| Sujet: ava # nous sommes de ceux. Ven 19 Déc - 23:58 | |
| Ava Stafford-Howard j'te demande si tu es une bête féroce ou bien un saint. mais tu es l'un et l'autre, et tellement de choses encore. tu es infiniment nombreux
identification complète ava isobel athénaïs stafford-howard, parce que plus c'est long, plus c'est impressionnant, non ? âge vingt-deux ans. lieu/date de naissance un premier mai à stafford, la ville de ma famille, finalement. études suivies et année psychologie, en cinquième année. job mannequin et notamment égérie d'une grande marque. orientation sexuelle hétérosexuelle. statut célibataire plutôt volage. statut social ££££. caractère fêtarde, exubérante, torturée, réfléchie, optimiste, travailleuse, plus ou moins sérieuse, sociable, n'accorde pas sa confiance facilement, ouverte d'esprit, sensible, courageuse. groupe oxford students. avatar cara delevingne.
Welcome to the jungle Ava est issue d'une famille très renommée d'Angleterre. Ayant toujours grandi dans un environnement luxueux et agréable, elle n'a jamais éprouvé le besoin de quitter sa famille mais n'est cependant pas une gamine pourrie gâtée comme on en voit beaucoup aujourd'hui. Bien élevée, élève modèle et bien dans ses baskets, Ava a toujours été la fille parfaite de ses parents, suivant les traces de son frère. Depuis l'âge de neuf ans, elle souffre de troubles valvulaires qui lui empêchent de pratiquer un sport et l'obligent à prendre une dose de médicaments faramineuse tous les jours. Elle a toujours adoré les animaux et lorsqu'elle est chez ses parents, elle passe le plus clair de son temps à s'occuper des nombreux Staffordshire Bull Terrier pure race de la maison. Passionnée par la mode depuis son plus jeune âge, elle a pu réaliser l'un de ses rêves en devenant mannequin à l'âge de dix-sept ans seulement et est depuis peu l'égérie de Chanel. Ava vit seule dans un appartement spacieux et moderne de la ville d'Oxford, à deux pas de l'université. Elle a fait ce choix pour ne pas importuner son éventuel colocataire avec ses allers et venues pour la presse ou les shootings photo. D'un naturel avenant, elle a toujours eu des facilités à parler aux gens ou à lier des amitiés plus ou moins profondes, cependant elle a terriblement peur de l'abandon, c'est la raison pour laquelle elle a énormément de mal à s'attacher et à accorder sa confiance. Ava a définitivement choisi son domaine d'études très peu de temps avant de rentrer à Oxford. Au départ, elle souhaitait étudier la biologie, mais au final elle s'est totalement détournée de cette voie pour s'orienter vers la psychologie. Officiellement, elle veut aider les autres. Officieusement, elle veut s'aider elle-même. Elle veut comprendre. Début décembre deux mille quatorze, son médecin traitant lui a fait part de mauvaises nouvelles : sa maladie cardiaque s'est grandement aggravée, une opération va être nécessaire, et rien n'est certain quant à son espérance de vie. Dès cet instant, la Ava que tout le monde connaissait est devenue différente, plus exubérante, plus avide de nouveautés, de liberté. La petite fille modèle s'est dépravée, et a tout simplement commencé à sombrer.
The story of my life Nous sommes de ceux qui ont les yeux écarquillés en continu, des ahuris, des ébahis, qui guettent les comètes, les planètes et les épiphanies. Nous sommes de ceux qui cherchent à déterrer ce qui est enfoui, tout ce qui est caché et qui demande qu'à être sorti. « Papa ? Pourquoi le ciel est bleu ? » La petite blonde pointe les cieux de son tout petit doigt tout en regardant son père avec des yeux brillants. Elle est curieuse, cette enfant, au plus grand bonheur de ses parents. Jonathan Stafford-Howard, assis sur un banc du jardin en compagnie de sa fille, relève les yeux vers elle avec un sourire. Il est fier, tellement fier de sa petite Ava. Ava n'a que cinq ans, mais elle sait déjà lire et écrire. Ava n'a que cinq ans, et elle a déjà envie de découvrir le monde. Elle n'est certes pas surdouée comme sa cousine Jupiter, mais elle est intelligente, curieuse, avide de découvertes et de connaissances. Comme tous les Stafford-Howard, elle fera sans doute ses études à Oxford, la petite. Quelque chose de scientifique, peut-être même finira-t-elle par travailler à la base de la Royal Air Force située à Stafford, qui sait ? Jon et Maria veulent le meilleur pour elle et pour son frère, comme pour toute leur famille finalement. Leur famille, d'ailleurs, possède le comté de Staffordshire et sont l'une des plus riches de Grande-Bretagne, autant dire donc qu'ils vivent plutôt bien. Ava a grandi dans un immense manoir, n'a jamais manqué de rien et a vu les plus grandes célébrités de la mode défiler dans son salon, lors de meetings organisés par sa mère, mannequin célèbre à l'époque. Mais comme le dit le dicton, le bonheur ne dure jamais longtemps... Et chez les Stafford-Howard, même si elles ne sont que peu courantes, les tragédies restent malgré tout présentes. A l'âge de neuf ans, les médecins ont découvert chez Ava d'importants troubles valvulaires, une maladie du cœur pouvant s'aggraver avec le temps. Adieu le sport ou tout effort physique. Voilà l'une des nombreuses raisons pour lesquelles la jeune fille s'est tournée vers la mode et le mannequinat.
Nous sommes de ceux qui ne renoncent pas, des chiens enragés, des teigneux, des acharnés. Nous sommes de ceux qui comptent bien devenir capables de tout encaisse. Nous sommes de ceux qui établissent des stratégies dans l'obscurité, pour reprendre la main, jouer selon leurs propres règles et forcer le destin. « Mademoiselle Stafford-Howard ? » Elle se lève, croise les regards des autres candidates pendant un court instant, puis rejoint la secrétaire qui lui ouvre la porte. Après avoir arpenté un long couloir qui semble n'en plus finir, Ava se retrouve dans un bureau ovale, où une chaise l'attend. La blonde balaye la pièce des yeux, ne sachant que faire. De longues secondes s'écoulent, puis une porte sur sa droite s'ouvre. « Assieds-toi, Ava, ce n'est pas comme si nous ne nous connaissions pas. » Monsieur Karl Lagerfeld en personne lui sourit derrière ses lunettes noires. Il l'a toujours impressionnée, la belle Ava, peu importe le fait qu'à présent, ils se fréquentent dans divers défilés. La jeune mannequin finit par s'asseoir alors que le créateur s'installe en face d'elle. « Comment vas-tu, Ava ? » La blonde laisse échapper un rire nerveux qui fait sourire l'homme à la chevelure grise. « Je vois, un peu stressée, n'est-ce pas ? Alors je ne vais pas te faire languir plus longtemps. » Il se détourne, se lève, et récupère un dossier dans ses étagères immenses. Ava ne sait plus où se mettre. Son cœur bat la chamade et elle ne tient plus en place, le regard fixé sur le dos du créateur à la recherche d'une feuille. Lorsqu'il se retourne, la jeune femme s'arrête de respirer pendant de longues secondes. « Mademoiselle Stafford-Howard aurait-elle l'honneur de signer ceci afin de devenir l'égérie de Chanel ? » « QUOI ? » Ses yeux bleus s'agrandissent alors qu'elle reste bouche-bée devant le contrat que lui tend monsieur Karl Lagerfeld en personne. C'est une blague ? Elle était venue ici pour la sélection du prochain défilé, non pas pour... cela. Ava crève d'envie de sauter au cou de son nouveau patron définitif mais se contente de lui adresser un sourire qui en dit long. « Merci, merci beaucoup, je... je ne sais pas quoi dire. » Le vieil homme pose alors sa main sur son épaule et lui sourit lui aussi, alors que la jeune femme s'empresse de signer le contrat sur le bureau. Voilà, ça y est, elle s'est enfin fait un nom par elle-même.
Cette nuit à côté de toi c'était comme du lait, comme du coton, qui m'ont enveloppé de nulle part. Si on me l'avait dit j'y aurais pas cru, alors je me repasse le film en continu. Au fond, je crois que j'ai toujours cru en l'amour. L'amour pur, l'amour simple, l'amour que partagent mes parents depuis toujours. Pourtant, j'y arrive pas, j'y suis jamais arrivée. A quoi ? A m'attacher. J'ai jamais réussi à dire « je t'aime » pour la simple et bonne raison que je n'y ai jamais cru sincèrement, honnêtement. Et pourtant, j'ai eu droit aux plus beaux princes, aux plus charmants gentlemen, aux plus adorables jeunes hommes. Pour la plupart, ils étaient attentionnés, gentils, bien élevés, romantiques. Je n'sais pas pourquoi j'y arrive pas, je n'comprend pas. Et puis tout à coup, ça m'est tombé dessus. Je ne m'y attendais pas, mais alors pas du tout. Il est arrivé dans ma vie sans rien demander, et en un simple regard, j'ai tout de suite compris. J'ai compris que oui, j'avais un cœur. J'ai compris que oui, je pouvais m'attacher. Elizabeth, un nom qui lui avait valu plusieurs vannes de ma part, et elles lui en valent encore aujourd'hui, d'ailleurs, mais il me connaît, et il sait que je blague. Els, mon Els. Notre relation n'est pas des plus simples, sans doute car nous ne sommes, nous-mêmes, pas des plus simples. Els, mon Els. Voilà un peu moins de trois mois que nous nous considérons plus ou moins comme un « couple », tous les deux, même si ni l'un ni l'autre ne veut se l'avouer. Malgré tout, aux yeux du public, nous ne sommes que deux très proches amis que l'on pourrait considérer comme un frère et une sœur, inséparables et pourtant si différents. Oui, Els ça a été le coup de foudre auquel je ne m'attendais pas, et j'ai beau aller flirter à droite à gauche, je ressens pour la première fois quelque chose. Quelque chose d'intense, quelque chose de nouveau, de différent. « Mais arrêtes Els putain ! » Tordue de rire sur mon lit, j'essaye tant bien que mal de me dégager de l'emprise de mon « petit ami ». Il finit par arrêter de me chatouiller et m'entrave les poignets, se postant au dessus de moi avec un sourire en coin. « Ok, ok, t'as gagné ! » Son air victorieux me fait sourire malgré ma défaite et il dépose furtivement, avec douceur, ses lèvres sur les miennes. Els, c'est un ange tombé du ciel, ma bonne étoile. Els, c'est mon premier amour, tout simplement.
Tu seras ce qu'on te dit, tu discutes pas, ici-bas c'est comme ça. T'as compris le jeu petit merdeux ? C'est la roulette, tu choisis pas. Mon dieu. Mon dieu. Mon dieu. Les lumières défilent, dansent devant mes yeux. Jour, nuit. Jour, nuit. Que se passe-t-il ? Où suis-je ? Des éclats de voix, un milliard de voix, de bruits, de sons, tous plus différents, tous plus intenses. J'ai peur. J'ai peur, et je ne ressens rien d'autre. Je suis terrifiée. Jupiter. Son visage. Ses cheveux bruns. Voilà tout ce dont je me souviens : la silhouette de ma cousine, agenouillée au dessus de moi, totalement paniquée. J'ai envie de parler, mais quelque chose m'obstrue la bouche. Jupiter, où es-tu ? Jupiter, où suis-je ? Jupi, aides moi, je t'en prie... Panique. Stress. Peur. Jour. Nuit. Jour. Nuit. Nuit. Nuit noire. Noir profond. Gouffre sans fond... Inconscience. Bip. Un, deux. Bip. Un, deux. Bip. L'électrocardiogramme est en route, lent, certes, mais il indique que je suis bel et bien vivante. Soulagement. J'ouvre les yeux, lentement, puis les referme subitement. Trop de lumière, beaucoup trop. « Ava ?! Ava, comment tu te sens ? » Un fin sourire étire mes lèvres. Jupi... Ses doigts s’entrelacent aux miens et je lui serre la main avec le peu de force que j'ai. Mon regard croise alors le sien, et je peux y lire la tristesse dans ses yeux. Et tout de suite, je comprend. Mon cœur. Mon cœur commence réellement à me lâcher. Je me mords la lèvre inférieure alors que je sens en moi la tristesse grimper, s'immiscer dans mon corps tout entier tel un venin mortel. Mes yeux se remplissent de larmes et je supplie du regard Jupiter de me dire la vérité. Elle baisse les yeux, elle-même totalement effondrée par ce qu'elle a apprit. « Il va... il va te falloir une greffe du cœur ma puce... dans les trois mois qui arrivent, au maximum... » Je ne peux plus me retenir, j'explose alors en sanglots dans les bras de ma cousine qui me sert aussi fort que possible. Pourquoi ? Pourquoi la vie est-elle si injuste ? ''Au maximum...'' Cette expression me fait frissonner, moi qui ne me donnait pas de limites... Moi, Ava Isobel Athénaïs Stafford-Howard, vingt-deux ans, est destinée à vivre encore trois mois en bonne santé, avant que son corps en décide autrement. Pourquoi tant de haine ? Pourquoi tant d'injustice ? Et plus égoïstement... pourquoi moi ?
Que répond le petit whisky à ces QUESTIONS TORDUES ? Que représente Oxford pour toi ? A la base, j'étais là pour étudier dans la meilleure des universités, poursuivre la tradition de ma famille de faire des études à Oxford. Depuis début décembre cependant je vois Oxford comme une prison, plus qu'autre chose. Une entrave à ma vie, finalement. Plutôt bon verre de scotch ou shots de tequila ? Shots de tequila, c'est plus rapide, pour oublier. Il parait que le sexe c'est mal, t'en penses quoi toi ? Ce n'est pas mal, c'est naturel. Après, il y a le sexe avec sentiments et le sexe sans sentiments. Perso, je préfère la première option, et pourtant je suis une adepte de la deuxième. Allez comprendre. As tu fait quelque chose dont tu n'es pas très fière ? Boire jusqu'à ne plus tenir debout et tout oublier, fumer jusqu'à m'étouffer, tomber dans les bras d'un inconnu, casser un talon avant un défilé, trop me maquiller, et faire le mur à l'âge de treize ans. Ça te fait quoi quand l'Oxymoron publie des infos sur toi ? Je n'ai que faire des bavardages, rumeurs et autres histoires me concernant. Je suis la seule qui connaisse réellement ma vie, après tout. Je suis sûr que tu as une petite manie insupportable, laquelle? Maniaque, moi ? Non. J'ai aussi le soucis du détail, beaucoup trop d'ailleurs. Une mèche de cheveux qui dépasse d'un chignon, un ourlet de travers, des traits de liner non symétriques, des fautes d'orthographes dans les documents officiels... Tout cela a le don de m'énerver, et j'énerve les autres après coup.
pseudo/prénom aswenn. âge dix-huit. lieu d'habitation un appart quelque part, sisi. où as-tu connais le forum jupiter. t'en penses quoi? au top. Scénario ou Inventé? inventé. un dernier mot? :23: .
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[b]Cara Delevingne[/b] ✗ Ava I. Stafford-Howard
Dernière édition par Ava I. Stafford-Howard le Sam 20 Déc - 22:30, édité 9 fois |
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