[Hot] Il y a 6 ans... Alikim.

Six year earlier.
Eliakim & Alice
« Qu'est ce qu'elle a ? » D'un geste de la main Alice efface la question d'Eliakim. Une peine de coeur ? Un père instable ? Flashée sur le professeur qui est maintenant à moi ? Que pouvait-elle dire pour ne pas passer pour une folle furieuse ou pour ne pas le faire fuire ? Rien sans doute, à part le féliciter et l'embrasser comme elle en avait terriblement envie depuis qu'il était entré dans la pièce. Elle ne comprenait pas ses hormones d'adolescentes qui semblaient se réveiller maintenant. Elle était incapable d'être dans la même pièce que cet homme sans avoir instinctivement envie de le toucher, de l'embrasser, de le rendre fou. « Tu peux me féliciter en effet... J'ai trouvé des mécènes ! » Elle applaudit, heureuse pour lui, avant de venir picorer encore un peu sa bouche. Elle avait envie de passer un moment avec lui, sans se poser la question du qu'en-dira-t-on ou de la morale. Elle avait une envie violente de le sentir à nouveau proche d'elle, et elle sentait en lui que cette envie était partagée.
Elle avait souvent entendu dire que les hommes qui multipliaient les conquêtes ne revenaient jamais deux fois sur le même corps, mais il ne semblait pas gêner par cette perspective, ce qui rassura Alice. Elle avait envie de le gouter à nouveau d'être à nouveau contre lui, sous-lui, se laissant aller dans les vas et viens langoureux de son corps contre le sien. Elle sentait déjà l'excitation monter en elle alors qu'elle se remémorer les images de la veille. Elle rougit aussi un peu, au souvenir de sa propre fougue. Cette fois elle n'avait pas l'alcool pour la libérée, elle était totalement elle-même. « Si tu as un repas décommande. Si tu avais cours... Alors tu seras absente pour aujourd'hui. » Elle se mordit la lèvre inférieure et ne lâchait pas son regard, alors qu'elle répondit d'une voix rendue aussi roc que la sienne pour l'excitation. « J'avais déjà prévu d'être toute à toi... » . Il la prend alors violemment par la main pour l'amener dans les coulisses des salles de conférences. Un lieu où les élèves non conférenciers n'étaient pas conviés évidemment. Elle pourrait avoir quelques problèmes à se retrouver là, surtout avec un professeur. Surtout pour ce qu'ils s'apprêtaient à faire. Mais elle n'en avait cure, elle suivait Eliakim, rapide, jusqu'à sa loge. Il ferma la porte derrière elle à clé, et elle l'attendit, en prenant appuie sur un petit bureau qui se trouvait là déjà.
Tel un félin il s'approche d'elle et vient attaquer sa bouche. Elle lui répondit avec fougue, un râle de plaisir s'échappant de sa gorge alors qu'elle se laisse aller contre lui. « Je vais te montrer ce qui est le plus excitant, le plus dangereux et pourtant tellement grisant... » Elle tremblait de désir, et lorsqu'il arracha son chemisier elle laissa échapper un cris de surprise. « Fais moi confiance... Tu vas aimer. » « J'aime déjà... » Elle regarda les boutons voler dans la pièce, et sa poitrine gonflée et pointée se dévoiler vers lui. Il pose déjà sa main sur sa poitrine galbée et la cajole. Alors elle jette sa tête en arrière, avançant sa poitrine vers lui pour qu'il soit plus violent, plus passionné. Elle a tellement envie de plus. Elle sent la main d'Eliakim derrière elle venait défaire son mince tissu pour libérer sa poitrine avant qu'un contact mouillé et doux ne l'excite d'avantage. La langue d'Eliakim passe d'un téton à l'autre avec une rapidité folle. La jeune femme attrape la tête du bellâtre pour l'inciter à être plus dur encore, la mordillant, la rendant complètement impatiente. Et trempée, elle sentait l'excitation couler le long de ses jambes...
Et il n'en faut pas plus pour que le professeur vienne toucher le sexe de l'adolescente. « Tu es déjà trempe... » Elle essaie d'intensifier le contact sur son sexe, mais il le lui refuse, jouant avec ses nerfs, la rendant folle. Alors elle décide de prendre les devants et baisse sa main jusqu'à la bosse sur le pantalon du professeur. « Tu es déjà dur... »  Dit-elle en le regardant droit dans les yeux.
Alors que ses mains tremblent elle trouve le moyen d'ouvrir la fermeture du professeur, d'ôtant son pantalon et son bas pour libérer son pénis tendu. Elle ne le prendra pas en bouche, elle ne le prendra pas en main. Elle sort de son sac un préservatif qu'elle présente au professeur. « Baise moi. » Ordonne-t-elle.

Six year earlier.
Eliakim & Alice
Elle n'est plus qu'une boule de nerfs et d'excitation. Elle voit trouble, elle ferme les yeux, et toutes les sensations qui brûlent son corps la rendent pantelante. Son sexe lui fait mal alors qu'il l'écarte à nouveau, mais elle s'en fiche, elle le supplie d'aller plus vite, de la baiser, de la faire sienne. Le besoin qu'elle ressent d'être à lui à cet instant n'a aucune logique. Elle en a besoin. Elle a l'impression de l'avoir attendu depuis des années, mais qu'il arrivait dans sa vie quand elle s'y attendait le moins. Elle ne le connait pas, elle ne sait pas qui il est, elle ne sait rien de lui à vrai dire, mais elle ressent une chose qu'elle n'a jusqu'alors jamais ressenti envers personne : la dépendance.
Elle n'est pas une droguée, elle n'est pas une junkie, et jusqu'à la veille elle était encore vierge. Sa drogue à elle c'est le pouvoir, les manigances, la manipulation... mais cela n'a rien à voir avec la dépendance à la peau, au sexe, et aux baisers d'Eliakim. Elle l'avait découvert il y a moins de vingt-quatre heures, et déjà elle avait le sentiment qu'elle ne pourrait plus s'en passer. Ce n'est pas tant le fait que le sexe soit absolument fabuleux, mettant à mal toutes les rumeurs qu'elle avait pu entendre sur la question. Il y a quelque chose chez lui qui la touche tant et si bien qu'elle ne pourrait pas s'en passer. Elle est droguée à son regard, à cette lueur qu'elle n'arrive pas à expliquer. A ces baisers désespérés, à cette étreinte violente et passionnelle. Comme s'il avait besoin d'elle. Comme s'il ne pouvait plus s'en passer lui non plus. Elle jette sa tête en arrière alors qu'il tape en elle durement, et retient un cris en se mordant la lèvre si fort qu'elle se met à saigner. Il a le visage dans son cou, et la jeune femme sent sa peau qui se tortille et qui brûle, qui chauffe et qui rougie. Il la marquait, il l'a faite sienne à présent.
Il vient en elle, alors que la jeune femme se retrouve terrassée une fois encore par un orgasme puissant. Sur le bureau, qui tape contre le mur, elle est à moitié nue, totalement offerte au regard de cet homme incroyable. Elle s'est laissée aller à lui faire l'amour encore, à le laisser lui faire l'amour encore. Elle est devenue folle, et envieuse de le sentir plus près. Mais son sexe devient violemment douloureux, et elle grimace quand il sort d'elle. Elle le laisse se défaire du préservatif, et s'assoit sur le bureau en face de lui. Alors qu'il revient vers elle elle met ses bras autour de son cou et l'approche d'elle pour un baiser. Différent des autres celui-ci est naturelle, doux, presque amoureux. Alice ne réalise pas, elle fait les choses sans même y penser. Elle reprend son souffle difficilement et quand elle croise le regard d'Eliakim elle sourit et lâche un rire heureux. « Vous êtes définitivement bien trop doué Professeur. » Dit-elle en embrassant son nez, sa joue droite, sa bouche... Elle a envie de le sentir, de douceur, de caresses. Elle est encore sous l'euphorie de leur étreinte et a dû mal à penser avec cohérence. « Je pense que tu vas faire de moi une véritable perverse. » Dit-elle en haussant un sourcil alors que les images de leurs étreintes depuis la veille dansent dans sa tête.
Elle aura du mal à passer à autre chose, elle ne pourra jamais oublier. Il est encré en elle à présent, il fait parti intégrante de celle qu'elle est. Elle ne peut plus se défaire de son étreinte, elle ne peut plus se soustraire à son regard. Elle existe uniquement pour lui. Elle se découvre différente, elle se dévoile. Elle s'est trouvée. « Je crois que ... je suis en train de devenir accroc... Est-ce grave ? M'autoriserais-tu à ... renouveler cette délicieuse expérience plus d'une ou deux fois ou est-ce contre tes règles de tombeur ? »  Demanda-t-elle sur le ton de la taquinerie, alors qu'elle sent l'angoisse qui la prend. Elle a besoin de cela, elle a besoin de lui. Il fait ressortir une chose en elle qu'elle ne connaissait pas, et elle ne sait pas encore ce que c'est. Mais c'est vitale. Elle ne peut plus quitter Eliakim Crowlley à présent.

Six year earlier.
Eliakim & Alice
« Ce n'est que le début ma chère... »  Elle sourit. Le début d'une aventure exceptionnelle sans nulle doute. Ses mots sonnent comme une promesse. Une promesse ensemble, de vivre quelque chose d'unique. Elle ne veut pas penser à plus, aller plus loin dans ses fantasmes. Elle espère juste avoir l'occasion de l'embrasser, et de lui faire l'amour encore. Le sexe avec lui était véritablement délicieux, et elle doutait que ce soit le cas avec tout le monde. De toute façon Alice n'était pas du genre à coucher avec n'importe qui. Elle ne collectionnait pas les conquêtes, elle ne l'avait jamais fait, et avoir découvert le sexe ne changerait sans doute pas cela. Elle était toujours la même. Avec la même morale, et les mêmes valeurs. Mais avoir l'envie d'en découvrir plus encore. Elle voulait s'enfoncer dans la dépravation et la débauche avec lui. Il éveillait ses sens, son corps semblait être neuf. Elle grandissait. Elle devenait une femme et elle adorait cela. Elle se sentait séduisante, sexy, séductrice. Elle se sentait belle et désirée, et il n'y avait rien de mieux pour son orgueil et son amour personnel. Elle soutenait son regard et sourit. C'était délicieux, nouveau et enivrant. Elle n'arrivait toujours pas à réaliser ce qu'il était en train de se passer.
Alors, dans un élan soudainement plus osé elle lui demanda s'ils remettront cela, s'il acceptait entre autre chose qu'elle entre dans sa vie sur le long terme. Ou en tout cas pour se faire plaisir de temps en temps. Elle ne pouvait pas imaginer autre chose. Elle connaissait sa réputation, elle avait pu constater qu'il était un homme séducteur et joueur. Les sentiments qu'elle commençait déjà à ressentir ne devaient pas entrer en ligne de compte. La fille ne termine jamais avec le mauvais garçon, elle épouse le prince. « Je pense que nous devrions arrêter maintenant Alice. » Elle perd alors son sourire. Prise au dépourvue, elle se sent bête et exposée. Il ne veut pas continuer ? Son orgueil est touché à vif, et elle sert alors les cuisses, se refusant à s'exposer plus à son regard. Elle prit les pans de sa chemise brisée, et essaie de se soustraire aux yeux du sournois. Elle est vexée, profondément. Mais cela en plus semble faire rire le bellâtre qui la retient malgré sa mine boudeuse. « Quand tu voudras, je serais totalement disponible pour toi. Et je ne suis pas si tombeur que ça... » Elle sourit, et se détend presque aussitôt. Elle retrouve son sourire et se penche vers lui. « Quand je veux ? » demande-t-elle d'une voix osée, coquine, joueuse. Elle commence déjà à imaginer des situations terriblement excitante, ou des choses qu'ils pourraient faire tous les deux. Juste pour le plaisir, entre adultes consentants. Le souvenir de son corps musclé, de son sexe tendu vers elle et de sa langue sur son sexe la fit gémir doucement. Elle sert les cuisses, et inspire profondément pour se calmer. Il avait ouvert les portes du plaisir et elle en était à présent l'esclave soumise.
Elle ne souleva pas sa dernière remarque. Tombeur il l'était elle en restait persuadée. Elle ne devait pas s'attacher, elle ne devait pas tomber amoureuse. Elle devait simplement profiter de sa présence, de ce qu'il pouvait ou voulait lui faire. « Tu es spéciale... Vraiment... » Elle croise à nouveau son regard. Spéciale ? Elle l'était sans doute oui. Mais que voulait-il dire par là ? Elle ne devait pas le savoir. Elle ne devait pas entrer dans ce jeu-là. Elle ne devait pas essayer de comprendre, ou d'analyser ce qu'elle-même ressentait aujourd'hui sous le regard du professeur. Il restait un professeur, elle était une élève. Elle était encore vierge la veille, il enchainait les filles d'une nuit. Ils venaient de deux mondes différents. « Tu es unique. »  Dit-'elle sur le même ton, assumant cet état de fait. Il était le premier. Et il sera à jamais le seul…