(terminé) Première rencontre ... [Luckas]

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A

lors que je m'apprête à quitté ma somptueuse demeure je mets des fringues assez simple, une robe rouge qui aligne bien ma belle poitrine et les parties agréables de mon corps que j'apprécie tout bonnement. En ce moment la psychologue de l'établissement n'est pas là et c'est moi qui m'occupe des étudiants en difficulté, je souris à cette pensée sincèrement heureuse que l'on puisse me faire suffisamment confiance dans une telle tache alors que je viens seulement de me réveiller. Déjà trois semaines, oui, déjà et je suis bien plus heureuse que je ne l'ai jamais été, j'ai ce besoin constant de faire quelque chose, de bossé, de faire du sport ... Bref, de m'amuser comme n'importe quelle femme de mon âge, mais pourtant j'ai mes études en psycho que j'ai repris à coté et qui me prennent énormément de temps. Enfin qu'importe, j'avance vers l'université et rentre dans mon bureau m'installant dans le fauteuil de la psychologue prête à recevoir des élèves. Aujourd'hui j'ai plusieurs rendez vous et le premier est avec un certain Luckas Peterson...

J

e suis plus qu'en avance, il est sept heures et demi alors j'ai tout mon temps pour feuilleté son dossier médical afin de voir a qui j'aurais affaire dans quelques minutes. Au fil des pages que je lis je suis de plus en plus touché par le passé de ce garçon qui me ressemble beaucoup, je grimace en lisant la mort de ses parents et son frère, c'est très dur et c'est justement à cause de tout ceci qu'il voit une psy maintenant. J'acquiesce à cette simple pensée et ferme le dossier estimant que j'en ai assez lu pour cerné le caractère ainsi que l'histoire de ce jeune homme. Je pars me cherché une canette de Minute Maid à la pomme et lorsque je reviens il n'est toujours là, bon un peu de retard ne tue personne n'est-ce pas ? J'essaie de me convaincre intérieurement que tout se passera bien et que je suis suffisamment à la hauteur pour écouté et conseillé au mieux un jeune dans le problème. C'est amusant tout de même tout ça, j'ai presque le même âge que tous ces étudiants ça leur fera certainement à tous bizarre de se confié a une femme de mon âge, ils penseront sûrement que je suis une étudiante de leur université a qui ils n'ont jamais prêté attention alors qu'en fait pas du tout. Certes, je suis étudiante mais en cours par correspondance, ce qui est difficile voir même pire que ce qu'ils font eux. J'acquiesce à cette pensée alors que j'entends que quelqu'un tape à la porte, d'une voix douce et enjouée je me contente de dire. « Entrez... » Je souris en attendant que la personne rentre, pas que je sois sûre qu'il s'agit du jeune Petterson mais ce sera mon premier jour de travail officiellement et je suis nerveuse mais aussi très heureuse qu'on m'accorde une telle chance et confiance...

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Le réveille sonne il n’était pas trop tard. Je l’étain en appuyant dessus et regarda le plafond, je devais aller voir la psy aujourd’hui j’avais pas du tout en envie. Encore et toujours suivre un ou une psy j’en avais ma claque depuis le temps. Je n’allais pas me couper les veines quand même j’ai passé ce stade depuis quelque temps maintenant. J’en avais marre de faire cela, l’histoire était terminé, on avait compris que j’étais un orphelin qui avait vécu chez sa grand-mère jusqu’à réussir a rentrer dans l’université qu’il voulait. On ne va pas en chier un fromage, j’avais encore la lettre sur la table de chevet du centre m’ordonnant d’aller à ses séances si je voulais poursuivre mes études et être un étudiant comme les autres. Merci la hiérarchie j’ai envie de dire. Je me lève et enfile mon boxer qui était posé sur ma chaise afin de pouvoir mettre ensuite mon jeans. Je regarde mon téléphone, ça va j’avais le temps encore.

J’eus le temps de prendre mon café et de regarder le journal sportif afin de regarder les résultats du foot us ainsi que du baseball. Cela devenait intéressant. Quand je regardai l’heure je vis que j’étais à la bourre, merde. J’attrape ma veste en cuir et me dirige vers le cabinet. J’ai dû courir pour y arriver pas trop à la bourre et faillit me casser la gueule sur l’heure afin d’éviter un chien, stupide clebs. Une fois arrivé devant le cabinet je repris mon souffle et entra. Je cherchai le bureau de mon soit disant psy et arriva devant la secrétaire : « bonjours j’ai rendez-vous au nom de Peterson. » Je mis une main dans mes cheveux, je n’étais en retard, pas cool. La secrétaire me regarda avec un petit regard noir : « vous êtes en retard M. Peterson, que cela ne se reproduise plus. Vous pouvez y aller. » Oui tu parles vieille mégère, je me dirige vers la porte et toque afin de pouvoir entrer. J’entendis une voix féminine plutôt jeune, bah je n’ai pas un vieux c’est déjà ça. Je finis par rentrer et vis une jeune femme assise au bureau : « euuh j’ai dû me tromper de bureaux, je ne savais pas que les psys était aussi canon. » Je me recule et regarde l’écriteau puis elle : « vous êtes le docteur Ford ? Ou alors on me fait une farce. » Je m’avance vers elle : « désolé du retard, j’étais à fond sur le baseball, mais je suis prêt a parler de tout ce que vous voulez beauté. »

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L

a pire chose qu'il puisse m'arriver je pense que ça serait que l'on ne me prenne pas pour un réel docteur, là je le vivrais mal. C'est vrai que j'ai un physique plutôt agréable, j'en suis bien consciente et en plus je suis très jeune, en règle générale les gens s'attendent à avoir un psy d'une bonne cinquantaine d'années qui semblerait s'ennuyer à chaque fois qu'il écoute les problèmes des gens. Oui c'est une bonne image pour un psy et en plus c'est assez réel, à cette pensée j'acquiesce simplement tandis que je continue de lire avec beaucoup d'attention le dossier du jeune homme que je vais recevoir dans mon bureau sous peu. Il a un passé aussi difficile que le miens je pense que je n'aurai aucun mal à le comprendre et donc par la même occasion à essayé de l'aider à résoudre ses problèmes tout en lui donnant quelques conseils. Lorsque mes yeux lisent qu'il s'est scarifié par le passé je ne peux m'empêcher de grimacé et d'avoir les larmes aux yeux, le pauvre ce doit être difficile, désormais il est obligé d'aller voir un psy sinon il peut dire au revoir à ses études tout comme à l'avenir qu'il souhaite avoir. En d'autres termes ils lui mettent la pression, bien, je vais faire ce que je peux pour essayé d'aider ce jeune homme. A cette simple pensée j'acquiesce et referme le dossier que je range dans un casier avec la certitude que tout se passera bien, du moins c'est ce que j'essaie de me dire afin d'apaiser mon malaise du moment.

B

ien sûr, en l'entendant parlé avec la secrétaire à l'entrée de mon bureau j'ai tout de suite grimacé, il est en retard bien sûr ce qui me dérange quelque peu et en plus il semblait dérangé lorsque la secrétaire lui a fait remarqué. Lorsqu'il a toqué à la porte, je me suis abstenue de balbutier et j'ai réussi a formulé une phrase assez simple mais quelque peu délicate pour moi. A peine rentré dans la pièce il m'a fixé avec attention comme s'il se demandait s'il s'est trompé de pièce, j'ai ri en voyant son malaise, un rire faux bien sûr car effectivement c'est bien la pire chose qui puisse m'arriver et il faut que ça arrive lors de mon premier rendez vous, je n'aurais pu rêvé mieux... « Je suis le docteur Ford oui, je remplace la psy du moment que vous devez d'ors et déjà connaître elle est absente pendant une durée indéterminée du coup c'est moi qui m'occupe de vous pendant son absence... » A ces paroles je lui souris et lui fais signe de s'asseoir sur le fauteuil en cuir en face du miens, mais le jeune homme semble avoir d'autres projets comme de me faire des remarques sur ma beauté, chose qui m'intimide, depuis tout à l'heure il n'arrête pas estimant certainement que c'est une bonne manière de commencé les choses. « C'est gentil... Bien, avec la psy de base vous en étiez où elle ne m'a rien dit et ne m'a pas laissé le moindre message, alors la question est : que puis-je faire pour vous ? » J'espère que je m'y prends bien et qu'il ne va pas me prendre pour une imbécile ou une incompétente, déjà qu'il me prend pour une bimbo au lieu d'un médecin ce serait le comble du malaise... J'ai peur même si j'essaie de resté de marbre ce gamin aussi mignon soit il m'intimide terriblement et ce rendez vous peut très bien duré plusieurs heures...

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J’étais arrivé en retard et alors cela pouvait arriver à n’importe qui en plus ce sale clebs a failli me faire tomber ce qui m’avait pas vraiment mis de bonne humeur. Lorsque je me présentai à la secrétaire, cette vieille peau. Elle me fit la moral, elle aussi voulait m’emmerder ou quoi. Elle me dit que la psy m’attendait, mais en entrant je vis une vrai beauté et pas un homme ou une femme d’une quarantaine d’année, cela pourrait devenir intéressant je dois dire. Je demandai si j’étais vraiment dans le bon bureau, car voir un canon pareil cela ne pouvait être réalité. Elle disait qu’elle remplaçait l’autre morue, elle était gentille, mais qu’est-ce qu’elle pouvait me faire chier avec ses discours enfin soit. Au moins j’aurais un jolie visage à regarder quand je partirais d’ici : « Très bien si vous êtes la remplaçante, alors on va faire avec. » Elle m’avait montré le fauteuil que je connaissais quand même assez bien, mais je préférais plutôt parler de sa vraie beauté. Qu’est-ce qu’une bombe comme elle foutait dans un cabinet de psy.

Elle me répondit que c’était gentil et semblait vraiment vouloir faire ce boulot de psy, soit qu’il en soit ainsi. Je m’allonge sur le fauteuil en cuir et l’écoute me dire où est-ce que je m’étais arrêter la dernière et me posa cette question qui me fit afficher un sourire : « et bien vous pourriez me donner votre numéro déjà, cela m’aiderais beaucoup. » Je me mordis la lèvre la regardant. Cela allait être amusant de l’intimidé, mais je l’embrasserais bien cette beauté. J’avais réalisé un lien de confiance avec l’ancienne psy, elle était gentille et savait sourire des bêtises que je racontais, en fait elle me rappeler ma mère en quelque sortes, mais là je tombe sur une jeune qui semble avoir mon âge et qui doit connaitre peu de chose de mon cas : « Je sais que vous avez mon dossier, une pro ne viendrait pas à l’aveuglette pour un rendez-vous. Je suppose que vous devez déjà connaitre mes quatre dernières année, entre la mort de ma famille jusqu’à mon enfermement dans cet institut pour jeune dont j’ai perdu des années de ma vie. Comment voulez-vous m’aidez alors que vous ne savez que les choses triste de mon passé, cela ne m’aide en rien. » Je m’assois et la fixe du regard : « Je suis ici parce que j’y suis obligé pour mes études, sinon mes parents ne pourront pas être fier de moi alors qu’ils doivent m’observer en ce moment même. » Je baisse le regard, pourquoi je me suis mis a dire ça, elle me prendra pour un fou qui crois que ses parents l’observe depuis le néant.

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T

andis qu'il rentre dans mon bureau à mes cotés je sens bien que ce jeune va me filé du file à retordre, enfin il a envie de s'amuser et c'est normal, après tout lui et moi avons presque le même âge alors je peux comprendre qu'un jeune de son âge puisse être tenté par l'amusement de quelconque manière... J'acquiesce à cette pensée tandis qu'il me complimente toujours sur ma beauté ce qui m'intimide beaucoup... Et bien quoi ? Je n'y suis pas habitué, le seul homme que j'ai connu c'était mon ex et sur tous les plans j'entends, je n'ai jamais connu quelqu'un d'autre que lui sur n'importe quel plan et lui ne me disais jamais de belles choses comme ce jeune homme, jamais pas une seule fois en trois ans de couple en comptant bien sûr les deux années où j'étais le coma... Alors oui ce fût une épreuve difficile mais maintenant je dois me relevé et avancé la tête haute, j'acquiesce à cette pensée tandis que Luckas semble bien vouloir se calmé et me confirme qu'il fera avec ... J'aimerai savoir comment la psychologue fait en règle générale face aux jeunes, j'aimerai qu'elle m'offre son secret pour que j'arrive à me détendre, c'est certainement l'effet du premier rendez vous professionnel mais c'est stressant pour moi ce qui est normal du moins je l'espère au plus profond de moi même... A cette pensée j'acquiesce une fois encore tandis que nous nous installons sur les fauteuils en cuir l'un face à l'autre avec mon bureau qui nous sépare.

I

l ne semble pas être un méchant garçon, juste un dragueur ou un comique, dans tous les cas il produit un effet sur moi que je n'apprécie pas du tout : la gêne. Jamais personne n'a réussi à me rendre aussi intimidé face à un homme, là à l'heure actuelle je me sens mal alors qu'il me demande mon numéro comme si on était des amis ou encore autre chose, il est direct ce garçon... « Monsieur Peterson, nous ne sommes pas amis je suis votre psychologue pendant une période indéterminée alors merci de ne pas être trop direct envers ma personne... » Une phrase suffisamment claire et simple pour qu'il comprenne que je ne suis pas le genre de femme qui se fait intimidé par le premier homme qui passe, quoi qu'il en soit il est mignon et ça je ne peux pas le nié... Le voilà maintenant qui se confie à moi, qui me parle de son passé, de ses parents qui le regarde selon lui de là-haut, il semble malheureux à l'idée de me parlé de tout ceci mais cela semble lui faire du bien tout de même, j'acquiesce à ses paroles et prends des notes sur un cahier estimant que c'est important qu'il en parle aussi facilement. « Vous souhaitez qu'ils soient tous fiers de vous et c'est parfaitement normal monsieur Peterson, je ne vous prends pas pour un fou de pensé ou dire de telles choses... Si ça peut vous aidez de parlé d'eux de la sorte, de pensé qu'ils sont là haut et vous observe comment bon nombre de personne le disent et bien je ne peux que vous confirmez que je pense la même chose. » Je lui souris sincèrement, c'est un curieux personnage de Luckas mais je pense que quoi qu'il arrive il a surtout besoin de parlé à quelqu'un de tout ceci. « Malgré tout, même si vous êtes obligé de venir assister à des séances cela vous fait du bien, non ? Cela vous apporte un certain réconfort de pouvoir parlé à quelqu'un sans vous sentir jugé ou observé de haut, n'est-ce pas ? C'est important que vous parliez de ce qui vous chagrine au plus profond de votre être et bien sûr les psychologues de cet établissement seront toujours là pour vous écoutez... » Je l'observe intensément attendant avec impatience qu'il me réponde, le pauvre je le plains sincèrement d'avoir vécu de telles choses c'est difficile la vie... Et elle ne fût pas tendre avec ce jeune homme au cœur déchiré par les souvenirs qui le hante encore aujourd'hui...

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J’étais dans son bureau, elle devait à peine arriver pour me demander ce qu’elle pourrait faire pour moi. Alors pour bien montrer l’homme que j’étais et bien installer sur le canapé en cuir, je lui avoue qu’elle pourrait me donner son téléphone, cela serait très intéressant pour moi. Là elle me fit une moral qui me donna envie de rire : « ma psy, vous voulez rire, comment une femme de mon âge peut être ma psy. Arrêter de vous prendre pour ce que vous n’êtes pas, a vu de nez je dirais que vous êtes en formation plutôt. Mais vous êtes dans la bonne voie continuait. » Cela me fis sourires, mais quand à la suite, je me mis à parler de mon dossier etc. que je devais venir pour ne pas retourner dans cet institut pourri où j’ai perdu des années de ma vie et aussi pour poursuivre mes études, car je voulais que mes parents soient fier de moi malgré qu’ils soient mort. D’un coup je me rendis compte de ma boulette et m’allongea sur le canapé et là je l’entends commencer à faire sa psy, mais elle est sérieuse. Elle venait un peu de cadrer une de mes croyances là, elle peut-être pas si nulle que ça finalement, enfin ça reste une fille de mon âge comment elle peut penser comme un adulte de la quarantaine et savoir ce qu’est la vie après tout. Elle a dû rien connaitre, enfin je la connais pas aussi alors je ne devrais pas la juger comme cela. Elle continue de faire comme si elle en savait des choses, elle a beau être canon, elle semble savoir ce qu’elle fait, mais tout de même : « celui qui me traitera fou je l’enverrais à l’hosto, vous m’entendez, personne ne peut savoir ce que j’ai vécu sans me connaitre. Maintenant parler de ma vie avec une inconnue ne m’aidera en aucun cas, ce n’est pas le dossier qui écrit ce que je ressens en moi et ça peu de vos collègues l’ont capté. Vous dites que les psys sont là pour m’écouter, mais en réalité ils ont autant de problème que moi et des fois c’est eux qui voudraient qu’on les écoutes. » Je m’installe bien sur le canapé, la séance allait être longue : « je vous direz rien, on va attendre l’heure patiemment et c’est tout. »

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C

e rendez-vous promet d'être le pire que j'aurais à faire, ce jeune Luckas semble être une personne bien particulière avec des idées toutes plus déjantées les une des autres et puis il a un sale caractère précisons le... Je grimace en l'entendant me dire que je ne suis pas psychologue, que je devrais cessé de me prendre pour ce que je ne suis pas, je fais certainement un gros effort en ne m'effondrant pas en larme en cet instant... Je décide de ne pas répondre à ses paroles estimant que c'est juste un jeu pour lui et que je n'ai pas besoin de rentré dans le jeu de gamin dans son genre. J'acquiesce à cette pensée et me force à resté souriante et posée face à ce gamin qu'on m'a refilé qui, de toute évidence, semble bien s'amuser en me balançant des vacheries toutes plus ignobles les unes des autres.... Et dire que j'espérais que tout se passerait bien pour ce premier rendez vous et bien les rêves je vais les oubliés car tout ce que j'espérais qu'il ne se passe pas est en train de se produire sous mes yeux et je ne suis pas maîtresse et de la situation, non c'est lui qui tient les filets... Je suis tellement paniqué en cet instant que je m'en mords la lèvre inconsciemment, il faut que je me reprenne sinon il va pensé que ce qu'il m'a dit m'atteint et ça lui fera bien trop plaisir...

L

e voilà qui commence à se confié à moi concernant sa famille décédée, ce doit être dur pour lui je le conçois bien mais de là a devenir méchant et agressif envers une personne qu'il ne connait pas ça par contre c'est une autre histoire et il faudra que je tire ça au clair assez vite... « Vous savez Luckas personne ne vous traite de fou bien au contraire, à chacun ses croyances et je pense que les vôtres sont autant respectables que celles de n'importe qui... Quand à ça vous critiquez le travail de mes collègues, j'aimerai comprendre ce qui vous dérange là dedans ? Que ce soit eux ou moi on ne cherche qu'à vous aidez afin que vous avanciez dans la vie est ce trop difficile à faire pour vous ? D'accepter que quelqu'un vous aide je veux dire ? Vous êtes jeune et je le suis aussi c'est particulier comme situation, vous préfèreriez certainement avoir une personne de vingt ans votre aîné mais en attendant c'est moi dans ce fauteuil et j'aimerai que vous me considéreriez autant comme une psy que les autres... Si je n'étais pas une vraie psy je ne serais pas là sachez le... » Rien que pour lui prouvé que je suis parfaitement sûre de moi je lui fais un grand sourire quelque peu hypocrite c'est vrai mais tout de même... Le voilà maintenant qui me dit qu'il ne dira rien de plus et qu'il va attendre que l'heure tourne, je le fixe intensément et me mords la lèvre. « Donc vous préférez stagné à rien du tout plutôt que d'avancé et de vous remettre de vos blessures du passé ? Vous savez, ces entretiens chez des psychologues que vous avez sont fait pour vous aidez pas comme une obligation, vous vous devez d'avancé, de faire le vide, d'aller mieux... Là ce que vous faites, considéré ces entretient comme une obligation ça ne vous aidera pas à aller mieux et que ce soit vous ou nous perdons notre temps, alors pourquoi ne pas nous écouté ? » Je lui lance un regard défi et attend sa réponse, espérant qu'il ne va pas me balancé d'autres saloperies en pleine tête...

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J’étais sur le point de me confier à elle, mais j’arrivai pas à gober le mot fou, je m’emportai un peu envers elle et parlait d’un peu de tout et de n’importe quoi. J’étais un peu sur les nerfs par rapport à cette croyance. J’étais un peu sur mes gong aussi quand je parlai de ses collègues, elle disait que personne ne me traitaient de fous, oui bien sûr. Chacun avait les siennes, c’est un fait. Sauf que personne n’avait les même que les miennes. Elle ne semblait pas aimer que je critique leurs travaille alors que ce que je raconter était un vrai fait. M’aider a avancé ? C’est pas une fille de mon âge qui m’aidera à avancer, enfin pour moi en tout cas, elle marquait des points aussi c’est vrai je dois l’avouer, elle ne serait pas là si elle n’était pas qualifié : « Vous ne seriez pas psy, vous m’aurez pris pour un fou tous comme les autres. Je ne critique pas vraiment votre travail, juste que vous avez beau écouter les gens, mais vous-même auriez besoin de suivre un psy pour vos problèmes, car vous les comblez en aidant les autres. Je vous considérer comme une vrai psy quand je verrais qu’on aura des résultats, ce qui n’est pas vraiment le cas pour moi. » Elle me fit un super sourire et y sentit de l’hypocrisie, je n’aimais pas cette femme, mais vraiment pas. Du coup je décidai de ne pas parler et on attendra que la séance passe : « me remettre de mes blessures, vous voulez voir mes blessures. » Je me lève et retire mon pull et mon tee-shirt et lui montre les cicatrices : « Vous croyiez qu’on peut se remettre de tel blessure alors qu’on les voit tous les jours, même vous ne pourriez pas » Je me rhabille ensuite et continue de la regarder : « je me…J’ai avancé y a quelque temps, mais tout a rebasculé. J’aurais beau vous écouter rien n’iras mieux pour moi, j’aurais toujours mes sortes d’hallucination, toujours mes cauchemars. Rien n’avancera même si je le voulais. »

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S

e remettre de ses blessures du au passé est ce qu'il y a de plus difficile à faire car cela demande du temps, beaucoup de temps pour se remettre et surtout de la patience, beaucoup encore une fois. Les blessures qu'elles soient physiques ou psychologiques sont difficiles à acceptées par la suite, pour mon cas je fais comme si elles n'ont jamais exister, je les oublie tout simplement et ça m'aide à me faire une raison face à tout ce qui m'est arrivé. J'acquiesce à cette pensée, ce n'est pas facile d'accepter de telles choses, de continuer à vivre normalement avec ce que j'ai vécu par le passé, se faire battre par son petit ami c'est une chose, mais supporté la mort de ses parents c'en est une autre et ça bien sûr je le vis mal, très mal ils me manque à chaque instant et je me demande parfois s'ils sont fiers de la personne que je suis devenue, s'ils m'aime comme je suis oui toutes ces choses sont essentielles pour moi et comme on peut s'y attendre je me remets régulièrement en question à ce sujet afin d'être sûre que mes parents où qu'ils soient sont totalement fiers de moi et que je ne les déçois pas. Pour moi ce sont des choses importantes et j'espère sincèrement qu'à l'endroit où ils se trouvent ils ne sont pas déçus...

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aturellement lorsque je pense à tout ceci ça me fais de la peine mais à force je fini par m'y habituer, cela fait des années maintenant qu'ils ont disparu et j'ai bien d'autres choses auxquelles je dois pensé en ce moment, comme le cas de Luckas qui est un vrai con... Il cherche à me déstabilisé à me faire de le peine et il y arrive c'est bien ça le pire, je le fixe intensément alors qu'il me fait la morale quand à mon métier, j'ai envie de soupiré, de lui mettre une claque en pleine tête mais je m'efforce de ne pas le faire, je perdrais mon travail... « Je n'aurai pas été psy je ne vous aurai pas pris pour un fou pour une raison toute simple : je pense la même chose que vous. J'ai perdu des proches moi aussi et je sais combien cela peut-être dur d'enduré ce manque des personnes disparues. Mais j'accepte les mains qu'on me tend car c'est important de pouvoir parlé avec quelqu'un lorsqu'on en ressent le besoin, pourquoi le refusez vous c'est ça que je cherche à savoir Luckas, c'est important... Autant pour vous que pour mes collègues et moi je préfère le précisé. » Je préfère être sympathique avec lui plutôt que le méprisé et qu'il le ressente, après tout ce n'est pas moi d'être une vilaine fille et même si je ne l'aime pas autant lui faire pensé que je l'apprécie ça améliorera nos relations... Alors qu'il me montre ses blessures je le fixe intensément choquée qu'il puisse se mettre a nu aussi facilement, je prends de nouveau des notes et baisse le regard quelque peu gêné de le voir dénudé. « La vie ne vous a pas gâté a ce que je vois Luckas c'est un fait, ces blessures, puis-je me permettre de vous demandez où les avouez vous eu ou vous ne souhaitez pas parlé de tout ceci ? » Tant qu'il répond aux questions je suis sur la bonne voie, du moins c'est ce que je tente, tant bien que mal, de me dire... Je continue de le regardé et de prendre des notes alors qu'il continue à se confié, c'est un bon début. « Au moins vous vous livrez à d'autres, vous ne gardez pas tout ceci pour vous, laissez nous vous aidez et peut-être que vous verrez les choses autrement par la suite Luckas, c'est difficile la vie il y a des hauts et des bas et je ne vous apprends rien en vous disant toutes ces choses. Mais regardez moi j'ai un passé plus ou moins similaire au vôtre et je m'en dors plutôt bien, je suis capable de sourire, de rire, de vivre normalement malgré tout cela. Alors la question que je vous pose c'est si moi j'y arrive pourquoi vous n'y parviendrez certainement pas comme vous le prétendez ? » J'affiche un sourire face à lui afin de voir quelle sera sa réaction, je suis plutôt satisfaite de notre premier rendez-vous, il peut se montré détestable mais dans le fond il a un cœur et ça je me refuse de pensé autrement...

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La séance devenait des plus étrange, un coup je me confiais à elle et d’un autre je cherchais à la provoquer, je ne l’aimais pas du tout en fait. Ce n’était pas une vraie psy à mon égard, juste une autres de ses filles qui essaient de se faire passer pour plus mature qu’elles le sont. J’étais peut-être con avec elle, mais c’était ma façon à moi de me protéger des gens. Depuis l’accident j’étais moins sociable qu’avant, je souriais moins et passer mon temps à vouloir m’amuser essayant d’oublier d’où provenait mes cicatrices. Je voulais qu’elle ne soit plus ma psy malgré qu’elle soit un vrai canon que je prendrais bien sur son bureau, elle n’était pas assez professionnel à mon gout. Elle expliqua qu’elle me prendrait pas pour un fou, car justement elle croit aux mêmes choses que moi, qu’on se ressemble, on ne peut pas ses ressemblait, elle n’a pas fini dans un institut pendant près de deux ans voir plus. Accepter la main qu’on me tend, à quoi cela pourrait bien servir, les gens se fichent de ce qu’il a bien pu nous arriver : « Si vous êtes comme moi alors vous savez ce que je ressens… Vous voulez savoir pourquoi je n’accepte pas cette main ? Je vais vous le dire, car les personnes s’en foutent de votre gueule, on est qu’un individus parmi tant d’autres et tout le monde à des problèmes alors pourquoi on s’attarderait sur quelqu’un qui a en a plus que d’autres, j’ai eu affaire à des gens qui m’ont tourné le dos, pourquoi ? Parce que j’étais un cas désespéré. » Je la voyais noter ce que je disais, je lui montre le fait que je ne pourrais jamais oublier mon passé, car il est inscrit dans ma peau et ma chair, elle voulait des réponses je lui en donnais : « Ma famille a eu un accident de voiture alors qu’on allait à la pêche quand j’avais 16 ans, y a que moi qui ai survécu, mon frère de 10 ans est mort alors qu’il avait un avenir alors que moi je n’avais rien. C’est blessure sont les morceaux de ferrailles qui ont fini dans mon corps ou encore les blessures infligées par l’impact, comment vous voulez que j’oublie mon passé maintenant ? » Pourquoi je lui parlais de tout cela, c’est qu’une fille de la fac, elle est comme les autres : « je suis capable de sourire et de rire aussi vous savez, notre passé n’est pas similaire, vous connaissez le mien, mais je n’ai pas envie de connaitre le vôtre. Je ne veux pas de votre pitié ni celle de quelqu’un d’autres. Je ne fais que suivre mon chemin afin de pouvoir obtenir ce que je veux. » Je reste installé sur le divan : « on me croyait fou à l’institut, je parlais tous seul, je riais tout seul et je pleurais beaucoup, quoi de plus normal pour un ado qui a perdu de sa famille, mais quand cela se passe tous le temps que ce soit jour et nuit, même encore à l’heure d’aujourd’hui. » Je ne suis plus comme les autres et je ne le serais plus jamais.

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L

a vie c'est difficile, cela peut t'apporter du bon comme du mauvais, pour le cas de Luckas cela a été difficile, il a du enduré mille tourments et il n'en est pas encore sortit malheureusement... J'écris tout ce qu'il me dit car j'estime que c'est important, d'après ce qui est noté sur ce petit carnet il ne dit quasiment jamais rien et attend que l'heure passe, estimant certainement qu'il n'a rien à faire là et qu'il préfère se montré plus que de causé afin que l'on puisse l'aider. Alors que je lui propose ma main afin de l'aider à se relevé il la refuse expliquant au passage qu'il ne peut pas car selon lui il est un cas désespéré. « Un bon psy ne vous considèrera pas comme un cas désespéré Luckas, il vous considèrera comme un patient parmi tant d'autre qui a divers problèmes. Pour ma part vous êtes mon premier patient alors je ne peux pas traité de conclusion mais c'est important que vous vous détendiez et que apprenez a accepté l'aide qu'on vous tend. Comme vous le dites je ne suis pas une vraie psy car oui comme je l'ai dis je remplace simplement la psychologue qui s'occupe de vous en règle générale. Mais n'est-ce pas une bonne chose aussi d'avoir une personne de votre âge en face de vous plutôt qu'une vielle chnoc au regard perdu par vos paroles qui ne vous comprendra pas nécessairement parce que vous n'êtes pas de la même génération ? Pensez à ça Luckas avant de refusé mon aide, je suis quelqu'un de bien et je peux vous aidez croyez le ou non... » J'accompagne mes paroles d'un sourire sincère ce qui est rare pour moi en vue du sombre personnage que j'ai en face de moi, pas qu'il soit désagréable ou méchant mais il est dirons nous très vexant et pis encore il sait qu'il l'est et de ce fait il en profite pour atteindre ses " victimes " il est quelque peu terrifiant pour la jeune personne que je suis...

C

ette fragilité qu'il y a au plus profond de mon être est à la fois une bonne chose mais aussi une mauvaise chose car d'un certain coté grâce à cette fragilité je comprends bien mieux mes patients mais d'un autre coté, à cause de cette fragilité c'est souvent moi qui ai besoin de me remettre en question car à force de lire les dossiers de diverses personnes je fini par me dire que je ne suis peut-être pas prête à écouté ces fameuses personnes. Être psychologue est un métier difficile, ça on me croira sur parole si je le disais à voix haute mais en attendant j'ai d'autres choses à faire plutôt que de me plaire comme écouté ce jeune au cœur sombre qui se décide à tout me dire, je prends des notes. « Oublié votre passé n'est pas solution, mais faire en sorte de vous endurcir grâce à ce fameux passé douloureux c'est ça la solution. Grâce à votre passé, à votre vécu vous pourrez enfin avoir la possibilité de vivre normalement car dans le fond vous avez goûté à l'Enfer le plus noir soit il de ce fait, souffrir vous connaissez ce que c'est. Donc, grâce à votre passé cela pourrait vous endurcir et vous aide à tourné la page, vous comprenez ce que je veux dire, Luckas ? » Moi c'est ce que j'ai fais et pourtant j'ai un passé certainement aussi difficile que le siens et je m'en suis plutôt bien sortie... « Vous ne prendrez pas conscience de mon passé pour une raison toute simple : c'est vous qui vous confiez et non l'inverse, de toute façon je ne suis pas le genre de personne qui aime parlé de mon passé Luckas, alors pas de problèmes a ce niveau-là rassurez vous. » Et puis même parlé de ce que j'ai vécu avec ce type ne m'inspire en rien de l'envie ni de la joie, je préfère que nos rapports restent purement professionnel et de toute évidence, lui aussi... « Je ne vous prends pas pour un fou Luckas, je pense qu'il est normal que vous réagissiez de la sorte, vous veniez de perdre votre famille... C'est une étape difficile que vous avez vécu il y a peu alors naturellement vos réactions sont normales en vue de ce qu'il vous est arrivé... » J'accompagne mes paroles d'un petit sourire complice afin qu'il comprenne que je le prends pas pour un imbécile ou un fou comme les personnes qui bossaient ou vivaient dans cet institut dans lequel il a fini son adolescence, c'est dur ce qu'il a vécu mais je le comprends... J'aurais pu finir dans un même genre d'endroits si mes grands parents n'avaient pas été là après le décès de mes parents...

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Pourquoi je me mettais à lui dire tout ça, je devais ne pas me sentir bien. Un patient parmi tant d’autres, cela m’étonnerais beaucoup. Vu tout ce que j’ai fait dans cet institut. Me détendre face à elle, cela va être difficile vu la bombe qu’elle est. J’ai plus envie de la sauté que de l’écouter en réalité. Ensuite accepter l’aide tout dépendait laquelle, si c’est pour me déshabiller j’accepte. L’avoir elle a la place de l’ancienne, c’est vrai qu’elle est plus agréable à regarder, mais autrement elle ne doit pas avoir le même niveau : « vous avez peut-être raison, mais le fait de voir avoir vous au lien de la vieille bique que vous remplaçait, j’ai envie de dire que je me suis mis à lui faire confiance et elle ne perdait pas les paroles que je lui disais. » Cela devenait délicat j’ai envie de dire. J’étais en train de faire le contraire de ce que je voulais faire, m’endurcir elle est sérieuse, je suis devenu de marbre depuis ça. Je l’écoute alors qu’elle parle de son passé et que j’en saurais rien, car elle avait ses raisons : « vous me faites rire, vu votre passé qui a l’air douloureux à vous aussi. Vous n’êtes pas du genre à vous confier et c’est moi le patient et qui a besoin d’un psy. » je me mit à rire bien fort sur mon divan. Elle était bien drôle, oui elle ne me prenait pas pour un fou ce qui était déjà pas mal : « oui je ne suis pas fou sinon je serais déjà partit, mais bon je pense qu’on va pouvoir faire quelque chose ensemble. » Je la regarde et lui sourit elle est vraiment bonne quand même, je me la ferais bien. Je regarde ma montre, c’est pas que je m’emmerde sauf que j’ai cours après déjà que je me réveille tôt pour faire cette séance et le cache à beaucoup de gens.je me lève et la regarde : « ce n’est pas que je me fais chier, mais votre séance va se terminer et j’ai cours après. » Je commence à me diriger vers la porte.

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Luna & Luckas

A

lors qu'il continue de me faire des aveux au sujet de sa vie privée, de son passé pour être précise je l'écoute avec attention estimant que c'est très important qu'il m'écoute, qu'il se confie de la sorte à moi qu'il connait aussi peu mais il est bête comme garçon ça se voit et c'est justement ça qui me dérange. Si j'étais sa psy je lui pardonnerais d'être bête parce que précisons le il est vraiment très mignon mais à coté de ça rien ne m'inspire confiance chez lui, pour être tout à fait honnête je pense que ce garçon a sérieusement besoin d'aide car il lui manque réellement une case maintenant je ne le prends pas pour un fou... A vrai dire, si je pense ça c'est surtout parce qu'il n'a qu'une envie en cet instant et c'est me dragué parce que je suis une belle femme, le reste il s'en fou complètement c'est justement à cause de ça que je pense qu'il lui manque sérieusement une case, le reste ça ne me regarde pas... J'acquiesce à cette pensée alors qu'il me fait de nouveaux aveux au sujet de la psychologue que je remplace en ce moment. « Et bien, disons que je ne compte pas perdre les paroles que vous me dites, bien au contraire je note tout et croyez le ou non j'ai bonne mémoire Luckas, le reste n'a pas le moindre importance, vous verrez par vous même que je ne suis pas seulement une femme incroyablement sexy... » Je souris à ses paroles et me concentre sur lui alors qu'il se fou bien de ma gueule, je décide de ne rien répondre préférant le laissé s'amuser plutôt que de dire quoi que ce soit, à quoi bon après tout ? Il est stupide et n'a visiblement aucune envie de se faire aidé, il veut juste s'amuser comme tout les jeunes de son âge n'allons pas lui reproché ça maintenant, c'est normal.... Je lui affirme alors que je ne le prends pas pour un fou et sa réponse ne se fait pas attendre, réponse qui me surprend beaucoup d'ailleurs. « Bien sûr on pourra faire beaucoup de choses ensemble si vous me laissé vous montrez que je suis capable de faire mon métier au mieux, laissez moi juste le faire et vous verrez que j'ai des compétences, je n'en demande pas plus. » Je souris à ses paroles alors qu'il m'annonce qu'il doit partir car il a des cours, je me lève en même temps que lui et m'avance vers la porte. « Alors nous nous reverrons lundi prochain à la même heure Luckas, j'ai été ravie de vous rencontrez et je suis sûre que nous ferons de grands progrès ensemble, bonne journée à vous et excellente semaine. » Je lui ouvre la porte et le laisse s'en aller, et bien il était grand temps maintenant j'espère que mes autres patients seront plus agréables que lui...

FIN DU RP

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