| Sujet: elliot – i want to hide the truth. [+18] Dim 31 Jan - 13:16 | |
| Elliot McTavish You'll never know the top till you get too low
identification complète Elliot, William McTravish, nom qui lui colle à la peau, dont il ne se séparera jamais, nom qu'il déteste, unique héritier, perdu dans ce monde cruel. âge Trente-trois ans depuis peu. lieu/date de naissance Le douze janvier de l'année mille neuf cent quatre-vingt-trois à Edinburgh. études suivies et année Il s'est rapidement intéressé à la littérature de toute horizons, âme plus sensible qu'on ne le croirait, c'est naturellement qu'il s'est tournée vers cette filière quand le choix de ses études c'est imposé. job professeur de littérature à la plume sensible et raffinée qui ne sait pas ce qu'il fou dans cette université. orientation sexuelle Bisexuel, il ne sait pas lui même s'il s'assume ou non, il n'a jamais eue l'occasion de s'afficher avec un homme, il n'a jamais réellement eue l'occasion d'avoir une aventure avec un homme, mais quand ses pensées se tourne vers une certaine personne, il ne peut empêcher son cœur d'accélérer, même s'il le nie profondément. statut célibataire, il n'a pas le temps pour ces conneries. statut social ££££ caractère perdu, froid, tourmenté, sombre, en colère mais derrière cet homme tourmenté se cache une grand sensibilité, un homme brisé qui rêve aux histoire qu'il lit dans les bouquins, il cherche la paix intérieur, il cherche à se racheter, il cherche un absolu qu'il n'atteindra jamais. groupe HARD WORKERS. avatar Hugh Dancy le magnifique **.
Welcome to the jungle 23 ans de vie en écosse oblige, l'accent roule sur la langue et passe entre les lèvres, discret, mais bien présent, il semblerait vouloir coller à la peau d'Elliot qui ne cherche qu'une chose, s'en détacher enfin – Il se laisse facilement bercer par les mots, avide de littérature en tout genre, il est capable de passer une journée entière sur un livre sans faire autre chose, simplement savourer les mots et leurs exactitudes, le paradis qu'il recherche, le paradis qu'il n'atteindra jamais – Ses mains sont rougies pas le sang, son âme souillée par son père et son corps abimé par la vie, il est un homme brisé et anéanti, il se consume à petit feu et bientôt il ne restera plus rien, incendie ravageur et incontrôlable de son cœur – Elliot rêve, il rêve d'un monde meilleur, d'un monde dans lequel il aurait réellement sa place, un monde dans lequel on ne le jugerait pas sur ses actes passé, sur un putain de dossier juridique qui lui colle à la peau, un péché duquel il veut se faire pardonner – Il n'a jamais connu les joies d'un amour pur et profond envers une autre personne. Certes, il s'est déjà laissé succomber au plaisir de la chaire, il a même voulu oublier en tombant dans le cercle infernal de la dépendance au sexe, mais il n'a jamais fait cela par amour sincère – Les dettes qui s'accumulaient, il n'a eue d'autre choix que d'accepter ce poste de professeur, ses capacités devançant pour une fois sa réputation, job dont il ne veut pas, gamin qu'il croise trop souvent au détour d'un couloir, cœur si se serre et cette envie de le revoir qui le ronge – Elliot, il est bouffé par ses démons, son cœur se résume à une plaie béante qui est loin de cicatriser, dont le liquide carmin s'écoule lentement, mais surement, l'énergie de se battre le quitte peu à peu, il sombre, ne vas pas tarder à tomber dans ce gouffre abyssal.
The story of my life
Ecoute moi crier aux portes de l'enfer, regarde moi tomber, sans plus personne derrière, redevenir poussière ...
Un cri silencieux, la douleur qui se répand une nouvelle fois dans tout son corps, corps trop faible, il a l'impression que tous ses os se brisent sous la puissance du choc et les larmes envahissent son visage enfantin. Elliot tente de fuir, il s'accroche au tapis sur le sol et tente de se hisser le plus loin possible de son bourreau, mais il est trop jeune, trop petit, trop faible pour résister à l'homme qui attrape sa cheville et l'attire violemment à lui, le dos du gamin frotte contre le sol sans aucune délicatesse et un coup de poing atterrit dans son ventre, son souffle est coupé un moment et s'en suit une crise de toux laissant s'échapper un filet de sang d'entre ses lèvres fines. Puis vint le calme, enfin, le bruit de l'homme qui s'éloigne, sort finalement de la pièce et la porte qui se ferme, la clé dans la serrure, Elliot se recroqueville sur lui-même, toujours figé au milieu de la pièce, gout métallique dans la bouche, yeux embués de larmes et corps meurtri, il ne s'agit là que d'une journée affreusement banale. Attendre, il n'a plus que cela à faire, attendre que son père décide s'il a le droit de manger ce soir ou non. Les larmes silencieuses continuent de couler le long de ses joues sur son visage indemne, stratégie ignoble, ne jamais toucher au visage du gamin et prétexter que les bleus sur son corps ne sont simplement que le résultat de sa maladresse, Elliot n'a que 10 ans, mais il peut déjà dire qu'il hait son père au plus haut point. Sa mère n'est pas là, elle n'est pas là pour protéger son fils, elle n'a jamais été là, morte en couche et tous les coups ne sont là que pour ça, que pour punir le gamin de la mort de sa mère et Elliot accepte, parce qu'il n'a d'autre choix, demain sera une autre journée, sans doute plus douloureuse encore, de nouveaux coups à dissimuler au monde, faire comme si tout allait bien, toujours, façade funeste.
Cela fait cinq années qu'il ne pleure plus, qu'il n'offre plus cette récompense à son père, à ce monstre qui se dit père, cinq années qu'il lutte. Gamin de seize ans qui fait tout pour retarder l'heure où il rentrera chez lui, pour retarder la sentence qui l'attend à la maison. Mais ce soir, c'est différent et lorsqu'Elliot franchit la porte de la maison qui lui fait tant peur, son père n'est pas seul. « Elliot mon amour, viens par ici. » Il déglutit, il ne sait pas ce qu'il attend, retire lentement sa veste et laisse son sac trainer dans l'entrée, retire ses chaussures et s'avance lentement dans le petit salon et son regard se porte vers l'homme qu'il ne connaît pas, une trentaine d'année et au regard tout aussi froid que celui de son géniteur. « Elliot, je te présente un ami très proche, tu vas passer la soirée avec lui, tu seras sage, n'est-ce pas ? » Il panique, son rythme cardiaque s'accélère, il est habitué aux coups de son père, il frappe toujours au même endroit, Elliot peut s'en préserver un minimum, mais cet homme … cet homme ne lui inspire rien de bon. « Oui. » un murmure, un souffle, la soumission, il baisse les yeux, évite de croiser ceux de son père, son ventre se noue, il a envie de vomir, de fuir le plus loin possible, mais c'est trop tard. « Et si tu lui montrais ta chambre ? » Ses lèvres se pincent et lentement, il s'exécute, ramasse au passage son sac de cours tandis que l'autre homme le suit dans l'escalier qui mène au premier étage, ses mains tremblent et il tente de cacher le malaise qui menace de l'emporter. Elliot a à peine le temps d'ouvrir la porte de sa chambre que l'autre l'homme la déjà poussé violemment à l'intérieur et fermé la porte derrière lui, Elliot se rattrape de justesse sur le sol, ses mains heurtant le parquet avec violence. Il serre la mâchoire, aucun bruit ne s'échappe d'entre ses lèvres tandis que l'homme le force à se relever et le pousse sans ménagement sur le lit, le bloquant sur le ventre avec son simple poids. Elliot tente de se redresser mais l'autre est trop grand, trop lourd et ses yeux s'écarquillent de terreur quand il sent l'érection de cet inconnu frotter contre sa cuisse. C'est tout ce que son père à trouvé, une nouvelle punition, Elliot se débat, il se débat comme il peut ,mais il est trop faible, son corps trop meurtris par les coups de son géniteur et il ne peut que subir, les larmes menaçant d'inonder son visage une nouvelle fois.
Il ne sait pas pourquoi, il ne sait pas pourquoi ce couteau de cuisine se trouve dans sa main, ce soir, Elliot est près à affronter son père qui l'a battu, humilié, qui l'a laissé se faire abuser par un homme. La colère galope dans ses veines et sa poigne sur le couteau est certaine, il a réussi à fuir son père durant quelques instants mais ce dernier ne va pas tarder à arriver furieux de voir son fils se rebeller après 23 années de torture. Et quand son géniteur arrive dans la pièce il ne remarque pas l'arme et veut simplement foutre une bonne raclée à ce fils désobéissant. La lame s'enfonce trop facilement dans la chaire, brise les tissus et laisse le sang s'écouler d'une plaie profonde sur l'abdomen, père et fils sont choqués et Elliot recule de quelques pas, tremblant, tandis que l'homme face à lui s'effondre sur le sol, le sang coulant et tachant le carrelage de la cuisine, le couteau tombe sur le sol dans un tintement d'effroi et Elliot fuit, il fuit encore, fuit ses actes. Et pourtant, ce sentiment exaltant de liberté court dans ses veines et alors qu'il court, s'éloigne le plus possible de cet endroit, un fou rire incontrôlable le force à s'arrêter, libre, il est libre, enfin. Il peut bien terminer en prison pour homicide, il s'en fiche, il est libéré de cette emprise terrifiante qu'exerçait son père. Il le revoit encore ce gosse, au commissariat, celui qu'il avait simplement croisé à plusieurs reprises, le fils McGregor en personne, il ne connait que son nom et l'autre semble mieux connaître Elliot qu'il ne se connaît pas lui-même, n'hésite pas à prétendre qu'ils ont passés la nuit ensemble le jour du meurtre de son père, Elliot ne sait que dire, que faire et bredouille une relation honteuse lorsqu'on lui demande pourquoi il n'a pas parlé de cela plus tôt. Il est libéré, mais cette réputation lui colle déjà à la peau. Meurtrier.
Elliot a fuit. Il a fuit l'Ecosse, est parti le plus loin possible, a terminé ses études littéraires avant de vouloir oublier toute son enfance et son adolescence, usant de tous les moyens pour y parvenir, alcool dans un premier temps, puis drogue et enfin sexe, une vie de débauche durant presque une année entière, créant l'homme qu'il est devenu aujourd'hui, sombre, tourmenté par ses vieux démons et parfois violent comme pouvait l'être son père, le dégoutant un peu plus de sa propre vie. L'université d'Oxford fut son salut, lui proposant un emploi comme professeur de littérature, faisant abstraction de ce foutu dossier juridique qui lui colle à la peau et se basant sur ses prouesses en littérature, il est contraint d'accepter, se perdant peu à peu dans les dettes accumulées avec le temps. Aujourd'hui il vogue dans cette vie qui n'est que façade, croise parfois ce visage salvateur au détour des couloirs.
Que répond le petit whisky à ces QUESTIONS TORDUES ? Que représente Oxford pour toi ? Un refuge, une cachette, un souvenir, un cauchemar. Plutôt bon verre de scotch ou shots de tequila ? Vous posez réellement cette question à un écossais d'origine ? Scotch, évidemment. Il parait que le sexe c'est mal, t'en penses quoi toi ? Plaisirs envoutant de la chaire, un moyen d'oublier durant quelques instants. As tu fait quelque chose dont tu n'es pas très fière ? Du sang sur les mains, celui de son géniteur qui le frappait, l'humiliait, abusait de lui. Ça te fait quoi quand l'Oxymoron publie des infos sur toi ? Rien, il préfère lire un livre qu'un petit journal étudiant qui ne raconte de toute manière, que des conneries. Je suis sûr que tu as une petite manie insupportable, laquelle? Il classe tout, absolument tout d'une manière quelconque, il a horreur de bordel.
pseudo/prénom puppy/margaux. âge 16 années au compteur. lieu d'habitation Alsace ♫. où as-tu connu le forum Par Andrew. t'en penses quoi? J'en pense que s'il ne me convenait pas je serais pas la o/. Scénario ou Inventé? scénario. Voulez-vous un parrain pour vous aider sur le forum ? Non merci. un dernier mot? .
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Dernière édition par Elliot McTavish le Dim 31 Jan - 16:43, édité 7 fois |
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