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 (terminé) ANDRARON ✘ If it's meant to be, It will be [HOT HOT HOT]

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MessageSujet: (terminé) ANDRARON ✘ If it's meant to be, It will be [HOT HOT HOT]   (terminé) ANDRARON ✘ If it's meant to be, It will be [HOT HOT HOT] EmptyVen 12 Déc - 18:53

"If it's meant to be, It will be"

Aujourd’hui allait être un grand jour pour moi. En effet, en cette cinquième année d’étude de droit, j’allais devoir mener une thèse sur un thème que j’avais l’honneur de choisir de mon propre grès. La partie la plus stressante dans tout cela, c’est que l’on est chaperonné par un professeur, que l’on nommera dans ce cadre là, un tuteur et qui est le référent auquel on devra faire appel pour toutes nos questions et prises de décisions quand à cette thèse. Pour être réellement franc, si on tombe sur un professeur vieux-jeu, trop pointilleux ou qui ne partage pas le même point de vue que le notre, on peut se retrouver avec un sujet de thèse totalement différent de celui que l’on voulait présenté au départ. De mon côté j’espérais ainsi tomber sur un professeur qui serait clément vis à vis des mes choix, je n’allais de toute façon pas me laisser faire, j’étais connu par de nombreuses personnes, pour être un véritable « requin » qui ne laissé aucune place aux choix des autres. C’est donc bien décidé à faire valoir mes choix que je me pressais de rassembler mon ordinateur portable, mes dernières notes, pour rapidement quitter la chambre et pour aller rejoindre le bureau 303 du bâtiment de droit afin d’y retrouver mon futur tuteur. Je n’avais aucune idée sur qui j’allais pouvoir tomber puisque c’était vraiment du tirage au sort. Même les professeurs découvraient le jour même l’identité de leurs étudiants, il n’avait jusqu’au moment de la rencontre qu’un numéro d’anonymat comme référence pour pouvoir s’y retrouver. J’avais donc reçu un mail de la secrétaire de mon département, qui m’informait qu’aujourd’hui je devais me rendre à 13h30 dans le bureau 303 afin d’y rencontrer mon tuteur de thèse. Je devais amener avec moi, mes premières esquisses de plan, de problématique et de sujet pour pouvoir commencer au plus vite. En tant que grand passionné de mes cours, j’avais donc pris à coeur ce premier rendez-vous, durant lequel j’espérais que mon charisme et mon intelligence allait pouvoir rayonner et ainsi me laisser le libre arbitre. Mon thème choisis est « La distinction de l’obligation et du devoir en droit privé », cette distinction est pour moi fondamentale or l’obligation est le devoir sont très souvent confondus, d’où mon intérêt pour ce sujet. Fin prêt, je quittais donc ma chambre étudiante et c’est un pas décidé que je me dirigeais en direction du bureau 303.

Arrivant enfin devant ce fameux bureau, après avoir eu un peu de mal à m’y retrouver (les couloirs de Oxford se ressemblant tous comme deux gouttes d’eau), je m’apprêtais à frapper contre la porte quand soudain un léger sentiment de peur m’envahit. Ce n’était pourtant pas dans mon habitude, moi le grand Aaron Evans connu pour ne craindre personne et avoir toujours les bonnes idées au bon moment. Pourquoi maintenant je commençais à craindre cette situation, peut être parce que mon intuition me disait, que j’allais avoir une mauvaise surprise … Peu importe, maintenant que j’étais là il fallait y aller, je taper donc deux coups sur la porte avant de prendre la poignée en main et de la pousser. Je rentrais alors dans le bureau où se trouvait déjà mon tuteur, qui n’avait pour le moment pas pris la peine de relever la tête, il était plongé dans un bouquin qui semblait prendre toute son attention. Fermant la porte derrière moi, je me plaçais alors devant le bureau et pour faire signe de ma présence je racler ma gorge. Et là, comme je l’avais pressenti ma surprise fut dès plus déconcertante. À peine releva t’il sa tête que mes yeux s’écarquillèrent face à lui, je ne sentais tout à coup plus mon corps, j’étais comme ailleurs, je ne me sentais pas très bien même, toute mon assurance avait disparu pour laisser place à un vide infernal. Mon coeur quant à lui se m’y à battre la chamade à tel point que je croyais qu’il allait sortir de ma poitrine pour venir s’écraser sur le bureau. Trouvant finalement le courage de faire bouger mes lèvres, je balbutiais alors difficilement quelques mots à peine audible. « And …Andrea …. que fais tu ici ?! ».


Dernière édition par Aaron W. Evans le Dim 15 Fév - 21:36, édité 3 fois
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MessageSujet: Re: (terminé) ANDRARON ✘ If it's meant to be, It will be [HOT HOT HOT]   (terminé) ANDRARON ✘ If it's meant to be, It will be [HOT HOT HOT] EmptySam 13 Déc - 22:47

If it's meant to be, It will be
Aaron & Andrea
Aujourd’hui était une journée chargée pour ma part, il faut dire que je ne me contentais pas de seulement donner des cours ou des conférences à l’université, mais je faisais également plein d’autres choses professionnelles à côté, comme conseiller juridiquement les familles qui n’avaient pas les moyens de financer un avocat sur le long terme, il faut dire que ça coûte un bras de se payer un avocat et que tout le monde n’en a pas les moyens. Alors si je pouvais aider des gens sans pour autant faire trop d’efforts. J’étais d’ailleurs sur un cas particulièrement complexe d’une mère qui se battait bec et ongles pour conserver la garde de son fils le plus jeune. La seule chose de répréhensible qu’elle avait fait était d’avoir deux boulots pour parvenir à faire vivre toute sa petite famille alors que son mari se contentait de boire à la maison, mais il avait un bon avocat, grâce à sa famille. Donc ses chances de perdre le procès étaient assez importantes. J’étais donc en train de lui préparer un solide dossier à présenter au procureur ainsi qu’à l’avocat commis d’office qui lui serait assigné. Généralement mon travail n’était pas tellement apprécié, car parfois il est vrai que je grignotais le travail de ces fameux avocats, mais quand on sait le temps qu’ils ont pour préparer un dossier, ça fait peur. Alors je préférais faire le plus possible pour aider ceux qu’ils le peuvent. Bien sûr cela me prenait énormément de temps, surtout que maintenant j’avais pas mal de loisir à-côté. Mais je m’en occupais entre deux cours, pendant les repas, où je restais au bureau pour travailler sur ces fameux dossiers, et je n’en prenais de toute manière pas plus de deux à la fois. C’était parfois cruel, parce que je devais faire un choix parce que sinon je ne pourrais jamais m’en sortir. Surtout que j’étais assez méticuleux dans mon travail, je n’aimais pas les choses baclées. Surtout que, en plus des cours on venait de me rajouter du tutorat pour une cinquième année. J’avais moi-même fais cette fameuse thèse de cinquième année, il n’y a pas si longtemps que ça ! D’habitude on ne donnait qu’aux professeurs ayant un peu plus d’expérience de suivre une thèse, mais le directeur avait insisté pour que j’en prenne un.

J’avais fini par accepter d’aider un jeune à construire sa thèse. Et, je ne saurais qu’au moment de la rencontre qui serait celui que je suivrais, puisque c’était sur un système de tirage au sort que le professeur était assigné à l’étudiant. Dans mon université ce n’était pas aussi euphorisant puisqu’il n’y avait pas autant de professeur et que l’on assignait les professeurs par ordre alphabétique des étudiants. J’avais donc donner mes heures libres au secrétariat pour que le rendez-vous se fasse. J’avais bien hâte de savoir qui j’allais accompagner et quel serait le sujet de sa thèse. Je ne pense pas être quelqu’un qui soit très fermé, et j’espérais même que l’on parviendrait à me surprendre. Entendant toquer à la porte je me contente de marmonner un « Entrez ! » alors que j’étais totalement plongé dans mon code civil pour parfaire ce fichu dossier. J’attrape mon stylo pour griffonner quelque chose sur ma feuille avant de relever la tête au bruit que j’entend, signe que l’étudiant était présent. Je relève la tête et mon stylo s’échappa de mes doigts. Mz bouche s’entrouve sous la surprise et mes yeux s’écarquillent. Non, là c’était vraiment le destin qui s’acharnait contre moi, ou qui me disait qu’il fallait que je me bouge les fesses pour lui parler. Mais bon sang je n’étais pas prêt ! Je secoue ma tête, me retrouver face à Aaron est un sacré choc, tout autant que le fait que l’on allait maintenant devoir se croiser de manière assez régulière, parce que je tenais vraiment à coeur de le suivre de près dans sa thèse. Je soupire profondément fermant les yeux pendant quelque seconde. « Ben comme tu le vois je suis professeur ici, et apparemment ton tuteur » répondis-je alors que je reposais mon regard sur lui. « Asseyez-vous » Ok, ce n’allait pas être une partie de plaisir, et certain qu’il ne veut plus me voir, autant rester professionnel, c'était le meilleur moyen que de rester calme et serein. Mais surtout je ne m'étais pas préparé à le revoir aussi rapidement, même si au fond, en plus de voir mon rêve d'être à Oxford, j'espérais retomber sur lui, et à lui faire comprendre la mascarade dans laquelle on était tout les deux tombées, et dont je payais les pots cassés aujourd'hui
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MessageSujet: Re: (terminé) ANDRARON ✘ If it's meant to be, It will be [HOT HOT HOT]   (terminé) ANDRARON ✘ If it's meant to be, It will be [HOT HOT HOT] EmptyLun 15 Déc - 22:57

"If it's meant to be, It will be"

À l’instant présent je me retrouvais complètement désarmé, complètement dénudé de toutes réactions face à ce que je venais de me prendre en pleine face. Une véritable claque, un tsunami venait de se heurter à moi. Je n’en croyais pas mes yeux. Mon corps tout entier était devenu tout crispé dès le moment où j’avais croisé son regard. Comment cela pouvait-il être possible qu’il soit là devant moi ? Ici, à l’université d’Oxford ? Était-il ici dans le but de m’approcher ? Avait-il prévu un plan pour me surprendre ? Je ne comprenais plus rien, je me retrouvais complètement dénué de toute logique, de toute réalité. Je sentais mon coeur battre de plus en plus fort contre ma poitrine, tellement que cela venait même à me donner une douleur que je ne saurais vous décrire. Mon souffle lui se voulait saccadé et dépourvu de tout rythme habituel. Je me retrouvais dans un état dans lequel je ne m’étais plus retrouvé depuis des années, depuis le jour où Andrea et moi nous nous étions séparés, ou du moins où je l’avais quitté. Car oui vous l’auriez bien compris, cette réaction non contrôlée était le fruit de la découverte de mon tuteur de thèse, qui n’était autre que Andrea, mon premier et seul grand amour, celui que j’avais quitté il y a un peu plus de cinq ans lorsqu’il m’avait brisé le coeur en me trompant avec un autre. Cette rupture est la cause de mon état sentimental actuel. À savoir celui dans lequel je me retrouve avec un homme différent chaque soir, sans que jamais je ne m’autorise à ressentir la moindre émotion, le moindre sentiment. Cette carapace que je me suis construise au fil de ces années c’est dans l’unique but de ne jamais me retrouver dans la position dans laquelle je me suis retrouvé lorsque j’ai quitté Andrea, à savoir un être dépourvu de toute envie de vivre. Lorsque j’avais claqué la porte de son appartement à l’époque, sur le chemin du retour, je m’étais à plusieurs reprises posé la question de savoir si ma vie méritait d’être encore vécu, à de nombreuses reprises j’avais voulu me foutre en l’air avec ma voiture … par chance et peut être dans un élan de raison, je m’étais alors plutôt fait la promesse de ne jamais plus offrir mon coeur, tout mon amour à un homme … Ils allaient au contraire tous devenir de simples objets, dont j’étais le seul à décider de leur utilité ou pas. C’est ainsi que je suis devenu le bourreau des coeurs que je suis aujourd’hui, ou plutôt le serial fucker comme beaucoup aime me nommer.

Me retrouvant donc face au seul homme que j’avais aimé, c’est à la fois un mélange de tristesse et de rage qui était venu m’envahir. J’avais je ne sais comment encore réussi à prononcer les premiers mots, mais la réponse qu’il m’en donna n’était pas du tout celle que j’attendais. Sa manière de gérer cette retrouvailles me déstabilisa plus qu'autre chose. Restant debout face à son bureau, dans un élan de courage j’allais alors lui faire entendre le fond de ma pensée « Je te préviens tout de suite Andrea, ton petit air hautain et je m’en foutiste tu le gardes pour les autres, mais pas avec moi … Comment tu peux être aussi informel et froid … et ne me parle pas de question de maturité, j’ai beau être mature tu m’excuseras mais jouer au bon élève face à mon tuteur de thèse, très peu pour moi … » Je serrais mon poing aussi fort que je le pouvais, canalisant ainsi une partie de ma rage, tout en sentant une larme se former au coin de mon oeil, ne voulant alors pas lui laisser entrevoir cette fragilité je fis mine de détourner mon regard, avant de finalement reprendre mon discours, toujours aussi révolté « Et tu vas me dire que le fait que tu te retrouves professeur dans cette université et en plus de ça tuteur de ma thèse soit le fruit du hasard ?, à un autre ! Je suis major de ma promo depuis plus de cinq ans, donc tu savais très bien que j’étudiais ici … si c’est une mauvaise blague ou un plan pour chercher à t’expliquer, je peux dessuite t’apporter la réponse, toi et moi c’est fini depuis bien longtemps ». M’accordant finalement une petite pause dans toute cette agitation, je me laissais à le regarder … je dirai même le contempler. C’était fou comme il était toujours aussi beau, aussi séduisant. Dès notre première rencontre je n’avais pu résister à cette attraction et aujourd’hui encore malgré toute la rancoeur et la haine que j’avais à son égard j’arrivais à le trouver si canon. Il était beau, incroyablement beau c’était indéniable et dire le contraire serait mentir ou être aveugle, mais peu importe je ne pouvais pas me laisser avoir par son charme, il m’avait fait bien trop mal pour que je puisse un jour pouvoir lui pardonner sa faute.  
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MessageSujet: Re: (terminé) ANDRARON ✘ If it's meant to be, It will be [HOT HOT HOT]   (terminé) ANDRARON ✘ If it's meant to be, It will be [HOT HOT HOT] EmptyMar 16 Déc - 13:20

If it's meant to be, It will be
Aaron & Andrea
Dire que j’avais l’impression qu’un ouragan avait complètement détruit mon esprit, ce n’était pas totalement faux. Si j’ignorais tout de celui que j’allais suivre pendant cette année pour sa thèse, cela ne me faisait pas grandement plaisir de voir que c’était Aaron. Non pas que je ressentais plus rien et que j’étais en colère contre lui, car c’était totalement faux. Mais je n’étais pas préparé à tomber sur lui, ici, à Oxford. La seule chose que je savais c’était qu’il était à Londres. Après je ne m’étais pas plus renseigné que cela. Pour la simple et bonne raison que j’avais déjà bien assez de choses à penser comme cela, et que je n’étais pas le genre de mec à harceler son ex petit-ami. Bien sûr que j’avais dans la tête, depuis notre séparation, de le retrouver pour lui dire la vérité, mais je n’étais moi-même pas prêt à me confronter à lui, à subir le fait qu’il ne veuille pas m’écouter, et certainement faire face à de nombreuses portes claquées à mon nez. Alors je n’avais rien entamer encore. Le choc était donc d’autant plus raide que je ne m’y attendais pas du tout. J’avais l’impression que l’on serrer mon coeur pour qu’il cesse de battre. Ou au contraire qu’il se remettre à vivre. Car, depuis notre séparation brutale et douloureuse, je n’étais plus sortie ou à force que mes soeurs insistent pour que je les accompagne, et encore je n’approchais aucun homme. Jamais je ne pourrais avoir quelqu’un d’autre qu’Aaron, c’était peut-être enfantin, mais j’avais l’impression que mon coeur n’était fait que pour l’aimer lui et personne d’autre. Si ma mère et mes soeurs n’étaient pas là et ne dépendaient pas de moi, il était certain que je ne serais certainement pas face à lui aujourd’hui, mais bien dix pieds sous terre. Mais ça, tout le monde l’ignorait, car je m’étais bien gardé de lui dire. Alors je bossais encore plus, je faisais encore plus de sport, et surtout j’évitais de penser à notre histoire, au risque de retomber dans un état de léthargie assez inquiétant pour mes proches. J’étais véritablement devenu un bourreau du travail. C’est certainement grâce à cela que j’ai réussi à obtenir ce poste à mon âge, j’étais un des professeurs les plus jeunes, et c’était une véritable reconnaissance. Mais je doutais maintenant sérieusement du fait que j’allais enfin avoir une nouvelle vie. Tout cela parce qu’Aaron était face à moi, et que je devais sérieusement me bouger et faire le choix de me battre bec et ongles pour notre histoire ou alors tout laisser tomber, et donc perdre la seule chose qui me maintenait sérieusement en vie depuis cinq ans maintenant.

Pour le moment, je ne voulais pas que nos vies privées respectives interfèrent sur le boulot qu’on allait devoir faire ensemble, car il est certain que l’on ne nous changera pas de binôme. Cela n’allait pas être simple, mais on n’avait pas le choix. Je mis le plus de distance que je pus dans le ton de ma voix, espérant qu’il fasse de même. Mais c’était mal l’imaginer, je le savais. Et sa réponse ne m’étonnait pas un seul instant. C’était d’ailleurs une des choses qui m’avaient littéralement d-séduits quand on s’était rencontré. Je serre le poing sur le bureau pour me contenir, car je ne suis plus le Andrea qu’il connaît, qui est d’un calme olympien. Maintenant je suis plutôt du genre à fleur de peau et il ne faut pas me chercher. Il faut dire que beaucoup de choses ont été massacrées avec lui. « Et tu veux quoi Aaron ? que je me comporte comme avant avec toi ?! Que je sois le Andrea que tu as connu pour encore le piétiner ? Désolé mais celui-là n’existe plus ! Depuis bien longtemps. Alors maintenant si tu veux que je lise ta thèse tu assois ton cul sur cette chaise et tu te la boucles parce que je n’ai aucunement envie d’entendre tes jérémiades et je n’en ai pas le temps. » Il veut se mettre en rogne ? très bien, je peux également le faire ! Mais lorsqu’il m’accuse de le poursuivre, c’est la goutte d’eau qui fait déborder le vase. Je claque mon poing sur le bureau, la rage et la colère prenant le dessus et je me penche vers lui, contractant mes muscles. « tu crois que je n’avais pas d’autres chats à fouetter que de te poursuivre ? Tu me penses sérieusement capable de faire cela ? Je pensais que tu me connaissais mieux que cela Aaron, mais en fait tu ne connaissais rien de moi. Et que tu veuilles me croire ou non, je ne savais pas que tu étais ici. Je viens seulement d’arriver ici » Je m’arrête là avant de regretter mes paroles, mais ces paroles m’avaient plus blessé qu’autre chose. Je ne pouvais pas rester sans rien dire, ni même sans me défendre. Ce qui était encore plus douloureux, c’est que tout cela est entièrement la faute de sa famille, et que je n’arrivais même pas à lui en vouloir de m’avoir briser le coeur. Je le dévisage, ne lâchant pas son regard. Je ne peux pas m’empêcher de le trouver aussi parfait, que dans mes souvenirs. Je soupire avant de baiser les yeux et de m’emparer rageusement de son dossier afin d’y jeter un coup d’oeil.
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MessageSujet: Re: (terminé) ANDRARON ✘ If it's meant to be, It will be [HOT HOT HOT]   (terminé) ANDRARON ✘ If it's meant to be, It will be [HOT HOT HOT] EmptySam 20 Déc - 0:54

"If it's meant to be, It will be"

La vie pouvait s’avérer être une vraie chienne à certain moment et là à l’instant précis c’est bien ce que j’en pensais. Je ne pouvais pas craindre plus la situation que je vivais actuellement dans ce petit bureau de l’université, où je venais à me retrouver nez à nez avec Andrea, le seul homme qui avait été capable à la fois de faire battre mon coeur à la chamade par un amour intense et passionné, mais aussi le seul à l’avoir détruit à jamais, l’avoir brisé en mille morceaux. Dans mes cauchemars les plus fous je m’étais souvent retrouvé dans la même situation à savoir mon face à face avec mon premier et seul grand amour et à chaque fois cela se terminé dans les larmes et les cris. Ces cauchemars étaient-ils prémonitoires ? c’est bien là la question que je me posais en ce moment même, lorsque je posais mon regard sur lui. Ahhh qu’est-ce que notre vie aurait pu être parfaite s’il ne m’avait pas trompé avec un autre à l’époque … J’étais sûr qu’aujourd’hui nous aurions été un parfait petit couple, je nous imagine même parents d’au moins un enfant. Nous aurions eu une vie si parfaite que j’en avais mal au coeur de ne serait-ce que d’y penser. Comment avait-il pu me faire autant souffrir juste pour une simple histoire de cul ! D’autant plus que l’homme avec qui il m’avait trompé n’avait rien d’exceptionnel, bien au contraire il était banal surtout qu’en on me mettait à côté de lui. Je n’étais certes pas un Brad Pitt ou un Georges Clooney, mais j’avais un physique plutôt agréable, alors pourquoi allait chercher du sexe avec un homme comme ça ? Étais-je trop inexpérimentés à l’époque ? peut-être bien, mais ce n’était pas une raison valable tout de même pour commettre un tel acte. Enfin bref, rien que repensait à tout cela me déchirait le coeur. Il saignait à nouveau tel un torrent lancé à toute vitesse et cela n’était pas près de s’arrêter, puisque désormais j’allais devoir affronter la présence de Andrea quotidiennement, étant donné que c’était lui qui avait été désigné comme étant mon tuteur officiel. Si le destin avait décidé de se jouer de moi et bien il avait parfaitement réussi son coup, il n’aurait pas pu trouver un autre moyen pour venir chambouler ma petite vie presque parfaite que je menais jusque là. Comment allais-je survivre à ces retrouvailles, comment allais-je pouvoir à nouveau mener ma vie, tout allait changé j’en étais sûr, mes nuits se feraient encore plus courtes qu’elles ne l’étaient aujourd’hui, j’imaginais déjà toutes les insomnies en question venir me hanter pour toujours me poser cette même question, pourquoi m’avait-il fait ça ? En bref ma vie allait devenir un véritable enfer, j’en étais sûr.

J’avais donc rapidement laissé échapper toute ma crainte, ma colère, ma rancoeur envers lui en utilisant des mots plus ou moins durs à son égard. Après tout je n’allais pas le louper après ce qu’il m’avait fait. Apparemment mes mots ne lui avait pas tellement plu puisque il monta crescendo lui aussi dans sa façon de s’adresser à moi ce qui m’interpella quelques instants, mais après tout c’était peut-être normal aussi vu comment j’y avais été avec lui. Ne lâchant pourtant pas l’affaire, je ne voulais pas paraître faible face à lui et je continuais donc sur ma lancée tout en m’asseyant sur sa foutue chaise et en lui posant de façon pas très délicate mon début de dossier sur ma future thèse. « Tiens voilà mon sujet de thèse, puisque apparemment c’est toi qui devra me chaperonné pour ce projet, ainsi soit-il … » Laissant entendre un léger soupire. Je vins à croiser mes bras tout en essayant d’éviter au maximum de croiser son regard. Repensant à ce qu’il venait de me dire plus tôt je repris alors cette fois-ci en plongeant mon regard dans le sien pour appuyé mes mots « Oh ben tu sais à l’époque je ne te croyais pas non plus capable de me tromper avec ce type et pourtant c’est bien ce qu’il s’est passé, donc je te l'accorde, je te connais très mal Andrea c’est certain ! » Et paf, voilà que je remuais le couteau dans la plaie, mais quoi faire d’autre, faire mine de tout oublier ? impossible il avait été tellement important dans ma vie que faire table rase était une mission impossible. Bouillonnant intérieurement, une seule et unique question me trottait dans la tête depuis toujours et même si je lui avais déjà posé la question à l’époque, je ne pus m’empêcher de la poser à nouveau attendant cette fois-ci une réelle réponse « Il avait quoi de plus que moi d’ailleurs, pour que tu me trompes avec lui hein ? » À ce moment là, je m’attendais à toute sorte de réactions de sa part, quitte à ce qu’il fasse valser les meubles de pièce, puisque en l’ayant vu toute à l’heure monter en pression, en abordant le réel sujet de conflit de notre séparation, je m’attendais au pire.
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MessageSujet: Re: (terminé) ANDRARON ✘ If it's meant to be, It will be [HOT HOT HOT]   (terminé) ANDRARON ✘ If it's meant to be, It will be [HOT HOT HOT] EmptyLun 22 Déc - 8:59

If it's meant to be, It will be
Aaron & Andrea
.Ce n'était certainement pas le bon moment pour que l'on apprenne que l'on allait devoir passer le plus clair de notre temps ensemble. Même si, il y a quelques temps cette option m'aurait fait rêver, aujourd'hui ce n'est plus vraiment le cas. Même si mes sentiments envers lui sont toujours intactes, je ne pense pas un jour être capable d'oublier tout cet amour qui nous a lié. tout comme je ne pense pas oublier également les souffrances que nous ont infligé sa famille. Être impuissant face à la colère et au désespoir de son compagnon est vraiment quelque chose de terrible. Si l'objectif était de détruire ma vie et sa vie, ils avaient parfaitement réussi. Maintenant j'étais incapable de m'engager dans une relation, quelle qu'elle soit. Pour dire même un coup d'un soir, cela tourner à l'horreur pour moi. Car, à chaque fois, ce n'était pas le visage de mon partenaire que je voyais, mais celui d'Aaron. Autant dire que ça virait à chaque fois au cauchemar. De toute cette histoire, je n'en suis pas sorti indemne. Je suis devenu plus solitaire, plus renfermé, il est désormais plus difficiles de me faire dire quelque chose, et franchement ça désespère ma famille, qui, même si elle sait très bien pourquoi j'en suis là aujourd'hui, se sent totalement impuissante. Quand on avait découvert finalement le pot aux roses, à force que je m'entête et que ça tournait presque en obsession, je suis littéralement tombé des nues. En une journée m'a vie avait viré au cauchemar et tout cela à cause de ma belle-famille. Je ne les avais jamais porté dans mon coeur, car il ne faisait que du mal à aaron, mais jusque là ils ne s'en étaient jamais pris à quelqu'un d'autre. Mais, voyant que notre relation commençait à vraiment devenir sérieuse, ils avaient apparemment mis tout en oeuvre pour détruire notre histoire. Je n'arrivais toujours pas à comprendre aujourd'hui comment on pouvait détruire le bonheur de son propre fils à cause de simples préjugés. La perfidie de certains gens arrivait à tout bonnement me dégoûter. Mais le pire c'est qu'ils avaient parfaitement réussi à obtenir ce qu'il voulait. Et qu'ils avaient, sans même le savoir, choisi le bon timing, puisque lorsqu'il m'avait quitté, j'allais justement le demander en mariage. Et ma pire crainte s'était réalisé, j'allais le perdre, définitivement, et je ne pouvais rien faire car, quoique je dise, il ne m'a jamais écouté, et même désiré entendre ma version des faits, comme quoi je ne sais absolument pas d'où sort cet homme, que je ne connais ni d'adam ni d'eve. Mais maintenant le destin s'acharnait sur moi, j'allais devoir faire face aux pires de mes souffrances pratiquement chaque jour, sans même un espoir d'être pardonné.

Bien sûr depuis notre séparation, beaucoup de choses avaient changé. J'étais bien différent de cet homme d'un calme olympien, presque incapable de se mettre en colère pour un oui et pour un non. Ce qui, lorsque l'on était encore ensemble donnait cette impression d'être un couple parfait. Mais aujourd'hui c'était tout le contraire, je m'emportais pour un rien, mes accès de colère étaient de plus en plus récurrents. J'avais été assez naïf tout ce temps pour continuer à l'être. Et bien si Aaron voulait la guerre il l'aura, même si cela m'en coutera moralement. J'attrape son sujet de thèse que je parcours rapidement de yeux avant de reporter mon regard dans le sien. "Je crois que l'on a pas trop le choix..." Je soupire profondément, cela me fait autant plaisir que ça lui fait plaisir. Sous ses paroles suivantes, j'avais l'impression qu'il broyait, tuer mon coeur rien qu'avec sa voix. C'était douloureux, abominable. Je me fermais, me raidissait sur mon fauteuil, les muscles se crispant douloureusement. J'essayais de contenir tant bien que mal ma colère, mon envie de tout lui balancer, mais je ne peux pas m'empêcher de lui lancer, cynique "Alors c'est pire que ce que je pensais si tu me crois capable d'une telle chose" parce que j'en étais foutrement incapable. Surtout qu'il y a des faits qu'il ignorait. C'est que, le jour où tout ça s'est passé, j'allais le demander en mariage, même si cela serait peut-être resté purement symbolique, c'était important pour moi que d'officialiser notre union. Mais tout avait été détruit par sa famille. Je finis par me lever pour me diriger vers l'unique fenêtre de mon bureau, admirant le flux des étudiants qui traversait la cour à toute vitesse, et tournant ainsi le dos à Aaron. Je secoue la tête "Comme je te l'ai déjà dit, je ne le connais pas alors, je n'en sais rien. Peut-être que si tu aurais voulu m'écouter tu aurais su que tout ça n'était qu'un coup monté pour nous séparer et que ça a parfaitement réussi." Je grogne plus qu'autre chose, mes doigts se crispant avec force dans mes bras.
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MessageSujet: Re: (terminé) ANDRARON ✘ If it's meant to be, It will be [HOT HOT HOT]   (terminé) ANDRARON ✘ If it's meant to be, It will be [HOT HOT HOT] EmptySam 24 Jan - 0:12

"If it's meant to be, It will be"

Si je devais m’en tenir à ma raison et à mes cours de droit, le présent est prioritaire face au passé et il s’efface face à l’avenir … en gros ce qu’il fallait retenir de cette citation c’était qu’il fallait savoir faire table rase du passé pour vivre le présent et ainsi pouvoir espérer un avenir. Il y a des périodes où la nécessité de faire un point, se fait pressante. Le ressenti qu’il y a des orientations importantes qui se préparent, un chemin qui est balisé pour ne pas s’égarer. Un chemin qui est dépendant de notre libre arbitre, mais aussi de notre avancée. L’intention est présente. Une intention posée d’acquérir une autonomie pour intégrer en conscience ce vaste chantier que représente l’univers. En gros c’est passer d’une inconscience à la conscience … De l’ignorance à la connaissance. Voilà dans quelle vision de ma propre vie je me trouvais en ce moment même dans ce bureau de l’université, face à Andrea le seul et unique homme que j’avais aimé jusqu’à ce jour. Je suis mon plus grand ennemi, et les regrets et les remords sont mes lieutenants. Ce qu'il y a de plus réel, le présent, s'efface sans résistance devant le passé et l'avenir. Je regrette et j'espère au lieu d'être. Difficile de dire, entre le regret et l'espoir, lequel des deux entraîne l'autre. Une conception linéaire des choses laisserait à penser que le passé nourrit l'avenir, et on y verrait là une fatalité indépassable. D'autres, ardents défenseurs de la liberté, diront à l'inverse que l'avenir déforme le passé, que c'est au regard de ce qui advient que nous écrivons notre histoire sans garantir ce qui fut réellement. On peut disserter à l’envie pour tenter de départager ces deux options, pendant ce temps là rien ne change, le présent passe et nous y sommes peu présents. C’est ainsi que je restais toujours aussi déterminé et rancunier face à lui, l’élément déclencheur de ma nature d’aujourd’hui. Si j’étais devenu cet être sans coeur, ne pensait plus qu’au plaisir de la chair, c’était sa faute à lui. Je m’étais juré de ne plus jamais me laisser la chance de pouvoir ressentir le quelconque sentiment « amoureux » pour un homme. Il avait détruit une partie de moi, de ma vie et c’était ainsi. Je ne pouvais y faire autrement, j’avais peut être choisis la facilité en devenant l’humain que j’étais aujourd’hui, mais au moins je me protégeais, du moins c’est ce que je pensais faire en rejetant toutes ces personnes qui essayaient d’obtenir de moi plus qu’un simple plaisir charnel. Oui mais voilà, maintenant que j’avais mis de l’huile sur le feu en l’attaquant directement sur notre histoire passée, il continuait toujours à soutenir sa thèse du complot et du fait qu’il était la véritable victime de l’histoire … mais bien sûr, c’est lui qui prenait du bon temps dans le lit d’un autre et en plus de ça il voulait me faire croire que c’était lui qu’il fallait plaindre, mais où va le monde franchement ? Restant stoïque face à ses mots quand au fait que je le connaisse mal, puis vint le moment où il ré-engagea sa thèse du complot. À ce moment précis j’ai cru devenir fou, je le regardais se lever et se diriger vers la fenêtre avant de m’avancer vers lui dans un élan de rage pour venir me retrouver face à lui, proche, beaucoup trop proche même. Je lui faisais face, nous étions maintenant l’un face à l’autre, nos regards plongés l’un dans l’autre, nous n’étions plus qu’à quelques centimètres. Je pouvais ainsi à ce moment là sentir la moindre de ses respirations, je pouvais ainsi contempler son visage si parfaitement dessiné, ce visage qui m’avait tout de suite fait craquer à l’époque. Déglutissant difficilement, je pris tout de même mon courage à deux mains et je lui rétorquais tout en ne le quittant pas du regard dans un chuchotement dès plus déconcertant « Andrea ton histoire de complot ne tient pas la route, tu crois pas que c’est un peu trop gros tout ça ? Juste pour une histoire d’amour entre deux hommes ? S’il y avait des raisons économique ou politique là-dessous pourquoi pas, mais là il s’agissant simplement de toi et moi et de notre supposé amour réciproque vois-tu … Donc non je ne veux pas te laisser me faire croire à cette histoire tout droit sortie de ton imagination débordante … » Mes derniers mots à peine terminés, je ne saurai comment expliquer cette sensation, mais en me retrouvant aussi proche de lui, l’avoir à à peine quelques centimètres de moi, une seule obsession envahissait mon corps et mon esprit, celle de goûter à nouveau à ses lèvres. Ma respiration se fit alors soudainement si saccadée que je croyais y laisser ma peau, quand finalement même ma rancoeur, ma colère et ma haine à son encontre ne purent lutter face à ce désir si puissant de l’embrasser. C’est ainsi que je vins alors à me jeter si brutalement contre lui qu’on aurait pu croire aux retrouvailles bestiales de deux amants ne s’étant pas vu depuis plusieurs mois, voir même des années. Je ne contrôlais plus aucun de mes gestes, ma bouche collée à la sienne, se mêlait à mes mains qui parcouraient la moindre parcelle de son corps. Je commençais alors à lui arracher sa chemise, laissant ainsi apparaître son torse musclé et viril que j’avais toujours tant apprécié. Je n’étais plus moi-même, je n’étais plus que cette marionnette guidée par un désir enfuit depuis bien trop longtemps. L’attirant finalement jusqu’à son bureau, je jetais tout ce qui s’y trouvait dessus sur le sol, avant d’y poser mon dos contre, tout en amenant Andrea à nouveau jusqu’à mes lèvres, j’entourais mes jambes autour de sa taille resserrant mon étreinte pour ne pas qu’il m’échappe. La situation dérapait totalement, je ne contrôlais vraiment plus rien du tout. J’étais tel une bête assoiffée de désir pour lui. Nos baisers s’enchainés plus fougueusement et passionnément les uns que les autres, quand soudain dans un élan de lucidité je laissais échapper quelques mots apeurés « Mais merde, qu’est ce que je fais là  … »
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MessageSujet: Re: (terminé) ANDRARON ✘ If it's meant to be, It will be [HOT HOT HOT]   (terminé) ANDRARON ✘ If it's meant to be, It will be [HOT HOT HOT] EmptyDim 25 Jan - 13:47

If it's meant to be, It will be
Aaron & Andrea
Le passé reste le passé, et on doit s’en accommoder pour avancer. Mais ce n’est pas toujours simple, surtout quand le passé resurgit des mois plus tard, et qu’il n’a jamais été résolu. Et c’était exactement le cas de notre histoire à Aaron et moi. Et, c’est bête à dire mais je ne pense pas pouvoir parvenir à avancer si on ne résout rien entre nous, surtout si on doit se voir à de nombreuses reprises pour l’élaboration de son dossier. Mais j’ai comme un sentiment que cela ne va pas s’arranger de sitôt, et surtout qu’Aaron ne le souhaite pas vraiment. Et en connaissance de cause, si quelque ne souhaite pas avancer, on ne peut pas l’y obliger. Surtout Aaron, quand il décide quelque chose, je le connais assez bien pour savoir qu’il est plus que difficile de lui faire changer d’avis. Mais si lui était borné, au moins autant qu’un âne peut l’être. Mais de mon côté, j’étais aussi entêté. Je ne supporte pas non plus quand on ne m’écoute pas. Pourtant Aaron ne m’écoute plus depuis cette séparation. D’ailleurs au fond je comprenais la raison, parce qu’il ne sait absolument pas la vérité. Et je ne veux pas réellement lui dire. Pour la simple et bonne raison que, aussi égoïste que ce soit, je n’avais pas envie qu’il rentre en conflit avec les membres de sa famille. Être en conflit avec sa famille, j’ignore ce que cela peut faire, mais je doute qu’Aaron a vraiment envie de couper les ponts avec elle. Sinon cela ferait longtemps qu’il l’aurait fait. Simplement parce qu’avec tout ce que sa famille lui a déjà fait subir, il aurait pu rompre depuis bien longtemps. De mon côté, même si je ne suis pas certain d’accepter si un jour ma famille se mettait en tête de me faire un tel chantage, je ne pense pas pour autant me sentir capable de couper les ponts du jour au lendemain. Et je n’accepterais pas non plus que l’on vienne me dicter ce que je devais faire. Mais bon, j’avais amené le sujet sur le tapis à une ou deux reprises, sans vraiment grand succès. Déjà rien qu’à moi, ça me paraissait gros, et j’avais bien du mal à y croire. Mais alors Aaron, ça serait encore pire. Alors je n’avais abordé que les grandes lignes sans jamais incriminé sa famille. Ce serait égoïste de faire ça, même si ça m’aiderais justement à le récupérer. Mais je sais que sa famille n’attend que ça, que je me rabaisse à les inculper, pour mieux qu’il me fasse descende de l’estime d’aaron. Mais je veux leur montrer qu’ils ne sont pas invincibles, et que leur fils se rendra compte par lui-même de l’étendue de leur perfidie. Je n’arrivais pas à comprendre comment il pouvait faire autant de mal autour d’eux tout simplement pour une question d’orientation sexuelle. On n’est quand même plus au XVIIIème siècle ! Mais je pourrais parler de ce sujet pendant des heures. Simplement parce que ça a totalement bousillé ma vie. Oui, ma vie, il y a un an, et encore aujourd’hui se résumait à Aaron. Tout tournait autour de lui. Je gardais mes distances, sinon je ne pense pas m’empêcher de lui sauter dans les bras, littéralement. Le manque est vraiment mon pire ennemi en ce moment. Mais le fait est qu’Aaron me manque, et que cela est réellement en train de me pourrir la vie. J’ai perdu des kilos depuis notre séparation, et j’ai l’impression que je dois me forcer à sortir, et que plus rien n’a d’importance. Bien sûr je ne me suis pas arrêté de vivre pour autant, ni même à arrêter de faire des rencontres. Mais alors que tout le monde me pousse à tourner la page, je sais que c’est impossible, qu’Aaron gravitera toujours autour de moi, d’une manière ou d’une autre, il faut simplement l’accepter. Je me tends quand il se poste à mes côtés, je m’étais bien éloigné pour une raison, ne pas sentir son parfum qui me fait tourner la tête. Je ferme les poings, dans mes poches, m’obstinant à ne pas le regarder. « Tu crois que je ne le sais pas ? Mais pourtant c’est la triste vérité, je ne m’avancerais pas si je n’avais pas de preuves tu le sais bien ! Tu crois vraiment que tout le monde est beau et gentil ? Et je te rappelle que tout le monde n’a pas sauté de joie quand on s’est mis ensemble ! Merde t’es pas le seul à souffrir de ça Aaron ! » Je souffle, je n’étais pas encore prêt à lui sortir les photos truquées et les originales. Ainsi que les mails que la personne que j’ai engagé a pu trouver qui prouve qu’on en avait vraiment après nous deux. Et que cela venait de sa famille à lui. Je me retrouve proche, bien trop proche de lui. Mes yeux sont hypnotisés par son visage, et en particulier ses *lèvres. Je n’ai pas le temps d’éclaircir mes pensées et de me détourner de lui, qu’il me saute dessus, écorchant mes lèvres dans un baiser brutal, violent, mais pourtant si bon. Si, dans les premières secondes ma raison me dicte de le repousser, que si je continuais j’allais probablement le regretter, je finis tout de même par entourer son corps de mes bras et d’ouvrir l’accès à mes lèvres tout en lui rendant furieusement son baiser. C’était passionnel, brûlant de désir, déchirant, mais pour rien au monde je ne reculerais. Glissant mes mains jusqu’à ses reins avant d’empoigner ses fesses pour le rapprocher davantage, je ne songe pas une seule seconde à m’éloigner et à arrêter ce manège. Un voile de désir emplit mon regard tandis que je le dévore littéralement du regard, mes mains empoignant sa chemise pour l’ouvrir brutalement. Je laisse échapper un grognement appréciateur avant de l’aider à monter sur le bureau et de m’installer entre ses jambes. Collant étroitement nos deux torses je reprends possession de ses lèvres un peu moins violemment, mais toujours aussi passionnément. Je glisse une main dans ses cheveux pour l’empêcher de s’éloigner tandis que je parcours son corps de mon autre main. Je m’éloigne légèrement avant de grogner « Tu parles et tu réfléchis trop » Ma voix était le reflet de mon état de désir latent pour lui. Je pose de nouveau mes lèvres sur les siennes pour étouffer ses protestations. Je l’allonge sur le bureau, le surplombant de toute ma splendeur. J’étais juste à ma place.
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MessageSujet: Re: (terminé) ANDRARON ✘ If it's meant to be, It will be [HOT HOT HOT]   (terminé) ANDRARON ✘ If it's meant to be, It will be [HOT HOT HOT] EmptyDim 25 Jan - 19:33

"If it's meant to be, It will be"

Parfois dans la vie vous faites des choix, des actions dont vous n’êtes pas ou plus réellement le maître. La passion est parfois plus forte que la raison et il est bien connu que l’homme a besoin de passion pour exister. Elle détruit plus de préjugés que la philosophie et l’on sait tous qu’il est plus facile de renoncer à une passion que de la maîtriser. Depuis le premier jour de notre rencontre avec Andrea cela remonte maintenant à un peu plus de six ans, mais j’avais su qu’il serait celui qui allait changer ma vie. C’est le genre de rencontre qui vous bouleverse et vous fait rendre compte que le destin est beaucoup plus important qu’on ne veuille le croire. De fil en aiguilles nous formions un couple filant le parfait amour. Je n’aurais jamais pu espérer de meilleur petit ami que lui, il était à la fois si doux, sensible, mais aussi protecteur, rassurant et déterminé et de plus il était si beau, que je me sentais si chanceux de l’avoir mien. Mais bien entendu comme dans tout conte merveilleux, le bonheur est éphémère et ne dure pas, il y a toujours cet élément déclencheur qui va venir bousiller c’est bien le mot votre petit bonheur. Le notre fut rapidement détruit par l’arrivée d’un évènement invraisemblable. Je pense que ce trop plein de bonheur était contraire à philosophie de la vie et que pour paraît à cet éloquence d’amour, le destin décida de nous jouer un mauvais tour, puisque en quelques minutes après la révélation de son infidélité, notre relation s’était aussitôt envolée, notre petite vite parfaite avait été détruite en un rien de temps. Je me souviendrais de ce jour là toute ma vie, lorsque j’avais reçu par un mail anonyme tout un dossier mêlant différentes preuve de sa trahison, mon coeur s’était littéralement brisé en mille morceaux. Ma vie à ce moment là n’avait plus de raison d’être et outre ses efforts pour tenter de me faire croire que tout cela n’était qu’une mascarade, un complot contre nous, contre lui, je ne pouvais pas être aussi naïf alors que face à moi j’avais toutes ses preuves. On ne se soucie pas tant d'avoir raison que l'on se soucie de faire croire qu'on a raison : c'est ce qui fait que l'on soutient son opinion avec opiniâtreté. À cette époque, je m’étais retrouvé dans un tel état de malêtre que j’en étais même venu à tenter de me  mettre fin à mes jours. Je n’avais plus de raison d’être, d’un côté ma famille ne m’autorisais pas à être celui que j’étais et de l’autre il y avait Andrea, cet homme sur qui j’avais tout misé, qui venait de me planter un poignard dans le dos, à quoi bon de vivre ? Par chance je fus retrouvé inerte dans mon appartement bien avant que mon état soit fatidique. Aujourd’hui je regrette ce geste et à chaque fois que je vois ma cicatrice au niveau de mon poignet droit, je réalise à quel point j’ai pu être si faible à cette époque. Par la suite, j’avais dû consulter un psychologue à qui je faisais entendre ce qu’il voulait, mais au fond cette seconde chance qui m’avait été accordé m’avait fait changer. J’avais toujours cette haine et cette rancoeur envers Andrea, mais plutôt que de m’apitoyer sur mon sort, j’avais décider de devenir l’une de ces personnes sans coeur, seulement intéresser par l’excès en tout genre et en particulier celui de la chair. J’étais devenu ainsi rapidement un serial fucker compulsif, il n’y avait pas un soir où je passais ma nuit seul. C’est ainsi que ma réaction aujourd’hui en découvrant Andrea dans ce bureau avait tout de suite était motivé par la haine et la rancoeur qui s’était accumulé contre lui durant toutes ces années. Mais entre la haine et l’amour la frontière est terriblement mince, puisque vient là à nouveau le rôle de la passion. L'attrait du danger est au fond de toutes les grandes passions. Il n'y a pas de volupté sans vertige. Le plaisir mêlé de peur enivre. C’est donc rapidement dans cette optique là, que je m’étais laissé enivré lorsque j’avais sauté au coup de mon ex. À ce moment là je ne contrôlais vraiment plus rien, tous mes gestes étaient le fruit d’un désir profond trop longtemps enfouit. Je me laissais alors aller dans ses bras, je sentais ses mains descendre sur mes fesses, je sentais ainsi la pression exercée sur moi pour me sentir le plus proche de lui possible. Les baisers continuaient encore et encore, tous plus passionnés et fougueux les uns que les autres. J’avais rapidement laissé toute cette excitation m’emmenait jusqu’à son bureau que j’avais rapidement mis à vide pour y prendre place. Là, la situation s’annonçait encore plus débordante de passion et de fougue. Hypnotisé par son visage qui ne cessait d’apparaître au plus proche de moi à chacun des baisers qu’il me rendait, je réalisais à quel point tout ça m’avait manqué, à quel point il m’avait manqué. J’en avais pourtant enchainé des mecs depuis notre rupture, mais là je retrouvais quelque chose dans notre ébat qui était beaucoup plus précieux que tout ce que j’avais pu obtenir de par mes multiples conquêtes d’un soir. Avec lui c’était différent … non je ne peux pas penser que ce soit une question d’amour, comment pourrais-je l’aimer encore après ce qu’il m’a fait. À ce moment là alors, ma raison essaya de faire un retour furtif et c’est ainsi que je laissais entendre ma réticence, du moins un soupçon, puisqu’elle fut bien vite renvoyer d’où elle venait par les propos de Andrea. J’aimais le voir aussi entreprenant avec moi, c’est ce qui avait toujours eu le don de m’exciter davantage. Il semblait lui aussi ne pas vouloir penser au passé et simplement profiter de cet instant qu’on avait certainement rêver plus d’une fois l’un comme l’autre. Sentant sa main venir attraper mes cheveux pour ainsi me rapprocher de lui, je ne pus retenir un léger gémissement traduisant à la fois l’excitation et l’enthousiasme que cela me provoqué. Son autre main elle parcourait mon corps, cette sensation m’avait tellement manqué qu’elle m’en procurait des frissons intenses qu’il ne pouvait rater. Me débarrassant entièrement de ma chemise, je le regardais maintenant venir se placer de tout son être sur mon dessus, je le contemplais quelques instants et sans même m’en apercevoir un sourire se dessina sur mon visage avant que je me jette à nouveau à ses lèvres. Leurs goûts étaient si exquis que j’arrivais pas à m’en détacher, son parfum quand à lui venait m’enivrer pour m’emmener dans un état second où le seul le plaisir régnait en maître. Passant mes mains dans ses cheveux à mon tour, je les laissais finalement glisser dans son dos que je venais à griffer tendrement pour le moment, tellement il me rendait fou à cet instant précis. Ne voulant plus faire machine arrière, me laissant aller à mes moindres désirs, je commençais alors à dégrafer le bouton de son jean, pour rapidement le laisser tomber jusqu’à ses chevilles. Ma vision fut d’autant plus agréable que je pouvais alors remarquer à ce moment là tout l’effet que je lui procurais et qui se traduisait par l’apparition d’une certaine bosse sous son boxer. M’en mordant les lèvres, je resserrais une fois de plus mes jambes autour de sa taille pour bien l’amener contre moi et ainsi sentir toute la puissance de son corps venir toucher frénétiquement le mien. Je sentais moi aussi à quel point il pouvait m’exciter, je commençais même à me sentir bien trop serré à l’intérieur de mon jean. Le souffle saccadé, le coeur battant la chamade et mon corps complètement esclave de lui, je susurrai, gémissais, quelques mots non maîtrisés au creux de son oreille « And … Andrea … fais-moi l’amour, maintenant ! ». Inconscient de ce que ces mots pouvaient signifier réellement, je commençais à lui mordre le lobe de l’oreille tout en déboutonnant à mon tour mon pantalon, que j’espérais retirer au plus vite.
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MessageSujet: Re: (terminé) ANDRARON ✘ If it's meant to be, It will be [HOT HOT HOT]   (terminé) ANDRARON ✘ If it's meant to be, It will be [HOT HOT HOT] EmptyMar 27 Jan - 16:25

If it's meant to be, It will be
Aaron & Andrea
On ne fait pas toujours les choses parfaitement, on fait des erreurs qui, une fois qu’on l’a comprise, peut nous faire avancer dans la vie. Et des erreurs, j’en ai fait un certains nombre, comme beaucoup de monde. Mais, jamais, jamais je n’aurais pu tromper Aaron, et même s’il ne me croît pas, je le sais au plus profond de moi et je passerais le restant de mes jours à lui prouver. Parce que l’amour que j’éprouve pour lui est toute ma vie, et je ne cesserais jamais de l’aimer, qu’il pense le contraire ou non. J’ai toujours eu l’impression que c’est le destin qui a mis Aaron sur mon chemin. Et depuis ce fameux jour de Noël je ne l’ai plus quitté. Et le destin s’acharnait à nous mettre sur la route de l’autre, depuis que l’on s’est quitté, sans même une explication. Et à chaque fois c’était un peu plus douloureux quand je le revois. Parce que je fais face à la fois à ce qui m’a apporté le plus grand bonheur mais aussi ce qui m’a fait le plus souffrir. On dit toujours que la passion est destructrice et je m’en aperçois à chaque fois que je pose les yeux sur le visage rempli de colère et de haine d’Aaron. Pourtant je demeure lié à lui, plus que n’importe qui. Il savait que je n’avais jamais aimé quelqu’un aussi fort que lui, alors s’il y a une seule chose que je ne parviens pas à comprendre, c’est pourquoi il a cru aussi facilement que je serais capable de le tromper avec qui que ce soit ? Il, avait alors si peu confiance en moi pour le croire ? Je dois avouer que c’était assez déroutant de croire à toutes ces choses et de mettre en question toute notre relation qui était pourtant une évidence. Ceux qui avait voulu nous faire du mal y était arrivé, je dirais même à la perfection. Et il avait ruiné, anéanti ma vie. Je restais enfermé chez moi, je refusais de sortir, ou seulement pour monter, et encore quand il n’y avait pas grand monde au club. Je ne mangeais pratiquement plus, la faim a disparus de mon corps. Mes proches se faisait un sang d’ancre. Mais je n’avais aucune envie de me relever si je n’avais jamais la possibilité de me faire pardonner d’Aaron. Comme s’il dictait ma vie. Je détestais être dépendant, pourtant je l’étais plus que tout avec lui, et encore aujourd’hui. Et aujourd’hui cela me sautait à la figure. Et bon sang c’est bien plus douloureux que je ne le pensais. Cette rencontre semblait bien plus épique que je ne le pensais. Puisque si j’essayais tant bien que mal de l’obliger à m’écouter, où j’avais encore lamentablement échoué. Mais, contrairement aux autres fois, j’ai l’impression que quelque chose a changé, je ne saurais le décrire, mais je le vois dans son regard. Alors il ne faut peut-être pas que je perde espoir. Peut-être que j’ai encore ma chance. C’est en tout cas ce que j’aime croire. Et au vu de notre rapprochement soudain, rapprochement dont je sais que j’allais me mordre les doigts après, parce que c’était quand même être sacrément naïf pour croire que l’on pourrait vraiment reconstruire quelque chose à partir de ça. Mais je ne peux pas m’empêcher de céder à la tentation. Parce que, bon sang, je suis totalement incapable de lui résister quand il me saute dessus de cette manière. Mes lèvres soudaient aux siennes, je laissais éclater des années de frustration, des années à espérer que tout cela se reproduise. Mes sens étaient exacerbés par con corps qui se pressait contre le mien. Mes mains partent à la découverte de son corps que j’avais encore l’impression d’encore connaître par coeur. Empoignant ses fesses à pleines mains, je grogne contre ses lèvres tandis que je sens enfin son corps épousé parfaitement le mien. Il n’y à que la barrière vestimentaire qui m’empêche de satisfaire toutes nos envies. Je me contentais pour le moment de baisers plus passionnels les uns que les autres. Et cela n’allait pas en s’arrangeant tandis que je l’aide à monter sur le bureau et de prendre place entre ses jambes. Je remonte mes mains pour prendre son visage en coupe et de l’embrasser encore plus passionnément, étouffant ainsi mes gémissements. Je glisse mes doigts dans ses cheveux, l’empêchant de s’éloigner alors que je commençais à me sentir serré dans mon jean. Il n’y à que lui qui parvient à me faire ressentir toute ses sensations. Peut-être parce que l’amour change complètement la donne. Et maintenant il était bien trop tard pour faire marche arrière et laisser la raison reprendre le dessus. Maintenant l’on devait aller jusqu’au bout, on n’a plus le choix. Coinçant son corps entre le mien et le bureau, j’attrape ses mains que je coince au-dessus de sa tête avant d’enfouir mon visage dans son cou et de mordiller la peau à ma disposition. Lâchant ses mains, je les glisse le long de son torse, insistant sur ses hanches, puis sur ses cuisses où j’insiste en remontant et descendant à plusieurs reprises. Reprenant possession de ses lèvres, je l’aide à retirer mon pantalon avant de me recoller à lui dès que le pantalon est parti choir plus loin. Laissant un gémissement m’échapper, je glisse mes main dans le sien m’apprêtant à lui retirer. Je me redresse en entendant sa phrase. « Je ferais tout ce que tu veux, tout. » Je grogne plus que je ne parle, mais il a vraiment la puissance absolu sur moi et mes désirs. Et ses désirs sont des ordres. Je glisse mes mains tandis que je lui retire ses mains pour retirer moi-même son pantalon. Je laisse mon regard couler sur le corps parfait d’Aaron, tout en me mordillant la lèvre inférieure. « Oh mon dieu... » Je reprends avec force ses lèvres en otage tandis que ma main trouve le chemin de son aine, où je laisse traîner mon pouce. Je finis par inverser les rôles sans jamais lâcher ses lèvres, le laissant me surplomber, cela me permet de glisse ma main dan son boxer, pour empoigner ses fesses. Je me laissais porter par la passion.
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MessageSujet: Re: (terminé) ANDRARON ✘ If it's meant to be, It will be [HOT HOT HOT]   (terminé) ANDRARON ✘ If it's meant to be, It will be [HOT HOT HOT] EmptyJeu 29 Jan - 20:01

"If it's meant to be, It will be"

Parfois dans la vie il vous suffit d’un moment pour que tout bascule, pour que la situation dans laquelle vous vous retrouviez dérape totalement de ce que vous aviez prévu. Dans ce genre de situation, il y a deux solutions : l’acceptation et l’ancrage à ce changement radical ou bien la fuite. Dans le cas présent avec Andrea, il semblerait bien que j’avais plutôt opté pour la première, car après tout il est bien connu que le sexe apaise les tensions, tandis que l’amour les provoque. J’avais donc fait de toute ma colère, ma haine et ma rancoeur à son égard, un parfait mélange pour qu’il en devienne une véritable pulsion sexuelle par laquelle j’avais été dictée sans même en prendre réellement conscience sur le moment. Il est difficile de pouvoir juger de la situation dans des moments comme celui-ci et c’est pourquoi je me retrouvais maintenant en plein ébats sexuel avec mon ex petit-ami. Oui vous ne rêvez pas, j’étais bel et bien en ce moment précis entrain de me laisser aller dans les bras de Andrea, nos chemises jonchant le sol, son pantalon ayant déjà volé dans la pièce, le mien n’allant plus trop tarder non plus, nous enchainions les baisers comme pour laisser libre court à toute la frustration accumulée durant toutes ces années. Je savais consciemment que cette façon d’agir n’était pas la plus adapté pour repartir sur de bonnes bases, mais j’en avais à ce moment là plus rien à faire. Je ne pouvais pas lui résister à lui, il était le seul homme à pouvoir me faire cet effet là, il avait un telle attractivité sur moi, que jamais je ne pourrais résister à la tentation qu’il représentait et pourtant Dieu seul sait à quel point il m’a fait souffrir et me faire encore souffrir aujourd’hui, mais peu importe, j’oubliais tout l’espace de cet instant bien trop trépidant. Mon sang était devenu si chaud, que j’en avais des bouffées de chaleurs qui me parcouraient le corps, ses lèvres si exquises me procuraient un plaisir si intense à chaque baiser. À ce moment là, je vivais réellement ce que l’on pourrait décrire comme un moment de pure extase. En effet seul le battement à l'unisson du sexe et du coeur peut créer l'extase et c’est bel et bien ce qui se passait à l’instant même dans ce bureau de l’université. D’ailleurs si quelqu’un venez à nous surprendre dans cette situation là, je n’osais même pas imaginé les problèmes que cela pourrait nous attirer à tous les deux et en particulier à lui, étant donné que son statut de professeur lui interdise de pouvoir entretenir une relation avec un élève. Le sexe avait toujours été pour moi une drogue depuis que je l’avais découvert, j’ai eu mes périodes de shoot, mais aussi d’abstinence, mais le seul moment où j’atteignais une certaine apothéose était quand je me retrouvais dans les bras d’Andrea. Je ne sais pas si c’est une question de sentiments qui entrent en jeu et qui font que cela soit ainsi d’autant plus intense ou quoi, mais dans mes souvenirs les plus lointain, Andrea restait celui qui m’avait toujours procuré le plus intense plaisir qu’il soit. Tous mes sens étaient donc maintenant à leur plus haut niveau d’exacerbation, chaque fois que nos corps se frôlaient, se frottaient, se caressaient, un frisson s’amusait à parcours tout mon corps, ce qui produisait un certain gémissement, grognement de ma part, signe de mon approbation. La situation devenait ainsi de plus en plus torride, on ne cessait de multiplier les baisers, les rapprochements de nos corps qui devenaient l’un comme l’autre aussi réceptifs à toutes ces sensations. Pour commencer je le laissais prendre le dessus, il était si imposant et avait une telle prestance à ce moment là, que j’appréciais sa prise de position supérieure. Je me retrouvais complètement bloqué par son emprise, il me tenait les mains tout en commençant à opérer une descente de ses baisers sur mon cou, ce qui me procurant d’autant plus de sensations. Cette sensation de sentir à nouveau son corps parcourir le mien était si agréable, que moi aussi je commençais à me sentir bien serré dans ce jean. J’avais maintenant plus qu’une envie, celle que l’on se retrouve nu l’un comme l’autre pour laisser ainsi nos corps ne faire plus qu’un. Il était là plutôt en position de force, j’étais moi plus soumis à ses actions, chose qui ne me dérangeait pas plus que ça à vrai dire. Je l’avais toujours trouvé sexy dans son rôle de dominant et mes souvenirs étaient plutôt bons, puisque maintenant en pleine action, je me rendais compte à quel point il pouvait être sexy et terriblement bandant. Je me rendais compte une fois de plus qu’il avait vraiment cette emprise psychique et physique sur moi, que je ne pouvais renier. C’est ainsi qu’à ma demande de me faire l’amour il réagissait aussitôt en me débarrassant à mon tour de mon pantalon (dieu soit loué) pour finalement que je me retrouve en boxer tout comme lui. À ce moment là, l’excitation était à son extrême, je pouvais très bien voir qu’elle était réciproque, au vue de nos deux bosses. Je laisse ainsi quelques instants mon regard parcourir son corps si parfait et excitant, avant de me retrouver à mon tour en position dominante. En effet Andrea inversa les rôles à mon plus grand plaisir. C’était donc maintenant à mon tour de le surplomber et de lui offrir toute ma puissance, ma fougue. Ne lâchant pas ses lèvres un instant, je les quittais finalement pour descendre le long de son cou, avant de descendre jusqu’à son torse. Là, je passe la paume de mes mains sur son torse, mes doigts effleurants ses tétons bruns qui se durcissent à leur toucher. J’accélère alors mon mouvement sur les aréoles ce qui le fait soulever son buste en guise d’appréciation. J’aperçois ainsi une fois de plus le tissu de son boxer se tendre, j’insiste encore un peu, amenant même ma langue s’amusée par ici, avant de finalement descendre mes mains vers son ventre que je caresse rapidement, avant de retirer délicatement le haut du boxer. Je ne touche pas directement son sexe qui se tend, telle une arme de chair si naïve. Je ne retiens alors par un perceptible râle de plaisir qui traduit parfaitement mon état d’enthousiasme face à cette délicieuse découverte. Je retire finalement complètement son boxer que je laisse tomber à son tour sur le sol déjà bien encombré par le reste de nos vêtements et c’est alors que tout en plongeant mon regard dans le sien, un sourire narquois sur mes lèvres, je laisse mon visage descendre jusqu’à son sexe, que je viens prendre enfin en bouche. À ce geste, je vois alors ses yeux révulsés en signe de plaisir intense qu’il ressent à ce moment là. M’exécutant alors à cette tache, je commence par m’amuser particulièrement avec l’extrémité de son anatomie, son gland que je viens à sucer, lécher encore et encore. J’opte finalement pour plus de plaisir et c’est ainsi que je commence à l’aide de ma main à effectuer des vas et viens plutôt rapide tout en gardant en bouche l’objet du désir. Je m’applique à lui offrir un moment dès plus mémorable, tout en appréciant tout autant cette logique de lui procurer autant de plaisir. Je continue alors cette manœuvre durant plusieurs minutes avant de laisser un peu de liberté à son sexe, pour venir à nouveau lui voler des baisers passionnés. En profitant également pour retirer mon boxer dans lequel je ne pouvais plus me sentir à l’aise du fait de la pression qu’exerçait mon propre sexe à l’intérieur, je laissais ainsi ma partie intime venir se poser contre la sienne. «Hum … »Le toucher de nos deux sexes ensembles fut là encore un moment de complète extase. J’en profitais davantage d’ailleurs en venant exerçait une pression en effectuant de léger mouvement de bassin afin de prolonger ce plaisir de contact entre nos deux corps, si tendus. Je me trouvais maintenant tel un drogué au summum de sa sensation de plénitude. J’étais moi en plein rêve, en plein fantasme réel. Continuant mes mouvements, je ne le quittais plus du regard, j’avais cette attitude lascive et viril dans mon regard, qui lui traduisait tout le plaisir que je prenais à m’occuper de lui. Me plongeant alors un peu plus sur lui, me rapprochant de son visage tout en gardant un contact toujours bien rapproché plus bas, je lui dérobais un nouveau baiser avant de lui susurrer une nouvelle fois quelques mots à l’oreille, dans un chuchotement saccadé par des grognements intenses de plaisir « J’ai bien envie que tu me montres ce dont tu es capable … de faire avec ton énorme jouet juste là … » terminais-je tout en reprenant dans l’une de mes mains son sexe si dur que je n’en croyais pas moi-même « Je sens bel et bien que quelqu’un est excité par ici » continuais-je dans un léger rire succinct, avant de me replonger jusqu’à ses lèvres que je venais à nouveau dévorer.

Spoiler:


Dernière édition par Aaron W. Evans le Jeu 5 Fév - 22:24, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: (terminé) ANDRARON ✘ If it's meant to be, It will be [HOT HOT HOT]   (terminé) ANDRARON ✘ If it's meant to be, It will be [HOT HOT HOT] EmptyDim 1 Fév - 22:47

If it's meant to be, It will be
Aaron & Andrea
Aaron représentait tout pour moi. que ce soit mes pulsions, mes sentiments, ma raison, en bref, il représentait presque toute ma vie. Depuis que j’ai posé mes yeux sur lui, j’ai tout de suite su qu’il changerait irrémédiablement ma vie. J’ai d’ailleurs de suite su que quoique je désire, je ne pourrais jamais totalement l’exclure de ma vie. Parce qu’il est bien trop important pour moi, et que mes sentiments sont encore intact même après ces mois de rupture. Mais je sais que ce qui est en train de se passer en ce moment même est une erreur. non pas parce que je ne le veux pas, au contraire, j’ai attendu ce moment depuis bien trop longtemps. Mais c’est trop tôt, surtout qu’au fond rien n’avait été résolu. Et même si j’avais été partisan de la réconciliation au lit, mais là, c’était pas une réconciliation. C’était simplement l’explosion de nos subconscient, de nos désirs enfouies qui avait besoin d’être assouvis pour que l’on parvienne à calmer nos ardeurs. La chaleur de la pièce avait encore augmenté d’un cran. Nos vêtements redécoraient le sol désormais tandis qu’une fine couche de sueur recouvrait nos torses. Je redécouvrais avec un certain appétit les courbes musclées de son torse plus que parfait. J’avais l’impression que l’on s’était quitté hier, tellement la texture de sa peau était telle que je l’imaginais encore. Je ressassais encore et toujours notre histoire. C’était une mauvaise chose, car cela ne m’aidait pas à avancer dans la vie, et à passer à autre chose. Mais c’était plus fort que moi. Il était mon âme soeur et le resterait à vie. Depuis qu’il était entré dans mon bureau, l’air était lourd de désir sexuel non dissimulé, mais la rancoeur était tenace. Et, il fallait bien que ça craque à un moment donné. C’était avec un certain appétit sexuel que l’on finit par littéralement se sauter dessus. Prenant rapidement le dessus, sous son commandement, je redécouvre de mes mains et de mes lèvres sa peau, ses courbes. Je n’étais jamais assez proche de lui, j’avais toujours besoin de plus de contact. Ma fureur passait dans la puissance de mes caresses, toujours plus proche de son aine, encore camouflée par on boxer, dernier tissu qui empêche ma progression sur sa peau nue. Mes lèvres avaient bien du mal à se détacher des siennes. Ma langue explorant inexorablement sa cavité buccale. Plaquant son corps contre le bureau et mon corps, mes mains se font plus aventureuses, passant à de nombreuses reprises sur ses fesses, son aine, m’arrachant de nombreux grognements de plaisir contre ses lèvres. Retenant ses mains, je me retiens cependant d’enlacer ses doigts. Notre étreinte n’avait vraiment rien de tendre, c’était bestial, passionné. Aucun sentiment. Je ne voulais pas m’exposer pour ensuite être de nouveau piétiné et être plus bas que terre. Alors pour l’instant je bridais mes sentiments, c’était la meilleure chose à faire. Me redressant quelques secondes pour prendre le temps de l’admirer ainsi, lèvres rougies à force de les embrasser, le pourtour de celle-ci rougie à cause du frottement de ma barbe sur sa peau, ses joues rosies, et plusieurs marques rouges le long de son cou. C’était parfaitement divin, et extrêmement excitant. Ravageant de nouveau ses lèvres, je le laisse me dominer à mon tour, c’était ainsi entre nous, il n’y a jamais eu d’ordre établi, un dominant et un soumis. On se partageait les rôles avec un certain plaisir. Maintenant j’avais tout le loisir de laisser traîner mes mains un peu partout sur son corps. Je laisse échapper un rale de plaisir alors que ses lèvres et ses mains s’aventurent sur mon torse, remontant une main dans ses cheveux, je les agrippe tandis que je recherche toujours plus de contact. Il était vraiment doué pour me faire voir les étoiles. Je grogne d’anticipation, tandis que mon sang se loge totalement au sud. Ses mains expertes savaient où se poser pour me donner de multiples frissons partout dans le corps. Je frissonne alors que je me retrouve complètement nu face à lui. Passant une main dans sa nuque je l’attire de nouveau contre moi pour l’embrasser à pleine bouche. Avant de lui laisser le champ totalement libre. Ma respiration se bloque, mon poing se crispe dans ses cheveux et l’autre s’accroche comme elle peut à mon bureau. C’est enivrant, puissant et euphorisant. Cela faisait des lustres que je n’avais pas connus de tels plaisirs. Depuis ma séparation d’avec Aaron en fait. Je ne contrôlais plus mon corps qui se cambre encore plus à chaque assaut de ses lèvres. Appuyant sur sa tête, j’essaie d’imposer mon rythme, tout en tentant de garder un minimum de conscience, pour ne pas venir trop rapidement. Gémissant fortement, je maltraite ma lèvre inférieure de mes dents. Avant de tirer ses cheveux pour qu’il arrête la douce torture. C’était trop fort, trop tentant, et je ne voulais pas que ça se termine ainsi. Il était toujours aussi doué, mais il fallait absolument que je calme le jeu. C’était bien trop fort, trop envoûtant, et également bien trop addictif pour mon bien. Maintenant je ne peux plus revenir en arrière, mais je doute pouvoir faire comme si rien ne s’était passé dans ce bureau. Pas sûr d’ailleurs que je puisse y remettre mes pieds sans avoir de pensées perverses. L’embrassant encore et encore, je glisse mes mains, ou plutôt mes ongles sur sa peau, où je laisse des traces rougies de mon passage. Grognant de satisfactions lorsque nos virilités se touchent, je glisse une de mes jambes autour de sa hanche pour l’empêcher de trop s’éloigner. Accompagnant ses mouvements, je plaque une main sur ses fesses, tandis que ma bouche retrouve une nouvelle fois ses lèvres, pour un baiser des plus langoureux, lui laissant toute domination dans le baiser. Je souris à ses mots, me retenant de le prendre dès la seconde qui suit. « Tu doutes encore de quoi je suis capable... ? » Je grogne tout en laissant mon sexe allait à la rencontre de cette main bienfaitrice, avant de reprendre le dessus « C’est toi qui m’excite comme pas possible ! » Je l’embrasse avant de descendre mes lèvres sur son torse, insistant sur ses mamelons dressés puis sur son nombril. Descendant en core plus bas, je laisse mes lèvres entourer sa virilité. Jetant un regard, je le vois totalement épris, tant mieux. Je glisse une de mes mains qui va titiller son entrée délicatement, appuyant simplement dessus pour le moment.
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MessageSujet: Re: (terminé) ANDRARON ✘ If it's meant to be, It will be [HOT HOT HOT]   (terminé) ANDRARON ✘ If it's meant to be, It will be [HOT HOT HOT] EmptyJeu 5 Fév - 23:18

"If it's meant to be, It will be"

J’ai oublié d’apprendre ce qu’était la vie loin de lui, loin de toi Andrea. Je me trouvais là dans une situation où nous avons pris tous les deux un vol de nuit et mon esprit est maintenant seulement préoccupé par : comment est-ce que cela est arrivé ? Tout ce qui m’entoure c’est le fantôme du passé, il m’entoure mais mon âme n’est pas à vendre. Je ne veux pas le laisser gâcher tout ça, ce moment si intense. On récolte ce que l’on sème, peut être bien, mais la perfection de ton corps, de tes baisers, de tes gestes et si … Mmm. Ce que l’on fait, ce que tu vois, je ne sais pas si je te hante, mais tu dois être hanté par moi pour agir aussi passionnément. Où allons-nous ? Où serons nous ? je ne sais pas si je serai dans ton esprit, mais je suis dans ton esprit en ce moment même. Mes baisers enchanteurs te sont alors tous dédiés à ce moment précis que nous partageons. Dans ton esprit du ne dois penser qu’à moi maintenant. Tu me désires, je te désire encore plus, on a de la chance d’être seul dans ce bureau. Baiser, morsure, préliminaire et bien plus encore, la situation dérape si vite que je n’arrive pas à m’en défaire. Pense à moi, je ne pense qu’à toi. Je regarde au plus profond de tes yeux avec insistance, je te touche de plus en plus à chaque fois, quand tu te recules, je t’implore de rester, c’est trop étrange pour que je puisse l’expliquer. Ce que je ressens et mon orgueil sont les seules choses à blâmer de ce moment, car je sais que je ne comprends pas ce qu’il se passe vraiment dans cette pièce. Peut-être que notre amour (s’il existe toujours) est le seul qui puisse me faire ressentir ce que personne d’autre ne peut me faire ressentir. J’ai l’air bien bête et follement amoureux, tu me fais l’avoir l’air en tout cas. Tu me donnes même l’impression d’être fou maintenant et tes caresses n’en parlons pas, elles me font espérer que tu ne vas plus me lâcher maintenant. Tes baisers eux me font espérer que tu vas me sauver, oh mon dieu que j’ai l’air d’être fou amoureux de toi, cela me fait tellement peur.

Je me retrouve ainsi emporté par l’exhalation de tous mes sens qui ne me permettent plus de garder le contrôle. Je suis comme esclave de toi, comme une marionnette avec laquelle tu pourrais jouer à ta guise, comme bon te semble. Notre ébat se veut de plus en plus sensuel voir même érotique. Notre manière de copuler ainsi, est si envoûtante et jouissante que j’en oublie toutes ces années de tristesse, de rancoeur et de haine à ton égard. Tu me fais littéralement tourner la tête, la terre tourne, mais je ne sens plus le sol. À chaque fois que tu me regardes, que tu m’embrasses mon coeur bondit et c’est facile à voir. Tu me rends complètement dingue, je suis si excité, c’est si profond que je ne peux plus penser concrètement. Tout ce que je fais n’est plus que le fruit d’un instinct animal. Il fait si chaud ici, si chaud que j’ai besoin d’air. Ne t’arrêtes surtout pas en chemin, c’est tellement bon, ce n’est pas compliqué, nous sommes juste syncopés, nous pouvons lire les esprit de chacun. Deux corps parfaitement synchronisés, tu n’as même plus besoin de me toucher, rien que le fait de sentir ton souffle sur moi me rend complètement hors de moi. Cela va au delà du physique, ce soir tous mes sens n’ont plus de sens, notre imagination nous porte dans des endroits où nous n’avons jamais été avant, prends moi, laisse toi aller. Je n’ai même pas honte de ce que nous faisons maintenant, je suis limite en train de filtrer avec les limites de l’obscène,  mais dans l’inconnu je serai le plus audacieux. Je me perds dans des endroits où je peux perdre le contrôle. Je ne veux pas expliquer maintenant toutes les choses que j’ai tenté de dissimuler, je m’isole du monde, je ferme les yeux et me laisser m’évader à tes côtés. Ce n’est pas un péché, je ne peux simplement plus contrôler ce qui arrive. Je ressens chacun de tes gestes du creux de mes reins jusqu’à ma voûte plantaire, c’est si exquis, que je m’en perds. Il y a là un monde non défini, mon corps et le tien, fais-en ce que tu veux. C’était donc à mon tour de pouvoir goûter au plaisir de ta fellation que tu étais sur le point de me faire. Complètement épris par une excitation haletante, je laissais ma tête tomber en arrière en signe d’abandon, je te laissais le libre champ, appréciant ton merveilleux jeu de bouche. Tu n’en restais pas qu’à ça en plus, puisque tu venais même à titiller mon entrée délicatement. Tu avais bel et bien entendu mon message qui s’était voulu direct et concis, j’avais envie que nos corps ne forment plus qu’un, je voulais après toutes ces années te sentir à nouveau en moi. Je voulais à nouveau goûter à toute la puissante et à toute cette jouissance que seul toi était capable de me procurer. Te laissant quelques minutes t’occuper si bien de ma virilité tendue comme jamais je ne l’avais vue encore, je venais à mon tour mettre fin à ce délice supplice, histoire de ne pas venir écourter ce moment si intense que nous partagions trop rapidement. Ramenant ton visage en direction du mien à l’aide de ma main qui était venue se poser sur ton cou que je serrai délicatement, je venais à te dévorer une nouvelle fois cette bouche devenue rouge, conséquence de tous nos baisers, pour finalement te demander une dernière chose « Je veux que tu me fasses crier comme jamais tu ne l’as encore fait Andrea … montre moi ce dont tu es toujours capable » terminais-je dans un râle de plaisir intense. Je grimpais alors à nouveau sur le bureau, m’asseyant dessus, je t’entourais une nouvelle fois de mes jambes tout pour te rapprocher au maximum de moi et prenant toujours les choses en main je dirigeais ton organe si bien proportionné vers mon entrée. Je te fis alors un signe du regard qui traduisait que tu pouvais y aller et c’est au même moment que je laissais échapper un cri intense, mélange de douleur et de plaisir à l’entrée de ton sexe en moi. Cette sensation m’avait manqué, tu m’avais manqué. Mettant tout en oeuvre pour t’aider à t’insérer entièrement en moi je relevais mon fessier et mon bassin te laissant ainsi le champ libre de pouvoir effectuer tes premiers vas et viens. Aussi loin que je m’en souvienne, jamais je n’avais autant apprécié la sodomie, ces temps-ci j’étais plutôt du genre actif, mais avec toi c’était différent les deux rôles me donner tout autant de plaisir. Et là je dois avouer que tu me procurais un plaisir monstre. Tu devais certainement bien le voir à la vue de mon érection et de mes cris se voulant tous plus profonds et puissants « Mmm vas y Andrea … encore plus fort ! »
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MessageSujet: Re: (terminé) ANDRARON ✘ If it's meant to be, It will be [HOT HOT HOT]   (terminé) ANDRARON ✘ If it's meant to be, It will be [HOT HOT HOT] EmptyLun 9 Fév - 20:33

If it's meant to be, It will be
Aaron & Andrea
Je n’avais jamais appris à vivre sans lui, même si j’y avais été forcé ces derniers mois. Je survivais plutôt, ma famille me poussant à reprendre ma vie en main. Mais c’était impossible sans toi à mes côtés. Pourtant tout le monde dit que l’on réussit, un jour ou l’autre, à tourner la page. Je pense qu’ils ont tort. Jamais, une seule seconde je ne suis parvenue à passer à quelqu’un d’autre ! Tu continuais d’hanter mes pensées. J’avais bien eu quelques aventures, par ci et par là, mais je voyais toujours ton visage parfait. Je souffrais inutilement, parce que jamais je n’avais pensé qu’on en arriverait là où nous étions actuellement. Parce que c’était chaud, torride. Et il n’y avait aucune explication à ce déferlement de passion entre nous. Il y avait de l’amour, c’est certain, mais c’était beaucoup plus que ça. J’étais en manque, en manque de toi, de ton corps, de tes baisers. Tout mon corps te criait et n’aspirait qu’à faire un avec toi. Tous mes gestes, mes attentions n’étaient réservées qu’à toi. Cette situation était bien trop rapide pour que j’ai totalement conscience de ce qui se joue. Tu es comme un aimant pour moi, comme le soleil où la terre gravite encore et encore autour. Je reviens à toi, comme si un lien invisible nous unissait pour l’éternité. Tu es celui, qui, malgré toute la douleur, la souffrance, demeurera le seul homme que je n’ai jamais aimé. Et que j’aimerais à jamais. C’était une explosion de sentiments, puissants et euphorisants. Le seul homme qui, d’un claquement de doigt peut obtenir absolument tout ce qu’il veut de moi. Qu’il me mette une laisse, je serais capable de l’accepter sans même broncher. L’amour donne des ailes, l’amour fait mal. Mais on a besoin d’amour dans nos vies. Et, ô grand jamais, je ne refuserais de l’aimer quand bien même il peut piétiner, écraser, mon coeur déjà bien meurtri. Il a le droit de m’anéantir, il a toutes les cartes en mains. Mais jamais il ne me ferait cesser de l’aimer.

Je ne suis plus que sensations, excitation grandissante, désir de plus en plus fort, emprisonné dans toute cette ambiance qui nous a poussé à commettre un geste que l’on allait probablement regretter dans le futur. Mais on en avait tous les deux besoins. Besoin de se retrouver, de retrouver la passion, l’ardeur de nos ébats passés. Comme pour se démontrer, à nous-mêmes, que l’on est deux âmes soeurs en perdition. Je ne suis plus dans mon bureau, à l’université, je suis loin, ailleurs, là où personne, à part toi, ne peut m’atteindre. Mes lèvres retrouvent le chemin tant attendu, le long de ton corps, comme si notre dernier ébat datait d’hier. Mes mains, flattent tes hanches, elles se font possessive. Tu m’appartiens, comme je t’appartiens. Mon épiderme frissonne sous l’attention de tes mains, la chair de poule se forment. Pourtant je suis brûlant, brûlant de désir pour toi. Mon esprit s’est fait la malle, loin, très loin. Je ne pense pas, je laisse le plaisir prendre le dessus. Mes yeux se voilent de se désir, je suis bien incapable de parler de manière cohérente aussi. La seule chose que je veux c’est toi. Je veux te posséder, et je veux que tu me possède. Je veux tout de toi. Pourtant je sais bien que c’est impossible. Mais je veux y croire, parce que si je n’ai plus d’espoir, je meurs en silence. Je serais capable de mourir d’amour, si c’est pour toi. Tu sembles tellement consentant que ça me rend fou, ça m’excite encore plus. Tu semblais m’attendre depuis tout ce temps. Je profite de chaque seconde avec toi, je crains encore que tout cela ne soit qu’un rêve, ou cauchemar. Je ne veux plus te perdre, cela fait bien trop mal. Pourtant je sens que je ne contrôle rien. Tout cela va bien trop vite pour moi. Mais je ne peux me résoudre à mettre fin à tout cela. Au contraire, je continue, vais un peu plus loin. tes gémissements m’exalte, me rendent totalement fou de toi. Mes yeux se perdent sur ton corps, alors que je te prodigue la meilleure des attentions. J’agrippe tes hanches, comme pour rester ancré dans la réalité, ne pas partir trop loin. Rester exclusivement tourné vers toi. Ton expression manque de me faire jouir sur le champ. Je m’arrête deux seconde, le temps de reprendre mes esprits. Il faut que je passe à la vitesse supérieure, je n’en peux plus d’attendre. Appréciant à sa juste valeur, la chaleur de ton entrée, je grogne de satisfaction. J’étais là où je voulais être, nulle part ailleurs. T’amenant proche de la jouissance, je grogne néanmoins de frustration de devoir m’éloigner de ma sucrerie préférée. Je me redresse, frottant lascivement nos deux corps ensemble. Retrouvant avec ardeur cette bouche, bien moins rouge que quand je l’avais quittée, je la mordille de nouveau. Je voulais que tu gardes durant des jours des traces de notre ébat. Tout comme moi, je garderais les traces de tes ongles sur ma peau. Je souris tout contre tes lèvres de ta demande, ô combien explicite, et dont je me ferais une grande joie de la combler. « À ton service, bébé. » Je ne peux m’empêcher d’utiliser ce surnom. Il était mien, et je lui ferais comprendre que ça toujours été le cas. Le rejoignant, je m’installe entre ses jambes, glissant mes mains sur celle-ci, pour l’installer contre moi. Laissant mes ongles s’enfoncer dans sa peau, je plonge dans son regard, attendant un signe pour enfin le posséder. Je rentre avec délicatesse, guettant la moindre réaction de douleur sur ton visage. M’enfonçant entièrement, je me stoppe, assommé par cette sensation unique de chaleur qui nous entoure. Je ferme les yeux, me laissant porter par ton cri, tandis que je ne suis plus que gémissements. Commençant à me mouvoir en lui, je grogne avant de me pencher et de coller nos deux corps, t’embrassant avec passion, mes va et viens sont puissant et rapide. Nos peaux claquent et brillent. « Oh mon dieu... oui ! » Je gémis tout en accélérant encore à ta demande. « À toi. » Je cri tandis que j’approche de plus en plus du point de rupture, mais je ne voulais pas m’arrêter si rapidement. Glissant ma main droite entre nos deux corps, je m’occupe de sa virilité au même rythme soutenu que mes va et viens. Le voir aussi pris avec le plaisir augmente mon propre plaisir, parce que c’est grâce à moi. « Putain c’est bon bébé. » Accélérant encore, j’attrape le bureau avec ma main libre, pour assurer ma prise tandis que je sens tes mains sur mes fesses.
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MessageSujet: Re: (terminé) ANDRARON ✘ If it's meant to be, It will be [HOT HOT HOT]   (terminé) ANDRARON ✘ If it's meant to be, It will be [HOT HOT HOT] EmptyJeu 12 Fév - 17:18

"If it's meant to be, It will be"

Je t’ai jeté un sort, car tu es à moi.Tu ferais mieux d’arrêter de faire tout ce que tu faisais jusqu’à présent parce que maintenant je suis là. Je ne mens pas, oh non je ne mens pas, je ne peux plus supporter que tu sois loin de moi, je t’ai jeté un sort parce que tu es à moi. Aime-moi comme tu sais le faire, tu es la lumière, tu es la nuit, tu es la couleur de mon sang, tu es le remède, tu es la douleur. Tu es la seule chose que je veux toucher, je n’aurais jamais cru que tu serais si important, encore aujourd’hui. Je devrais peut être avoir honte de ce genre de sentiments qui viennent m’envahir à cet instant, en ta présence, mais pourtant c’est bel et bien ça et je ne peux pas m’empêcher de les ressentir. Après tout, tu es la sensation qui m’avait tant manqué et je n’ai jamais été aussi bien qu’à l’instant même, en ta compagnie et cela depuis de nombreuses années. Je veux désormais que tu me suivent dans l’obscurité comme dans la lumière, laisse moi t’emmener plus loin que les étoiles, laisse moi. Tu pourras ainsi voir le monde que tu as réveillé en moi. Continue à prendre soin de moi comme tu le fais là, continue de parcourir mon corps, continue de me montrer ce dont tu es capable, tu me rends fou, je suis tout à toi, je te l’avoue. Touche-moi comme tu sais le faire, chaque centimètre de ta peau est tel le saint graal que je dois découvrir, oui je te laisse mener la danse volontiers, parce que mes pensées sont en désordre, j’ai la tête qui tourne et je ne vois plus clair. Toi seul peut embrasser mon coeur. Vivons cet instant comme si c’était le dernier, comme si ça avait de l’importance.

Nous étions donc toi et moi maintenant dans une position que j’appréciais tout particulièrement en cet instant précis. Nos deux corps se chevauchant l’un est l’autre, se frottant lascivement comme si jamais nous nous étions quittés. Chacun de tes gestes à mon égard me rappelaient le souvenir de notre histoire passée, de tout ce que nous avions vécu en peu de temps. Ce plaisir intense était si bon qu’il était le seul à pouvoir m’enlever de la tête cette vision d’horreur dans laquelle tu m’avais trompé et fort heureusement parce que maintenant que nous étions lancé, je me voyais mal pouvoir penser à ce moment là et devoir ainsi tout arrêter. Je préférais ainsi concentré toute mon attention sur le plaisir intense que tu me procurais maintenant. Nous étions au moment crucial de notre ébat, à savoir le moment où tu allais me pénétrais. Une fois en moi je ne pus retenir de gémir si fort que je venais à nouveau chercher tes lèvres dans le but de couvrir les sons sortant de ma bouche, par crainte de nous faire remarquer. Commençant tes vas et viens frénétique et profond je ressentais alors toute cette chaleur intense et jouissante venir m’envahir de plus en plus. Mon excitation était maintenant à son apogée, chacun de tes coups de rein me procurait un plaisir si intense que mon corps tout entier ruisselait de sueur. Tu étais le seul à pouvoir me donner autant de plaisir et redécouvrir cette sensation de jouissance extrême m’avait tellement manqué. Je t’appartenais littéralement à ce moment là, je n’étais qu’à toi et à personne d’autres. Tu es d’ailleurs l’un des seuls hommes à qui je m’offre de cette manière là, car habituellement depuis notre rupture c’est moi qui joue le rôle du dominant. Je m’efforce de tenir ton rythme si prononcé qui me rend totalement hors de moi. Mes mains s’agrippent ainsi sur ton fessier aux courbes parfaites, que je sens durcir à chacun de tes coups. Tu sembles prendre tout autant de plaisir que moi, puisque à chaque fois que je croise ton regard dans notre élan, j’aperçois cette flamme et cette lueur d’extase puissante dans tes yeux « Andrea c’est trop bon … » Je sens en moi le plaisir monter encore et encore, à tel point que j’essaie de me concentrer pour ne pas venir trop vite, histoire de profiter encore de toi, de nos retrouvailles si exquises. J’accompagne toujours le moindre de tes mouvements, tellement qu’on aurait cru que nous nous étions jamais quittés. Nos deux corps se synchronisent et réagissent l’un à l’autre sans se poser de questions, ils sont tout simplement en adéquation parfaite. Je te regarde et je ne peux nier le fait que tu es l’homme le plus sexy que je connaisse, tout ton être l’est, la moindre parcelle de ton corps m’excite à un tel point que cela en devient inquiétant, comment peux tu me mettre dans cet état là. Je ne vais bientôt plus pouvoir tenir bien longtemps, chacun de tes mouvements en moi font monter ma jouissance qui ne tardera plus trop longtemps à être à son apogée. Je ferme les yeux, je profite de chaque seconde que nous partageons, quand je t’entends prononcé le mot « bébé », à ce moment là telle une réaction instinctive mon corps tout entier se durcit et me lance le signal de l’arrivée imminente de mon orgasme « Hmm hmm … Andrea je vais arriver là, je ne peux plus me retenir, tu me fais trop de bien » Je laisse ma tête tomber en arrière et alors que je sens ta main accélérait d’autant plus ses mouvements sur ma virilité en corrélation avec tes mouvements de bassins je laisse alors échapper mon sperme dans un râle de plaisir intense. Mon excitation et si profonde que je ne m’arrête plus de libérer mon liquide. Sentant ton plaisir proche également, je plonge mon regard dans le tien et te supplie de continuer « Vas y je veux que tu viennes, je veux te voir prendre ton pied bébé … »Je m'enfonce alors complètement sur ton sexe pour te procurer un plaisir dès plus intense, à la recherche de ta jouissance.
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MessageSujet: Re: (terminé) ANDRARON ✘ If it's meant to be, It will be [HOT HOT HOT]   (terminé) ANDRARON ✘ If it's meant to be, It will be [HOT HOT HOT] EmptyVen 13 Fév - 20:16

If it's meant to be, It will be
Aaron & Andrea
C’est drôle mais en ce moment même j’ai l’impression de ne t’avoir jamais quitté. comme si on s’était séparé hier, simplement pour une soirée, et que l’on se retrouvait. Je connaissais encore par coeur tous les endroits où tu es sensible. Et je compte bien, en cette journée, j’ai bien l’intention de te faire monter au rideau au moins, voire même plusieurs fois. Non je n’avais as honte de dire, et ce n’était par excès de narcissisme, mais le contraire était tout aussi vrai, il n’y a que toi qui peut me donner autant de plaisir. On dit que l’amour peut donner des ailes, et je pense que c’est vrai, mais ça aide aussi à faire grimper le thermomètre du plaisir. Ouais, il n’y a vraiment qu’avec toi que je peux ressentir d’aussi fortes choses. Et c’est encore plus fort avec toute cette sensation de manque que je ressens maintenant. J’avais même l’impression d’être insatiable de ton corps. Et on pouvait chercher à s’éloigner l’un de l’autre, mais le destin s’acharne à me mettre sur ton chemin, et vice versa. Alors peut-être que c’était une hérésie de ta part que de croire que l’on n’était pas fait pour être ensemble, mais je sais que c’est faux. Parce que je suis convaincu que, dans le monde, on a tous un âme-soeur qui nous attend quelque part. Et nous avons eu la chance, toi et moi, de nous trouver, alors je serais prêt à tout pour sauver notre histoire, parce que tu es important pour moi, malgré que tu en doutes encore. Maintenant on mettait de côté tous ces doutes, et je profitais de chaque instant que tu m’accordais avec toi, à profiter de ton cors, de tes lèvres et de tes baisers.

Qu’est-ce que j’aimais être en toi et pouvoir te regarder prendre du plaisir. C’en était jouissif. J’aimais voir ton corps s’animer sous mes va-et-viens. Mes mains épousaient, encore, à la perfection ton corps. Mes yeux ne te quittaient pas un seul instant, ne ratant aucune de tes émotions. J’aimais savoir que je te procurais encore assez de plaisir aujourd’hui, qu’il restait bien quelque chose de notre histoire. Si seulement tu pouvais comprendre que tu es le seul pour qui je suis capable de faire réellement l’amour. Si tu pouvais savoir ce que ta famille a fait pour nous séparer, et qu’elle a réussi. Mais je ne t’en veux pas, au contraire, je comprends ce que tu peux ressentir, et je n’ai qu’une envie, t’entourer de mes bras pour enlever toutes la peine qu’ils ont pu te faire. Mais j’étais bien trop occuper à te procurer encore plus de plaisir pour y penser. En cet instant tu m’obnubiles, encore plus qu’en temps normal. tu es dans les parages et je fais n’importe quoi, et je m’en fous complètement. Attrapant tes lèvres entre les miennes, je t’embrasse avec toute la passion dont je suis capable tout en entamant des va et viens soutenus. Je gémis tout contre tes lèvres alors que tes ongles s’enfoncent dans ma chair, comme une décharge électrique. Délaissant tes lèvres pour embrasser ta mâchoire, mes mains se plantent dans tes hanches, cherchant toujours à aller plus loin en toi. Que c’était bon, jouissif. Je n’avais pas envie de m’arrêter, jamais. Je grogne lorsque tes jambes se resserrent autour de moi, collant un peu plus nos deux corps. Mon souffle se saccade, les affres du plaisir se déversant à toute vitesse dans mon corps. Je laisse passer un cri de pur plaisir alors que tes mains s’enfoncent dans mon fessier, m’enfonçant ainsi un peu plus en toi. « Oh mon dieu. » Cela faisait des lustres que le plaisir ne m’avait pas fauché à une telle puissance. Je ne suis plus que plaisir et excitation pure. Bon sang, que fais-tu de moi Aaron ? Et comment ai-je pu rester loin de toi aussi longtemps ? Je n’en sais rien ! Attrapant tes lèvres pour un baiser impatient et assoiffé de passion, je souffle doucement et me force à ralentir quelques peu la cadence, sinon tout cela allait se terminer bien trop vite, et j’avais l’intention de remettre ça après, mais en échangeant les rôles. M’éloigner de toi commencer à devenir inconcevable, et je retardais le retour sur terre, qui allait certainement être brutal. Pour le moment je savourais la synchronisation parfaite de nos deux corps. La perfection de notre ébat. Posant une main sur sa joue, je lui souris légèrement avant de fondre dans son cou pour lui laisser une marque de notre ébat. Mes dents s’appliquent à lui appliquer la marque à la jonction de son cou et son épaule droite. Je grogne de satisfaction en admirant mon travail, passant mes mains sous tes fesses, j’accélère encore plus mes mouvements, avant de libérer une de mes mains pour s’occuper de ton érection qui n’attend que cela. Me retrouvant des années en arrière, je ne réfléchis pas avant de l’appeler bébé. C’était instinctif. Plongeant mon regard dans le sien, je ne peux qu’accélérer au maximum pour qu’il vienne, je suis également pas loin de laisser place à la jouissance. « Alors viens bébé, viens pour moi » Je grogne avant de m’enfoncer totalement en lui, m’écroulant pour avoir encore plus accès et sentir son sperme s’écoulait entre nos deux corps. donnant encore deux coups, ses paroles ont le don de me libérer, et m’enfonçant totalement en lui et éjaculant longuement dans un cri de plaisir que je ne peux retenir. « Bébé.... » M’écroulant, à bout de souffle, j’enfouis ma tête dans son cou, mon endroit post coïtal préféré. « C’est si bon... Si tu savais.. » Je caresse lascivement son corps tout en reprenant mon souffle.
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MessageSujet: Re: (terminé) ANDRARON ✘ If it's meant to be, It will be [HOT HOT HOT]   (terminé) ANDRARON ✘ If it's meant to be, It will be [HOT HOT HOT] EmptyDim 15 Fév - 21:11

"If it's meant to be, It will be"

J’aurais tellement aimé que ce moment charnel entre nous ne soit qu’une habitude agréable, que nous perpétuons encore et encore au fil de nos années d’amour. J’aurais tellement aimé que cette chaleur intense, parcourant tout mon corps à chacun de tes baisers, de tes mouvements de bassin faisant pénétré au plus profond de moi ton sexe, soit un acte quotidien entre nous. J’aurais tellement aimé que tu sois là tous les jours à mes côtés, que tu sois celui qui m’accueille chaque soir après mes journées de cours, que tu sois celui qui me serrerait dans ses bras lorsque cela ne va pas, que tu sois celui qui me fasse rire, sourire, qui me rende heureux un peu plus chaque jour. Et malgré le fait que notre ébat sexuel m’a procuré un tel bonheur que toute ma tristesse à disparu, je réalise rapidement que tout cela n’était que le fruit de quelques instants et que bientôt la réalité viendrait reprendre le dessus sur tout ça. Ne lui laissant pas cette opportunité, du moins pas tout de suite je préférais alors me concentrer sur tout le plaisir que tu étais entrain de me procurer à l’instant présent. Il était indéniable pour toi de voir à quel point tu étais entrain de me faire du bien, mes gémissements tous plus rauques et puissants les uns que les autres, mon corps en sueur et mon regard lascif te signifiaient à quel point tu m’emmenais au septième ciel en cet instant présent.

Il  y a bien des choses que j’aime dans la vie, mais celle-ci, le fait que tu te retrouves littéralement en moi, te donnant à fond pour me procurer ce plaisir intense, m’amenant à l’orgasme, c’est bel et bien l’une des choses que j’apprécie le plus au monde. J’avais toujours eu cette excitation, cette enthousiasme à te voir si félin, si sauvage et investit en ce qui concerne le fait de me faire l’amour. Tu avais toujours eu cette capacité à me rendre complètement fou rien que par ton regard qui changeait du tout au tout en l’espace de quelques secondes. Je ne savais pas si j’étais le seul à te rendre ainsi, mais j’aimais tellement te rendre aussi incontrôlable que cela en devenait une addiction. Je me rappelle à l’époque le nombre de fois où je m’amusais à te provoquer, que ce soit dans notre intimité ou même en public (je me rappelle un dîner chez avec ta famille, durant lequel je n’avais cessé de te chauffer en dessous de la table), te voir devenir si bestiale, si dominateur m’avait toujours plu. Nos deux corps ne formant plus qu’un, j’encaissais chacun de tes coups de rein avec une ardeur et une fougue toujours plus enjouée. Depuis notre rupture j’en avais enchainé des coups d’un soir, mais j’étais loin de me rappeler à quel point c’était si bon de faire l’amour. Je pense que nous sommes comme deux électrons qui se tournent autour et quand ils se retrouvent cela donne une équation si intense et parfaite que le plaisir en est immensément décuplé. En cet instant tu es donc ma seule obsession, je ne pense qu’à toi, je ne suis qu’à toi. Chacun de tes gestes, de tes mots semblent raisonner en moi comme un écho si puissant et démultipliés que je ne peux penser à rien d’autre, tu es ma seule raison d’être en ce moment précis et je me fiche de tout le reste. Notre ébat se veut de plus en plus virulent, nos gestes deviennent bestiales et acharnés, je te dévore les lèvres, puis c’est à ton tour, tu me donnes des coups si forts que mon plaisir s’expriment à outrance à travers mes râles de plaisir qui doivent sans doute s’entendre dans toute l’université maintenant, mais peu importe, je veux que tu continue encore et encore jusqu’à ce que je ne puisse plus rien ressentir. Je ne veux pas que tu t’arrêtes et je te le fais savoir, je ne cesse de te demander de continuer, d’y aller plus fort, je grogne, gémis, cris, je suis entièrement voué à toi et au plaisir que tu me procures. Mon plaisir était si intense que je me demandais même comment j’avais pu me passer de toi et de ces moments de sexe comme toi seul pouvait m’en donner. J’espérais que cela ne s’arrête pas, je voulais retarder au maximum le retour à la réalité qui je le savais serait bien trop douloureux. J’appréciais ainsi chaque seconde que nous passions à nous ébattre comme deux bêtes folles. Nos deux corps parfaitement synchronisés dans ce moment de pure plaisir rendait pourtant ce retour bien plus proche que je ne l’aurais pensé. Sentant ainsi mon sexe se dresser et se remplir de tout son sang, je réalisais que j’allais rapidement arriver. Quelques instants plus tard, je laissais tout mon plaisir exploser dans un orgasme dès plus bruyant pendant que tu continuais tes vas et viens pour mon plus grand plaisir. Te posant alors parfaitement sur mon corps, je sentais seul le liquide chaud nous séparer. Tes coups se voulaient alors soudainement beaucoup plus intense et profond et à ton tour, tu éjaculas en moi me procurant un nouvel instant d’extase qui vint à me faire à nouveau éjaculer, deux orgasme pour le prix d’un, tu étais décidément le seul à pouvoir me mettre dans tous mes états. Tu t’écroules alors sur moi et à ce moment là, j’entends nos deux coeur battre la chamade, nos souffles s’accorder dans un rythme frénétique. Je passe alors l’une de mes mains dans tes cheveux, descendant ensuite sur ta barbe, avant de te voler un dernier baiser que je prolonge au maximum en sachant définitivement que la suite risque de prendre une toute autre tournure. Je reste ainsi blottit contre toi, muet durant de longues minutes avant de prononcer mes premiers mots « Cela fait si longtemps que je n’avais pas pris autant mon pied avec un homme … » Je tournais alors rapidement mon visage vers le tien « Tu as toujours été le meilleur dans ce domaine là … tu as toujours su ce qui me faisait perdre tous mes moyens … et encore aujourd'hui tu l'as prouvé ». Je fermais une dernière fois les yeux pour profiter de nos retrouvailles agréable, avant de reprendre mes esprits et de vouloir m'échapper de ton emprise. Me redressant doucement, je prends le temps de prendre ton visage entre mes mains une dernière fois, de le contempler. Tu es si beau Andrea, si beau que tu peux faire craquer n'importe qui. J'en suis consciente et c'est avec cette mauvaise image en tête, que je préfère mettre fin à tout ça. Je dépose un dernier baiser au creux de tes lèvres, te laissant ainsi reprendre ta position allongée sur le bureau où tu retrouves tes esprits. De mon côté, je me hâte d'attraper quelques mouchoirs non loin, de m'essuyer rapidement les traces de notre ébat sur mon corps, puis j'enfile mes vêtements jonchant le sol, avant de me diriger vers la porte de ton bureau, à moitié dévêtue tout en te laissant entendre ces derniers mots « Je ne peux pas Andrea, tout ça risque de nous faire plus souffrir qu'on ne le pense ... merci quand même pour ce moment fort agréable, tu resteras toujours celui qui ... » a les clés de mon coeur terminais-je dans un murmure tout en quittant son bureau.
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