J. Liloo Gonzales ADMIN — les maitres du royaume
☆ date d'arrivée : 08/01/2015 ☆ potins balancés : 628
| Sujet: Liloo — learn to be perfect Dim 11 Oct - 0:11 | |
| June Liloo Gonzales i wanna be a unicorn, biatch
identification complète June Liloo Gonzales. C'est sa mère qui a choisi ses deux prénoms, c'est une femme qui aime les prénoms doux et poétiques, simples. Quant à son père c'est un mexicain qui a donné son nom de famille à sa fille. âge vingt-huit années. lieu/date de naissance C'est compliqué. Elle est née à Cancun. Elle a grandi à Los Angeles, et elle est arrivée en Angleterre dans sa jeunesse. Sa mère est une asia-britannique, son père est un hispano-américain. Elle a un code génétique de rêve oui. Et elle est né le 11 Novembre . études suivies et année Diplômée en Littérature classique après cinq années d'études, elle continue ses études en Psychologie et entre en huitième année. Elle a aussi fait deux ans d'études en Chine. job Psychologue dans l'enceinte de l'université. orientation sexuelle Libre, bisexuelle assumée. statut fiancée à Maxime de Langlais, elle est cependant très libre de ses mouvements. statut social ££££ caractère joviale - délirante - sarcastique - franche - trop honnête - ne sait pas se tenir en société - prétentieuse - séductrice - dragueuse - infidèle - incapable de tomber amoureuse - sadique - joueuse - violente (physiquement et verbalement) - excessive - n'a pas de limite - repousse toujours ses limites - aime se lancer des défis - fêtarde - joue à la grande dame - libre groupe Oxford Student / Hard Worker qu'importe avatar Ksenia Solo
Welcome to the jungle Liloo est une jeune femme compliquée, mais qui aime surtout se faire passer pour quelqu'un de compliqué. Sa vie se résume à faire chier les autres, à s'amuser, et à ne pas se prendre la tête. Elle trouve une certaine complaisance dans les jeux de séduction, aimant se faire désirer autant qu'elle apprécie se lâcher avec de parfaits inconnus. Cela révèle selon elle un comportement immature, prouvant de son incapacité à accepter son âge et le fait de vieillir. Une sorte de syndrome de Peter Pan si vous voulez. Cela se voit dans sa manière de se vêtir, toujours avec un style très gothique, romantique, bimbo, ou carrément déjanté. Elle change souvent de coupe et de couleurs de cheveux aussi, suivant ses humeurs et ses envies. Mais aussi dans son appartement, au décors si éclectique qu'il est difficile de dire s'il s'agit du lieu de vie d'une enfant de quinze ans ou d'une personne d'une cinquantaine d'années. A côté de cela, elle espère un jour être une femme du monde, comme toutes celles qu'elle côtoie dans les dîners mondains. Une femme avec des robes magnifiques, qui sait avec quelle cuillère il faut manger la soupe, avec laquelle il faut faire tourner les spaghettis - et qui en outre sait le faire - ou avec laquelle on tourne le café. Elle aimerait être une femme respectée, belle et élégante, mais elle a encore beaucoup à apprendre, et elle le sait. Si seulement elle n'avait pas un caractère aussi mal foutu elle aurait sans doute déjà beaucoup changé. Cependant, quand on refuse de voir ses erreurs et d'accepter les critiques, c'est compliqué d'apprendre les choses. D'un caractère bien trempé, la jeune femme est une râleuse invétérée, une enfant gâtée et capricieuse, une colérique qui a des tendances à la violence. Mais ne vous y trompez pas, en réalité elle est aussi douce qu'un agneau quand on sait comment la prendre. C'est une amie fidèle, à l'écoute, délirante, qui fera tout pour vous remontez le morale. C'est une amante unique, qui pourra vous faire rire pendant que vous prenez votre pied, et vous en redemanderez. C'est une jeune femme pétillante et pleine de vie, qui a comprit il y a des années maintenant que cela ne servait à rien de se prendre la tête et de se pourrir la vie tout seul. Acceptant l'idée qu'il y a un destin, qu'il y a des forces supérieures qui gouvernent sa vie, elle profite de chaque instant. Elle refuse de croire que son corps et son esprit ont des limites. Prompt à faire tout genre d'expérience, elle ne saura pas vous dire non facilement. Apprenant à contrôler ses peurs et ses angoisses, elle a déjà fait pas mal d'expériences assez étonnante : allant du saut en parapente à la soirée ésotérique. Inconsciente bien souvent, elle refuse de voir le danger pour se concentrer sur l'intérêt de la chose. Elle se met bien souvent dans des situations délicates d'où elle sort avec un grand cris hystérique, prenant les jambes à son cou.
Ce qu'elle aime : les chats - les licornes - les fruits - le sexe - l'alcool - la drogue - la cigarette - les voitures - le sport - les doc martens - ses amis - ses parents - faire la fête - Oxford. Ce qu'elle déteste : les chiens - les chevaux - les poils - le botox - le jaune - le chocolat - les bonbons - les robes - se gratter - les patates - les critiques - la peur - Bristol.
The story of my life
La lune blafarde bercer le monde inhumain d'une lueur morbirde, tandis ce que les ombres mélancoliques rongeaient la terre de leurs bas mortuaire, un cris dans le lointain éveilla les esprits des désespérés. Hurlement douloureux d'une jeune princesse encore fragile, retirée aux entrailles protectrices de sa génitrice. Neuf saisons, printemps infernaux durant lequel elle grandit sans se soucier qu'elle allait entrer dans un univers où elle ne trouverait sa place que parmi les dégénérés et les fourbes. Elle... « Ta gueule Dwen. » Je m'appelle Liloo. Qu'importe qui me le demandera je me présenterais toujours comme étant Liloo. J'aime bien ce prénom, il représente très bien tout ce que je m'efforce d'être au quotidien. Une jeune femme qui ne se prend pas la tête, toujours avec le sourire, ou tout du moins qui tente de ne pas trop pleurer. Je déteste pleurer, c'est comme dire au monde Je ne suis pas contente et je déteste les caprices. Alors je ne pleure pas, je me contente de ce que j'ai, et la plupart du temps ce que j'ai c'est vraiment génial.
Je suis née à Cancun, au Mexique - j'imagine que la majorité d'entre vous doit le savoir ! Mais ma famille n'est pas vraiment un modèle de simplicité. Essayez donc de suivre cela: ma mère est une asia-britannique. Elle est née à Bristol, en Angleterre, mais ses parents vivaient à Londres. Ils se sont rencontrés lors d'une talasso. Mon grand-père était un asiatique, venu en Angleterre pour le climat - un peu barré le papi je sais ! - et ma grand-mère était une britannique qui avait reprit l'entreprise familiale. Ils vendent des poupées. Enfin, ils vendaient des poupées. Maintenant ils se sont perfectionnés dans les logiciels informatiques, les technologies nouvelles et haut de gamme. L'entreprise est à la fois basée au Japon, en Angleterre et aux Etats-Unis. Ca, c'est le côté riche de ma famille. Ensuite, il y a mon père. Lui il est Hispano-Américain. Vous savez, les espèces de délurés que l'on voit dans les films américains : les mexicains qui se promènent partout avec des armes et vendent de la drogues en reluquant les nanas qui passent dans la rue ? Mon père était un mec comme ca quand il était jeune, mais seulement pour rire. Son père était un haut-fonctionnaire de l'état, travaillant dans le comté de Los Angeles. Il n'a pas vraiment manqué d'attention ou d'argent de poche. Quand il a eut dix-huit ans il a décidé de partir vivre à Cancun, et il y a monté un complexe hôtelier. C'est là qu'il a rencontré ma mère. Et je suis arrivée dans leur vie, trois ans plus tard !
On peut dire que j'ai un code génétique de rêve. Et je ne le partage qu'avec une seule personne : Iosef. Ma crapule de petit frère, qui a un ans de moins que moi. Iosef est sans doute la personne que j'aime le plus au monde. Je ne suis pas le genre de grande soeur protectrice et gentille. Je ne jouais pas à la poupée avec lui. La majorité du temps je râlais parce qu'il était trop bruyant, ou je faisais passer mes conneries pour les siennes. Fut un temps, durant notre adolescente, nous partagions un peu les choses. Mais très rapidement j'ai compris qu'il était la tête de turc de nos parents. Une chose que je ne comprenais pas.
« Viens Io', on va voir les étoiles je te dis. Y a eut une coupure de courant dans tout le quartier, le ciel est hyper dégagé ! Papa n'en saura rien je te dis. » Il la regarde, méfiant, sachant qu'il risquait gros sans doute à la croire. Ils ont treize et quatorse ans. Ils vivent dans la périphérie de Londres, dans un quartier résidentiel assez calme et posé. Mais à cause d'une tempête dans la journée le courant est coupé. Les parents dorment. En théorie. Et Liloo veut regarder les étoiles avec son frère, parce qu'elle sait qu'il adore cela. « D'accord mais pas longtemps alors. » Elle sourit, et prend sa main pour l'inviter à venir sur le toit avec elle. Ils regardent les étoiles un temps. « Papa est levé ! » Dit-elle soudainement entendant un bruit à l'intérieur. Trop tard. Quand ils rentrent dans la chambre leur père est déjà là. Ceinture à la main. « Tu m'as menti Liloo, tu me mens toujours ! C'est de ta faute tout ca ! »
Pour Iosef j'étais la méchante de la famille. Le bourreau qui prenait un malin plaisir à le martyriser. Et quand je suis entrée dans la crise d'adolescence je n'ai plus eut à coeur de le contre-dire. Je l'aimais, je l'aime encore, car après tout il est mon petit frère. Mais je ne peux pas m'en empêcher. Je tiens le rôle qu'il me confère depuis des années. Celui de l'ordure, de la petite peste, de la préférée. Passons.
Quand j'ai eut dix-huit ans, je suis partie pour Oxford, étudier la psychologie et la littérature Classique. Ma mère disait toujours qu'il ne suffisait pas d'avoir de l'argent, mais qu'il fallait être intéressant. Et le seul moyen de pouvoir tenir une conversation, c'était d'avoir des sujets de conversations. Et le seul moyen d'avoir de véritables sujets de conversation, c'était de lire. De tout, tout le temps. Alors si j'admets que je préfère souvent regarder les adaptations cinématographiques, je ne suis pas contre un bon livre. Mes parents ont toujours mis un point d'honneur à ce que je sois cultivée, à ce que je lise, à ce que je travaille bien à l'école. Avoir une mémoire photographique m'a toujours aidé dans ce domaine. Il me suffit de regarder la page d'un livre pour pouvoir la réciter presque par coeur. C'est grisant comme sensation. C'est sans doute grâce à cela que j'ai été admise dans la meilleure université du monde. Oxford c'était un rêve, une manière de me retrouver loin de mes parents et de leur jong. De pouvoir faire ce que je voulais, toutes les expériences que je voulais. Grande curieuse, je me lance facilement dans l'aventure. Toute sorte d'aventure.
Je ne suis pas restée longtemps à Oxford, mon désir de voir le monde était bien trop présent. Alors j'ai profité d'un échange pour pouvoir faire deux ans d'études en Chine. Ce fut sans doute le voyage le plus délirant de toute mon existence et j'ai énormément appris là-bas. La langue, la culture, et cette faculté de soudainement péter les plombs et faire des karaokés jusqu'au bout de la nuit. Je crois que c'est là que j'ai commencé à lâcher prise. Je suis rentrée à Oxford, continuer mes études, avec la conviction que l'être humain était la chose la plus intéressante et surprenante dans ce monde.
A Oxford, j'ai fait aussi la rencontre qui marquera sans doute toute mon existence : Maxime de Langlais. Un noble, un Lord, un français. Britannique. Italien. Un curieux du monde, passionné de voyage. Et mon parrain dans la formation littéraire. Il était là quand j'avais besoin de lui, parce que c'était son rôle, mais je reste persuadée que durant des années il ne m'a pas apprécié. Il m'a plu tout de suite. Le premier jour. Il avait un air mutin, mélancolique, et si chaleureux à la fois. Bouleversant. Mais il était amoureux, d'un homme, et leur histoire s'est tragiquement terminé, si j'en crois le départ soudain de mon parrain à l'autre bout du monde. Nous n'avons jamais cessé de nous écrire, et de nous envoyer des messages.
C'est quand il est revenu à Londres, quelques années plus tard, que nous avons couché ensemble la première fois. Une relation qui avait évoluée au fil du temps, devenant plus intime. Nous nous comprenions, et nous échangions beaucoup de choses. Sur la vie, l'amour, l'humain. Nos croyances, nos espoirs, notre moralité aussi, et sur bien des points nous sommes diamétralement opposés. Terriblement complémentaires. Et c'est cela qui nous a rapproché en fin de compte. Sa famille fauchée, la mienne sans titre, nos parents se sont rencontrés avec délectation il y a trois ans. Maxime et moi n'avons eut de cesse de nous rapprocher, l'entente amicale se rajoutant à une attirance physique bien présente. Sans amour cela dit, car il se refusait à aimer par peur de souffrir, et je me refusais à aimer par égoïsme. La décision de nous marier ne vint pas seulement de moi. Mais de nos parents aussi. Maxime l'accepta quant bien même cela allait à l'encontre de ses théories sur l'amour romantique. Une promesse de liberté, de plaisir, de joie, de bonheur.
Durant les années qu'elle passa à Oxford elle se fit une petite réputation de catin, de salope, mais aussi d'amie fidèle et à l'écoute. Ses études en Psychologie l'ont mené au rang de Psychologue dans l'enceinte de l'université, un rôle qu'elle a depuis la rentrée. En parallèle, elle écrit une thèse, pour terminer ses études : le fantasme de l'excès chez l'adolescent et le jeune adulte et ses répercutions dans le rôle social. Passionnant. Mais elle pourrait être elle-même son objet d'étude. Nymphomane, fêtarde, droguée, délirante. Incapable d'accepter de grandir, elle voit arriver la date de son mariage avec angoisse. L'angoisse du changement. L'angoisse de ne plus être libre. L'angoisse d'aimer. Sans doute. L'angoisse de... « Ta gueule Dwen. »
Que répond le petit whisky à ces QUESTIONS TORDUES ? Que représente Oxford pour toi ? Oxford c'est ma maison. Je vis ici depuis des années maintenant et je ne m'imagines plus aller vivre ailleurs. Je connais tous les bons coins, tous les gens intéressants. Oxford ca a été mon souffle d'air. Plutôt bon verre de scotch ou shots de tequila ? Pour pas les deux, le tout est d'être bien accompagné. Il parait que le sexe c'est mal, t'en penses quoi toi ? C'est toi qui est le mal. Le sexe c'est le bien, encore plus quand il est partagé. As tu fait quelque chose dont tu n'es pas très fière ? Oui, mais je ne l'avouerai pas facilement. Ça te fait quoi quand l'Oxymoron publie des infos sur toi ? Parfois, cela arrive. Il faut dire qu'il n'est pas rare de me voir trainer avec des gens de la haute qui veulent passer un bon moment. Mais je ne me souviens pas que mon nom soit déjà apparu. Oxy' ne sait peut être pas qui je suis. Je suis sûr que tu as une petite manie insupportable, laquelle? Je fixe les gens pour les rendre mal à l'aise.
pseudo/prénom Vous le savez déjà. âge 22 balais maintenant lieu d'habitation dans un sous-sol aménagé /deaD/ où as-tu connais le forum En tant que petit embruyon. t'en penses quoi? Il est superbe les gars ! Scénario ou Inventé? un peu les deux ~ Voulez-vous un parrain pour vous aider sur le forum ? un dernier mot? j'vous aime putain !
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Dernière édition par J. Liloo Gonzales le Mer 14 Oct - 21:57, édité 4 fois |
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