(terminé) Erwan veut te voir. (Aedyes) - HOT

Aedyès.

Play with Us

Notre corps-à-corps était tout simplement tout mon univers en ce moment. Je ne voyais pas plus loin que ton corps et tes yeux. Je voulais t’aduler physiquement tel que tu le mérites. Je ne voulais vivre que pour toi. C’était fort, beaucoup trop fort. Mais je ne veux absolument pas changer les choses. Je sais que je dois construire avec toi. Je sais que je t’aimerais tel que tu le mérites. Comme je n’ai jamais aimé quelqu’un, aussi fort que mon propre fils. Je ne pensais pas être capable d’aimer quelqu’un aussi fort que lui. Pourtant tu as réussi à briser cette barrière que je m’étais construite. Tu avais crée une brèche dans mon armure.

Je ne peux plus et ne veux pas m’éloigner de toi. J’ai besoin de ta chaleur. De ton corps tout contre le mien. Tes lèvres me brûlent mais j’en plus, tellement plus encore. Mes mains profitent de ton corps, caressant la moindre des parcelles de ton corps. Je voulais te marquer, montrer que tu m’appartenais. Je voulais que tout le onde sache que tu es à moi.

Je ne sais plus où donner de la tête. J’étais partout et nulle part à la fois. J’avais chaud et froid. Je ferme les yeux avant de lâcher un râle de plaisir. Glissant mes doigts dans tes boucles. Je plonge mon regard dans le tien, brûlant de désir. Je respire fort, rapidement, je cherche mon souffle tandis que tes lèvres sont partout sur moi. Je glisse mes mains dans ton dos, avant de les glisser sur le rebondi de tes fesses. Je grogne alors que te prépares, je me mords la lèvre inférieure, je m’en amuse, car je sais que ça te fait de l’effet. Je glisse mes jambes autour de tes hanches pour que tu ne t’échappes pas. Je ferme les yeux tout en allant chercher plus de contact. Je gémis en sentant ton souffle contre ma peau hypersensible. Je n’en pouvais plus d’attendre. Enfonçant mes doigts dans ta chair. « Plus que prêt mon coeur, vas-y. »

Je te laisse faire. Ecartant un peu plus mes jambes, t’invitant à te dépêcher. Je viole tes lèvres tout en soufflant alors que tu t’introduis en moi. Je m’accroche à tes avant-bras avant de me cambrer pour t’aider à aller encore plus loin. « Oh oui… Encore. »

Codes par Wild Hunger.

Aedyès.

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D ire que ce moment était magique, c’était faible. C’était plus que magique, plus que parfait. Comme si j’étais enfin complet. Tu étais ma destinée, celui qui me rendrait heureux ou qui marquerait ma déchéance. Mais je n’en avais rien à faire, parce que je voulais profiter à fond de cette après midi. De toi, de ce moment que j’avais attendu depuis le début. Que j’avais même pensé irréalisable. Comme quoi il faut parfois rêvé sa vie pour voir ses rêves se réaliser. Et tu étais mon plus beau rêve.
La sensation de tes lèvres partout sur mon corps m’enflammait. C’était quelque chose de terriblement excitant. Surtout quand j’apercevais au détour d’un regard les rougeurs qui jonchaient désormais mon cors. J’aimais et serait fier de porter tes marques de possessions. Mes mains, elles, n’étaient pas en reste et griffaient, marquaient la peau qu’elle avait à portée. Personne ne te toucherait tant que je suis là. Je peux me montrer très persuasif, et on ne me connaît pas quand je suis en colère. Il ne vaut d’ailleurs mieux pas me mettre en colère.
Je me sens enfin rempli. Tu es là, en moi. C’est si bon. J’accroche mes jambes autour de ta taille, mes mains accrochent elles, tes épaules. Mon regard se plante dans tes yeux, tout l’amour que j’ai pour toi se transmet dedans. Mais j’ai besoin de plus, je cherche à me fondre encore plus en toi, à ce que tu ailles plus vite. Tu répond à ma demande avec empressement, tu me contentes, ce qui me fait grogner. J’ouvre mes lèvres, ma langue allant se lier à la tienne. Une main glisse dans tes boucles, les enserrant entre mes doigts. Je t’empêche ainsi de te reculer et de t’échapper de mes lèvres. L’autre main, elle, glisse dans ton dos avant de s’agripper à tes fesses. Je n’avais jamais vécu une telle passion dans une étreinte. Aimer réellement quelqu’un décuplait les sensations de tout ce que je vivais. J’étais à ta merci, et tu le savais parfaitement. Tu en profitais abondamment. J’avais un sourire qui ne quittais pas mes lèvres alors que mes hanches se soulèvent pour que tu t’enfonces encore plus en moi. Je râle encore plus de plaisir, ne sachant plus où donner de la tête entre tes lèvres brûlantes sur mon corps et notre corps-à-corps passionné. Mon torse se soulève tandis que j’essaie de retenir mon cri pour ne pas réveiller Erwan. « Ae… » Je râle pour le supplier d’arrêter ou de continuer. J’en veux plus ou il y en a trop. Je relâche ma tête en arrière avant de gémir et de resserrer mon emprise autour de toi. Mes hanches se mettent à se mouvoir alors que ta main se referme autour de moi. Je suis presque au bord de l’orgasme avec toutes tes attentions. Je rouvre les yeux pour les planter dans les tiens « Je t’aime… » Je tire sur tes cheveux pour reprendre possession de tes lèvres avant d’inverser de nouveau de position, ce qui me fait de nouveau râler de plaisir avec le changement d’angle. Je glisse ensuite mes lèvres dans ton cou puis sur ton torse.

Codes par Wild Hunger.

Aedyès.

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C e moment était plus que magique. Je n’avais jamais éprouvé autant de plaisir à être avec quelqu’un. Tu avais le don de transformer cet instant en quelque chose d’inoubliable. Je me donnais corps et âmes à toi. Comme je ne l’avais fait pour personne. Je donnais tout par amour.Je te laissais entrer dans ma vie, alors que plus personne n’y avait le droit depuis la naissance d’erwan et la mort de sa mère. Elle avait construit une barrière que peu de monde avait su franchir. Tu étais le premier.

Tu étais beau et tu étais à moi. Je suis assez possessif, tu risques de le découvrir. Mais quand j’aime quelqu’un je ne le fais pas à moitié. Et surtout pas quand je touche la perfection que tu es. J’ai l’impression d’avoir une décharge électrique alors que mes mains te caressaient, t’adulaient. La chaleur devenait insoutenable, mais je ne voulais absolument pas la rafraichir. au contraire, je voulais que ce moment ne se termine jamais. Je pose une main sur ta joue, j’aime te voir rougir de la sorte. Surtout si c’est moi qui te fait cet effet, je trouve ça très flatteur. Tu avais ce même pouvoir sur moi, mon coeur. Si j’avais cru savoir ce qu’était l’amour, je m’étais fourvoyé puisque la puissance que je ressentais aujourd’hui était tellement plus forte que tout ce que j’ai pu connaître auparavant.

Je m’accrochais à toi comme à une bouée de sauvetage de peur de dériver si je te lâchais. Mes soupirs et mes gémissements accompagnaient chacun de tes mouvements, mes doigts s’accrochaient désespérément à toi. Ma langue te savourait, mes yeux te dévoraient. C’était tellement bon. Je ne pourrais plus me passer de ton regard, de tes mains et surtout de t’entendre prendre autant de plaisir. J’étais accro à quelqu’un comme je ne l’ai jamais été. Je souris à tes mots qui réchauffent mon coeur. Ces mots que je n’avais jamais entendus. Même de la part de la mère d’Erwan.

Ils font grimper encore la température entre nous deux. Je sais que je ne suis pas loin du point de rupture. Le plaisir n’allait pas tarder à me faucher. Mais je fais durer. Je veux t’entendre aussi, je veux que tu prennes du plaisir. Mes mains découvraient encore et encore ton torse, tes cuisses, partout où elles pouvaient aller. J’adorais ton corps qui méritait toute l’attention possible. J’aime entendre ces sons si enchanteur à mes oreilles. Les plus beaux sons. Tout était parfait chez toi. Je me sentais extrêmement flatté par cet amour que tu me donnes. Je grogne alors que mes yeux se ferment et que je me laisse transporter par la vague de plaisir qui déferle en moi. C’est puissant, dévastateur. Tout mon corps tremble sous toi, sous ce plaisir. MEs mains s’accrochent à tes bras Pourtant je n’étais plus parmi nous, j’étais bien enfoui dans les limbes du plaisir. Notre plaisir.

Codes par Wild Hunger.