Paris with love.Eliakim & AliceIl y avait une véritable complicité entre Alice et Eliakim. Depuis le début, et même s'ils s'étaient refusés à l'avouer, il y avait eu ce quelque chose entre eux. Ils avaient le même sens de l'humour, les mêmes références, les mêmes idées au même moment. Ils étaient sur la même longueur d'ondes, et se comprenaient parfois sans même se parler. Avant d'être amoureux, ils avaient été amis, d'une manière naturelle. Mais il était incroyablement sexy, et elle n'était pas mal non plus, sans compter le fait qu'elle était courtisée par la majorité de la gente masculine d'Oxford. Eliakim avait gagné le gros lot en lui prenant sa virginité. Il était l'homme qui avait fait craquer Alice Kensington. Il était presque un dieu dans le domaine de l'amour et du sexe à l'Université.
« Comme si l'idée de te faire l'amour pendant tes cycles m'a déjà dégoutté... » Elle répondit par un rire semblable au sien. C'est exactement à cela qu'elle pensait : ils étaient sur la même longueur d'ondes. Que ce soit lors de leur discussion ou même au lit. Jamais elle n'avait pensé être aussi proche de quelqu'un. Sans retenu, et sans tabou. Elle était prête à tout faire avec Eliakim. Et pour le moment elle n'avait refusé aucune nouveauté avec lui. Il lui avait tout appris sur les pratiques sexuels. Certes elle savait des choses, elle n'était pas une jeune enfant gardée loin du monde, mais elle ne savait pas ce qu'elle aimait ou pas. Avec lui elle apprenait à tout aimer. A tout apprécier. Et Dieu qu'il était doué !
Ils faisaient l'amour avec passion et tendresse. Ils s'aimaient. Ils s'emboitaient l'un dans l'autre avec facilité, comme s'ils se retrouvaient après s'être perdus loin l'un de l'autre depuis toujours. Elle se sentait entière, complète. Elle dansait sur lui, laissant son membre dur entrer et venir dans son intimité. Elle laissait sa tête allait en arrière, posant ses mains sur le torse de son amant, les seins tendus et gonflés par le désir.
« Tu n'as jamais été plus belle qu'à cet instant... » Pour toute réponse elle se tourna vers lui, et se mordit la lèvre, bougeant plus vite encore, serrant les muscles de son sexe autour de lui pour le rendre plus fou encore.
Cependant par un geste puissant son amant la fit basculer sous lui. Elle n'eut pas la force de se battre face à la force évidence de son amant. Il était incroyablement fort, sans doute parce qu'il était un grand sportif. Mais souvent elle se disait que c'était plus que cela. Il était fait pour la protéger, ou la rassurer. Il avait des muscles saillants, un torse bien dessinés, et des bras forts où elle adorait se loger. Elle se laissait aller contre lui, alors qu'il faisait des mouvements incroyablement rapides et violents en elle. Elle n'arrivait plus à se calmer, fermant les yeux elle se laissait aller dans les voluptés du plaisir. Son amant se glissa à son oreille...
« tá grá agam duit... » De l'Irlandais, une langue qu'Alice ne comprenait malheureusement pas, mais elle savait ce qu'il voulait dire. Qu'il l'aimait, le dire dans sa langue maternelle. De manière parfaite, de manière la plus naturelle, le plus proche de la réalité. Comme si c'était en lui. Il jouit, elle sentit une chaleur douce l'envahir, la rendre folle. Mais elle n'atteint l'orgasme qu'une seconde plus tard sous un coup de hanche plus violent encore.
Elle eut un orgasme violent, secouée par le plaisir elle se laissa tomber complètement sur le lit, alors que son amant s'allonger à ses côtés. Elle tourna le regard vers lui, et lui sourit.
« Je t'aime... » Elle prit une bouteille d'eau qu'ils avaient à côté du lit - une habitude très utile - et en but une gorgée avant d'en proposer à son amant. Elle se mit sur le côté, la main contre son torse comme au début de leurs ébats... Et sourit, en regardant sa bague qui brillait à son doigt.
« On va se marier... » Elle l'embrassa passionnément, et ils refirent l'amour encore et encore, durant toute la nuit.