(Hot) Ca me fait du bien de te voir.

☆ date d'arrivée · **☆ date d'arrivée** : 04/05/2015 **☆ potins balancés** : 599

Avery & Ezechiel

« Ca me fait du bien de te voir. »

Fatigué, épuisé même il pose son sac au sol en soufflant un peu. Son dos est douloureux, doucement il bouge ses omoplates. Ses articulations craquent et lui arrachent quelques grimaces alors qu'il s'assoit lourdement dans le canapé. Il est complètement épuisé mais par dessus tout, il doit voir une personne. Une seule et unique femme qu'il n'a pas pu voir avant de partir. Avery lui manque c'est un fait prouvé et signé. Mais lorsque un de ses amis, un ancien membre de son groupe l'a appeler pour lui dire qu'il n'allait pas bien Ezeckiel n'a pas hésité avant de sauter dans un avion pour le rejoindre et prendre soin de lui. Malheureusement il n'a pas eu le temps de voir Avery, de s'excuser et de l'embrasser avant de s'envoler. Ca fait une bonne semaine qu'il ne l'a pas vu et qu'il n'a pas pu lui envoyer beaucoup de message, mais il a pensé à elle à chaque seconde de ses journées.

Lentement il sort son portable et envoi un sms à la belle Avery. Je suis chez moi, viens s'il te plaît. Je dois te voir... Bisous Bébé... Voici ce que le professeur marque en quelques secondes. Maintenant que le message est envoyé, il se lève doucement et marche jusqu'à la salle de bain pour se doucher. Il s'accorde plusieurs minutes sous l'eau chaude, le vol de retour aura été épuisant. Il n'est pas prêt de reprendre l'avion avant un moment. Ainsi en sortant de la douche il se sèche rapidement, enfile un bermuda et un débardeur et se pose devant la télévision en attendant l'arrivée de la belle. Cette dernière doit-être arrivée car alors qu'il zappe sur les chaînes, il entend quelqu'un taper à la porte de son appartement. Ni une ni deux, il saute sur ses jambes et part ouvrir.

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Ca me fait du bien de te voir...

Cela faisait une semaine que je n'avais pas de nouvelles d'Ezeckiel.. Il me manquait..
Lors de notre dernière rencontre tout c'était bien passé. Il avait l'air heureux, et puis du jour au lendemain plus de nouvelles enfin quasiment plus , juste de petits textos un peu flous.. J'avais peur d'avoir dit ou fait quelque chose qui aurait pu lui déplaire. Après l'avoir retrouver j'avais peur qu'il ne me rejette et ne veuille plus me voir, depuis ces derniers temps il était redevenu celui qu'il était avant , mon pilier. Un élément important de ma vie.
C'était les vacances, mais personne ne l'avait vu prêt du campus. Cela faisait maintenant une semaine.
Ce matin là après avoir été courir autours du complexe sportif, j'avais pris mon maillot et avait été faire quelques longueurs, mais les souvenirs de notre rencontres m'avaient vite déconcentré.Tout les deux dans la piscine, a rire, s'embrasser. Le souvenir de ses lèvres sur les miennes me fit frissonner. Après le déjeuner, je me rendis dans le parc tout prêt de là où habitait Ezeckiel. J'aimais m'y rendre en me demandant si un jour par hasard je tomberais dessus.
Il me manquait,plus que je ne l'aurais imaginé... Mais je lui en voulais un peu de ne pas m'avoir annonçer son départ ou même de me dire quand il rentrerait.. Si il rentre. Mais je ne pouvais pas vraiment lui en vouloir car après le viol j'avais couper court a notre relation. Enfin sous pression de mon frère mais je n'avais pas vraiment eu le choix. Même si une fois retrouvé j'esperais ne plus jamais le perdre.
Posé sur un banc sous un arbre. J'avais ouvert mon manuel de chimie. Il fallait que je revise pour eviter de redoubler l'année prochaine car après cette année peu florissante...
Mon portable vibra :
Je suis chez moi, viens s'il te plaît. Je dois te voir... Bisous Bébé...
Il était rentré. Je souris à mon téléphone mais je me souvins qu'il était parti sans donner de raisons. Je rangea mon manuel dans mon sac et pris la direction de l'appartement de mon Héros.
Une fois devant la porte je tapais à la porte.
Ezeckiel m'ouvrit, il était toujours aussi beau. Je souris mécaniquement. Mon sourire s'évanouit et je regarda l'homme que j'aimais qui se trouvait en face de moi dans les yeux.
J'avais décider de lui en vouloir un peu le temps qu'il m'explique.

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Avery & Ezechiel

« Ca me fait du bien de te voir. »

Il sait bien que cela fait une semaine qu'il n'a quasiment pas vu Avery et qu'elle doit lui en vouloir. Pile au moment où ils commençaient à se rapprocher, il c'est éloigné pour une urgence sans en dire plus. Elle doit être vexée mais il espère profondément qu'elle n'est pas blessée où pire encore, qu'elle pense qu'il a prit la fuite. Ce n'est pas du tout ça même si il doit avouer qu'il a un peu peur de cette sensation qui grandit en lui lorsque la belle est proche. Il a peur de ses sentiments, de ne pas être à la hauteur. Après tout il se sent toujours responsable de ce qu'il c'est passé et cette culpabilité ne le quittera pas tout de suite, il lui faudra du temps. Tout comme Avery n'oubliera jamais. Elle aura toujours le fantôme de cette soirée en elle, dans son cœur. Quelque chose rassure au moins Ezeckiel, son agresseur n'est plus de ce monde pour venir la hanter. Elle ne risque pas de le croiser au détour d'une rue, dans une soirée où en allant faire ses courses. Ce serait pire que tout.

Alors penaud il lui envoi un sms et s'attend à se faire incendier, pire encore qu'elle lui dise que c'est terminée. Après tout une semaine quasiment sans nouvelle, ce serait normal qu'elle lui saute à la gorge. Mais au contraire elle lui dit qu'elle arrive, alors tout content il saute sur ses jambes pour se rendre à la cuisine. Là il sort deux verres et une bouteille de soda. Avery ne boit plus beaucoup depuis cette soirée tout comme lui, il évite de toucher à l'alcool sauf quelques bières avec Elyas lorsqu'ils partagent une soirée entre meilleurs amis. Là il prend également plusieurs glaçons et un paquet de chips, qu'il ouvre et pose sur la table de la cuisine. Avery ne se fait pas prier, alors qu'il termine de tout disposer il entend taper à la porte de son appartement. Un peu nerveux il lui ouvre et lui fait un grand sourire en la voyant. Mais son sourire disparaît pour un rictus gêné lorsqu'elle semble lui faire la tête. Il s'efface pour la laisser entrer en baissant la tête.

« Écoute... Je suis désolé. J'avais une urgence. » Il s'approche d'elle et timidement lui dépose un baiser sur la joue, n'osant pas l'embrasser sur les lèvres de peur de se faire jeter. Il lui doit quelques explications alors après avoir prit une grande respiration pour se donner du courage, il lève les yeux vers elle. « Un membre de mon groupe allait mal, il est tombé malade et il a été hospitalisé. Je devais le voir, surtout pour prendre soin de lui. Je suis désolé c'était totalement imprévu et je n'ai pas pu t'envoyer beaucoup de message. »

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Ca me fait du bien de te voir...

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Une fois le message envoyer à Ezeckiel dans lequel je lui disais simplement que j'arrivais, je pris la direction de son appartement, je me demandais si j'arriverais à lui faire la tête pour quelque chose même de sérieux. Si il venait à me parler d'une double vie ou autre pourrais-je lui en vouloir? ... Mon cerveau réfléchissait trop , dommage qu'il n'ait pas réfléchit autant sur les partiels.
Mon année avait été catastrophique , et depuis qu'Ezeckiel était de retour dans ma vie, j'avais retrouvé le sourire, mais mes nuits étaient plus qu'agitées. J'avais peur qu'il parte, et j'avais fait le pire des cauchemars.
J'avais revécu la soirée du viol mais dans ce rêve, alors que je le retrouvais ,il me rejetait en me voyant comme une fille facile , qui avait fait exprès pour que cela lui arrive. C'était la crainte que j'avais eu après cet horrible expérience. Qu'on me voit comme une provocatrice qui aurait charmer ce violeur pour qui fasse ce qu'il voulait de moi. Je me souviens m'être réveillé en sueur et en pleurant de ce cauchemars.
Avec ce message, ma semaine d’inquiétude s'arrêterait sûrement, j'allais retrouver Ezeckiel, et il m'expliquerait la raison de son absence.
Devant sa porte lorsqu'il m'ouvrit et que mon sourire se transforma en petite moue boudeuse, il eu un rictus gêné. Je ne pu m'empêcher de croiser mes bras sur ma poitrine. Si cela le faisais rire tant mieux mais je m'étais inquièté pour lui. Il me laissa entrer en baissant la tête, je n'aimais pas le voir dans ce genre de situation et surtout je n'aimais pas le voir tête baissée.

« Écoute... Je suis désolé. J'avais une urgence. »

Il s'approcha de moi et m'embrassa sur la joue. Je fus surprise et en même temps je le compris il avait surement peur que je tourne la tête ou autre comportement qui aurait montrer que je faisais la tête. Ezeckiel respira un grand coup et me regarda enfin dans les yeux pour m'expliquer.

« Un membre de mon groupe allait mal, il est tombé malade et il a été hospitalisé. Je devais le voir, surtout pour prendre soin de lui. Je suis désolé c'était totalement imprévu et je n'ai pas pu t'envoyer beaucoup de message. »

Pendant tout le temps où il avait parler je n'avais rien dit. J'attendais, il avait une très bonne excuse, mais dans un "couple" j'estimais qu'on devait tout se dire, et je pouvais comprendre qu'il aille aider un membre de son groupe je n'étais pas si puérile que ça. Je baissa les yeux regarda mes chaussures et lorsque je releva la tête je lui fis un petit sourire, je le pris par la main et commença a me diriger vers le canapé. Je remarqua qu'il avait tout préparer. Il avait toujours eu ce côté prévoyant.

-Je comprend. Je ne t'en veux pas .. Enfin pas vraiment..

Je lui pris les deux mains entre les miennes.

-Je ne suis plus la fille fragile que j'étais , enfin pas vraiment.. Je peux comprendre que tu doives partir rapidement , mais tu pourrais juste me prévenir la prochaine fois que mon cerveau ne tourne pas à dix milles à l'heure... A moins que tu ne me fasse pas confiance.

Je ne savais pas si nous étions vraiment un couple, et la confiance était importante, mais si il ne voulait pas de moi je comprenais pourquoi il ne m'avait pas prévenu.

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Avery & Ezechiel

« Ca me fait du bien de te voir. »

Il ne sait pas exactement comment va Avery mais il sait seulement qu'elle n'a pas eu son année. Discrètement sans lui dire il a osé vérifier ses résultats et ils ne sont, malheureusement pour elle, pas brillant. Il sait qu'elle n'a pas eu une année facile et il comprend totalement qu'elle n'ai pas eu ses examens. Il ne la juge pas, il sait que son retour a également chamboulé la belle. Il lui fait remonter des souvenirs auquel elle ne voulait sans doute plus penser. Mais il ne peut pas se tenir loin d'elle en la croisant tout les jours. Il l'aime trop pour ça. Alors en voyant qu'elle boude franchement il se sent incroyablement nul et inutile, comme un enfant il baisse les yeux et sent une légère peur monter en lui. Il craint qu'elle le jette mais l'idée qu'elle n'est pas là pour ça passe dans son esprit. Sinon elle n'aurait pas pris le temps de venir le voir, surtout si c'était pour la jeter. Alors il lui explique le plus franchement possible ce qu'il c'est passé. Il aurait du lui en parler mais il a été appelé d'urgence et il n'a pas eu le temps de la prévenir convenablement. Il semble être un goujat mais l’appeler et lui dire simplement qu'il est parti pour une semaine, aurait été un manque de respect.

Ce n'est pas pire que de ne pas lui donner de nouvelles pendant quasiment une semaine après tout. « Je comprend. Je ne t'en veux pas .. Enfin pas vraiment.. » Elle boude toujours, une grimace traverse le visage d'Ezeckiel alors qu'il cherche à accrocher son regard. Chose qu'il arrive enfin. Elle lui prend les mains, il lui sourit. « Je ne suis plus la fille fragile que j'étais , enfin pas vraiment.. Je peux comprendre que tu doives partir rapidement , mais tu pourrais juste me prévenir la prochaine fois que mon cerveau ne tourne pas à dix milles à l'heure... A moins que tu ne me fasse pas confiance. » Il hoche vivement la tête une fois qu'ils sont installés dans le canapé l'un contre l'autre. Elle ne doit pas penser cela ce serait mentir que de dire qu'il ne lui fait pas confiance. « J'ai juste... Peur. Après tout ce qui c'est passé je ne sais pas si tu te considères en couple avec moi. Je voulais juste te laisser le temps, ne pas te presser ni t'effrayer. » Avec douceur il embrasse chacun de ses mains, tendrement. « Mais je te fais confiance, totalement. Et j'aurais du te prévenir pardonne moi. » Ajoute le professeur avec un petit sourire penaud.

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Ca me fait du bien de te voir...

J'avais pu réfléchir cette semaine sans Ezeckiel. Une semaine que j'avais détesté. Avoir peur de le perdre ou de le voir avec une autre personne été une horreur et je ne voulais pas le vivre ni le penser à nouveau. Je ne savais pas si il se considérait en couple avec moi, mais j'avais envie d'être avec lui. J'avoue que cette soirée à la piscine où nous nous étions vraiment embrassé pour la première fois. Où nos corps s'étaient retrouvés si proches et si soudés l'un à l'autre. Les papillons dans mon ventre étaient tellement nombreux et me donnaient l'impression de voler...
J'avais très envie de lui depuis. Je n'avais jamais vraiment pensé comme ça à Ezeckiel. L'envie de l'embrasser oui, le serrer dans mes bras et l'aimer j'en avais envie depuis le départ, mais le sexe avait été un peu écourté avec cette histoire de viol. J'avais pensé plusieurs fois , et en avais eu déjà envie, que cet homme que je surveillais, avec qui je rigolais que tout le monde regardait, serait peut être le premier homme avec qui je ferais l'amour. Mais cette semaine sans penser à ça j'ai eu peur de le perdre. Rien que de perdre même l'ami et l'homme qu'il était. Le manque de nouvelle d'Ezeckiel m'avait fait peur, et retrouver l'homme que j'aimais après une longue semaine me faisait du bien.
Après l'avoir écouter me dire ce pourquoi il n'avait pas pu me contacter. Je le pris pas les mains et l’emmena sur son canapé. Je lui expliqua que je ne lui en voulais pas .. Il sourit au contact de mes mains qui attrapent les siennes.
"Je ne suis plus la fille fragile que j'étais , enfin pas vraiment.. Je peux comprendre que tu doives partir rapidement , mais tu pourrais juste me prévenir la prochaine fois que mon cerveau ne tourne pas à dix milles à l'heure... A moins que tu ne me fasse pas confiance."
L'homme qui se trouve en face de moi approuve mes dires avec un hochement de tête. Puis il m'explique qu'il a peur.. Je ne pensais pas qu'un homme comme lui pourrait avoir peur.
"Après tout ce qui c'est passé je ne sais pas si tu te considères en couple avec moi. Je voulais juste te laisser le temps, ne pas te presser ni t'effrayer."
Il embrasse mes mains. Mon coeur s'emballe. Je me sens tellement bien avec lui. Mon Héros. Il me fais totalement confiance.
"Mais je te fais confiance, totalement. Et j'aurais du te prévenir pardonne moi."
Je lâche ses mains pour qu'elles puissent venir prendre son visage en douceur, je le regarde droit dans les yeux.

-Je n'ai pas peur d'être avec toi. De me considèrer en couple avec toi. Je te fais confiance et je te pardonne. Ne t'en veux plus. Les seules choses qui pourraient me faire du mal sont le mensonge et l'infidélité.

Je rapproche mes lèvres des siennes et lui murmure.

-Je ne pourrais pas t'en vouloir, je ne désire que toi.

Je ne me savais pas aussi courageuse. Je ne me pensais pas capable de dire ça un jour . Mais j'en avais envie sur le moment. Et je le désirais vraiment.

(c) AMIANTE

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Avery & Ezechiel

« Ca me fait du bien de te voir. »

Elle n'avait pas quitté ses pensées et son esprit pendant toute la semaine. Partout où il allait il l'imaginait avec lui, contre lui, dans ses bras où lui tenant la main comme un couple heureux à qui il ne pouvait rien arriver. Mais elle n'était pas là et c'était sa faute. Et puis il ne voulait pas la présenter aux membres de son groupe, ils ne s'entendaient plus très bien surtout depuis que ces derniers n'avaient pas compris son changement de vie. Il ne voulait plus toucher aux drogues, aux femmes et à l'alcool et ça ils n'avaient pas voulu comprendre, ce qui avait apporté un clash assez violent et la séparation du groupe. Inévitablement Ezeckiel c'était retrouvé seul mais il n'en avait pas souffert, en silence il préparait son prochain album qui était très attendu. C'est pour ça il ne voulait pas lui présenter l'ancienne partie, peu glorieuse, de sa vie. Elle lui aurait sans doute dit qu'elle se moquait de ses anciennes frasques, mais lui ne voulait pas qu'elle entende des mauvaises histoires sur lui. Alors il c'était décidé à s'envoler tout seul, la laisser seule pour sans doute également, la laisser réfléchir à tout ça. Il s'en excusait et allait se faire pardonner du mieux qu'il pouvait.

« Je n'ai pas peur d'être avec toi. De me considérer en couple avec toi. Je te fais confiance et je te pardonne. Ne t'en veux plus. Les seules choses qui pourraient me faire du mal sont le mensonge et l'infidélité. » Il sourit et vient l'embrasser sur le bout du nez. Tendrement il la prend contre lui. Jamais il ne la trompera, ne lui mentira, lui fera du mal. Il est incapable de voir des larmes couler sur son beau visage et la tristesse ravager ses trais. Il l'aime d'un amour pur et tendre, loin des passions dévorantes que les autres couples peuvent rencontrer. Non il ne veut que son bonheur et sa joie pour accompagner ses journées. Doucement elle approche sa bouche des lèvres chaudes du professeur qui sous la sensualité de l'instant, retient sa respiration. « Je ne pourrais pas t'en vouloir, je ne désire que toi. » Il ferme violemment les yeux alors que la phrase tourne en boucle dans son esprit. Elle pourrait le ravager juste en lui disant des choses pareilles. Alors doucement il capture ses lèvres dans un baiser enflammé avant de la faire s'allonger sur le canapé. Au dessus d'elle, il lâche ses lèvres et la regarde. Le désir se lit au fond de ses yeux. « Arrête moi. Une semaine sans toi... Des années que je rêve de ce moment. Arrête moi maintenant où fais moi confiance pour le reste de la nuit. » Murmure Ezeckiel sans la lâcher des yeux.

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Ca me fait du bien de te voir...

Je ne pouvais pas ignorer que l'absence d'Ezeckiel avait été une peur horrible car j'avais eu peur qu'il me quitte, je n'avais jamais ressenti ça. Surtout depuis qu'il était "parti" après le viol, je m'étais forcé à ne compter sur personne. Et ne craindre le départ de personne. Mais celui d'Ezeckiel pendant une semaine avait été difficile. Une fois le soucis exposé et que je lui ai dit que je ne lui en voulais pas. J'expliquais aussi à l'homme que j'avais envie d'embrassé là de suite, que je n'avais pas peur d'être avec lui que j'avais confiance. Il m'embrassa sur le bout du nez et alors que j'approche mes lèvres des siennes pour lui murmurer que je ne pourrais jamais lui en vouloir car je ne désirais que lui, il ferme les yeux d'un coup. J'avais peur d'en avoir trop dit. Et si avec ce qu'on avait vécu par le passé il ne pouvait pas entendre cette phrase. Peut être même qu'il n'y croirait pas si il l'avait entendu des dizaines de fois.
Mais lorsqu'il rouvre les yeux, ce n'est que pour trouver mes lèvres et m'embrasser avec fougue mais une douceur ultime. Il m'allonge doucement sur le canapé en se retrouvant au dessus de moi, et dans ma tête un flash me vient, mais très vite je l’éloigne de mon esprit. La chose la plus importante qui contraste avec ce flash est la douceur extrême d'Ezeckiel, et l'amour que je lui porte. Un frisson me parcourt tout de même. Il se recule alors un peu , lâchant mes lèvres et une sensation de vide me parcourt je n'ai qu'une envie qu'un besoin retrouver ses lèvres sur les miennes. Ses yeux pétillent, les miens reflètent une envie folle de lui et une peur immense.

. « Arrête moi. Une semaine sans toi... Des années que je rêve de ce moment. Arrête moi maintenant où fais moi confiance pour le reste de la nuit. »
Je ne pensais pas que la semaine séparée nous semblerait si longue à lui et à moi. Il venait de m'avouer qu'il rêvait de ce moment depuis des années. Il me demanda dans un murmure sans me lâcher des yeux de l'arrêter ou alors de lui faire confiance le reste de la nuit. Un second frisson, ce n'était pas le froid, mais l'envie et la contradiction. Je n'avais pas peur de lui. Ni de ce qui pouvait se passer ce soir. Cette nuit, seule avec lui. Mais j'avais peur que le viol ressorte et mette Ezeckiel mal à l'aise. Ou même moi...

-Je te fais confiance, et pas que pour cette nuit.. continuais-je dans le même murmure que lui. Puis entrelaçant mes jambes autour de sa taille.

-Je ne t'arrêterais pas..

Je mis une de mes main autour de sa nuque et l'autre dans ses cheveux, je la descendis doucement sur son visage pour caresser doucement sa joue et attraper son menton pour l'amener vers mes lèvres et l'embrasser avec passion.
Non je ne l'arrêterais pas, je ne pouvais rêver mieux que ce moment. Même si la peur était là je savais que tout serait différent. Ni lui ni moi étions saoule ou défoncé, et puis il était tellement doux, tellement tout ce que je désirais. Je ne pouvais pas oublier qu'avant cette soirée terrible pour lui et moi , j'avais déjà du désir pour lui.
En six ans personne ne m'avait touché, ni même embrassé. Je n'avais laissé personne m'approcher comme lui l'avait fait avant cet homme malhonnête. Et depuis que l'on m'avait forcé personne d'autre ne m'avait touché. Ezeckiel à peine arriver m'avait redonner envie au contact humain et envie de lui. Je ne pouvais pas reculer, je n'en avais pas envie même si j'avais peur de ne pas pouvoir supporter tous ses gestes, je sais qu'ils seraient fait avec douceur.

(c) AMIANTE

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Avery & Ezechiel

« Ca me fait du bien de te voir. »

Il se doutait bien que son absence n'avait sans doute pas été facile à vivre. La première fois c'était elle qui c'était éloigné jusqu'à ce qu'il ne puisse plus la voir. Cette fois-ci c'était lui qui était parti pour une semaine sans donner plus d'explication que cela. Oui il s'en voulait ce n'était pas un secret, mais il ne savait pas comment présenter les choses. Et puis il voulait lui laisser le temps de réfléchir, elle en avait besoin après ce premier baiser. Lui aussi avait besoin de remettre de l'ordre dans ses idées. Il ne savait pas si il pouvait se considérer en couple avec elle où si il devait lui laisser le temps de se faire à l'idée encore. Pire encore il ne voulait pas la presser, hors c'était ce qu'il aurait fait inconsciemment. Il la voulait tellement qu'il lui aurait peut-être mis la pression sans même le vouloir. Et rien n'aurait été pire que la faire fuir alors qu'il voulait la garder auprès de lui.

Et puis il y avait l'histoire de ce viol, après tout il n'avait pas su la protéger convenable. Ainsi il ne pouvait pas croire qu'elle l'aime malgré ce qui c'était passé cette nuit là. Certes il n'était pas l’agresseur, mais tout de même il devait la protéger et il n'avait pas réussi à être un héros tant attendu pour elle. Ainsi il avait eu peur, pour la première fois il avait vraiment eu une peur bleu du lendemain. Il avait fuis, lâchement, pour une semaine. Loin de tout il c'était rendu compte qu'elle lui manquait horriblement et que si elle voulait de lui, il ne pourrait pas la lâcher aussi facilement. Ainsi il se retrouve dans son salon, penaud devant Avery maintenant qu'il la retrouve. Elle lui a manqué, trop pour que ses idées soient claires pendant une semaine. Il la regarde et la trouve magnifique dans cet instant magique. Il voudrait lui dire mais les mots ne sont pas assez fort alors, plutôt, il l'embrasse chastement.

C'est une phrase qui fait perdre la raison au professeur de musique alors que, lentement, il s'allonge au dessus d'elle. Il la sent se tendre une seconde et puis se laisser aller dans ses bras. Pour la rassurer il vient l'embrasser encore. « Je te fais confiance, et pas que pour cette nuit... » Lui dit elle en enlaçant sa taille avec ses jambes. Il sourit alors qu'elle lui dit qu'elle ne l'arrêtera pas. Dans un geste incroyablement tendre elle vient caresser son visage, il ferme les yeux et embrasse la paume de sa main quand elle passe devant ses lèvres. Et puis doucement, il l'embrasse encore. Il capture ses lèvres dans un baiser tendre avant de laisser ses lèvres glisser dans le cou de la belle. Doucement il embrasse sa peau, laisse même sa langue glisser jusqu'à la naissance de son décolleté. Il s'arrête et la regarde. Si il doit se passer quelque chose, il voudra qu'elle fasse le premier pas. Il a trop peur de la brusquer.

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Ca me fait du bien de te voir...

Je ne savais pas si un jour j'aurais le courage d'avouer mes sentiments à un homme. Lors de ma rencontre avec Ezeckiel j'avais su que c'était lui. Mais la réalité de notre lieu de rencontre m'avait tout de suite rebuter j'avais compris que jamais je ne pourrais l'aimer si l'alcool et la drogue rythmaient notre vie. Mes parents n'auraient pas laisser faire et de plus je n'avais pas vraiment envie de cette vie , c'était pour m’évader, même si une vie entière avec lui à rêver et l'écouter chanter j'aurais tout donner pour arrête les instants passés avec lui. Aujourd'hui après avoir prévu de lui faire la tête et me rendre compte qu'il n''y avait aucune raison à ça. Cet homme que j'avais toujours vu comme un homme inatteignable, m'avait prouver qu'il était amoureux de moi. Là allongé sur son canapé, son corps si près du mien, la seule chose que je craignais c'était qu'il parte. Il y avait tellement de raison pour qu'il m'échappe. La première si jamais tout ne se passait pas comme prévu, si notre passé était trop important pour lui. Et qu cette fois ce ne soit lui qui décide de partir... Et si je n'étais pas à la hauteur? Il était plus âgé plus expérimente. Je lui faisais confiance, mais si jamais à cause de ce moment de ma vie complètement horrible, je n'arrivais pas à laisser Ezeckiel me toucher plus qu'il ne le fait à cet instant et laissant ses lèvres courir le long de mon décolleté.

Mon dos se cambre et mes mains s'accrochent à ses cheveux. Réflexe naturel lorsqu'il me touche et que mon envie monte en flèche car je ne désire que lui. Je le vois alors s'arrêté et me regarder . Je sens qu'il a peur.. Ou du moins qu'il ne veut pas me faire peur, il attend de voir ma réaction. Je ne sais pas si je vais pouvoir tenir plus longtemps le voir si beau en face de moi et avoir cette envie folle de sentir sa peau contre la mienne mais sans l'eau de la piscine cette fois, juste son corps collé au mien et une pensée folle passe par mon esprit. Son corps en moi. Je ne me rétracte même pas à cette idée, c'est vraiment lui que je désire, et j'aimerais qu'il enlève cette idée si malsaine que j'ai de cet acte qui normalement est si beau qui est la communion entre deux être qui s'aiment et se désirent. J'accroche alors mes mains au bas de son t shirt et le passe par dessus sa tête , je peux alors découvrir les tatouages sur son corps. Je prend le temps alors de passer mes mains sur son torse puis de les descendre sur ses abdos tout en faisant les contours de ses tatouages. Il est magnifique. Tout en me redressant légèrement j'embrasse alors son torse juste au niveau du milieu d'un tatouage et prend une profonde inspiration.

-J'ai envie de toi.

Je ne pouvais plus le cacher et j'avais réellement envie de lui. Malgré toute ses histoires j'avais envie d'avancer et avec lui. Doucement je commença à déboutonner mon chemiser. J'avais toujours eu peur qu'on me voit mais je voulais sentir son corps contre le mien. La chaleur de mon héros me frôler , me toucher, me parcourir, m'envahir.

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Avery & Ezechiel

« Ca me fait du bien de te voir. »

La peur, l'angoisse le prend dans ses bras glacés et l’empêche de bouger alors qu'il relève vers Avery, un regard un peu perdu. Il craint tellement de la brusquer, de faire un geste qu'il ne faut pas, d'agir comme l'aurait fait son agresseur. Ainsi au moindre geste de la belle il arrête tout mouvement et il attend il écoute son cœur battre dans sa poitrine. Il entend sa respiration plus rapide a cause de l'excitation bien présente et non a cause du stress. Ainsi Ezeckiel relève vers elle un regard amoureux et attentif, comme jamais un autre homme ne l'aurait été. Il a été là après le drame, c'est lui qui l'a trouvé après qu'un autre homme l'ai touchée. Il était là, c'est lui qui est venu posé sa veste sur elle, qui a tenté vainement de la consoler. Il était là et c'est un véritable traumatisme pour le jeune homme. Il n'aurait jamais pensé qu'elle puisse se laisser aller dans ses bras, ainsi, pas après ce qu'il a échoué de faire, la protéger. Elle qu'il a toujours secrètement aimé et admiré, de loin, sans oser lui dire en face. Il en aura fallu du temps avant qu'il n'ose lui dire qu'il l'aime !

Alors sans doute en voyant comme son homme est perdu, Avery pose ses mains sur le tee-shirt d'Ezeckiel et le fait passer par dessus sa tête. Agenouillé au dessus d'elle, il lui lance un regard amusé et interrogateur. Mais elle ne semble pas le voir alors qu'elle pose ses mains sur sa peau pour retracer ses tatouages. Il ferme les yeux en sentant la caresse si douce, l'instant est parfait, magique. « J'ai envie de toi. » Lui murmure la belle en embrassant son torse. En entendant ces mots, il ferme les yeux et se penche vers elle pour l'embrasser encore, plus passionnément que la première fois. « Tes désirs sont des ordres mon amour... » Murmure Ezeckiel avant de déposer plusieurs baisers dans son cou, sur le début de son décolleté. Enfin lentement, il commence à glisser ses mains sous le tee-shirt de la belle. Juste assez pour le faire remonter et également, lui enlever. Rapidement il rejoint le sol dans un froissement de tissu à peine audible. A chaque mouvement il relève la tête pour la regarder, afin de s'assurer qu'elle ne stresse pas. En voyant qu'elle va bien, il laisse ses lèvres glisser sur le ventre plat de sa petite amie, officiellement à présent. Pendant plusieurs secondes il embrasse sa peau, chatouille du bout de son nez ses hanches pour lui arracher quelques rires.

Avec un sourire il remonte jusqu'à ses lèvres pour lui voler un baiser alors que sa main droite glisse doucement dans son dos pour dégrafer son soutien gorge. Chose qu'il fait, mais il ne touche pas plus. « Tu es sure... ? » Elle a encore le temps de le repousser si elle le veut.

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Ca me fait du bien de te voir...

Alors que je suis allongé sous Eezckiel , il relève la tête vers moi un peu perdu. J'ai tellement envie de le rassurer et lui dire que tout ira bien. Pour lui comme pour moi. Il écoute, attend comme si j'allais craquer et changer d'avis, mais il n'y a que lui qui pourrait changer d'avis, personnellement j'ai très envie de lui de voir que cet acte peut être de l'amour. A cette pensée , de faire l'amour avec Ezeckiel , ma respiration se fait plus rapide , plus forte. Je pose alors mes mains sur le bas de son t-shirt et lui passe au dessus de la tête pour qu'il se retrouve torse nu contre moi. Je ne veux pas qu'il ait peur. Il est maintenant agenouillé au dessus de moi. Il me regarde avec amusement et en même temps il a l'air perdu. Je passe ma main sur sa peau et trace le contour de ses tatouages. Des souvenirs? Des empreintes d'épreuves de sa vie.. J'ai envie de connaître tout son passé, et être là dans son futur. Vivre avec lui au présent, et là le présent c'est nous, lui et moi, sur ce canapé, allongé, avec cette envie de lui de plus en plus forte lorsque ma peau touche la sienne. Il ferme les yeux et à l'air d’apprécier le moment. Sa peau est si belle, douce, chaude...
-J'ai envie de toi... avais-je dis en embrassant son torse. Il ferme ses yeux à nouveau et m'embrasse alors que je me suis rallongé entre l'emprise de ses jambes. Lorsqu'il m'embrasse ses lèvres m'emprisonnent et me délivrent en même temps, la passion et l'envie se sentent lorsque nous échangeons nos baisers.
"Tes désirs sont des ordres , mon amour..."
Mon amour, il me voyait comme ça. J'en fus ravie de voir qu'il avait changé mon surnom pour un petit nom avec plus de sens encore que le précédent et surtout il comprenait que je le désirais plus que tout. Ses baisers dans mon coup me font chavirer, je coupe ma respiration a chaque fois que ses lèvres touchent mon corps. Il m'enlève mon t shirt. Ce geste pourtant anodin m'a fait cauchemarder pendant des années et là avec Ezeckiel, il était terriblement naturel. Ceci dit mon Héros n'a pas l'air si serein , et cela commence à me stresser qu'il guette le moment où je vais me rétracter et partir en courant. Je ne laisse rien transparaître en imaginant qu'Ezeckiel va se détendre. Et oublier le passé pour avancer. Je ne sais pas si il stresse mais ses lèvres glissant sur mon ventre, me font une réaction inattendue, mon dos se soulève et se cambre de plaisir. Il chatouille mes hanches avec son nez et ses endroits encore inexplorés me donnent des réactions inconnus des picotements dans le ventre, un désir qui monte..
Ezeckiel revient alors vers moi pour m'embrasser tout en dégrafant mon soutient gorge, mais ne fait rien de plus et me demande si je suis sure.
Je prend une profonde inspiration. Je sentais qu'il n'étais pas à l'aise. Je ne sais pas si c'était la peur que j'arrête tout ou que je sois mal ou lui mais il fallait peut être commencer par en parler.

-Oui, mais toi , ça va? Je n'attendis pas sa réponse. Je ne vais pas me sauver, c'est promis, et je suis assez bien avec toi pour te le dire si cela ne va pas.. Mais toi , qu'est ce qui se passe dans ta tête pour que tu ai peur?

Je me redressa doucement , le dos sur l'accoudoir du canapé. Mon soutien gorge toujours dégrafer mais il n'avait pas bouger, je ne voulais pas arrêter ce qu'on faisait, mais je voulais que mon héros soit à l'aise dans ce moment que je voyait comme magique.

-Dit moi. Dis-je en mettant ma main sur sa joue.

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☆ date d'arrivée · **☆ date d'arrivée** : 04/05/2015 **☆ potins balancés** : 599

Avery & Ezechiel

« Ca me fait du bien de te voir. »

A mesure que les secondes défilent, il la sent détendue dans ses bras. Lui même se relâche, il ose se montrer plus insistant alors qu'il se colle à elle, l'embrassant comme si sa vie en dépendait. Il remarque que lorsque ses lèvres touchent sa peau, elle se cambre à la recherche de plus de contact. Il sourit en voyant ça et reprend de plus belle ses baisers sur sa peau, avec un plaisir évident. Il savoure les sons qu'elle laisse échapper de ses lèvres, pour lui. Il l'aime, plus que tout. Il en est sur et certain, plus encore lorsqu’il la voit aussi soumise à ses désirs sur ce canapé, prête à s'offrir à lui après tout ce qu'ils ont vécus de difficiles ensemble. Elle lui appartient, avec une telle évidence qu'il a encore du mal à le croire. Pourtant elle l'arrête, il lève les yeux vers elle pour la regarder. Elle lui demande si il va bien mais sans lui laisser le temps de répondre, elle se redresse légèrement. « Je ne vais pas me sauver, c'est promis, et je suis assez bien avec toi pour te le dire si cela ne va pas.. Mais toi , qu'est ce qui se passe dans ta tête pour que tu ai peur? » Il baisse un peu la tête et cherche ses mots. Il se sent idiot un instant, pour la première fois quelqu'un lit en lui comme dans un livre ouvert.

« J'ai peur de faire... De... Te brusquer. De te rappeler ce qu'il c'est passé. Ça me fait peur c'est juste... Ça va passer. » Avec douceur il s'approche d'elle et lui dépose un baiser sur le bout du nez. « Je t'aime tellement Avery. Je ne veux surtout pas te faire fuir... Je ne veux pas te faire peur. Si à un moment je fais quelque chose, un geste, un mot... Arrête moi. Tout de suite d'accord ? » Et avec douceur il l'embrasse, amoureusement, en passant délicatement sa main sous le soutien gorge de la belle pour le lui enlever. Ainsi il dévoile petit à petit son corps parfait. Le regard d'Ezeckiel s'illumine alors qu'il envoi le morceau de vêtement à travers la pièce. « Tu es magnifique... » Murmure le professeur en déposant ses lèvres sur le ventre de la belle, juste là où il c'était arrêté. Maintenant sa bouche glisse entre ses seins pour remonter jusqu'à son cou, et ses lèvres. Avec doucement il pose ses mains sur sa poitrine pour venir la cajoler. Pour s'assurer qu'il ne la brusque pas, il se recule légèrement afin de croiser le regard d'Avery. Et en voyant que finalement elle n'a pas peur, il se penche doucement. Du bout des lèvres il vient saisir la pointe de ses seins entre ses lèvres, pour jouer avec pendant quelques minutes. Il en fait de même avec l'autre, doucement, guettant le moindre signe de stress chez son amante.

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Ca me fait du bien de te voir...

Lorsque les lèvres d'Ezeckiel se trouve au contact de ma peau , des milliers de petits picotis me parcours et souvent un frisson suit et je me retrouve à me cambrer et ma respiration se coupe régulièrement. Mon souffle se fait plus pressant et plus fort. Je n'avais jamais ressenti ça. J'avais un tel désir pour lui. Et l'acte que nous nous apprêtions à faire me faisait tellement envie. J'avais peur pour cet acte qu'il me fasse mal, plus psychologiquement que physiquement. Mais je devais le faire, car je savais qu'avec mon Héros, je n'aurais aucune raison d'avoir peur . Je lui faisais entièrement confiance. J'avais tellement rêvé de son corps dominant le mien, du plaisirs que je pouvais lui donner et lui en retour. Puis cette soirée à tout changer. Mais mon désir avait vite refait surface une fois allongé sous lui sur son canapé. Ceci dit je vois qu'Ezeckiel avait du mal à se détendre. Je lui dis donc comprendre que je ne partirais pas, que je l'aimais, et je lui demanda ce que lui avait dans la tête pour avoir peur. Alors que je me redresse dans le canapé pour lui expliquer, sentant mon soutien gorge dégrafer m'appuyer dans le dos. Il baisse la tête et à l'air d'hésiter...

« J'ai peur de faire... De... Te brusquer. De te rappeler ce qu'il c'est passé. Ça me fait peur c'est juste... Ça va passer. »

Il s'approche de moi et m'embrasse sur le bout du nez. Il avait peur je le savais .. Il continua.

« Je t'aime tellement Avery. Je ne veux surtout pas te faire fuir... Je ne veux pas te faire peur. Si à un moment je fais quelque chose, un geste, un mot... Arrête moi. Tout de suite d'accord ? »

-Ezeckiel , arrête d'avoir peur. Tu n'as pas besoin de me le rappeller, ce soir là est gravé en moi. Mais je n'ai pas envie de rester sur ça. J'ai envie de graver une nuit, deux nuits, plusieurs nuit avec toi. De découvrir le plaisir d'aimer et de vivre ça autrement que lors de cette soirée. Je veux faire l'amour avec toi, finis-je en murmurant.

Il m'embrasse avec douceur, amour, et tendresse. Il repasse alors sa main derrière mon dos et retire mon soutien gorge. Je me retrouve alors la poitrine nue devant lui. Mon corps se tend, mes seins , pleins d'envie, pointent vers l'homme que j'aime.

« Tu es magnifique... »

-N'ai pas peur.. Je t'aime .. Pour toujours ! Continuais je tout comme lui en murmurant.

Il dépose ses lèvres sur mon ventre là où il s'est arrêter juste avant que l'on parle. Puis il remonte sur mon cou , mes lèvres, mon corps tout entier frissonne. Mes mains se pose sur les cuisses de l'homme qui m'embrasse alors sur les lèvres. Puis lorsqu'il dépose ses mains sur ma poitrine pour la caresser avec douceur. Mes doigts se resserrent autour de ses cuisses. Il se recule afin de croiser mon regard, surement par peur.. Mais je le rassure alors en glissant mes mains doucement jusqu’à la cambrure de son dos pour lui caresser les hanches et passer mes doigts au niveau de sa ceinture. Je n'avais jamais vraiment eu d'expérience sexuelle avant ce qui va se dérouler ce soir. Je n'y connaissais rien. J'avais juste peur de ne pas être à la hauteur. Mais mes mains jouaient maintenant avec le bouton de son bermuda et doucement le défait. Je ne savais pas si Ezeckiel voulait en venir jusque là. Pendant que je jouais avec son bouton et le décrochait ensuite pour faire glisser un peu son pantalon sur ses cuisses. Il saisit la pointe de mon sein entre ses lèvres pour jouer avec , puis il change de sein, et mon corps sur celui ci, se tend , cette fois ci le désire est au plus haut.

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Avery & Ezechiel

« Ca me fait du bien de te voir. »

Elle le rassure en quelques mots. Il s'en veut de lui rappeler cette nuit, même pour un instant. Il n'aurait pas du lui en parler, il sait comme elle en a souffert et comme elle doit en souffrir encore. Ce sera toujours là, en elle, fourbe comme un venin coulant entre ses veines. Mais il est là maintenant, prêt à la protéger véritablement pour qu'il ne lui arrive jamais rien. Jusqu'à ce qu'elle ne veuille plus de lui il sera là, tel un ange gardien. « N'ai pas peur.. Je t'aime .. Pour toujours ! » Il lui sourit avant de venir s'occuper de sa poitrine, ferme et tendue vers lui comme une délicate invitation à la gourmandise. Sous les soupirs et les râles de la belle, il s'occupe de leur extrémité dure à l'aide de sa bouche chaude et de sa langue joueuse. Il sent Avery se débattre avec son bermuda alors, lentement il se recule et ôte son vêtement en gardant tout de même son caleçon.

Il revient vers elle, déboutonne le jean de la belle et le fait également glisser le long de ses jambes. En petite culotte devant lui, il sourit en découvrant son corps, chose qu'il ne pensait jamais voir même dans ses rêves les plus fous. Patient tout de même il se relève et lui tend la main. « Viens... » Murmure Ezeckiel en attrapant la main de la belle. Rapidement et sans la lâcher il la conduit jusqu'à sa chambre. Là il la pousse doucement vers le lit et une fois qu'elle est allongée, il reprend sa place au dessus. Si ils font l'amour ce soir, ce sera dans sa chambre et non pas sur le canapé. Il veut pouvoir la regarder s'endormir dans ses bras après, dans un moment incroyablement romantique. Alors il penche sa tête vers elle pour l'embrasser encore en laissant ses mains câliner le corps parfait de son amante. Ses mains glissent de ses hanches jusqu'à son ventre, ses doigts viennent s'attarder sur sa poitrine tendue, avant de poursuivre leur chemin dans le dos de la belle. Avec avec un sourire, il glisse deux doigts sous l'élastique de la culotte d'Avery, mais avant de faire quoi que ce soit il lève les yeux vers elle, sans cesser de sourire.

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Avery J. Rosenbach a écrit:: Ca me fait du bien de te voir...

Ezeckiel, Mon Héros, Mon ami, L'oreille qui m'écoutait, l'homme qui m'avait protégé... Mon homme , celui que j'aimais. Il était là. Au dessus de moi, qui était allongé sur son canapé, dans son appartement, alors que quelques semaines plutôt nous étions si éloignés l'un de l'autre. Et là tellement proche. Il avait l'air de prendre tellement de précautions , je pouvais comprendre que ce qui c'était passé, l'acte qui avait fait que nous nous étions brusquement retrouvé séparé lui fasse peur, et qu'il ait peur que cela se repasse comme par le passé. Mais il n'y avait aucun risque . Je tachais donc de le rassurer. Puis une fois sensiblement rassurer, il vint s'occuper de ma poitrine . Mon corps se tendait de désir à chaque caresse sur celui ci. Il régissait en me donnant la chair de poule. Ma respiration devenait pas vraiment contrôlable et je n'en avais pas l'habitude, cette attitude m'étonnait, mais me donnait envie d'en apprendre plus sur mes limites et celle de mon partenaire. Ezeckiel posa ses lèvres si douces sur mon téton pointé vers sa bouche. Il le titilla avec sa langue et me fit frémir. J'avais alors passer mes mains au niveau de son bermuda et me battait pour lui enlever. Je n'étais pas vraiment experte de ce genre de geste. Mais j'étais sur que cela viendrait avec le temps.Alors lorsque mon Héros remarque que je lutte, il se recule et enlève son pantalon. Il gardait son caleçon qui moulait vraiment bien son membre virile. Il revint vers moi. déboutonne alors le mien. Et dans la seconde qui suit je me retrouve en shorty en dentelle , seins nus, devant l'homme que j'aime. Et nous savoir si peu vêtu fait monter mon désir et une respiration pleine d'envie se fait entendre. Il me tend la main .
" Viens..." Me murmure-t-il.
Je lui répond d'un sourire, lui tend ma main et me relève pour le suivre dans sa chambre. Je n'avais pas prévu qu'en voyant le lit un souvenir remonterait encore. Mais lorsqu'Ezeckiel me pousse sur son lit , l'image de mon sauveur fait vite remonter mon désir. Je m'allonge alors dans son lit si doux et si confortable. J'avais envie d'y rester toute ma vie avec lui. Dormir, rire, l'écouter chanter, lire, s'embrasser, et là se faire l'amour... Mes pensées s'étaient échappées. Mon magnifique hôte se penche alors vers moi pour m'embrasser, pendant que ses mains se posent sur mon corps pour le parcourir. J'en profite moi mettre les miennes dans ses cheveux puis les descendre sur son visage, les laisser parcourir son corps en passant des épaules à son torse, puis les placer sur ses hanches en resserrant ma poigne lorsque ses mains se posent et jouent avec ma poitrine. Puis les mains d'Ezeckiel passent dans mon dos celui ci se cambre. Mes yeux étaient fermés tout le long du pèlerinage de mes mains et des siennes , lorsqu'à un moment , je les ré ouvre en sentant les mains de l'homme qui me touche se glisser sous l'élastique de mon shorty. Il me regarde avec un sourire, je lui répond et doucement hoche la tête pour lui confirmer que je ne partirais pas et que j'en avais envie. Mes mains se resserrèrent alors sur ses hanches et l'une d'elle passa doucement sur son caleçon , pour toucher à travers le tissu le membre vigoureux de mon homme . Celui qui ce soir allait me montrer qu'on peut avoir un rapport sexuel charnel et avec passion et amours. Je le regarda alors dans les yeux et ne connaissant pas l'acte sexuel je décidais de le laisser piloter.

-Guide moi ! Montre moi ! Fait de moi une femme et celle de tes désirs.

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Avery & Ezechiel

« Ca me fait du bien de te voir. »

Avery est la femme qu'il a toujours profondément aimé. Même des années après sans l'avoir revu, elle n'a jamais quittée son esprit. Il a eu des histoires oui plus où moins courte, mais jamais rien de sérieux. A tel point que pendant des mois des journaux râlaient car il s'affichait seul, désespérément seul. C'est arrivé également qu'on lui prête des liaisons totalement fausses avec des femmes qu'il n'avait même pas rencontré. Alors refusant de s'approcher des femmes car elles n'étaient pas Avery, il a été pendant quelques temps avec des hommes pour se changer les idées. Sauf que c'était elle qu'il voulait et pas quelqu'un d'autre. Il a tenté en vain de la rechercher mais à chaque fois la déception était trop grande alors au final, il n'a plus osé chercher la belle. Et puis son frère avait été clair, si il l'approchait encore il aurait des problèmes. Pas qu'il en avait peur, il pensait seulement que même Avery ne voulait plus de lui. Après tout il lui avait fait indirectement trop de mal. Alors la recroiser à Oxford et qu'elle accepte de lui parler avait été un cadeau.

L'avoir dans son lit aujourd'hui, une bénédiction. Sans le vouloir vraiment il se met une énorme pression de cette journée, il ne veut pas qu'elle garde un mauvais souvenir de cette réelle première fois avec un homme qui l'aime et qui la respecte. Il prend tout son temps pour la découvrir, l'exciter, lui donner envie jusqu'à ce qu'elle n'en puisse plus. Plus elle le voudra en elle, mieux ce sera. Enfin dans son lit il prend le temps de l'embrasser, caresser son corps et l'admirer sous toutes les coutures. Elle laisse également ses mains traîner sur le corps tatoués d'Ezeckiel, alors qu'il frissonne quand il sent la main d'Avery frôler son membre déjà bien éveillé. « Guide moi ! Montre moi ! Fait de moi une femme et celle de tes désirs. » Il sourit et enfin dans un mouvement ample, laisse la petite culotte d'Avery glisser le long de ses jambes. Entièrement nue il laisse ses yeux glisser sur son corps parfait. Taillé par la natation et le sport qu'elle pratique, sa femme est une véritable beauté qui ferait chavirer n'importe quel homme. « Tu es déjà celle de mes désirs bébé... » Murmure Ezeckiel, en écho avec ce qu'elle vient de lui dire. Toujours au dessus d'elle sa bouche se pose entre ses seins, glisse jusqu'à son ventre et avec un sourire enchanté, il se laisse glisser hors du lit. Agenouillé devant elle, d'abord il dépose plusieurs baisers sur ses cuisses et avec un regard tendre, il l'incite à se laisser aller pour lui. Ses mains se posent sur les hanches de la belle femme alors qu'elle écarte les cuisses pour lui. « Arrête moi si il y a le moindre problème... » Murmure Ezeckiel avant de déposer sa langue sur elle, sur son point sensible. Il s'arrête, regarde sa réaction avant de reprendre.

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Ca me fait du bien de te voir...

Je ne pouvais pas faire plus confiance à Ezeckiel que maintenant , il était là avec moi, dans son lit, et je n'avais jamais imaginé le retrouvé mais là être avec lui dans ses conditions..Je ne savais pas de ce qui s'était passé dans sa vie, à part le fait qu'il était une star, je ne savais pas si il avait eu beaucoup d'aventures ou pas... Peut être même une histoire sérieuse.. Je n'avais rêvé que de lui, je voulais surtout qu'il ne s'en veuille pas de ce qui m'était arrivé, et là.. Il me prouvait qu'il m'aimait. Je l'avais suivi dans sa chambre , je m'étais allongé sur le lit, Ezeckiel était d'une douceur extrême..J'adorais sa tendresse, sa douceur, et me demandais si je pourrais ressentir la même envie de lui avec plus d'animalité dans ses gestes, qu'il me montre l'homme qu'il était. Ses mains parcouraient mon corps , celui ci se remplissait de désirs, d'une chaleur encore inconnue, .. J'avais envie qu'il me montre ce que c'était de devenir une femme, celle de ses désirs, et je lui avoua. Il me répondis que j'étais déjà celle de ses désirs , "Bébé..", j'adorais qu'il m'appelle comme ça. Mes mains agrippèrent son visage et je l'embrassa avec désirs. Puis il posa sa bouche entre mes seins, mon ventre se contracta de plaisir. Ses lèvres glissèrent alors sur mon ventre puis l'homme de mes rêves se glissa hors du lit. Agenouillé au bord du lit. Entre mes jambes, il déposa plusieurs baisers sur mes cuisses, je ne pu contrôler mon bassin qui comme un automatisme se pencha vers mon Héros. Puis me relevant sur mes coudes pour voir le regard de celui ci, je compris ce qui allait se passer. Il pose ses mains sur mes hanches , je met alors les miennes dessus et entrelace mes doigts au sien. Lorsqu'il à posé ses mains à cet endroit, je me sentais prête et écarta mes cuisses pour lui laisser tout le désir de prendre possession de moi autant qu'il le voulait. Je n'avais pas peur. « Arrête moi si il y a le moindre problème... » me murmure-t-il .Puis je sens alors sa langue se poser sur moi, je me laisse alors retomber sur le lit, allongée , je me donne entièrement à cet homme si enivrant. Je ne lâche pas pour autant ses mains. Puis me laisse aller en fermant les yeux, je laisse mes émotions se mélangent au plaisirs que la langue d'Ezeckiel me procure. Mon dos se cambre lorsque celui ci passe sur des zones sensibles, qui me donnent une plaisir inattendu, et tellement bon. Ma respiration m'échappe je ne la contrôle plus, elle s'accélère, me trahi et en même temps me surprend à aimer ses gestes inconnus. Sa langue en moi me donne envie de plus.. Mes mains s'arrachent des siennes et viennent alors se poser dans ses cheveux. Mes hanches basculent vers lui. Le plaisir est trop fort je ne m'y attendais absolument pas..
"Oui.."
Des bruits, des mots oui s'échappent de moi tellement le désir est inattendu et si puissant.

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Avery & Ezechiel

« Ca me fait du bien de te voir. »

Il est dans son lit, Avery allongée devant lui qui s'offre totalement à lui. Il n'arrive pas à réaliser qu'ils font l'amour, qu'il est en train de l'aimer de tout son cœur et de toute son âme. Il a tellement eu l'impression qu'Avery était inaccessible pour lui, que l'image d'elle nue et offerte sous son regard et ses mains, est comme une illusion crée par son esprit lorsqu'il dort. Il en a rêvé, il a espéré ce moment, ses je t'aime murmuré dans un souffle sans oser le croire. Et finalement son rêve se réalise, il n'a pas attendu pendant des années pour rien. Alors qu'il s'agenouille devant elle, elle tremble et s'offre à lui dans un délicat mouvement de hanches vers son homme. Il sourit et enfin lui offre cet caresse si sensuelle et délicate, il savoure ce moment et son souffle de plus en plus rapide à mesure que les secondes défilent. Enfin en lâchant ses mains posées sur ses hanches, elle les fourre dans ses cheveux bruns courts, alors qu'un frisson de pur plaisir glisse sur le corps d'Ezeckiel. Il adore qu'on lui touche les cheveux, cela lui déclenche des frissons dans tout le corps. Elle ne pouvait pas mieux faire !

Elle semble faire céder toutes ses barrières alors qu'il savoure cet instant qu'il le grave dans son esprit pour repenser à ce moment parfait lorsqu'il le voudra. C'est trop beau, trop parfait et tellement sensuel. Elle lui fait une entière confiance, elle se donne à lui comme jamais et il prend cela comme une grande responsabilité. Si elle garde en mémoire une seconde mauvaise première fois, alors elle sera à jamais effrayé par rapport aux hommes. Il doit faire de ce moment quelque chose de parfait, vraiment. En la laissant apprécier ce moment, il la fait venir sur le bout de sa langue, tendrement, sous les gémissements et les râles qu'elle pousse. Enchanté il s'éloigne doucement et remonte jusqu'à ses lèvres pour l'embrasser tendrement. « Ça va... ? » Murmure Ezeckiel amoureusement en déposant un autre baiser sur la bouche rosée de la belle. Enfin il se tourne et cherche dans la table de nuit une protection, il en sort une et la pose sur le lit. Tendrement, il se couche contre elle pour lui laisser le temps de reprendre ses esprits. « Tu veux continuer bébé ? On peut arrêter là pour une première fois. » Propose Ezeckiel avec un sourire, même si son propre désir commence à devenir douloureux.

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