 |  Sujet: JAYDEN ◭ when being home means being next to you Jeu 15 Jan - 15:55 | |
| Jayden Davidson
Never ever 
identification complète Jayden Julian Davidson âge 32 ans lieu/date de naissance le 27 mars 1982 à Londres études suivies et année Pas suivi d'études job militaire - éducateur du premier cycle orientation sexuelle hétéro statut célibataire statut social ££££ caractère taiseux, jaloux, galant, charmeur, ex-fêtard, passionné, nerveux, impulsif, empathique, mystérieux. groupe hard worker. avatar Ian Somerhalder.
Welcome to the jungle
Adolescent, je rêvassais sur les bancs de l’école, voire même en séchait la plupart, si bien que pour me redresser, mes parents m’ont envoyé dans un camp de redressement. À chaque vacance, à chaque week-end que je pouvais passé hors de ce cadre stricte et rigoureux, je courrais aux abords de l’université, y retrouvais des amis et m’incrustais à la plupart des soirées estudiantines. Riot ou pas Riot, si ce titre ne pouvait être adressé qu’aux étudiants, j’en étais. Pas toujours, mais souvent tout de même. Je dirais que ce n’est qu’une fois les vingt-cinq ans passés que je me suis rendu compte qu’il était temps de grandir et de prendre ma vie en bien. Si bien que, resté dans les encadrements militaires, je décidai cette fois de m’engager à l’étranger. Le chemin fut long jusqu’à l’escadron d’élite. C’est d’ailleurs peu de temps avant d’y arriver que je tombai amoureux. Une première, et, au final, la seule. Ma mission de devait duré que 4 mois, elle dura 4 ans. J’ai toujours le sentiment de l’avoir abandonné, bien que je n’ai jamais cessé de penser à elle. Depuis elle, je n’ai d’ailleurs jamais goûté à une autre femme, elles ne m’intéressent même pas. Cette mission m’a transformé, complètement. Si j’étais de nature frivole, enjoué et toujours partant pour une soirée à finir mort plein, aujourd’hui je passe mes soirées au bar face à mon bourbon à me morfondre sur moi-même. Je ne parle à personne de ce qui m’est arrivé pendant ces quatre dernières années. J'ai le sentiment d'avoir perdu quatre longues années, et avec elles, toutes mes relations sociales. Si je suis assez taiseux, je suis quelqu’un de très à l’écoute. Si les étudiants ont besoin de moi, ils savent qu’ils peuvent venir me trouver, mais tant qu’ils sont dans leur premier cycle, je ne fais pas ami-ami avec eux. Une fois ce stade passé, puisque je n’ai plus le statut d’éducateur principal avec eux, je suis plus laxiste et amitieux. Cela n’empêche que certains d’entre eux viennent encore me trouver concernant certains problèmes, personnels ou non.
The story of my life
 La bouille adorable de cet enfant, ne vous y fiez pas ! Un sale gamin, prêt à fourrer son nez où il faut pas, du genre à attacher les lacets de vos deux chaussures ensemble, à enclencher le moteur de la voiture et enlever le frein à main, à courir à travers un champ sans que vous ne puissiez le rattraper, à mettre ses doigts dans le gâteau avant que la photo souvenir n’aie pu être faite, à se rendre en pyjama à l’école parce qu’il l’a décidé, à vous faire tourner en bourrique et abuser de votre gentillesse. Enfant roi ? Non, pas du tout. Les libertés que j’avais, je les prenais, et les sanctions à la clé arrivaient à chaque coup. Pourtant, rien ne m’arrêtait. Cependant, j’étais le genre de gamin rieur et bon vivant, toujours partant pour tout et ne rechignant pas pour quelques blessures aux genoux. J’en ai fait voir de toutes les couleurs à mes parents, ma famille et leurs amis, et ce jusqu’à l’adolescence. A vrai dire, jusqu’à ce qu’ils décident de m’envoyer dans un camp de redressement, mes « bêtises » devenant de plus en plus graves et de plus en plus lourdes de conséquences. La discipline que j’ai aujourd’hui, c’est l’armée qui me l’a apprise.
 Je la regarde, s’énerver contre moi, faire voler les noms d’oiseaux, se contenir de certains termes, vouloir me frapper dessus mais retenir ses coups et, plus elle s’énerve, plus j’ai envie de sourire. Intérieurement, je la trouve adorable. C’est le premier effet qu’elle m’a fait, avant de la trouver rayonnante et belle à souhaits. Si cet accident de voiture ne s’était jamais produit, jamais nos chemins ne se seraient croisés. Elle, trop bien pour moi, déjà d’apparence extérieure. Les challenges, quoi de plus attrayants ? Je ne pensais cependant pas me faire prendre à mon propre jeu, tomber sous son charme et totalement m’éprendre d’elle. Très vite, elle est devenue ma bouffée d’oxygène, le sourire qu’il me faut croiser dans la journée, le ton de voix que je dois entendre, la personne à côté de qui je veux m’endormir et me réveiller. Quelle mouche m’a piquée ce jour-là ? Jamais je n’aurais la réponse, mais les faits sont là. C’est donc elle, ma personne.
 Sweetheart,
Je l’ai déjà écrit un million de fois, plus, peut-être, mais je pense à toi chaque jour, chaque heure, chaque minute, chaque seconde, chaque instant. J’ai probablement perdu la notion du temps, à force. Depuis combien de temps t’ais-je laissée là ? Un an ? Deux ? Peut-être même trois. Que penses-tu ? Que ressens-tu ? Que t’a-t-on dit ? T’a-t-on même mis au courant ? M’attends-tu ? M’as-tu remplacé ? Je préfère ne pas y penser. Je me demande sans cesse à quoi tu passes tes journées et tes nuits. Rêves-tu encore de moi ? M’aimes-tu toujours ? M’as-tu aimé un jour ? Le temps passe et pourtant, les souvenirs que j’ai de toi restent intacts. Je me demande encore comment j’ai réussi à t’avoir pour moi, rien que pour moi. Tu illumines mes jours, égaye mes journées et mes pensées. Je revois ton sourire et tes mimiques si particulières. Cette main que tu passes dans tes cheveux, ce sourire et ce regard que tu m’adresses et qui sait me faire fondre. La façon dont tu t’énerves quand tu perds au Jungle Speed, ce sourire jusqu’aux oreilles que tu arbores quand tu reviens d’une journée de shopping, des tas de sacs de toutes les couleurs dans les mains, ces petits pas de danse que tu fais parfois à travers l’appartement, les chansons que tu fredonnes quand tu cuisines et que tu ne penses pas que je te regarde. Te regarder a toujours été ma plus grande passion. Et je ne doute pas que quelqu’un ait dû prendre ma place aujourd’hui, s’émerveillant de toi tout comme je m’émerveille devant mes souvenirs. Je ne t’en voudrai pas, si c’est le cas, je te le jure. Je ne peux pas, je n’ai pas le droit. Où en serions-nous aujourd’hui si j’étais rentré à temps ? Je n’en sais absolument rien, et je pourrais faire des tas d’hypothèses, mais nous imaginer heureux est ce qui me fait le plus mal. Je ne veux pas penser à tout ce que j’ai raté, à tout ce que je rate.
 Le réveil dans des draps de soie, sur un matelas qui épouse les formes de mon corps, la tête posée sur un coussin en plume moelleux à souhaits, ce sentiment d’être au paradis. J’ouvris un œil, difficilement, et cette sensation de bien être et de plénitude qui parcourait mes veines ne semblait pas vouloir me quitter. Quel sentiment étrange. Je ne me sentais pas à ma place, pas du tout. Les draps avaient beau être si doux, j’avais l’impression qu’ils irritaient ma peau. Cette situation dénotait tellement avec les derniers jours que j’avais passés en Palestine. Les souvenirs ressurgissaient dans mon esprit tels des flashes turbulents, sanglants, effrayants. Je détournai le regard pour me focaliser sur autre chose. La lumière, elle aussi, était trop claire, trop pétillante, trop ensoleillée. Ces dernières années, je les avais passées enfermé dans une cage dans un sous-sol. La seule lumière qui me parvenait était celle m’arrivant par une fissure dans le mur. A nouveau, y penser me donnait des frissons. A force de vivre dans ce taudis, je m’étais habitué à l’insalubrité des lieux, à dormir à même le béton, à grelotter de froid à cause de la flaque d’eau à côté de moi, à être habitué à ma propre odeur d’urine se concentrant dans un coin de la pièce, à manger je ne sais trop quoi, ressemblant la plupart du temps à du vomis, à accepter les coups et les blessures, à ne même plus me trouver hideux avec ces marques sur mon corps, à accepter ma puanteur et les crasses pourrissant dans ma barbe qui poussait inlassablement. A présent, j’étais à nouveau chez moi, et pourtant, je ne me sentais plus à ma place. Une place qui, j’en avais l’intime conviction, se trouvait aux côtés de Leah.
 Retourner à Oxford n’était pas des plus facile non-plus, et trouver un job en plein milieu de l’année non-plus. Heureusement, grâce à certaines relations, et à un coup de pousse de l’armée britannique pour m’aider dans ma réhabilitation au sein de la vie en société, voilà que j’étais engagé à l’université d’Oxford en tant qu’éducateur. Educateur du premier cycle, autrement dit, des mômes débutants, se cherchant encore, et cherchant surtout à s’amuser. Seulement je ne peux être aussi compréhensif que j’aurais pu l’être il y a quatre ans. À l’époque, je m’amusais comme eux. Pire, je n’ai même pas suivi d’études. Mais désormais, je suis quelqu’un d’autoritaire, de respectable et de respecté. Pour autant que mon passé reste où il est.
Que répond le petit whisky à ces QUESTIONS TORDUES ?
Que représente Oxford pour toi ? Mon nouveau lieu de travail, mais aussi l'endroit où je venais m'évader avec mes amis dès que je le pouvais.
Plutôt bon verre de scotch ou shots de tequila ? Plutôt bourbon, dnc, à choisir, scotch
Il parait que le sexe c'est mal, t'en penses quoi toi ? Le sexe, c'est tellement bien que j'aimerais pouvoir y re-goûter !
As tu fait quelque chose dont tu n'es pas très fière ? Des petites conneries dans ma jeunesse, quelques arrêts de police, mais sans plus.
Ça te fait quoi quand l'Oxymoron publie des infos sur toi ? L'Oxy-quoi ?
Je suis sûr que tu as une petite manie insupportable, laquelle? Je lève les yeux et adresse un sourire dédaignant quand la personne qui me parle me désintéresse totalement.
pseudo/prénom Aude âge J'ai toujours pas vieilli lieu d'habitation toujours pas déménagé non-plus où as-tu connais le forum un lilliputien m'a montré la route  t'en penses quoi? le staff peut mieux faire  Scénario ou Inventé? scénario un dernier mot? j'vous aime quand-même :52:
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[code][b]Ian Somerhalder[/b] ✗ Jayden Davidson[/code]
Dernière édition par Jayden Davidson le Jeu 15 Jan - 18:14, édité 8 fois |
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Eliakim A. Crowlley ADMIN & RIOT — sexiest teacher
☆ date d'arrivée : 08/12/2014
☆ potins balancés : 5082
| | Sujet: Re: JAYDEN ◭ when being home means being next to you Jeu 15 Jan - 19:27 | |
| Félicitations, tu es validé !
jusqu'à l'excès
Ok alors l'histoire est juste horrible, tout ce que Jay' a vécu  Ca doit repartir avec Leah, j'la forcerais yo' ! Ton avatar est dans le bottin et tu intègres, à partir de maintenant, les Hard Workers. Tu peux à présent te balader et poster dans tout le forum comme bon te semble. Si tu as des questions n'hésite pas |
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:42: J'ai hate de lire ce que tu vas nous concocter 
:52: 
je vous aime mes amours 
J'adore ta plume 
Et le passage de la lettre est juste PARFAIT 
je te l'avais dit, un coup de coeur cette histoire