: (terminé) Feel like teen spirit. ALIKIM [HOT -18] Mar 2 Juin - 20:11
Feel like teen spirit. Eliakim & Alice L'amour est une chose complexe et multiple. La preuve une fois encore que le langage humain enfer les sentiments dans des expressions toutes faites. Alice n'aimait pas de la même manière Iseult, Aaron, son père, Eliakim ou Heathcliff. Sans doute avait-elle aimé son ancien petit ami, sinon ils ne seraient pas restés longtemps aussi sérieusement et aussi longtemps, mais il faut avouer que l'amour n'étia tpas le même que celui qu'elle ressentait pour Eliakim. Quand elle le regardait elle sentait tant d'émotions et de sentiments que cela pouvait la rendre folle et elle était totalement conscience. Elle pouvait très bien le gifler, le frapper au sang, le mettre à terre et frapper parce qu'elle ressentait véritablement de la haine pour lui parfois, et même plutôt souvent. Une haine sourde et violente qui s'insinuer en elle et qui risquait à tout moment d'exploser. La dernière fois qu'ils s'étaient disputés violemment elle l'avait frappé, une ou deux fois, et elle ne retenait pas ses coups avec lui. Elle se découvrait une force qu'elle ne pensait pas avoir, et il en faisait les frais. Mais ce masochiste ne semblait pas retenir la leçon. Alice se demandait parfois si vraiment il connaissait quelque chose aux femmes. Après tout sa mère avait dû lui apprendre à les respecter. Alors pourquoi agissait-il de la sorte avec elle ? Eliakim était un homme beau, séduisant, et qui n'avait pas besoin de fournir beaucoup d'effort pour se faire aimer des autres, ou pour emballer comme le jargon étudiant le disait si bien. Il avait dragué Alice pendant longtemps cela dit avant que réellement elle ne se donne à lui complètement. Entre eux c'était un bras de fer constant, pour savoir qui était le dominant et qui était dominé. Sans doute aujourd'hui encore ne le savaient-ils pas vraiment. Sans doute ne le sauront-ils jamais. Mais contrairement à Eliakim, Alice avait conscience qu'il pourrait partir à tout moment. Qu'il n'était qu'un électron libre après tout, et que cette relation si étrange, cet amour passionnel pourrait un jour avoir raison de lui. Il pourrait la quitter si elle jouait trop avec le feu. Si elle se refusait trop longtemps à lui, si elle le laissait trop libre de ses mouvements, ou pas assez. Il avait besoin d'elle, mais il tenait aussi à une part de liberté. Tout comme elle avait besoin d'être aimée, regardée, et respectée. Alice avait l'habitude d'être adulée par tous et pas tout le monde. Voir son homme, l'homme qu'elle aimait ne pas la regarder avec la même intensité, pouvoir détourner son regard pour jouir de d'autres beautés la rendait dingue. Il avait besoin d'une leçon. Elle espérait que ces quelques jours d'abstinence l'avait assez touché pour qu'il ne recommence pas d'aussi tôt. Peut être avait-il eut le temps de réfléchir. Peut être lui avait-il manquée. Elle l'espérait. Elle espérait qu'il ait compris. Qu'il ne joue pas trop à l'humilier de la sorte, Alice n'était pas quelqu'un de patient, et elle préfèrerait partir et souffrir que de voir son monde s'écrouler autour d'elle pour les beaux yeux d'un amant volage. Elle n'avait rien à gagner à rester avec un Eliakim qui la trompait impunément sans se soucier de leurs images. Il ne respectait pas les règles, et cela la rendait folle.
Tout comme son corps, ses baisers, et son sexe en elle pouvait la rendre folle. Alice sentait toute la frustration, la colère et les larmes accumulées qui ressortaient en un désir incontrôlable. Elle se faisait prendre sur le bureau de la salle de classe, gémissant comme une folle furieuse en manque de sexe, venant à la rencontre de la verge tendu qui la pilonner sans douceur. Il prend ses seins entre ses mains, et elle laisse son bras aller à l'encontre de sa tête. Elle le sert contre elle, désireuse de le rendre fou. Elle sert les cuisses, serrant en même temps l'entré de son vagin, serrant sa verge plus que de raison. Désireuse de le voir devenir fou, qu'il perde la tête, qu'il ne voit plus qu'elle, que plus rien ne compte qu'elle et son corps de rêve. Elle a perdu du poids, mais elle s'est aussi affermi. Il faut dire que lorsqu'elle n'était pas en examen, elle était sur son cheval à s'entrainer. Ou a faire des compétitions. Elle était arrivée première en compétition Européen de CSO. Elle avait fêté cela en amenant Hidalgo faire une course d'obstacle dans le Parc aux Daims. Elle avait aussi donné pas mal de cours aux jeunes élèves du centre équestre. Tout cela pour dire qu'elle n'était qu'une brindille dans les bras forts et musclés d'Eliakim, mais qu'elle avait une endurance folle et un désire de ne plus pouvoir marcher de plus ne plus violent. Elle allait le baiser jusqu'à en perdre haleine. « Je t'aime, de toute mon âme, entièrement. Tu es mienne, je t'appartiens. Et je crève d'envie de toi. » C'est exactement ce qu'elle voulait entendre. Il la prend dans des grands mouvements amples, son pénis écartant son sexe trempé. Mais avant qu'elle ne puisse dire quoi que ce soit elle est retournée et il la prend encore une fois. Alors pour toute réponse, elle encercle ses hanches avec ses jambes pour le faire venir le plus profondément possible en elle, et plantant ses yeux dans les siens elle commence des mouvements rotatifs des hanches pour le rendre le plus fou possible. De temps en temps il se penche vers elle pour lui voler un baiser, et parfois elle lui répond en lui mordant la lèvre inférieur. Elle se laisse coucher sur le bureau, et joue avec ses seins tandis qu'il la prend de plus en plus sauvagement. Elle voulait l'exciter, qu'il craque le premier. Elle sentait un orgasme immense et dévastateur arriver alors qu'elle accumulait les jouissances, mais il ne la laissait pas se reposer. Elle allait exploser devant lui, et il allait adorer cela. « Et toi dis moi que tu m'aimes. » Elle lui offre un sourire carnassier et joueur. Il la regarde intensément, mais elle ne voulait pas romantisme, pas maintenant. Ce qu'elle voulait c'était le faire jouir en elle. Elle le repousse avec ses jambes, l'obligeant à quitter son intimité. Elle le fait marcher en arrière jusqu'à ce qu'il touche une table d'étudiant. Là, elle le pousse à s'y asseoir, et monte à califourchon sur lui, les deux jambes sur les rebords de la table, tandis qu'elle introduit la verge en elle. C'est elle qui mène à présent. Elle descend complètement sur lui, la verge s'introduisant dans son intimité. Elle commence à le chevaucher d'avoir doucement, laissant son visage aller dans le creux de son cou et commençant à sucer sa peau. Elle va de plus en plus vite, serrant les muscles de son entre jambes pour l'emprisonner totalement. Quitte à lui faire mal s'il le fallait. Le suçon dans son cou devint très vite rouge sang, et elle s'arrête alors pour le tenir par les cheveux et le pousser à relever le visage vers elle. Elle bouge toujours sensuellement sur son sexe tendu et sans doute douloureux, et avec un sourire ravie de maitresse dominatrice elle lui parle d'une voix impérieuse : « Tu m'appartiens Eliakim. Ne l'oublie pas. » Et ses mouvements de hanches qui deviennent de plus en plus ample, rapides et violents le prouvent bien sans doute. « Je t'aime... » Dit-elle alors qu'elle se réfugie dans son cou sentant que l'orgasme est proche à présent, mais que l'envie lui ne tarissait pas.
Eliakim A. Crowlley
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Sujet: Re: (terminé) Feel like teen spirit. ALIKIM [HOT -18] Mar 2 Juin - 22:53
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« Feel like teen spirit. »
Il frissonne à chaque caresse d'Alice, a chacun de ses gémissements et de ses soupirs. Il ne peut pas se lasser de cette vision divine, sa femme en pleine extase, soumise aux désirs de son homme. Il sent que le plaisir monte à l'intérieur du corps de sa future épouse. Elle se tend, ferme les yeux et des légers frissons traversent son corps il le sent. Se délectant de cette vision divine, il n'arrête pas de regarder son visage, il n'a de cesse de l'admirer. S'enfonçant en elle comme un beau diable, lui également sent les premiers frissons d'un orgasme dévastateur ravager son esprit. Doucement il lui demande de lui dire qu'elle l'aime mais elle ne le fait pas, elle lui offre un sourire joueur, carnassier. C'est elle qui maîtrise cette séance de sexe même si il veut prouver le contraire. Alors elle le repousse bien vite, il recule comme elle le lui ordonne jusqu'à venir buter contre une table. Il s'assoit et comme une reine, grimpe sur lui. Elle s’empale sur son sexe alors qu'il la tient par les hanches. Ainsi il a tout le loisir de lécher et cajoler ses seins, chose qu'il s'empresse de faire sans même lui laisser le temps de réagir.
Il pousse un gémissement plus fort que les autres en sentant les muscles internes d'Alice se serrer autour de sa verge. « C'est douloureux... » Mais à sa façon de l'embrasser il lui fait comprendre qu'il aime ça. Son sexe est tendu et prêt à exploser, il n'en peut plus, il ferme les yeux et se mord la langue pour faire redescendre la pression mais il n'arrive pas. Qui plus est il sent les tétons de sa femme frotter contre son torse. Tout cela mélangé à la tension sexuelle déclenche en lui des vagues de plaisir. Elle lui fait un énorme suçon dans le cou, l'attrape par les cheveux et le force à relever la tête. « Tu m'appartiens Eliakim. Ne l'oublie pas. » Jamais il ne l'oubliera, il en est incapable. Alors il l'embrasse plus fort, viole sa bouche et sa langue. Il se colle à elle. C'est cela qu'il adore avec elle, ce sexe violent qu'ils peuvent avoir. Mais c'est bien la première fois qu'elle lui fait l'amour ainsi, aussi violemment, avec autant de haine. Il n'est pas sur d'aimer ça mais il n'est pas capable de réfléchir correctement pour l'instant alors il ne se pose pas de question.
« Je t'aime... » Lui murmure sa femme en posant sa tête dans son cou. « Io Anche... » Répond Eliakim en explosant dans un bruit rauque, sourd, viril et masculin. Il ferme les yeux et la serre contre lui, sa respiration se coupe, il serre les poings si fort que ses jointures en deviennent blanches. Il voudrait hurler mais aucun son ne sort de sa bouche, il est incapable de dire quoi que ce soit. En enfin le repos, cette sensation de paix qui coule dans son être. Lentement l'air remplit ses poumons, un goût de sang envahit sa bouche. Il c'est trop mordu les lèvres, il a mal. Doucement il la porte dans ses bras, il s'allonge au sol et lentement la dépose à ses côtés. Ils ont chaud, ils sont en sueur. Il vient lui ouvrir ses bras, l'invite à venir contre lui. « Tu me détestes. » Murmure le professeur. Ce n'est pas une question mais une affirmation. Il est presque choqué de la façon dont ils ont fait l'amour. Elle est violence, elle le giflerait presque et elle lui fait mal. Il n'a pas l'habitude et ne sait pas comment réagir. Au même moment son bras gauche le pique, il se tourne et regarde.
De longues griffures marquent sa peau, elles sont en sang et témoignent de la violence de leur ébat. « Tu me haïs et tu viens de le montrer dans ta façon de me faire l'amour. » Il s'assoit à ses côtés et il attend quelques secondes, le temps que sa respiration redevienne normale. « Mais... Encore. » Il se tourne et la regarde avec un sourire. Sans lui laisser le temps de réagir il vient l'embrasser tout doucement, se positionne entre ses cuisses et entre en elle. Il veut lui faire l'amour et ne pas la baiser surtout si c'est l'une des dernière fois ou ils font l’amour. Il ne sait pas pourquoi mais il sent que plus rien ne sera pareil. Alors doucement il bouge en elle, savoure chaque seconde, embrasse sa peau, la câline, profite d'elle. Et lentement il change de position, cale ses jambes sur ses épaules et lui faire l'amour. Lentement, amoureusement, comme si chaque moment était le dernier.
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Sujet: Re: (terminé) Feel like teen spirit. ALIKIM [HOT -18] Mer 3 Juin - 0:19
Feel like teen spirit. Eliakim & Alice « Io Anche... » Elle avait envie de le croire. Un désire impérieux et complètement fou de croire qu'entre eux l'amour était pure et véritable. Mais elle était forcée de constater que ce n'était pas seulement de l'amour. C'était pus compliqué que cela. Elle n'avait pas envie de faire l'amour avec lui, elle ne se sentait pas vraiment prête pour cela. Elle n'arrivait pas encore à croire qu'il était capable de l'aimer encore malgré tout ce qu'il s'était passé entre eux. Elle avait envie de lui, cela dit, car le désire qu'elle ressentait n'avait pas grand chose à voir avec l'amour qu'elle éprouvait. Enfin, pour la première fois de sa vie elle percevait très distinctement la différence entre le sentiment amoureux et le désire à l'état pur. L'amour c'était un sentiment d'abandon, l'envie d'être avec l'autre, de le voir sourire, de le voir heureux. De ne plus penser à soi, mais de faire passer les envie de l'autre en premier. Ne plus être égoïste, ou si peu. De ressentir la détresse de l'autre, d'être triste avec lui, d'être heureux avec lui, de se sentir bien uniquement dans son regard complait, et de vouloir faire sa vie dans cette plénitude céleste. Le désir, c'était un mouvement instinctif vers l'autre, parfois incontrôlable, qui prend la chaire, et la tord jusqu'à ce qu'elle soit complet. Le désir non assouvis est douloureux et obsédant. Il ne vous lâche pas tant que l'objet n'est pas acquis. Alice se demandait de plus en plus si elle aimait Eliakim, ou si simplement elle le désirait. Pour l'heure elle savait que ce qu'elle ressentait c'était avant tout du désir, et peut être beaucoup d'injustice. Parce que la jeune femme l'avait aimé, de cela elle en était certaine. Parce qu'elle s'était persuadée qu'il était heureux et comblé avec elle, qu'il n'avait besoin que de cela pour faire sa vie paisiblement. Qu'il n'irait pas chercher ailleurs parce que la réponse à ses besoins et ses désirs ils les avaient sous le nez. Parce qu'elle était cette réponse, cet objet de désir, et qu'ils n'avaient pas besoin de plus pour être bien l'un et l'autre. Mais il lui avait menti. Elle se sentait trahi dans cet amour qu'elle pensait parfait et inébranlable. Parce qu'il n'était pas parfaitement heureux, parfaitement comblé. Parce qu'il avait un manque ne lui, et qu'il le lui avait caché. Elle se sentait plus trahie que jamais, et elle lui en voulait terriblement pour cela. L'amour qu'elle ressentait c'était changé en une haine ineffable pour le moment. Elle avait envie de l'avoir pour elle, elle avait envie de le retrouver, et de le blesser comme elle se sentait blesser. Elle voulait qu'il souffre, elle voulait qu'il ait mal, mais elle avait aussi encore de lui. Cela la rendait confuse et surtout incontrôlable. Elle n'avait plus envie de refouler tout cela, elle avait besoin que cela explose une bonne fois pour repartir sur des bonnes bases. Elle accumulait la frustration, et les regrets depuis des jours et des jours, tout était dans son ventre, prêt à exploser dans un flot d'adrénaline pure. Elle voulait du sexe, et elle en voulait avec lui. C'est pour cela qu'ils se retrouvaient à baiser comme des bêtes dans une salle de classe. Alice jouissait, son excitation coulant le long de ses jambes et sur celles de son amant. L'orgasme qui la dévasta emporta également Eliakim qui dans un râle retenu se répandait en elle. Elle sentit le liquide chaud envahir son intimité, et elle sourit, inspirant profondément, retrouvant son air après cet orgasme qui la laissait chancelante. Elle se sent soulever du bureau où il se trouve et elle arriva sur le sol froid, ce qui la détendit automatiquement. Elle se laissa aller sur le sol, totalement nue à côté de son amant, et tourna le regard vers lui. Il n'avait pas dit un mot, comme si quelque chose bloquait sa gorge. Alice restait à ses côtés le regardant. Il ouvrit son bras, et dans un automatisme incontrôlable elle vint contre lui. « Tu me détestes. » C'était une évidence entre eux, même lui l'avait remarqué. Elle l'aimait encore, mais la haine était plus présente aujourd'hui, elle devait bien se l'avouer. Tout comme Eliakim en avait conscience. Elle lui fit un sourire attristé et haussa les épaules pour se donner de la contenance, prendre de la distance sans doute. « Oui. » A quoi cela servirait de lui mentir. C'était le cas elle le détestait, elle lui en voulait, mais elle avait besoin de tout faire ressortir. Il regarda son bras, et elle vit aussi avec stupeur les marques de griffures qu'elle lui avait infligé. Elle se mordit l'intérieur de la joue, honteuse de s'être acharnée de la sorte. Elle se tourna vers son doux visage comme pour trouver une marque de colère ou de tristesse. Mais elle y décelait quelque chose qu'elle n'avait encore jamais vu sur le visage d'Eliakim. Une sorte d'évidence horrible qui s'imposait à son esprit et contre laquelle il ne pouvait rien. « Tu me haïs et tu viens de le montrer dans ta façon de me faire l'amour. » « Je ne t'ai pas fait l'amour. Je t'ai baisé. » Dit-elle d'une voix qui signifiait bien qu'elle tenait à faire cette nuance qui pourtant ne semblait pas si évidente pour la majorité des élèves de cette université. Elle ne lui avait pas fait l'amour, pas encore, et elle ne savait pas si elle serait capable de lui faire l'amour à nouveau. Elle sentit sa gorge se serrer. Est-ce qu'il allait partir maintenant ? Elle avait envie de plus, elle sentait le feu entre ses reins qui revenait à nouveau, et pour son plus grand plaisir son amant se tourna vers elle. « Mais... Encore. » Le sourire d'Alice valait tous les mots qu'elle pouvait dire à ce moment là. Il vint au-dessus d'elle et elle perçut la différence tout de suite. Elle le voyait dans son regard, il recherchait quelque chose qu'elle ne voulait pas lui offrir tout de suite. Mais elle devait essayer de l'aimer à nouveau comme il semblait l'aimer. Elle se plongea dans son regard, et elle retrouva tout ce qui faisait qu'elle l'aimait. Son romantisme, sa douceur, sa tendresse, sa passion, tout. Tout était là, son Eliakim était toujours présent. Il vint au-dessus d'elle, l'embrassant, reprenant possession de son corps. Mais elle ne pouvait pas le supporter. Elle ne le voulait pas. Cela lui rappeler tout ce qu'il avait fait, sa trahison, et toutes les raisons qui l'avaient poussés à s'enfuir, à s'effacer, à le laisser pendant aussi longtemps. Elle avait encore des choses à faire ressortir d'elle, et il ne l'aidait pas à laisser s'échapper toute sa hargne. « Je ne veux pas que tu me fasse l'amour. Pas pour le moment. Je veux que tu me prennes, comme si j'étais ce que tu désirais le plus au monde. Comme s'il n'y avait que moi qui compte. » Demanda-t-elle en plongeant son regard dans le sien. alors et seulement alors il releva les jambes de la jeune femme et dans cette posture, elle sentait la verge de son amant de tout son long la prendre et la rendre folle. Elle laissa son visage allait en arrière, et son corps prit de spasme violent, alors qu'elle cherchait à le retenir contre elle pour le pousser à continuer, à aller plus vite même s'il le désirait. Parce que ce n'était que cela, une question de désire. « Fais moi jouir, encore et encore... Défonce moi. »
Eliakim A. Crowlley
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Sujet: Re: (terminé) Feel like teen spirit. ALIKIM [HOT -18] Mer 3 Juin - 1:07
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« Feel like teen spirit. »
« Je ne t'ai pas fait l'amour. Je t'ai baisé. » L'évidence claque sur son visage alors qu'il baisse la tête. Une tension coule dans ses veines, son corps et son esprit. Il sent quelque chose serrer sa gorge, remonter un goût acide et désagréable dans sa bouche. Elle le détestait, elle le haït alors pourquoi elle est toujours ici dans cette pièce avec lui ? Elle pourrait courir les hommes, faire sa vie et l'abandonner. Mais tout n'est pas si évident car malgré tout elle porte son enfant. Et lui l'aime également, même si il est toujours aussi accroc a Leigh. Il ne se supporte plus tout comme elle le déteste. Mais il est incapable de la libérer, de lui demander de partir et de l'oublier car il est horriblement égoïste quand cela concerne Alice. Il sait que dans les jours à venir quelque chose de mauvais se prépare il ne sait pas exactement quoi. Disons... Qu'il le sent. Au plus profond de son être une angoisse sourde l’empêche de dormir et de se détendre. Comment être zen quand la femme que vous aimez vous déteste ?
Malgré tout il sent le désir revenir alors il se tourne vers elle. « Je ne veux pas que tu me fasse l'amour. Pas pour le moment. Je veux que tu me prennes, comme si j'étais ce que tu désirais le plus au monde. Comme s'il n'y avait que moi qui compte. » Il hoche la tête mais ne répond pas. Que dire ? Obéissant enfin il se place en elle et commence à bouger lentement, sensuellement, violemment. Ses hanches claquent sur celle de sa future femme. Instinctivement il cale sa tête dans son cou et respire son parfum. Quelques gémissements franchissent ses lèvres, Alice se contracte contre lui, elle meurt d'envie et se consume dans ses bras. Il adore ça. Dans cette position il a un angle tellement différent, nouveau, si bon, qu'il ne sait plus où donner de la tête. Ses mains glissent sur toi, tu sens ses doigts couler sur tes muscles, rouler sur ta peau et te faire frissonner. Tu fermes les yeux, c'est bon. Quelques frissons font dresser le duvet de tes bras et tes épaules. Tu te penches, l'embrasse.
Brusquement il lève la tête et la regarde, elle est toujours plongée dans le plaisir, s abouche entre ouverte laisse échapper quelques râles de plaisir. Elle s'accroche à lui, cherche une raison de ne pas tomber dans le plaisir. Il la trouve belle, magnifique, adorable et désirable mais quelque chose bloque en lui. Aujourd'hui ce n'est pas comme d'habitude déjà parce qu'elle est incroyablement violente. Mais qu'elle le baise, elle ne lui fait pas l'amour et ça même si il ne veut pas l'avouer ça le choque. Il ne baise pas. Il prend du plaisir, il en donne, il fait l'amour mais il ne baise pas. Baiser c'est pour les filles faciles, légères, les couples qui ne se respectent pas. Alors Alice ne le respecte plus et dans ce cas elle considère qu'il ne la respecte pas également. Et même si il l'a trompé, ce n'était pas dans l'intention de la bafouer. Il ne sait pas expliquer son adultère car les mots ne sont pas assez précis. Il voudrait effacer cela, le regretter, mais il n'en est pas capable. Alors il subit. Il cherche tes lèvres, ton corps, ton sexe. Et enfin tu le sent glisser en toi. C'est douloureux et délicieux en même temps. Tu voudrais le supplier d'arrêter mais cette chaleur te rend fou. Tu le regardes, ses yeux bleus sont magnifique. Il est beau.
Eliakim croise le regard de glace d'Alice. Juste avant le point de rupture. Et enfin elle jouit, elle inonde la salle d'un de ses hurlements. Elle s'accroche à lui, le griffe encore, elle lui fait mal mais il a bien autre chose à penser. Il est incapable de détacher ses yeux d'elle, de cette jouissance qui ravage son corps et son esprit. Lui bouge encore en elle, il sent le plaisir, l'orgasme, mais il n'est pas capable de l'atteindre. Alors que Alice redescend doucement il frappe plus fort en elle, plus violemment. Si bien qu'il craint de la blesser. Une fraction de seconde il la regarde, croise son regard et sent une larme, unique larme couler sur sa propre joue. « Bordel ! » Lâche Eliakim en s'arrêtant net. Il ferme les yeux, souffle un peu. « Je peux pas... Je n'y arrive pas. » Et doucement pour ne pas la blesser il se retire d'elle, roule sur le côtés et efface cette larme d'un geste rageur. Il la baise, alors il est incapable de jouir. Énervé plus par lui même qu'autre chose il se lève toujours dressé, dévoilant son corps couver des griffures de sa future femme. Et de ses morsures aussi. D'un geste tremblant il sort de son jean au sol son paquet de cigarettes, en cale une dans sa bouche et l'allume. Il tremble, son corps est en feu. La première bouffée de tabac lui fait du bien. Il marche jusqu'à la fenêtre sans regarder son amante. Enfin il se pose devant le reflet de la ville, doucement le soleil se couche. C'est... Romantique.
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Sujet: Re: (terminé) Feel like teen spirit. ALIKIM [HOT -18] Mer 3 Juin - 12:56
Feel like teen spirit. Eliakim & Alice Jamais elle n'avait parlé de la sorte, jamais elle ne s'était sentie aussi libérée qu'à cet instant, aussi étonnant que cela soit. Elle ne réfléchissait pas à ce qu'elle devait dire, à la manière dont elle voulait le dire, elle parler à coeur ouvert, n'usant pas forcément des mots qu'il faudrait. L'exactitude de ses propos était tout relatif, tant ses sentiments étaient variés et incompréhensibles même pour elle. Elle ne savait pas comprendre ce qu'elle ressentait. Elle ne pouvait pas l'expliquer à Eliakim avec justesse. Est-ce qu'elle était en colère ? De moins en moins. Est-ce qu'elle le déteste ? Pas vraiment. Elle l'aimait, mais elle détestait ce qu'il pouvait lui faire. Il l'avait rendu vulnérable, et il ne s'en rendait pas compte. Il pouvait la croire forte, capricieuse, ou jemenfoutiste, jamais elle n'aurait accepté autant de choses venant de quelqu'un d'autre. Alice aimait Eliakim, c'était une évidence, mais il y avait une barrière entre eux à présent. Elle ne savait pas comment la faire tomber, mais le sexe lui semblait être une possibilité assez agréable. Elle retrouvait son amant, et déjà son coeur battait plus fort, ses joues étaient plus rouges, et un sourire étonnemment grand prenait place sur son visage. Elle avait retrouvé son amant, son Eliakim, et il n'était qu'à elle quand elle le chevauchait sauvagement, ou lorsqu'il la prenait de la sorte. Sur le sol, les jambes autour de son amant, il entrait en elle, tapant au fond de son sexe pour lui arracher des râles de plaisir démentielle. Elle fermait les yeux, tant l'émotion, et l'orgasme qui allait la dévaster était violent. Quand elle fermait les yeux elle avait l'impression d'être en osmose avec le corps d'Eliakim. Même au-delà du corps, quelque chose en elle changeait. Elle le sentait en elle, au plus profond de son âme. Elle sentait cet osmose qui les prenait, et qui la rendait ivre d'amour et de désir. Un feu sacré qui brûlait son âme, au-delà de son corps. Elle sentait le plaisir allait bien au-delà de tout cela. Elle se sentait parti vers un ailleurs, loin d'être parfaitement charnelle. Elle sentait que c'était leurs âmes qui se retrouvaient, elle sentait ce plaisir intense, immense, sacré qui l'enlaçait, recouvrant son être d'une chaleur délicieuse, avant de la faire exploser dans un feu ardent et éphémère. Un orgasme si intense, qu'elle eut le souffle coupé. Elle ne put crier, elle sentit son corps se tendre, et son âme s'échauffer. Elle était complète, elle était entière. Elle était ... heureuse. Dans le sens le plus sacré du terme, dans le sens le plus juste du terme. Elle brûlait d'amour. Eliakim était le seul à pouvoir lui faire ressentir une émotion si pure. Il continua ses mouvements, mais il devient plus tendre, plus doux. Son corps à elle restait tendu tant qu'il était là, et dans un mouvement brusque, elle ouvrit les yeux et se mordit la langue pour ne pas hurler de douleur. Il continuer à la prendre mais le corps de la jeune femme se tendit sous la douleur soudaine de cette étreinte. Elle ferma les yeux, et eut du mal à reprendre son souffle. Elle ne voulait pas hurler, mais c'était une belle représentation de ce qu'elle voulait ressentir. L'amour le plus parfait, et soudainement la douleur la plus pure. Elle ouvrit les yeux, et croisa le regard brillant de larmes de son amant. Elle resta choquée. « Bordel ! » Elle fronce les sourcils alors qu'il ferme les yeux. « Je peux pas... Je n'y arrive pas. » Elle reste bouleversée, choquée, ne sachant que faire, alors qu'il la quitte, quittant son corps pour se lever, prendre une cigarette et aller près de la fenêtre pour fumer. Sa verge tendue devant sans doute être horriblement douloureuse. Et soudainement elle comprit. Elle était dure avec lui. Horriblement dure, et elle ne choisissait pas les mots qu'il fallait. Oui, quelque part elle faisait l'amour avec lui, car de toute évidence elle l'aimait encore. Mais elle avait besoin de quelque chose de violent. Tout du moins le pensait-elle. Lui avait besoin d'autre chose, il avait besoin d'être proche d'elle à nouveau. Reprenant contenance quelques minutes, attendant que son corps puisse à nouveau la porter, elle prit le temps de se lever. Complètement nue, elle vint vers lui, et l'enlaça, posant sa joue sur son dos. Dans une étreinte incroyablement tendre et amoureuse. Elle comprenait, elle savait. Elle ne voulait pas en parler cependant, car de toute évidence ils souffraient tous les deux de cette situation. Mais elle devait lui montrer qu'elle l'aimait toujours, que rien n'était perdu. Il était l'homme de sa vie, le père de son enfant, et sans doute son futur mari s'il le voulait encore. Il avait brisé la confiance qu'elle avait en lui, mais il restait encore certaine chose : l'amour certes, mais le désire évidemment. Elle avait perdu confiance en elle, elle avait perdu confiance en lui. Elle ne se respectait plus, elle ne respectait plus le corps qui était le sien. Elle cherchait à le retrouver, à le rattraper. Elle voulait l'aimait à nouveau, en le touchant, en retrouvant ce contact instinctif et premier entre eux. Elle devait réapprendre à lui faire l'amour. Elle devait retrouver confiance. Et quel meilleur moyen de tester sa confiance que de se mettre à nu devant la personne que l'on aime ? Elle laissa ses mains glisser sur le torse de son amant, et dans un geste coquin et maitrisé, elle laissa sa main droite se poser sur la verge tendu, et la prendre doucement dans une étreinte chaude. Elle entama un mouvement de va-et-vient pour satisfaire son amant en lui parlant d'une voix douce. « Je t'aime Eliakim. Je t'aime vraiment, profondément. Réapprends moi à t'aimer, à te faire l'amour ... Je veux te retrouver. » avoua-t-elle, d'une voix timide, comme si elle avait honte d'avouer cette espoir qu'elle avait aujourd'hui. Elle voulait le retrouver, recommencer, laisser leur erreurs derrière eux. Elle se mit à côté de lui, embrassa son épaule, et rechercha son regard pour lui sourire. Un sourire tendre, sans jamais lâcher son sexe qu'elle caressait toujours avec amour. Le cajolant comme elle savait qu'il aimait. « Laisse moi te montrer combien je t'aime encore ... » Elle haussa enfin un sourcil, et avec un sourire plus coquin s'agroupit devant lui. De sa bouche chaude elle entoura le sexe de son amant, embrassant l'objet de tout ses désirs. Elle ne l'avait pas fait depuis longtemps, et elle prit un réel plaisir à le chercher, à jouer avec, le suçottant, le léchant, le mordillant. Relevant le regard vers Eliakim de temps en temps pour l'allumer plus encore. Totalement soumise, mais dans son pouvoir de femme. Elle adorait faire cela, elle en prenait un malin plaisir. Elle retrouvait ses marques, les choses qu'elle aimait lui faire. L'amour charnel entre eux. L'amour... elle redécouvrait comment lui faire l'amour.
Eliakim A. Crowlley
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Sujet: Re: (terminé) Feel like teen spirit. ALIKIM [HOT -18] Mer 3 Juin - 15:29
Alikim for life !
« Feel like teen spirit. »
C'est la première fois que cela lui arrive, qu'il se sent ainsi bloqué par le comportement de quelqu'un. Peut-être justement parce que la personne en question est Alice, la femme qu'il aime et la mère de son enfant. Il ne sait pas en tout cas il n'aime pas ça, ce besoin de violence qui existe entre eux. Il aime les jeux, faire languir, du bondage soft mais pas ainsi, les phrases blessantes balancée entre deux baise comme elle appelle ça. Ce n'est pas ainsi qu'il pratique le sexe et on ne l'a jamais habitué ainsi. Leigh était doux et même à leur retrouvailles, il était plein de tendresse. Alice a toujours eu ce besoin de dominer ou de se soumettre il est habitué, mais aujourd'hui cela dépasse toutes ses habitudes. Étonnant pour un homme avec un palmaress comme le sien n'est-ce pas ? Il ne se comprend pas, des hommes auraient tués pour avoir une femme ainsi dans leur lit, lui non. Alors rageusement, plein de colère contre lui même mais aussi contre les mots d'Alice, il se lève et part chercher une cigarette.
Dans ce genre de moment c'est la seule chose qui le calme un minimum. Il grimace légèrement lorsqu'il se pose face à la fenêtre de la classe, sa verge tendue le fait souffrir. C'est une douleur désagréable qu'il ne connaissait pas, comme si il pouvait faire tout ce qu'il voulait il n'arriverait pas a jouir. Nerveux il prend une bouffée sur sa cigarette, la fumée lui brûle la gorge et le fait froncer des sourcils, il devrait arrêter il fume de plus en plus. Il en vient à se faire peur tout seul. Alors il écrase le petit bâtonnet de tabac et le jette par la fenêtre sans même l'avoir terminé. Ses yeux se perdent dans l'horizon de la ville, le soleil se couche au loin et Oxford baigne déjà dans les lumières artificielles des lampadaires. Il regarde un couple marcher main dans la main dans une rue, sans faire attention à Eliakim qui observe les deux amants. Le professeur sourit tristement, il sait qu'il ne pourra plus être ainsi avec Alice, il y a trop de haine entre eux. Elle semble le détester plus que de raison. Bien évidemment il sait pourquoi, mais dans ce cas là autant le quitter. Souffrir un bon coup et ne plus se voir.
Car si elle est incapable d'être douce, femme avec lui alors ils n'ont plus rien à faire ensemble. Il ne veut pas d'une relation où ils se cracheront des horreurs au visage, des insultes avant de faire l'amour violemment. Les griffures sur son bras le font encore souffrir et c'est tristement, qu'il sent l'excitation le quitter. Il essaye de se calmer et se doute à cet instant que leur partie de sexe est terminée. Mais tout de même il entend enfin Alice se lever. Instinctivement il baisse les épaules comme si il allait se faire jeter, un réflexe qu'il a l'habitude d'avoir depuis qu'elle sait pour Leigh et lui. D'une certaine façon, elle lui fait peur. Lui grand gaillard d'un mètre quatre vingt-dix, baisse les yeux face au regard accusateur de la femme qu'il aime. Elle ne se rend pas compte du pouvoir qu'elle peut avoir sur lui. Tendrement elle vient contre lui, se poser contre son dos et de satisfaction il lâche un soupire long et profond. Enfin... Elle lui manque tellement. Alice d'un geste joueur, câline son torse et glisse doucement vers sa verge. Aussitôt il sent une excitation violente monter en lui, c'est ça qu'il veut. De la douceur, de la tendresse, de l'amour dans ses gestes.
« Pardonne moi... » Mais ses mots se perdent dans le silence alors qu'elle attrape son érection bien vive. Comme un drogué il lâche un râle d'extase pure en laissant tomber sa tête en arrière. Il aurait tout donné pour avoir plus, toujours plus. Mais déjà sentir sa femme le caresser ainsi avec toute la tendresse dont elle est capable, est trop pour lui. Elle vient contre son torse, lui sourire alors qu'il vient lui voler un baiser. « Je t'aime Eliakim. Je t'aime vraiment, profondément. Réapprends moi à t'aimer, à te faire l'amour ... Je veux te retrouver. » Je t'aime, je t'aime, je t'aime... Voudrait hurler Eliakim mais il en est incapable, l'émotion lui tord les entrailles et il ne peut que murmurer quelques mots. « Moi aussi je t'aime bébé... Crois moi... » « Laisse moi te montrer combien je t'aime encore ... » Elle s'agenouille devant lui, il se mord la lèvre. Il sait très bien ce qu'elle va lui faire et d'avance il tremble d'envie, d'excitation, d'amour, de passion. Il la regarde, fasciné par la tendresse qui transperce le regard froid de sa future femme.
Il ferme les yeux, il savoure l'instant alors que cette bouche chaude l'englobe entièrement. Il pousse un gémissement, se retient pour ne pas hurler de plaisir. Et de longues minutes de plaisir commence ou, les yeux fermés, il donne de léger coup de hanche. Mais alors qu'il sent l'orgasme monter, grossier en lui tel une boule d’électricité, il force Alice à s'arrêter. Il ne veut pas venir ainsi, pas encore. Alors il lui demande de se relever, la fait asseoir sur le meuble où il se tenait quelques seconde auparavant, et enfin entre en elle avec toute la douceur dont il est capable. Dans cette position il l'embrasse, la cajole et lui fait l'amour dans des mouvements amples et maîtrisés. Il veut savourer, il veut la voir venir encore. Les femmes peuvent avoir de multiples orgasmes parait-il, ils risques de battre le record si ils poursuivent dans cette voie. Alors il glisse lentement sa main droite entre eux et en souriant, il vient caresser la petite boule de plaisir de sa fiancée. Il la regarde, il l'aime. Une seconde pour l'aimer, une seconde pour se laisser ravager par une vague plus forte que les autres. Tout cela avec l'émotion, l'envie, l'amour. Il vient contre elle, en elle, sans cesser de la toucher et de la caresser. Son cœur explose d'un amour trop fort, son âme se consume.
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Sujet: Re: (terminé) Feel like teen spirit. ALIKIM [HOT -18] Mer 3 Juin - 20:18
Feel like teen spirit. Eliakim & Alice Avant qu'elle ne découvre les plaisirs de la chaire dans les bras d'Eliakim elle avait énormément de préjugés sur la chose. Elle était le genre de filles qui avaient une grande bouche, mais qui en réalité avait quelque peu peur du sexe. Elle s'imaginait incapable de faire une fellation, incapable de s'imaginer à genoux devant un homme pour lui donner du plaisir sans en recevoir. Une sorte de soumission ignoble qu'elle n'aurait pas supporter. Elle avait des idées un peu étrange sur le cunnilingus aussi, ne sachant ce qu'il convenait de faire dans ce cas là : épilation totale, partielle ? En faire un préliminaire ou une fin en soit ? Et pour ce qui concernait les préservatifs : est-ce qu'elle devait en avoir sur elle ? Est-ce que le garçon s'en occupait la première fois ? Est-ce qu'elle en porterait tout le temps ? Mais avec Eliakim son apprentissage sexuel avait été assez rapide. Sans réellement comprendre pourquoi elle avait eu confiance en lui dés le premier regard, elle s'était donnée totalement à lui. Il l'avait guidé, mais très rapidement la jeune femme s'était découverte un côté très téméraire qu'elle ne se connaissait pas. Elle était une maitresse dominatrice qui aimait prendre le dessus et rendre son amant complètement fou. Elle aimait le SM soft, et les jeux de rôle. Une chose qu'elle avait découverte durant les six années où elle avait couché avec Eliakim juste pour le plaisir. Elle avait expérimenté pas mal de choses avec lui. Des pratiques diverses, des jouets, mais aussi des lieux plus ou moins adaptés. Outre les diverses salle de classes sur l'ensemble du Campus, ils avaient aussi baptisé une la voiture d'un collègue d'Eliakim dans le parking souterrain de l'université, la moto d'Eliakim, et le coin VIP du Camera Night Club. Il faut dire que lorsqu'ils se retrouvaient l'un devant l'autre ils ne restaient pas calmes bien longtemps. Elle se demanda soudainement depuis quand elle arrivait à contrôler ses pulsions de désire en compagnie d'Eliakim. Apparemment elle était bien plus forte qu'elle ne le pensait. Mais aujourd'hui tout remonter à la surface, et elle avait tellement envie de lui qu'elle en deviendrait folle si elle s'écoutait. C'est pour cela qu'elle vint derrière lui, le caressant sensuellement mais aussi tendrement. « Pardonne moi... » Elle ne répondit pas, ne voulant pas savoir pourquoi il s'excusait : pour l'avoir trompée ? pour être distant ? pour ne pas avoir jouis ? Elle ne voulait pas le savoir, ce n'était pas un problème pour elle aujourd'hui. Aujourd'hui elle voulait le rendre heureuse, elle voulait l'avoir contre elle; Elle voulait être une femme comblée. Elle lui avoua qu'elle l'aimait, qu'elle l'aimait toujours mais qu'il devait être patient avec elle et lui rappeler ce que c'était que de faire l'amour. Elle se mit devant lui, le laissa l'embrasser, avant de descendre vers sa verge. « Moi aussi je t'aime bébé... Crois moi... » Il oublia très vite comment parler. Elle le lécha, suçant sa verge avec un entrain sans comparaison. Elle le sentait se tendre, gémir, et bouger en rythme avec ses allers-venus. Il ne s'en rendait sans doute pas, mais elle adorait cela. Cela signifiait qu'il perdait la notion de réalité. Fière d'elle, elle allait plus fort et plus vite encore, en espérant le rendre fou. Et cela sembla fonctionner, car soudainement il se releva et la posa sur le bureau où ils se tenaient plus tôt pour la prendre tendrement. Son sexe était douloureux, mais cet invasion fit monter le désir dans ses reines une fois encore. Il la prit tendrement, et dans des gestes amples il lui fit l'amour. Elle se perdit dans son regard, et laissa la jouissance monter doucement. Elle était fatiguée, mais elle était heureuse, et se sentait pleinement comblée pour le moment. Ils faisaient l'amour, et elle en était heureuse. Elle avait l'impression que plus rien n'existait autour d'eux. Elle avait oublié tout le reste. Elle l'aimait et c'est tout ce qui comptait pour l'heure. Ils jouirent ensemble dans un râle de plaisir, et s'enlacèrent tendrement. Deux coups secs sur la porte la firent sursauter. Elle se mit à rire en se rendant compte d'où elle était. « Je crois que l'on ferait mieux d'y aller... » Dit-elle en se mordant la lèvre, un peu perdue. Elle chercha ses vêtements et se rhabilla. Ne réalisant pas tout de suite qu'Eliakim avait récupéré sa petite culotte pour la mettre dan sa poche de Jean. Elle attendit son avale pour ouvrir la porte. Fort heureusement la personne qui toquait semblait avoir abandonné l'idée de vouloir utiliser la salle. Alice se tourna vers Eliakim et lui sourit, lui tendant la main pour l'amener avec elle. « Je t'amène Beau Goss ? » Demanda-t-elle. Elle lui prit la main et l'amena sur le parking extérieur. « Comme je te disais j'ai validé mon semestre et mon année. Je suis la futur chargée de la communication à Oxford en compagnie de ta chère Rae. Et mon père a voulu me félicitation à sa manière. Tu aimes ? » Demanda-t-elle en faisant bipper sa toute nouvelle voiture, blanche, coupée sport, tout à fait son genre du moment. « Alors ... On va chez moi ? »
Eliakim A. Crowlley
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Sujet: Re: (terminé) Feel like teen spirit. ALIKIM [HOT -18] Mer 3 Juin - 21:54
Alikim for life !
« Feel like teen spirit. »
Il l'aime. Ce serait une honte, une insulte et même un blasphème que de lui demander si il a des sentiments pour elle. Son corps réagit instinctivement à celui d'Alice, il bouge en fonction d'elle, il calque son rythme cardiaque sur le sien et l'air qui pénètre ses poumons est le même que celui de la belle blonde. Ils sont fait pour être ensemble, s'unir dans le meilleur des mondes. Envers et contre tous, le yin et le yang, l'alpha et l'oméga. Ils s'adorent tout comme ils se repoussent, elle l'aime à la hauteur de sa haine. Une vieille légende raconte que la lune et le soleil étaient des amants. Qu'ils s'aimaient d'une passion forte et si évidence, que jamais on aurait pensé les détacher l'un de l'autre. Mais les dieux jaloux de cet amour si passionnel ont forcés les deux amants à se séparer. Le soleil règne sur la journée, il éclaire le monde de ses rayons brûlants, son amour est tel que vous pouvez brûler si vous vous approchez trop. La lune elle, règne sur la nuit froide et solitaire, guide les amants maudis, les couples impossibles et les âmes détruites. Elle nous éclaire à sa façon, nous réconforte car elle pleure à jamais son amour perdu. Ils sont tel le soleil et la lune, amant, impossible, passionnel, évident.
C'est pour faire honneur à cet amour si évident qu'il lui fait l'amour de la sorte, tendrement, amoureusement. Qu'il l'embrasse, la câline, la cajole comme un trésor précieux qu'on craint de briser. Et enfin elle vient dans ses bras, fragile comme de la soie. Elle laisse échapper un râle adorable et affreusement sexy alors que le plaisir l'envahit. Il la regarde, sourit, amoureux. Et enfin il l'embrasse. Mais deux coups frappés à la porte de la classe font sursauter les deux amants. Ils se regardent et ricanent légèrement, enfin ils reviennent à la réalité. Ils ont fait l'amour dans une salle de classe, encore. Si le doyen apprenait ça Eliakim serait viré et Alice en liste noire dans toutes les grandes écoles. Mais il n'en saura rien. Plus vite que son ombre le professeur enfile son jean, sa veste et ses chaussures. Mais en laissant sa future femme s'habille il attrape sa petite culotte au sol et la cache dans la poche arrière de son jean. En quelques secondes ils sont hors de la classe, main dans la main. Et ils sentent, ils respirent le sexe c'est flagrant. Ils se dirigent vers le parking extérieur ou une voiture blanche, magnifique, attend les deux amants. « Comme je te disais j'ai validé mon semestre et mon année. Je suis la futur chargée de la communication à Oxford en compagnie de ta chère Rae. Et mon père a voulu me félicitation à sa manière. Tu aimes ? » Un sifflement admiratif sort de ses lèvres alors qu'il regarde le magnifique véhicule. « Félicitation pour ta réussite mon cœur. J'ai tout de même un amour certain pour ma Triumph. Collection s'il te plaît ! Mais... Ta voiture correspond bien à ton état d'esprit n'est-ce pas ? » Il lui sourit alors qu'elle lui propose d'aller chez elle. Il lui fait signe d'attendre, court jusqu'à son propre véhicule et en sort un petit sac encore emballé.
Il revient vers elle avec un visage d'ange, on pourrait lui donner le paradis si il le demande. Enfin il monte dans la nouvelle voiture de sa femme et pose sa main sur la cuisse nue de cette dernière pendant qu'ils roulent jusqu'à son appartement. Le trajet est calme, ils reprennent leur esprit et leur souffle apparemment, surtout après le sport qu'ils viennent de faire. Toujours avec son petit sac sous le bras il sort de la voiture d'Alice lorsqu'ils arrivent, la suit chez elle et attend patiemment qu'elle ouvre la porte d'entrée. Une fois fait il la pousse dedans, ferme à clef après lui et la regarde avec un sourire. Toujours avec son rictus joueur sur le visage il la pousse vers la chambre de sa femme, la fait tomber sur le lit et s'agenouille devant elle. Lentement il fait remonter la jupe d'Alice jusqu'à sa taille, admire son sexe toujours trempe et sans lui laisser le temps de protester, glisse sa langue sur sa petite feinte humide. Il la savoure, apprécie sa féminité sur sa bouche. C'est une chose qu'il ne se lasse pas de faire depuis six années. Guidé par ses gémissements il s'amuse encore quelques minutes avant d'arrêter à l’extrême limite. Il ne veut pas la faire jouir ainsi. Pas encore. Alors il se relève, lui ôte sa jupe d'un coup sec ainsi que son débardeur. Elle ne porte ni culotte ni même soutien gorge, déjà ses seins pointes vers lui.
Lui de son côtés enlève la ceinture qui retient son jean. « Fais moi confiance. » Et doucement, il attache ses mains au dessus de sa tête, ne lui laisse pas le choix. Enfin il repart à l'entrée chercher le petit sac qu'il a laissé ainsi que dans la cuisine. Il ouvre le frigidaire, attrape des glaçons qu'il met dans un bol, une bombe de chantilly et même un paquet de m&m's. Fier de ses choix il revient vers Alice qu l'attend toujours, ouvre le sac qui renferme quelques trésors. « Vois-tu ma douce j'ai reçu il y a quelques jours des... Jouets pour nous. Je nous ai fait une folie et je voulais essayer... Tu me diras ce que tu en penses. » Il sort un bandeau noir et vient le nouer autour des yeux d'Alice pour qu'elle ne puisse plus rien voir. Il sort également deux pinces à téton qu'il règle, pour qu'elle ne fasse pas mal. Et intéressé par ce qu'il fait, il prend plusieurs minutes pour cajoler ses seins, faire durcir ses tétons avant de placer la pince sur chacune des petits boules de nerfs. « Tu as mal ? » Il refuse de lui procurer la moindre douleur alors il fait attention à ce qu'il fait. Enfin il plonge sa main dans le bol, en sort un glaçon et le met dans sa bouche. Il se rapproche d'Alice en enlevant sa chemise et son jean pour être plus à l'aise, il se retrouve en caleçon. Et joueur, il pose le glaçon contre la bouche de sa femme. Mais il ne lui laisse pas le temps de le prendre que déjà il le fait glisser dans son cou, entre ses seins, sur son ventre. Le plus intéressant arrive. Avec le morceau de glace il remonte jusqu'à son téton droit, il enlève la pince et joue dessus avec le glaçon plusieurs secondes. Il sait par expérience que c'est juste une jeux incroyablement bon et excitant.
Sans lui laisser le temps de redescendre de son excitation il fait de même avec son autre sein, savoure ses gémissements, se délecte de son excitation qui monte de plus en plus. Mais déjà le glaçon fond alors il le pose sur le ventre d'Alice, qui se soulève au rythme de sa respiration anarchique. Il vient lécher l'eau encore présente sur son corps, attrape un autre morceau de glace pour le mettre dans sa bouche. Et tout excité il s'agenouille encore devant elle. Sa bouche chaude, sa langue glacée et le morceau d'eau gelée vont faire bondir sa femme, il l'espère. Amoureusement il pose sa bouche sur le sexe trempe de sa femme, la lèche, joue avec elle, alterne entre sa langue et le morceau de glace. Il veut graver cet instant pour l’éternité, qu'elle se souvienne de lui, de ce plaisir a chaque fois que quelqu'un la frôlera.
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Sujet: Re: (terminé) Feel like teen spirit. ALIKIM [HOT -18] Sam 6 Juin - 3:35
Feel like teen spirit. Eliakim & Alice Alice avait parfois l'impression que le temps jouait contre elle, sans réellement comprendre pourquoi. Elle avait le sentiment d'avoir grandi trop vite, dans un monde complexe et si hypocrite qu'elle avait dû rapidement apprendre à y survivre. Dans ce monde elle avait vite appris à oublier ses idéologies de jeune fille. Les amitiés ne duraient que rarement, les amours étaient inexistantes, ou alors ils étaient arrangés. Elle restait persuadée que la seule véritable valeur restée l'argent et le pouvoir. Et l'un n'allait pas sans l'autre, c'était une évidence. Et pour obtenir l'argent et le pouvoir il fallait soit être née avec, soit travailler pour l'acquérir. Fort heureusement pour elle son père s'était chargée de travailler pour avoir cet argent, et elle allait hérité d'une entreprise internationale. Elle devra tenir l'entreprise d'une main de fer, et c'est surtout pour cela que son père l'avait élevée. Elle avait apprit à sourire, à jouer le rôle d'une jeune femme généreuse et douce, gentille mais charismatique, qui savait se faire aimer des autres, et respectée. Elle avait toujours maitrisée ce rôle à la perfection. Elle était restée accrochée à ses principes et ses idées pré-conçues durant des années. Mais avec Eliakim toutes ses évidences s'étaient envolées. Elle s'était mise à croire en autre chose qu'en l'argent et le pouvoir. Elle avait appris à aimer, à désirer, et à donner sans attendre en retour. Avant cela elle calculait toujours ce qu'elle faisait à tout moment pour recevoir quelque chose d'intéressant. Elle ne parlait qu'aux personnes qui avaient son rang, son argent. Des personnes qui sauraient lui donner un peu plus de crédibilité. Mais avec Eliakim s'était différent. Leur relation avait été cachée pendant longtemps, et dans cette intimité elle avait découvert des choses nouvelles : la confiance, la douceur, l'échange, le sexe. Eliakim lui avait tellement appris sur elle qu'elle n'arrivait pas à y croire. Elle avait l'impression d'avoir énormément changé depuis qu'elle était avec lui, et en même temps elle s'était rendue plus vulnérable. L'amour l'avait rendu plus humaine, plus douce, et plus vulnérable. Et elle avait appris à souffrir, réellement. Elle avait commencé à douter d'elle-même, de ses capacités à garder son homme auprès d'elle. Son homme qui pourrait lui échapper à tout moment. eT c'était la première fois qu'elle ressentait cette vulnérabilité et cette peur. Elle n'arrivait pas encore à y croire, mais c'était là en elle, c'était inscrit dans sa chaire. Elle devait vivre au jour le jour dans la peur que tout cela ne s'arrête soudainement. Et elle avait l'impression que tout ce qu'elle vivait avec plus d'intensité, plus de lumière, plus de couleur, et d'émotions. Elle goûtait à la véritable vie, à présent.
Ils se trouvaient dans le parking souterrain de l'Université, et Alice présentait sa nouvelle voiture à son amant retrouvé. Elle n'arrivait pas à croire à sa propre audace, mais c'était pourquoi là : ils avaient fait l'amour comme des fous dans une salle de classe, et elle avait l'intention de continuer à faire l'amour avec lui une fois arrivée chez elle. Elle espérait que son sexe pourrait tenir le choc, elle sentait déjà les tiraillement de son vagin la faire souffrir, mais elle s'en fichait. Elle en voulait plus encore, profitant de cet instant de grâce où plus rien d'autre ne semblait avoir d'importance qu'eux deux, leur corps rassemblés, et leur amour retrouvé. Mais pour l'heure ils avaient le droit à quelques minutes de tendresse et de calme jusqu'à l'appartement d'Alice. « Félicitation pour ta réussite mon cœur. J'ai tout de même un amour certain pour ma Triumph. Collection s'il te plaît ! Mais... Ta voiture correspond bien à ton état d'esprit n'est-ce pas ? » Alice leva les yeux aux ciels. Les hommes et leurs voitures. Elle adorait l'idée que son homme était un véritable macho parfois. Elle le voyait amoureux de sa voiture, en prenant soin comme si elle était la prunelle de ses yeux. Monter sur sa moto pour faire le tour de la ville. Boire une bière en rentrant du boulot, et se poser sur son canapé, crevée à cause de sa journée. Elle adorait ce côté si masculin chez lui. C'était une des choses qu'elle trouvait incroyablement sexy, tandis que d'autres femmes détestaient cela, vexée de temps de machisme. Quant à elle, elle adorait les belles voitures, et elle buvait aussi de la bières, mais uniquement en soirée. Elle était très fière de sa nouvelle Honda blanche, décapotable. Elle était magnifique, et sportive. « Ma voiture défoncerait ta Triomph dans une course... » Dit-elle en montant dans la voiture, la mettant en marche, faisant gronder le moteur avant de démarrer pour rouler jusqu'à chez elle. Une conduite un peu sportive, tout en restant prudente. Durant le trajet elle regardait son homme de biais, le trouvant incroyablement séduisant, et pour ne pas penser à autre chose, elle s'imaginait tout ce qu'elle pourrait lui faire. Elle s'imaginait le rendre fou encore et encore. Elle rougissait tant ses pensées étaient audacieuses. Elle avait des envies de plus en plus délirantes en ce qui concernaient le sexe, et elle espérait qu'il serait partant pour tout mettre en place. Elle pensait de plus en plus à ce que l'on pouvait appeler le SM soft : des pinces-tétons, des fouets, des menottes... Ce genre de chose qui l'excitait énormément sans qu'elle puisse réellement expliquer pourquoi. Et s'ils s'étaient déjà attachés, elle voulait aller plus loin encore.
Ils arrivèrent enfin chez elle, mais Alice n'eut pas le temps de fermer la porte après l'avoir ouverte. Eliakim était déjà sur elle, l'embrassant passionnément. Elle gémissait sous sa bouche, et entra chez elle. Les yeux dans les yeux ils se perdent un instant. Il la pousse jusqu'à sa chambre, et sans qu'elle ne comprenne ce qu'il se passe, elle est allongée, les jambes écartées et il se trouve entre ses jambes à lécher ses sexe goulument. Laissant sa tête partir en arrière elle gémit encore et encore, trouvant ce contact tout simplement divin, et parfait pour son sexe déjà irrité par le contact violent du sexe de son homme. Il sent l'excitation monter rapidement en elle, mais alors qu'elle est sur le point de jouir, il s'arrête, recevant pour toute réaction un grognement mécontent de sa femme. Elle tourne un regard outré vers son homme, sur le point de râler, voir de l'insulter ou de la supplier de la faire jouir sur le champ avant qu'elle ne le fasse elle-même. Mais Eliakim la prend de court : « Fais moi confiance. » Haussant un sourcil la jeune femme reste nue sur le lit, attendant que son homme apporte un sac qu'il avait amené dans sa voiture sans qu'elle ne cherche à savoir ce que cela pouvait bien être. Mais il semblerait qu'elle ne l'apprenne bien vite. Elle l'entend ouvrir le frigo dans sa cuisine, et il revient bientôt avec quelques petites choses à manger : de la chantilly, du chocolat, des fraises... Elle se mordille la lèvre inférieur. « Vois-tu ma douce j'ai reçu il y a quelques jours des... Jouets pour nous. Je nous ai fait une folie et je voulais essayer... Tu me diras ce que tu en penses. » « Je sens déjà que je vais adorer. » Dit-elle en lui offrant un regard séducteur et plein d'envie. Elle le voit sortir des bandeaux, des pinces-tétons, et de quoi s'amuser pendant un long moment tous les deux. Elle sent déjà venir une partie de sexe endiablée. Alors qu'elle est attachée au lit par la ceinture de son amant, elle se retrouve très vite les yeux bandés. Elle reste à sa merci totalement, se prouvant à elle-même qu'elle avait une incroyable confiance en lui. Elle ne bronchait pas, dans l'attente de ce qui allait bien suivre. Elle sent quelque chose de dur entourer ses tétons. Elle sert les dents, alors que les pinces se referme sur ses tétons pointés, et déjà dures à cause de l'excitation. « Tu as mal ? » Elle répond par un gémissement entendu. Elle se mordille l'intérieur de la joue, sous une douleur douce , mais agréable et surtout qui se répandait jusque son sexe. Elle était ivre de désir et d'envie de lui. « Non maitre... » Dit-elle comme pour rentrer dans son jeu. Très vite elle sent quelque chose de froid sur sa bouche. Elle mit du temps à comprendre ce que c'était : un glaçon. Sa peau brûlante semble soudainement trop étroite pour elle, le feu la consummant, tandis que son homme faisait glisser le glaçon sur sa peau. Le froid la rendait encore plus folle, et elle bougeait contre ce contact. Elle en voulait plus, tellement plus, et en même temps elle se délectait de ce contact. Le temps s'arrêtait sur ce moment si excitant et délectable. Elle voulait que le temps s'arrête, que cela continue à jamais. Elle sentait l'excitation monter une fois encore, gémissant sous le contact froid et chaud de son homme dont la bouche et le glaçon dansaient sur son sexe trempé. « Tu me rends folle... » Elle bougeait vers lui, ses hanches appelant son sexe. « Prends moi encore je t'en pries... c'est si bon... » Dit-elle en espérant qu'il allait la faire jouir, la prenant encore et encore, jusqu'à ce qu'elle en oublie son nom.
Eliakim A. Crowlley
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Sujet: Re: (terminé) Feel like teen spirit. ALIKIM [HOT -18] Sam 6 Juin - 22:14
Alikim for life !
« Feel like teen spirit. »
Il savoure le moment comme si c'était le dernier, comme si il n'allait plus jamais la voir. Comme si à tout moment deux mains allaient l'attraper par les hanches pour le tirer en arrière loin d'Alice. Pire encore comme si quelque chose allait le sortir d'un rêve un peu trop réel où il ne pourrait rien faire, car c'était ce qu'il avait l'impression de vivre. Un rêve, un cauchemars, sans savoir ce qui serait le mieux. Car malgré le fait qu'ils soient en train de faire l'amour il avait l'impression que plus rien ne serait jamais pareil, que Alice allait se lever et partir, le laisser seul avec le reflet de son âme partout autour de lui, de son esprit et ses espoirs brisés. Il s'accrochait à elle comme un damné, la gouttait, la savourait pour s'imprimer en elle et pouvoir repenser à cela quand le besoin se ferait trop présent. Mais sans expliquer pourquoi, il sentait une angoisse violente monter en lui. Trouvant cela inutile et obsolète il ferme les yeux pour penser à autre chose, se focaliser sur elle, sur Alice, sa femme, sa future épouse. Celle qui sera la mère de ses enfants car elle porte toujours leur enfant dans on ventre.
Ce dernier n'est pas encore rebondi et ce qui sera leur enfant est encore à l'état d'embryon, mais il s'imagine déjà père. Il sait qu'une émotion violente le traversa lorsqu'elle accouchera, il pleurera sans doute pour l'une des rares fois de sa vie, l'émotion lui fera verser plusieurs larmes alors qu'il prendra son enfant dans ses bras. Sa fille sera sa princesse, sa perle intouchable et si c'est un fils alors il voudrait lui apprendre la vie, la vraie et non pas celle que son père à voulu lui apprendre. Il ne veut pas commettre les mêmes erreurs, il tentera d'être un père exemplaire pour elle, pour ses enfants. Plus rien n'existera lorsqu'il aura son bébé contre lui, il sait d'avance qu'il le veillera, qu'il aura peur pour lui où elle. Que son torse deviendra le plus doux et chaud des refuge pour son enfant, il s'imagine déjà. Et c'est avec de genre d'idées en tête qu'il a prit l'habitude de s'endormir le soir, le sourire aux lèvres, de l'amour déjà présent dans le cœur.
C'est avec tout cet amour qu'il pose ses mains sur sa femme, pour la satisfaire, mieux encore l'honorer comme il se doit. Il l'aime et veut le lui montrer, la cajoler, lui prouver que elle seule compte, qu'elle est la seule femme au monde à pouvoir lui faire tourner la tête et que les autres n'existent pas, qu'elles ne sont que des pantins à ses yeux amoureux. Il l'embrasse, la touche, lui donne du plaisir juste pour satisfaire ses envies de femme enceinte, car elle ne s'en rend peut-être pas compte mais son besoin de sexe est en grande partie à cause des hormones. Elles commencent à s'affoler et font tourner la tête de la belle blonde, sans qu'elle ne puisse rien faire à cela. Alors qu'il joue avec elle, qu'il s'amuse de la voir ainsi soumise aux désirs de son homme il lui demande tout de même si il lui fait mal. « Non maître... » Murmure entre ses lèvres roses et pleine, il craque et se penche vers elle pour l'embrasser, elle est tellement belle. Elle rentre dans son jeux et pour la récompenser, enfin, Eliakim commence à l'honorer de sa bouche sur son sexe brûlant.
« Tu me rends folle... » Oui il sait, il en a totalement conscience. Elle gémit plus vite, plus fort, se cambre et se tord à son contact comme si il l'électrifiait. Il est incapable de se lasser de lui faire l'amour, elle est tellement parfaite lorsqu'elle prend du plaisir. Alors il s'arrête et la regarde faire, elle bouge vers lui, écarte plus les cuisses encore. Elle l'appellerait presque dans une danse de luxure. « Prends moi encore je t'en pries... c'est si bon... » Il sourit et lentement, lui enlever le bandeau qui lui cache la vue. « Je t'aime... » Murmure Eliakim avant de venir l'embrasser mais surtout, il ne la détache pas. Il enlève son caleçon et lentement, retourne Alice pour qu'elle soit sur le ventre. Il se place au dessus d'elle, son érection frotte sur les fesses de sa fiancée alors qu'il l'embrasse sur la nuque, les épaules et même le dos. Pendant plusieurs secondes il cajole sa peau, lèche et même lui mordille la hanche droite pour la faire ricaner. Enfin il se recule un peu d'elle. « A genoux. » L'ordre claque comme un fouet, tout comme la main du professeur qui s'abat sur une des fesses musclées de sa future épouse. Pas fort, juste assez pour la dominer et bien évidemment l'exciter. Une fois en position dites de levrette, pas facile évidemment car elle a toujours les poignets attachés, il se place derrière elle.
Doucement il entre en elle tout en se tenant par ses hanches. Il la pénètre entièrement, tape au fond de son sexe et s'arrête pour respirer un bon. La chaleur, le plaisir l'envahit alors qu'il ferme les yeux. Mais il n'a pas terminer de dominer sa femme alors de sa main droite il vient enrouler les cheveux blond de la belle autour de sa propre main et ainsi, il donne un premier coup de hanche. Il ne tire par sur sa crinière d'or, simplement il veut l'exciter assez. Il se doute bien que ce genre de pratique l'excite, elle est totalement trempe. Tout en tapant en elle il attrape le dernier glaçon qui n'est pas fondu, le pose sur le dos de sa femme et joue avec. Et il la fait sienne, encore et encore, jusqu'à la faire hurler à s'en abîmer les cordes vocales.
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Sujet: Re: (terminé) Feel like teen spirit. ALIKIM [HOT -18] Sam 6 Juin - 23:43
Feel like teen spirit. Eliakim & Alice Elle était tombée enceinte de l'homme qu'elle aimait. Elle n'avait toujours pas réalisé ce que cela signifiait mais quelque part au fond d'elle elle savait que ce genre de chose allait finir par arriver. Tout simplement car ils faisaient l'amour d'une manière si passionnée et naturelle qu'elle ne pouvait pas rester totalement hermétique. Ils ne se protégeaient plus depuis plusieurs mois. La ferveur de son amant avait fini par avoir raison de son corps, et un enfant était née de leur amour. Elle avait dû mal à s'imaginer maman. Elle était persuadée de ne pas être assez matûre pour cela. Elle avait déjà énormément de mal à arrêter l'alcool et les cigarettes pour le bien de son enfant, elle n'arrivait pas à admettre l'idée qu'elle allait devoir allaiter, faire des nuits blanches pour s'occuper d'un être incroyablement fragile, et dire adieu à une partie de sa vie d'adolescente puérile. Alice avait toujours pensé qu'elle resterait dans cet état d'entre-deux âges pendant encore longtemps. Elle ne se voyait pas comme une adulte, en tout cas pas vraiment. Elle vivait seule, certes, elle subvenait à ses besoins, certes, et il faut dire que l'héritage de sa mère, et l'argent que lui versait malgré tout son père aidait pour cela. Mais elle avait aussi gagné pas mal d'argent en travaillant pour Burberrys, et elle avait l'espoir de trouver un emploi l'année prochaine également. Pour le reste, elle travaillait plus pour le plaisir du travail que pour le besoin. Elle avait un compte en banque bien rempli et qui générait pas mal de bénéfice de plus. Mais à part cela elle n'avait rien d'une adulte. Elle passait le plus clair de son temps dans des soirées étudiantes où l'alcool coulait à flots. La majorité des invités finissaient dans des états lamentables ou ne se souvenaient plus même de leur prénom. Cela avait déjà été son cas, mais en général la jeune femme faisait en sorte de se souvenir de ce qu'elle pouvait faire en soirée. Tout du mois à son souvenir. Elle passait parfois plusieurs semaines à dormir la journée pour sortir toute la nuit. Elle mangeait n'importe comment, et ne se souciait pas des autres. Elle s'occupait principalement d'elle-même, de ses envies, de ses désirs. Elle avait du mal à ne pas être égoïste. Mais être mère cela signifiait penser avant tout à son enfant. Est-ce qu'elle en serait véritablement capable ? Alice se posait sincèrement la question. Est-ce qu'elle serait capable de penser à son enfant, de sacrifier une vie faite d'excès et d'amusement puérile pour se ranger et devenir une mère modèle ? Sans doute pas. Mais elle n'aurait pas le choix, et elle adorerait être mère malgré tout elle le savait. Car malgré tout depuis qu'elle avait accepté d'être la femme d'Eliakim elle avait commencé à fantasmer sur une vie de famille. Peut être pas aussi rapidement, mais elle voulait une vie de famille. La vie était décidément plein de surprise. Et pour l'heure elle jouissait de ses hormones de femme enceinte. Cela faisait plusieurs jours qu'elle avait envie de sexe, et encore plus d'Eliakim. Car l'un allait rarement sans l'autre dans l'esprit de la jeune femme. Et cette envie avait tendance à passer en priorité sur sa colère envers les actes d'infidélité de son fiancé. Elle passait outre, tant le besoin de l'avoir en elle, contre elle, autour d'elle était si intense. Elle avait envie de lui faire l'amour, de l'avoir pour elle, de se faire défoncer, de ne plus pouvoir marcher ou penser normalement. Jamais elle n'avait ressenti un désir aussi intense, aussi violent, aussi obsédant. Elle n'arrivait plus à penser normalement. Elle ne pensait plus qu'à Eliakim, son corps et sa manière si délicieuse de lui faire l'amour. C'est ainsi qu'elle s'était retrouvée à lui faire l'amour sauvagement dans la salle de classe. Et a présent chez elle. Elle n'arrivait pas à réaliser ce qu'il était en train d'arriver. Elle était nue, attachée, et les yeux bandés contre son fiancé. A sa merci, totalement soumise à ses envies, et elle en était folle. Elle gémissait, délirait complètement tant le désir était intense.
Sa chambre sentant les effluves de parfum, la luxure et le sexe. L'odeur entêtante lui donnait le vertige, et elle avait du mal à retrouver son souffle. Enivrée, amoureuse, elle perdait la notion de réalité, et elle savait qu'elle pouvait perdre pied à la réalité à tout moment. Elle pouvait lâchée prise, et ne plus être elle-même. Ne plus avoir aucune retenue avec son amant, ne plus mettre de barrière entre eux. Elle était en train de devenir à nouveau vulnérable. « Je t'aime... » lui murmura son amant alors qu'elle sentait un tendre baiser sur ses lèvres, et qu'il ôtait le bandeau de ses yeux. Elle cligna des yeux à plusieurs reprises, s'habituant à la lumière qui transperçait par la fenêtre de son appartement. Fermement il la force à se retourner, se mettant sur le ventre. Docile dans ses bras elle se laisse complètement faire, attendant avec envie de voir ce qu'il allait faire d'elle et de son corps vibrant. Elle sent la verge tendue de son amant contre ses fesses, et elle gémit contre ce contact si doux et prometteur à la fois. Elle en a envie, encore et encore. Son sexe s'humidifie encore, et elle se demande alors - non sans humour - combien de litre de cyprine elle pouvait encore produire. L'excitation qu'elle avait pour Eliakim était sans pareil. Elle s'étonnait elle-même de la réaction de son corps face à lui. Ses seins sont gonflés, et pointés, son sexe gonflé et sensibles, son envie inégalable. « A genoux. » Exige alors son maitre qui se trouve derrière elle. Malgré ses mains attachées, elle se met doucement sur les genoux, le visage contre le matelas. Elle se tourne pour regarder son amant d'un coin de l'oeil. Elle se mord la lèvre, sous le coup de l'excitation. Elle sent alors le sexe de son amant entrer dans son intimité, écartant les parois de son sexe encore trempé de sa dernière jouissance. Elle pousse un cri sous cette invasion, et dans un mouvement incontrôlable elle mène son bassin contre lui, faisant claquer sa verge dans son sexe. Elle le sent qui bouge, faisant des vas-et-vients lents et contrôlés dans son intimité. Elle laisse échapper des gémissements, et des cris de plaisir. Le plaisir ne monte pas en elle, il prend son corps entier. Elle n'est plus que plaisir, plus que désir, elle est une boule de nerfs prête à exploser à tout moment. Elle va perdre pied, elle le sent. Elle fait des mouvements pour aller contre son homme, le poussant à venir plus loin en elle encore. Si c'était possible. Elle sent qu'il prend ses cheveux dans sa main et la force à relever la tête. Dans cette position elle le sent complètement, pleinement en elle, et elle adore cela. Il touche son point G, le frôlant délicieusement pour qu'elle atteigne une orgasme sans pareil. Sans égale. Elle ouvre les yeux, sous la violence de cette invasion. « Oh mon dieu... C'est si bon... » Murmure-t-elle alors qu'il amplifie ses mouvements. Il ne pourra pas se retenir, elle le sait, elle le sent qui tremble contre elle sous la jouissance qui va venir. Elle tourne le visage vers lui et croise son regard. Un regard brillant et plein d'amour. Un instant qui leur échappe, qui leur appartient. Qui se fige dans le temps. Avant qu'ils n'explosent tous les deux de jouissance et de plaisir. Elle hurle, alors que son corps explose de plaisir, le feu prenant son être entier, et la consumant tendrement. Elle danse dans les flammes de la luxure. Son corps s'écroule d'épuisement, elle a du mal à reprendre son souffle, et elle sourit de bonheur. Elle se tourne vers Eliakim et s'approche de lui pour lui réclamer un baiser tendre. « Je t'aime... » Elle se met à rire, une chose qu'elle fait lorsqu'elle a atteint l'orgasme. Elle rit sans raison, juste parce qu'elle est bien, parce que son corps est empli d'endorphine. « Tu es définitivement beaucoup trop doué... C'était quoi ce... besoin de domination soudainement ? J'ai adoré... »
Eliakim A. Crowlley
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Sujet: Re: (terminé) Feel like teen spirit. ALIKIM [HOT -18] Dim 7 Juin - 22:32
Alikim for life !
« Feel like teen spirit. »
Tu fermes les yeux, au dessus de vous tu sens le soleil se couche doucement, la chaleur baisser et un léger vent frais caresser votre peau. Lentement elle vient contre toi, elle pose sa tête sur ton torses alors que d'une main câline tu viens caresser ses cheveux, jouer avec ses mèches blondes. Elle soupire de bonheur, de plaisir, tu ne sais pas mais tu partages cet instant et cette sensation avec elle. Ce bonheur, tu savoures l'instant comme si il n'allait jamais cesser. Les yeux clos tu respires à plein poumons le parfum de la femme que tu aimes, ainsi qu'une odeur d'herbe fraîchement coupée. Autour de toi quelques coccinelles se posent sur l'herbe trop haute, une fourmis vient même s'aventurer sur ta cuisse alors tu l'enlèves d'un coup de main habile. Tu ne sais plus qu'elle heure il est, quel jour nous sommes. Juste tu savoures, tu profites, cet instant de grâce et de plénitude totale. Tu es bien tu l'aimes, tu l'aimes tellement... Ton cœur explose...
Il explose en milles morceaux dans cette jouissance incroyable, tout son corps semble irradier de chaleur et d'amour, son aura passionnelle rejette tout ce qu'elle peut, se projette sur Alice et la fait hurler plus fort encore. Il ne contrôle plus rien, ni les battements de son cœur qui va s’arracher et s'envoler de son torse, ni sa respiration qui se fait plus rapide et plus violente, ni même ses gestes. Ses mains restent accrochée sur les hanches de la belle, s'impriment en elle. Il lui fait mal il le sait, lui même sent ses doigts craquer sous la force de son geste mais il n'est pas capable de réfléchir correctement pour l'instant, juste pour une seconde. Une seconde où le temps s'arrête, où il ne respire plus et où même son cœur rate plusieurs battements.
Et enfin il s'allonge sur le matelas, trempe de sueur et suffoquant. Il tousse même tant l'air qui pénètre dans ses poumons l'agresse. Il ne parle pas, il attend. Ses oreilles sifflent, ses forces l'ont quittés depuis bien longtemps. Alice bouge à ses côtés, le regarde, lui sourit. Il lui rend son sourire, amoureux, heureux. « Je t'aime... » Lui rappelle la belle alors qu'en quelques gestes il se rapproche d'elle, il ne sait pas comment il réussit à bouger mais en tout cas il a ce besoin de la sentir contre lui. Alors il la serre contre son torse, la câline, l'embrasse, sent son parfum et s'apaise automatiquement. « Moi aussi. » Répond Eliakim en écho avec sa déclaration. Et la belle Aphrodite se met à rire alors qu'il tourne vers elle un regard amusé, c'est une chose qu'elle fait souvent lorsqu'elle atteint l'orgasme. Ses nerfs lâchent, sa raison faiblit, elle rit comme une démente et il adore ça.
« Tu es définitivement beaucoup trop doué... C'était quoi ce... besoin de domination soudainement ? J'ai adoré... » Avec un sourire il pose sa tête sur sa main en la regardant, se laissant le temps de reprendre ses esprits encore avant de répondre. « Je ne sais pas... Tu étais offerte, tu m'as excité et pour une fois c'est moi qui te domine... » Murmure Eliakim avant de venir lui voler un baiser. Lentement il laisse sa main gauche glisser sur le corps d'Alice, caresser ses seins et jouer avec leur extrémité, câliner son ventre et ses cuisses avant de remonter sur sa poitrine. Il la trouve magnifique, d'ailleurs sans attendre il cherche hors du lit son jean, en sort son portable et prend une photo de sa femme ainsi. Nue, trempe, excitée, heureuse. Il hésite à la mettre en fond d'écran mais se souvient que Ethan le fils de son meilleur ami joue parfois avec son portable, alors seulement il la garde précieusement et revient vers Alice en souriant.
« Tu es fatiguée ma douce ? Tu... Ne veux pas attaquer l'ultime et dernier round... » Lance Eli' en souriant, tout en laissant sa main traîner sur le ventre de la belle. Alors sans cesser de sourire il laisse sa main glisser sur le sexe humide de sa fiancée, la caresser comme elle l'aime. Il ne met qu'une seconde avant de trouver ce petit point sensible et dur, jouer avec, le faire rouler entre ses doigts habiles. Il veut la rendre folle, qu'elle soit sure qu'aucun autre ne pourra jamais lui faire ça. Alors il se met à la caresser tout en l'observant, il l'admire et se mord la lèvre à l'idée de lui faire plus encore. Un dernier orgasme, une dernière jouissance avant de venir dans ses bras pour se reposer, s'endormir contre lui. Demain sera un autre jour, il sent que cette soirée changer çà jamais les choses. Sans savoir si c'est bon ou mauvais.
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Sujet: Re: (terminé) Feel like teen spirit. ALIKIM [HOT -18] Mer 10 Juin - 2:57
Feel like teen spirit. Eliakim & Alice Elle était allongée sur le lit, le souffle haletant, et le corps en feu. Son regard était ailleurs, dans un monde où il n'y avait plus de barrière, où la liberté était reine, et où les pensées d'Alice dansaient avec ses rêves et ses fantasmes. L'orgasme avait fini de détruire le peu de raison qu'elle possédait. La jeune femme était fatiguée, son corps ne pouvait plus supporter le moindre mouvement, elle n'arrivait plus à penser avec cohérence. Elle avait quelques images en tête, des couleurs se dessinant devant ses paupières ouvertes mais vitreuses. Elle ne savait plus où elle se trouvait, ce qu'elle faisait là. Elle avait l'impression qu'ils atteignaient un nouveau niveau dans la découverte de cette sexualité débridée qui était la leur. Derrière ses paupières, elle imaginait des scènes de temps anciens, de femmes nues courant dans les champs, d'homme virils chantant, de dieux et de déesses sous le ciel d'été. La logique était absente de ses pensées, et elle n'avait pas la force de les rendre crédible. Elle se complaisait dans cet état de béatitude stupide où elle se trouvait. Elle se tourna vers son homme et lui avoua qu'elle l'aimait. Et ce n'était que pure vérité, car malgré tout ce qui pouvait s'être passé entre eux, Alice était profondément et irrémédiablement amoureuse d'Eliakim. Elle le voulait contre elle, tout le temps, toujours, dans les moindres moments de sa vie. Elle espérait véritablement terminer son existence dans ses bras, construire avec lui quelque chose de profond et de vrai. Quelque chose qui existait de moins en moins dans la société moderne. Il avait fait une erreur, et elle avait encore du mal à ne pas lui en vouloir, mais elle y arrivait déjà beaucoup mieux. Ce n'était qu'une seule et unique erreur, ils pourront être plus forts que cela. Elle pouvait réapprendre à lui faire confiance, et lui ouvrit son coeur comme première étape de cette reconversion. « Moi aussi. » Elle sourit. Elle avait envie de le croire, et se dit que pour ce soir elle pouvait faire l'effort de ne pas remettre en doute ses paroles. Eliakim la regardait avec un air profondément amoureux. Elle se mit alors à rire, un rire cristallin et fatiguée, qui marque toute la joie de ce moment de retrouvailles. Car c'est ainsi qu'elle ressentait ces ébats, comme une retrouvaille inespérée. Elle s'étonnait cependant du caractère dominateur de son amant, et lui demanda d'où lui venait cette envie soudaine de la posséder aussi violemment. « Je ne sais pas... Tu étais offerte, tu m'as excité et pour une fois c'est moi qui te domine... » Elle sourit, et posa sa main sous son menton pour relever le visage vers lui. « Tu aimes dominer avoue le... » Dit-elle le regard plissé comme pour un interrogatoire. Il est vrai que la majorité du temps c'était la jeune femme qui dirigeait. Pas qu'elle n'aimait pas laisser faire Eliakim, ou qu'il ne cherchait à lui résister, mais elle avait cette prestance, et une telle fougue durant leur amour physique qu'il se pliait à ses exigences sans avoir le temps de dire quoi que ce soit - la plupart du temps. Alice jouait durant des heures avec le corps d'Eliakim. Elle aimait ce corps, qu'elle trouvait grandiose. Elle regarda son amant sortir du lit, totalement nu, le sexe encore à l'affût. Increvable, pensa-t-elle en souriant. Il prit son portable et prit quelques photo d'elle après la jouissance. Elle se mit à rire pour les clichers, jouant avec les coussins, et les draps pour se rendre désirable disait-elle. Elle le laissa prendre ses photos. Ce n'était pas la première fois qu'il le faisait, et elle avait confiance. Elle savait que ces images resteraient dans le cadre purement privé. Malgré tout, elle savait que jamais Eliakim ne lui ferait une telle chose. Quant bien même devait-il se doutait qu'elle serait exactement le genre de fille à détruire la réputation d'une autre en utilisant des photos affriolantes du genre. Passons. Quand se fut terminé il revint vers elle et se plaça juste au-dessus de son corps. Elle hausse un sourcil, dubitative. « Tu es fatiguée ma douce ? Tu... Ne veux pas attaquer l'ultime et dernier round... » Elle sent déjà les mains de son fiancé descendre vers son sexe, mais sous la douleur de son clitoris gonflée de sang, elle se tortillle : « Gosh... Il me faut ta langue, pas tes doigts. » Dit-elle alors qu'elle prend son bras entre ses doigts. Mais alors une nouvelle idée, une nouvelle envie lui vient. Et cela faisait bien longtemps qu'ils n'avaient pas fait ce genre de chose. Elle sourit, et prenant la main de son amant elle lécha les doigts qui étaient en contact avec son sexe. Sans détaché son regard d'Eliakim elle se pencha vers son oreille. « Ou alors il faudra faire preuve de plus d'audace encore... » Dit-elle en riant. Elle se leva, se mit à quatre pattes sur le lit, et tourna vers fesses vers Eliakim. « Ca fait longtemps qu'on a pas... tu sais ? Ca me manque... »
Eliakim A. Crowlley
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Sujet: Re: (terminé) Feel like teen spirit. ALIKIM [HOT -18] Mer 10 Juin - 22:31
Alikim for life !
« Feel like teen spirit. »
Il ferme les yeux, seul son rythme cardiaque parvient à ses oreilles alors qu'il sent une douce chaleur couler dans son corps, ses veines, sous sa peau. Se frayer un chemin jusqu'au extrémité de son corps et le fait frissonner. D'un coup il a froid et une seconde après il meurt de chaud, sa même pouvoir expliquer ce phénomène. Il se tourne vers Alice et lui sourit, ils sont heureux, ils s'aiment. Pour ce soir elle semble avoir oubliée ses vieilles rancœurs, sa colère et le mépris dont elle peut faire preuve à son égard. Juste pour ce soir du moins elle semble l'aime comme jamais, comme si sa trahison n'avait jamais existé et que lui seul était important à ses yeux. Pourtant il est incapable de se débarrasser de cette angoisse qui le prend à la gorge, le fait grimacer et lui donne envie de s'endormir pour ne plus penser. Ils sont ensemble, satisfait et elle se love dans ses bras alors il ne devrait pas penser ainsi.
Pour se changer les idées il vient câliner et caresser son corps, l'embrasser même amoureusement. Profitant de l'instant il laisse leur souffle se mêler, leur cœur battre à l'unisson comme un seul et même organe. Elle le rend vivant, il l'aime plus que tout. Son corps, son être est ancré à celui d'Alice, elle le marque comme un tatouage, une encre indélébile qu'il gardera jusqu'à sa mort. « Tu aimes dominer avoue le... » Lui dit-elle en lui relevant le visage. Il lui sourit, frappé par la beauté évidente de la femme qu'il va épouser. « Tu es tellement belle... » Et dans un souffle s'approche d'elle pour l'embrasser,goûter ses lèvres et se droguer à la saveur sucrée de sa bouche.
Mais l'envie toujours présente lui tord le bassin, il sait bien qu'il n'est pas encore rassasié de sa femme, il la veut une dernière fois. Avant de se laisser emporter par la fatigue il se relève sur le coude et commence à caresser la belle. Mais sa réaction ne se fait pas attendre, elle se tortille sous ses doigts et lui signale que c'est sa langue qu'elle veut. Il fronce les sourcils, comprenant qu'elle souffre évidemment. Après la partie de sexe qu'ils viennent de faire ce n'est pas étonnant. Le contraire même aurait été bizarre. Et de mémoire, c'est bien la première fois qu'ils font autant l'amour en une seule journée. Pas qu'ils ne se désirent pas où qu'ils n'aiment pas ça, seulement Alice est particulièrement active et affamée aujourd'hui. « Ou alors il faudra faire preuve de plus d'audace encore... » Lui dit la belle en se mettant à quatre pattes. Il la regarde faire sans comprendre, toujours posé sur sa main qui tient sa tête.
Il meurt de chaud et pourtant il est incapable de bouger, il la regarde, fasciné de la voir ainsi offerte au désir de son homme. « Ca fait longtemps qu'on a pas... tu sais ? Ca me manque... » Ho ! La lumière se fait dans son esprit alors qu'un sourire carnassier naît sur ses lèvres. Flatté il se relève et la fait se coucher sur le côtés. « D'accord mais pas ainsi... Plus tendrement... » Et doucement il se penche hors du lit pour attraper la poche laissée à l'abandon. Il en sort un préservatif et une bouteille de lubrifiant. Par principe il se protège lorsqu'il joue ainsi. Doucement il enfile la protection, fait couler une dose généreuse de lubrifiant sur ses doigts et vient préparer sa femme lentement. Il prend tout son temps pour ne pas la blesser, jouer avec, la faire languir avant de glisser deux doigts en elle. « Je t'aurais vraiment fait tout aimer bébé... » Il lui dit cela en riant légèrement, incroyablement fier de lui. Elle aime le sexe grâce à lui, toutes les pratiques, tout ce qu'il peut lui faire plaît à sa femme et il adore ça.
Enfin doucement il fait couler un peu de gel sur sa propre érection et se place derrière elle Dans cette position il peut la toucher, la caresser, l'embrasser dans le cou et mieux encore caresser ses seins. Sans cesser ses caresses il entre à peine en elle. Il sait comme cette pratique peut-être douloureuse alors il lui laisse le temps de s'habituer à sa présence. « Dis moi si tu veux arrêter... » Et lentement, tout doucement, centimètre par centimètre il entre totalement en elle. Quand son bassin vient se coller aux fesses plus que parfaite de la belle il ne bouge plus, l'embrasse dans le cou, cajole son corps. C'est étroit et chaud, incroyablement bon. Il doit se faire violence pour ne pas la prendre violemment. « Caresse toi... » Murmure le beau blond en entamant des mouvements amples et maîtrisés, très doux. Il l'embrasse dans le cou, la tient par la hanche, la fait sienne encore et encore. Même il imprime un beau suçon sur sa peau, dans son cou. Assez visible pour que tout le monde sache qu'elle lui appartient. Une seconde après il murmure quelques paroles incohérentes, tremble. Si elle savait tout ce qu'elle peut lui faire ressentir.
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Sujet: Re: (terminé) Feel like teen spirit. ALIKIM [HOT -18] Mer 17 Juin - 0:18
Feel like teen spirit. Eliakim & Alice D'avant en arrière, il venait contre elle pour la faire danser sous les étoiles. Douce et tendre princesse, elle ferme les yeux dans les bras de son prince et se perd dans la félicité de ce moment unique. Amoureuse, elle ignore que le monde autour d'elle est fait de personne cruelles et méchantes. Elle espère pouvoir élever des enfants, être heureuse, dans un conte de fée irréel. Réalité cruelle et morbide, qui assassine ses espérances alors qu'elle respire enfin. La liberté lui manque. Ses mouvements sont contrôlés par le bien vivre et la société, elle ne sait pas qui elle est, elle ne sait pas qui elle veut être. Elle ne sait pas. Tout la vérité est là, terrible à avouer, terrible à admettre. Elle ignore tout du monde qui l'entoure, à part comment vivre en son sein. Manger ou être mangée, prédatrice aux yeux de pierre, elle regarde les autres avec un air malsain, prête à leur sauter à la gorge au moment opportun. Désir incontrôlable, elle se trouve à nouveau dans les bras de son prince. Charmant et terrible, il lui fait l'amour avec une telle passion qu'elle en oublie son nom. Elle rêve de rester dans ses bras, de s'oublier à jamais dans cet instant magique. Êtres torturés, elle ne se doute pas cependant que cet équilibre précaire est sur le point de se briser. Elle rêve d'amour et de sexe, désireuse de troeuver encore une fois la satisfaction d'une étreinte charnelle. Elle lui demande de l'aimer encore, et pour toute réponse il l'embrasse. « Tu es tellement belle... » Evidence, instinctive du mâle qui souhaite voir en la femme qu'il aime la plus belle de toute. Mais elle sait que c'est la vérité, sa confiance ne peut pas s'ébranler. Elle s'aime, et ne le cache pas, narcisse des temps modernes. Méduses aux cheveux blonds, elle sait qu'elle plait, et elle joue de ses formes avantageuses. Alice sait comment plaire à son homme, comment l'exciter encore. Elle ne souhaite pas parler, elle veut le sentir aujourd'hui. Appartenance, c'est tout ce qu'elle recherche, la preuve qu'il est toujours à elle, qu'elle lui appartient, et qu'il la désire, car c'est de cela qu'elle a le plus besoin. L'amour n'est pas si simple. Dans les contes de fée il est présenté comme la chose la plus basique au monde, mais dans la réalité rien n'est plus douloureux encore. Elle s'est perdue dans cette relation, sans avenir le choc n'a été que plus violent. Mais l'espoir de pouvoir survivre à tout cela, d'aimer l'homme qu'elle s'était choisie est présent. L'erreur n'est-elle pas humaine, et pour une fois elle pourrait sans doute apprendre à le lui pardonner. Elle se tourne vers lui, son corps tendu vers son sexe déjà dur. Elle veut qu'il la prenne encore, mais son sexe douloureux la force à envisager de nouvelles pratiques. Ce qui n'est pas pour lui déplaire. Elle pense en son fort intérieur cela fait longtemps avant de se cambrer plus encore. Elle l'appelle, l'invite à la prendre comme il ne l'a que rarement fait, et déjà dans son regard elle retrouve la flamme d'un désir incontrôlé. Elle ne sait pas se refuser à lui, elle n'en ait plus capable aujourd'hui. L'envie la dévorer, la rendant folle. Elle rêvait chaque nuit encore de son corps dansant contre le sien. Eros l'étreint, faisant d'elle sa prisonnière sans qu'elle ne puisse se débattre. Elle à chaud, elle est en sueur, mais rien ne semble arrêter cette maitresse terrible. Elle regarde Eliakim et lui sourit encore, allant contre lui pour trouver le contact grisant de son corps sur le sien. Délire d'un amour charnel parfait, elle a l'impression d'être une boule de désir plus encore qu'une femme amoureuse. « D'accord mais pas ainsi... Plus tendrement... » Sourire sur le visage d'Alice, alors qu'elle se laisse tomber sur le côté auprès de son amant. Il se glisse contre elle et elle l'entend chercher quelque chose dans son sac. Se tournant elle le voit prendre un préservatif et se met à rire. « Ca fait longtemps que je n'en avais pas vu ... » dit-elle faisant référence à leurs nombreuses séances sans protection. Cela avait mené la jeune femme à tomber enceinte, ce qui n'était pas pour déplaire à son homme. Sans compter que de ce fait elle avait une envie dévorante de sexe, encore et encore. Elle en voulait plus, et il semblait prêt à le lui donner. Elle le voit se préparer, mettant le préservatif sur son membre tendu, le lubrifiant sur son doigt et sur l'antre serré de la jeune femme. Il entre en elle doucement, un doigt puis deux, alors que la jeune femme laisse échapper un râle de douleur et de plaisir face à cette évasion peu commune. « Je t'aurais vraiment fait tout aimer bébé... » « Pire encore... » Murmura-t-elle pour ne pas le contre-dire. Ce serait mentir que de penser le contraire, car dans ses bras elle avait tout appris, et il lui avait tout fait aimer. Il était doué, peut être beaucoup trop pour le propre bien de la jeune femme. Elle ne sait plus où donner de la tête, alors qu'elle se laisse aller contre lui. Il le sent qui s'approche plus encore, son sexe s'approchant d'elle. Alors elle inspire profondément, et en expirant elle tente de se détendre plus encore, quoi qu'elle est déjà sacrément détendue. Elle le sent alors entrer et se crispe un moment. « Dis moi si tu veux arrêter... » Elle secoue la tête, prenant le temps de s'habituer à l'invasion, se mordant la lèvre alors qu'elle savoure ce moment. Elle adore cela. Perverse et animale en matière de sexe, Alice n'aimait pas se refuser un plaisir, qu'importe la forme qu'il pouvoir prendre. « Caresse toi... » Grisée, elle sent qu'elle perd contenance. Sa main droite se glisse sur son entrejambe, et caresse doucement son clitoris dur et gonflé, douloureux mais plaisant. Elle ne le touche pas directement, mais fait des ronds autour pour stimuler son plaisir. Alors son amant reprend ses mouvements amples et elle se sent possédée, prise dans les méandres d'un désir incontrôlable. La bouche de son amant se pose sur son cou afin de sucer sa peau, lui laissant la marque indélébile de son désir. Jouissance, indéniable qui s'empare de leurs corps ainsi liés, dans un hurlement de plaisir délirant.
Elle ne sait pas combien de temps s'est écoulé, elle sait juste que la nuit est tombée à présent. Elle pense qu'elle s'est endormie, et Eliakim somnole à côté d'elle. Elle est nue, chaude, et en sueur. Elle tourne le regard vers une lumière qui soudainement l'agresse. Le téléphone d'Eliakim illumine la pièce, signifiant que son amant venait de recevoir un message. Curieuse et agacée par cette lumière soudaine la jeune femme se lève pour reprendre le téléphone. Elle tombe alors sur un Sms de Rae, et sur le coup elle hésite à en rester là. Mais le nom de Leigh s'affiche à plusieurs reprises dans le portable de son amant. Un nom que la jeune femme déteste par dessus tout. La curiosité est un mauvais défaut. A mesure qu'elle lit les messages elle comprend que quelque chose se passe. Les mots tendres, doux, la complicité transcendent les sms. Les réponses d'Eliakim sont sans doute les plus terribles : J'ai besoin de te voir. suivi de quelques détails charnelle : Un baiser, un calin ou plus encore. Les sms datent de la veille ou de deux jours avant. Elle ne sait plus. L'angoisse prend son ventre et son corps, la colère remonte encore plus terrible. Elle ne sait pas quoi faire, que dire. Alors une phrase simple la détruit définitivement : Et pour répondre à la dernière fois : moi aussi. J'espère que tu comprendras. Il l'aime. L'évidence d'une telle trahison lui éclate en plein visage soudainement, et elle voit rouge. Dans un geste de colère elle se tourne vers son amant et alors que les larmes jaillissent sur ses joues elle lance son téléphone sur son visage angélique. « Une caresse ? Un calin ? Un baiser ? » Commence-t-elle à hurler à l'encontre de son amant. La fatigue, le stresse, la colère, l'angoisse, la peur, l'abandon, tout s'écroule sur son coeur meurtrie et esseulé. Elle hurle comme une sauvage, essayant d'extérioriser sa rancoeur revenue soudainement. « Comment tu peux me faire ca ?? Comment tu peux me faire ca ?? ENFOIRE ! » Hurle-t-elle à son encontre refusant de se faire approcher, alors qu'elle cherche frénétiquement ses affaires dans la chambre. Elle hurle encore, comme une sauvage, se débattant avec ses émotions, et ses angoisses. L'évidence qu'il est retourné vers Leigh, alors qu'il n'était pas venue lui parler à elle. Alors qu'il n'avait pas cherché à la contacter, ou à lui parler. Il l'avait déjà remplacée. Il lui avait menti encore, et elle s'était laissée prendre. « Laisse moi ! Oublie moi ! Je ... Je ... » Elle s'arrête. Un moment terrible, un silence de mord, alors qu'elle se tord. Son ventre se tord dans une souffrance sans nom. Elle en perd le souffle et les mots. Elle s'accroupie sous la douleur soudaine et sens quelque chose lui couler sur les jambes. Un seul mot alors travers sa bouche comme un murmure morbide : « Non... »
Eliakim A. Crowlley
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☆ date d'arrivée : 08/12/2014 ☆ potins balancés : 5082
Sujet: Re: (terminé) Feel like teen spirit. ALIKIM [HOT -18] Jeu 18 Juin - 17:00
Alikim for life !
« Feel like teen spirit. »
Elle se laisse tomber dans ses bras alors qu'un orgasme incroyablement puissant traverse son corps, la fait trembler et suffoquer. Il la serre contre lui, l'embrasse, la caresse, la cajole comme un trésor précieux qu'on ne veut pas briser. Enfin il se laisse tomber sur le dos, ouvre son bras vers elle alors qu'elle vient se lover contre son torse couvert de transpiration. Ils sont bien, heureux, amoureux et pleinement satisfait de cet ébat. Il ne se souvient pas de la dernière fois où ils ont fait l’amour ainsi, avec autant de passion et d'envie. Autant avouer que la colère est une excellent aphrodisiaque, il en est certain alors qu'il la voit fermer les yeux et somnoler. Il sourit, l'embrasse et lui murmure une dernière fois qu'il l'aime avant de se poser et de se détendre dans les draps défaits. Morphée l'emporte dans un monde qui lui appartient alors qu'il se laisse bercer par la respiration calme et posée de la belle.
Mais quelques secondes, minutes, heures il est réveillé par un hurlement. Il ne sait pas depuis combien de temps il dort mais en tout cas un projectile arrive en plein dans son visage alors qu'il ouvre les yeux sans comprendre. Où est-il ? Avec qui ? Quel heure il est ? « Une caresse ? Un calin ? Un baiser ? » Il regarde Alice nue devant lui, la rage déformant ses trais alors que son téléphone gît à côtés de lui. Il fronce les sourcils, attrape le cellulaire et lit les quelques mots de Leigh. Elle a fouillée son téléphone et bien évidemment, elle se fait des films alors qu'il n'y a pas lieu d'être. « Alice... » Mais elle pousse un autre hurlement alors qu'il n'arrive même pas à placer un seul mot entre les cris de sa fiancée. « Comment tu peux me faire ca ?? Comment tu peux me faire ca ?? ENFOIRE ! » Il se lève d'un bon, enfile son caleçon, son jean et son tee-shirt. Il essaye tant bien que mal de s'approcher d'elle, de lui expliquer que ce ne sont que des mots, que rien ne c'est passé entre Leigh et lui.
« Laisse moi ! Oublie moi ! Je ... Je ... » Et ses mots se perdent dans le silence alors qu'il voit une traînée rouge carmin couler des jambes de sa femme. Elle se tord dans un hurlement de pure douleur, il se précipite vers elle aussitôt. La panique le fait divaguer une seconde, il ne sait pas quoi faire. Mais avant qu'elle ne puisse dire quoi que ce soit, il fonce dans la salle de bain, attrape un peignoir qui doit sans doute appartenir à Oliver et revient vers la belle. Il la force à mettre le vêtement et alors qu'elle tente de le repousser, il la porte dans ses bras. Légère comme une plume il sort de l'appartement à une vitesse ahurissante, Alice dans les bras. Il ne sait même pas si l'appartement de la belle est fermé à clé, en tout cas il réussit à fermer la porte de chez elle. Laissant Okla' toute seule, il dévale les escaliers avant de foncer à sa voiture. Il déverrouille son véhicule et aide la belle à monter dedans. Sans un mot, le visage fermé il monte à ses côtés.
Il roule bien trop vite, ne respecte pas les feux et se fait même siffler par un agent de police mais il s'en moque. Aussitot qu'il arrive aux urgences la belle est prise en charge. Il reste là, planté au milieu du hall des urgences à regarder la porte par laquelle Alice vient de disparaître avec une foule de médecins et infirmières. Il est là et quelque chose se brise en lui. Le bébé... Son bébé... Son enfant. Elle va perdre leur enfant. L'évidence se fait dans son esprit alors qu'il se laisse tomber contre un mur, adossé au sol il prend sa tête entre ses mains et attend. Une heure, deux heures... Il ne sait pas combien de temps il reste là. Quand il lève la tête dehors le soleil commence à se lever. Alors il aura passé une bonne partie de la nuit à fixer le sol comme un fou.
« Monsieur ? Vous attendez qui ? » Il sursaute et se tourne vers un homme en blouse blanche ? Ce dernier affiche un regard compatissant et un sourire très doux. « Alice... Kensington. Je l'ai emmenée il y a plusieurs heures et je n'ai aucune nouvelle. » Le médecin hoche la tête, lui demande d'attendre et part à l'accueil. Eliakim ne sait pas combien de temps il attend mais l'homme revient bien vite vers lui, un air terriblement désolé sur le visage. « Vous êtes qui pour Mademoiselle Kensington ? » Eli' se lève péniblement et s'arrange comme il peut, honteux car il est complètement dépareillé. « Son fiancé. » Le médecin baisse la tête, semble chercher ses mots. « Écoutez Miss Kensington à été transférée je n'ai pas le droit de vous dire où. Elle refuse que l'on vous en dise plus seulement sachez qu'elle était enceinte et qu'elle... A perdue le bébé. » Une douche froide, glacée coule dans ses veines alors que plusieurs larmes roulent sur ses joues. Eli' baisse la tête et un sanglot déchirant sort de ses lèvres. « Je suis sincèrement désolé de vous demander ça mais... Voulez-vous vous occuper du corps ? » Il hoche la tête alors que le médecin pose une main réconfortante sur son épaule. De longues nuits et journées vont commencer. Il va mettre son enfant en terre, seul.