Paris, Paris s'éveille (Aaron) [Pas pour les enfants -18]
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Sujet: Paris, Paris s'éveille (Aaron) [Pas pour les enfants -18] Mer 11 Mar - 18:12
You can stay with me, baby.AARON&ANDREA;
You want everyone to think you're above it all... but I can see right through you.
❆
You say having feelings makes me weak, but you're weak for hiding from them.
Quelques heures avant le départ pour Paris, et quelques jours après notre échange de textos. J’avais vraiment hâte de retrouver aaron, on avait prévu de se retrouver à l’aéroport directement. J’avais des choses à finir à l’université et Aaron avait également cours, mais on ne finissait pas à la même heure. Je sortais d’ailleurs de la bibliothèque lorsque j’aperçois de loin Aaron, m’apprêtant à l’interpeller, pour profiter quelques secondes de lui, je me ravise rapidement lorsque j’aperçois quelqu’un d’autre à ses côtés. Si pendant les premières secondes je ne m’en fais pas plus que cela. Mais l’autre finit par être bien trop proche de mon homme. Ce qui me fait froncer les sourcils, mon côté possessif me poussant à aller vers eux et à montrer qu’il était avec moi. Mais on avait tous les deux convenus de ne pas se montrer en public et surtout pas à Oxford, même si notre relation n’était pas cachée. Je bouillais intérieurement avant de tourner les talons sans me montrer. Je termine ma journée d’une humeur maussade avant de fermer mon bureau et de me diriger vers mon appartement pour prendre mon sac, avec toujours cette scène en tête.
J’étais plus que jaloux, je le sais bien, mais ça prouve au moins que je tenais à lui. Toutefois, ça me donnait envie que d’une chose : de l’enlever et de le garder rien que pour moi. Parce que ce n’est même pas à lui que j’en veux, à part d’être aussi parfait, mais à moi. Parce que ça me pose la question de savoir si j’étais encore assez bien pour lui. Est-ce qu’il n’est pas en train de se lasser de moi ? A-t-il choisi sur Paris pour encore une fois détruire mon coeur parce qu’il ne m’aime tout simplement plus ? Que de questions qui me torturent l’esprit alors que je prends cette fois-ci la route pour l’aéroport, pas trop en avance. Les bouchons sur la route ne m’aide pas à arriver à l’heure que l’on avait convenu, mais heureusement j’étais encore assez en avance pour l’embarquement quand j’arrive dans la salle d’aéroport, allant directement au point de rencontre que l’on avait fixé.
D’humeur tout aussi massacrante, je suis bien incapable de lui sourire. Même si je sais que je dois lui faire confiance, j’ai mes démons qui sont persévérant. Et j’ai toujours peur que tout ce que l’o est en train de construire n’est qu’un écran de fumée. Et malgré ces paroles rassurantes qu’il ne cesse de me dire, la peur prend le dessus. Peut-être le fait de me lier éternellement à lui allait m’aider à faire fuir cette peur. Parce que oui, je m’étais décidé de lui demander sa main quand il m’avait annoncé cette escapade à Paris, la ville romantique à souhait selon moi. Et la scène qui s’est jouée devant mes yeux n’a fait que conforter cette idée, si tant est qu’il m’assure que jamais il ne m’a trompé. Parce que ce serait quand même un comblent lui qui m’a accusé il y a six ans de l’avoir moi-même trompé. Mais, au fond, je n’arriverais même pas à lui en vouloir, j’étais bien trop amoureux pour cela. Cet amour causerait certainement ma perte, mais j’y saute pieds joints et en toute confiance.
L’apercevant un peu plus loin, il semble s’impatienter. Je souris légèrement avant de m’approcher de lui et de poser une main sur son épaule. « Je suis là. » J’embrasse son front avant de déposer mon sac à mes pieds « Les bouchons ne sont décidément pas mes amis… » Je lui souris alors que, le regardant, la scène se rejoue dans mon esprit, m’arrachant une grimace. Ouais, il faut que je désamorce cela, sinon ça va gâcher tout notre week-end, et je suis presque sûr de me faire des idées. « Ok, si je ne te le demande pas, je vais devenir fou je pense et je vais tout gâcher. » Je passe une main rageuse dans mes cheveux avant de planter mon regard dans le sien « C’était qui le mec avec toi à l’université ? Et ne me dis pas personne, il avait l’air… très… trop poche de toi… » Je grogne, attendant une réponse de sa part.
Dernière édition par Andrea M. Fitzwilliam le Mar 7 Avr - 15:24, édité 1 fois
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Sujet: Re: Paris, Paris s'éveille (Aaron) [Pas pour les enfants -18] Mer 11 Mar - 19:55
"Living For Love."
Quand j’avais reçu ce mail dans ma boite, faisant la pub de divers voyages en avion pour pas cher (bien que l’argent ne soit pas un soucis pour moi), j’avais tout de suite alors eu cette idée de nous réserver un vol à Andrea et Moi pour que l’on s’octroie un petit weekend en amoureux, histoire de rattraper le temps que l’on avait perdu durant ces six dernières années. C’est ainsi que je m’étais retrouvé à booker un vol pour Paris pour ce weekend. J’avais bien entendu réservé un vol en première classe avec champagne et tout ce qu’il s’en suite histoire de bien marquer le coup et de faire en sorte que ce voyage ne se déroule sans accroc. Après le vol, j’étais partis à la recherche d’un hôtel et c’est ainsi que j’avais opté là aussi pour le luxe, le charme et le romantisme absolu en réservant une chambre avec salon privatif au Bristol Paris, un incontournable. J’avais donc ainsi préparé le parfait petit weekend en amoureux. Plus excité que jamais j’en avais alors informé Andrea qui avait accepté (même s’il avait essayait de me faire croire qu’il avait peut être déjà quelque chose de prévu au départ) et qui était ces derniers jours tout aussi pressé que moi même de partir.
Le jour tant attendu étant arrivé, je n’avais qu’une seule hâte depuis que mon réveil avait sonné ce matin lorsque je m’étais réveillé (seul, étant donné qu’on avait fait soirée à part avec Andrea, vu qu’il avait une partie de Poker prévue avec une amie), c’était celle d’être à ce soir, pour que nous puissions embarqué tous les deux pour notre vol pour Paris. Ma journée me paru alors être la plus longue de toute celle que j’avais pu connaître jusqu’à ce jour et j’exagère à peine, je vous assure. Ma dernière heure de cours vint finalement par pointer le bout de son nez et c’est alors que je me dirigeais en direction de l’amphi théâtre où avait lieu mon cours que je fus intercepter dans mon élan par Romeo. Oh non mon dieu, il fallait que je tombe sur lui maintenant, aujourd’hui, alors que je l’évitais depuis le jour où j’étais venu lui expliquer dans sa chambre, que je ne pouvais pas m’engager avec lui, que j’étais à nouveau en couple avec Andrea et qu’ainsi pour lui comme moi cela n’était pas honnête que l’on commence une quelconque histoire ensemble. Bien entendu il n’avait pas très apprécié mon explication et s’acharné à vouloir me faire comprendre qu’il voulait tenter sa chance avec moi. Je l’apprécie énormément, j’ai même pu ressentir de l’attirance et de l’affection pour lui, mais je sais aujourd’hui que cela n’était rien comparé à ce que je ressens pour Andrea. C’était tout simplement un moyen de me consoler, de me sentir aimer par quelqu’un d’autre qu’Andrea à un moment de ma vie où notre relation était au plus mal. Cherchant ainsi à vouloir m’expliquer qu’il tenterait tout pour qu’on ait une chance, je le suppliai de bien vouloir arrêter d’espérer, je ne voulais pas qu’il souffre plus qu’il ne pouvait souffrir actuellement, je me sentais tellement mal … puisque après tout, j’étais un peu la cause de tout ça. C’est donc après plusieurs dizaines de minutes, que je le repoussais au moment où il essaya de venir m’embrasser. Je posais ma main contre son torse et tout en secouant la tête en signe de désapprobation, je terminais par lui faire entendre que cela ne serait pas possible entre nous désormais.
Ayant finalement séchée ma dernière heure de cours, ne me sentant pas la force de suivre le cours après mon altercation avec Romeo, je m’étais alors ruait chez moi. Terminant ma valise à toute allure, y ajoutant quelques petits objets de dernières minutes, je fermais quelques minutes plus tard mon appartement, rejoignant le taxi qui m’attendait en bas de mon immeuble. J’avais préféré prendre le taxi, car je ne me sentais pas d’humeur à affronter les bouchons de la ville. Andrea devait me rejoindre directement devant les portes d’embarquement et c’est ainsi qu’en arrivant en premier sur les lieux, je lui envoyais un sms pour l’informer de mon arrivée « Je suis bien arrivé à l’aéroport chéri, je n’attends plus que toi … ». D’humeur joviale et excitée à l’idée que l’on parte tous les deux vers cette destination si romantique, je tapotais du pied impatient de retrouver l’élu de mon coeur, qui tardait maintenant à faire son apparition. Finalement après plusieurs minutes d’attente, de stress, je fus rassuré lorsque je sentis une main venir se poser sur mon épaule, pour ensuite venir entendre sa voix. Me retournant alors vers lui un sourire immense sur mes lèvres, j’appréciais son baiser sur mon front « Te voilà enfin bébé, j’ai eu peur que tu ne viennes pas .. » Ma bonne humeur fut cependant rapidement effacée lorsque je remarquais sur ton visage que quelque chose n’allait pas de ton côté et par la suite lorsque tu commenças à me faire part de ce qui te tracassait, je me décomposais presque face à toi. Restant livide et sans mot quelques instants, je prenais cependant une grande respiration avant de te faire part de la vérité « Ce n’est pas personne … C’est Romeo … il ne sait rien passé entre nous je te l’assure, du moins rien de sexuel si ça peut te rassurer. Enfaite quelques semaines avant que je découvre que tu sois mon tuteur de thèse, que tu sois de retour dans ma vie, nous avions partagé un baisé lui et moi après une soirée arrosée … de là il avait remit en doute sa sexualité … Puis la semaine suivant notre ébat dans ton bureau, lorsque je me suis retrouvé complètement perdu et surtout bourré chaque soir, il est venu me retrouvé un soir pour m’avouer qu’il voulait qu’on tente une histoire tous les deux, je l’ai repoussé en lui faisant comprendre que je n’étais pas un bon choix, mais il ne voulait rien entendre. Finalement après la Saint-Valentin je lui ai confirmé que cela ne pourrait plus être possible de tenter quoi que ce soit puisque toi et moi étions à nouveau ensemble et depuis il ne cesse de vouloir se battre pour me récupérer … voilà pourquoi tu l’as vu aussi proche de moi cette après-midi, il a même essayer de m’embrasser, mais rassure toi, je l’ai directement repoussé … ». M’asseyant sur le banc à proximité je laissais tomber ma tête entre mes mains avant de reprendre « Cela veut dire que notre voyage à Paris est annulé j’imagine ? … moi qui me faisait une joie que l’on se retrouve tous les deux … » terminais-je toujours la tête emprisonnée de mes mains.
Carrier Pigeon
PNJ — vous ne passerez pas !
☆ date d'arrivée : 07/03/2015 ☆ potins balancés : 60
Sujet: Re: Paris, Paris s'éveille (Aaron) [Pas pour les enfants -18] Mer 11 Mar - 23:20
Défis : à l'attention d'Aaron jusqu'à l'excès
Bonjour Aaron, Voici le défis que l'on te lance : AARON DOIT PLACER ÇA, DANS UN DIALOGUE : TU AS À PEU PRÈS AUTANT DE CHARME QU’UNE LIMACE CREVÉE !
Bonne chance !
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Sujet: Re: Paris, Paris s'éveille (Aaron) [Pas pour les enfants -18] Jeu 12 Mar - 19:03
You can stay with me, baby.AARON&ANDREA;
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Quand Aaron m’avait proposé cette escapade, soudaine, à Paris, j’avais eu du mal à le croire. J’ai tout d’abord pensé que tu me faisais un canular. Non parce que vouloir partir comme cela sur un coup de tête, ça ne nous ressemblait pas beaucoup. Mais tu avais fini par me confirmer que ce n’était pas du tout un canular, et que tu voulais absolument passer un Week-end à Paris tous les deux. Ca avait enjoué toute ma journée, surtout que c’était une semaine où on ne pouvait pas se voir beaucoup. Être dans notre bulle tout un Week-end ne pourrait que nous être bénéfique. Et n’être qu’avec toi, sans aucune distraction que ce que l’on veut faire tous les deux. Je ne savais pas grand chose de notre escapade, mis à part qu’elle ne durait qu’un week-end. J’avais hâte de voir ce que mon homme m’avait préparé comme surprises, car c’est certain que je n’allais pas m’ennuyer. Et ne pas savoir me rendait encore plus impatient. Tu sais comment me faire saliver. Et même si j’avais cherché à cacher mon enthousiasme, j’étais le plus heureux des hommes. C’était notre premier week-end loin d’Oxford et de nos amis et familles. Cela allait dans la continuité de notre reconstruction de notre histoire de couple.
La journée fatidique était enfin arrivée, j’avais hâte d’être dans l’avion, en route pour la capitale française. Surtout que tu me manquais puisque je n’avais pas pu le voir, et donc pas l’étreindre non plus. J’étais totalement accro à lui, je le sais mais je ne fais absolument rien pour remédier à ça, j’avais besoin de sentir ce lien si puissant de l’amour. Toutes ces années loin de toi avait créé un manque. Et j’avais besoin de panser mes plaies émotionnelles. J’avais confiance en lui, là n’est pas la question, mais les blessures de notre séparations tournaient encore autour de nous, comme une épée de damoclès au-dessus de nous qui peut nous retomber dessus à tout moment. C’est un peu ce que je ressens lorsque je l’aperçois avec un autre homme. Mais même si bon sang ça fait mal, ce n’est pas contre lui que ma colère est dirigée. Parce que je sais qu’il n’oserait faire une telle chose. Parce qu’il voulait sciemment me détruire c’était tout à fait ce qu’il fallait faire. Faire exactement ce que ses parents avaient espérer lui faire croire. Alors je n’arrivais pas à croire qu’il puisse me faire du mal, pas après nos derniers messages sulfureux que l’on s’envoyait quotidiennement. Ce que je voyais, je devais le comprendre avant de juger. Je ne voulais pas le perdre, et me faire des histoires sans queue ni tête. On venait à peine de se retrouver, on s’aiment encore plus fort qu’au premier jour, alors le voir aussi proche de quelqu’un d’autre devrait vraiment avoir une explication valable. Maintenant je devais terminer ma journée avec un tête remplie de question. Ce qui me rend vraiment de mauvaise humeur. Mais heureusement, je ne devais croiser personne et heureusement parce qu’il se serait fait envoyer sur les roses.
Filant à mon appartement, j’eus déjà assez de mal à y accéder, au vu du monde dans le métro, ce qui me ralentissait considérablement. Partant déjà bien en retard, je ne prends pourtant pas la peine d’avertir Aaron, je n’étais vraiment pas contre une vengeance personnelle. Après tout c’était à lui d’attendre. Recevant alors que j’étais en chemin pour l’aéroport, son message, je souris légèrement en reposant son portable. La route était tout aussi encombrée que dans le métro. C’est donc avec difficulté que je parviens à l’aéroport. Maintenant il me restait à le trouver redan. Parce que c’était quand même immense et même si on avait convenu de l’endroit, il y avait aussi foule, à croire que tout le monde avait également décidé de partir en vacances ou en week-end. Commençant d’ailleurs à me calmer, le fait d’avoir pu réfléchir pendant tout ce temps m’a montré combien cette idée de tromperie pouvait être saugrenue. Mais je devais quand même éclaircir avec lui, parce que sinon je ne cesserais d’y penser pendant tout le week-end, et ça gâchera tout. Et je ne veux pas gâcher ce week-end romantique, au contraire je voulais en profiter au maximum. Et autant mettre les choses à plat rapidement. Je souris à sa phrase « Et pourquoi je ne serais pas venu ? » Parce que j’avais beau être sacrément jaloux, sacrément possessif aussi, j’allais mettre toutes les chances de notre côté. Mais bon, je ne pouvais pas non plus jouer la comédie à tout bout de champs. Je te vois littéralement te décomposer, et ça me serre le coeur. Parce que je ne voulais pas te faire de mal. J’allais répliquer quelque chose mais tu prends les devants, en m’expliquant absolument tout. Je sais que tu es sincère je le vois dans tes yeux. Tu ne dévies pas ton regard du mien, ce que tu fais habituellement lorsque tu me mens. Au fil de ton discours je sens encore une pointe de jalousie, tu t’étais intéressé à un autre homme. Mais je ne peux rien dire puisque l’on était séparé à ce moment-là. Je fronce les sourcils de te voir aussi inquiet. Parce que mes doutes s’étaient envolés, même si j’aimerais vraiment démonter la tête à ce lui qui te colle d’un peu trop près. J’ai bien retenu son prénom. M’agenouillant à ta hauteur, j’attrape tes poignets pour que tu me regardes « Hey bébé… Regarde-moi… » Je caresse doucement tes poignets « Ca va, je te crois, j’ai confiance en toi. J’avais juste besoin d’être rassuré, je n’arrivais pas à croire que tu pouvais me tromper, pas après tout ce que l’on a vécu dans le passé. Mais qu’il ne s’approche plus de toi parce que sinon je lui refais son visage. » Je porte une main sur sa joue, la caressant tendrement. « Et tu crois que j’ai apporté ma cravate pour rien ? Rien ne pourra gâcher notre week -end romantique. Maintenant que tout est clair, je crois qu’un avion nous attend… » Me redressant je lui tend un main, soucieux de son état. Depuis que l’on s’était retrouvé, il faisait tout pour que je ne m’énerve pas, il faisait des efforts pas possible pour me contenter, alors j’avoue parfois en abuser légèrement. Mais là, je commençais à m’inquiéter sérieusement. L’attirant dans mes bras, je glisse mes bras autour de ses hanches. « Aaron tu vas me faire le plaisir d’évacuer toute cette culpabilité qui se sent à des kilomètres. Tout n’est pas ta faute, et bon sang, je croyais que tu avais compris que je ne t’en ai jamais voulu. Oui j’ai souffert, mais si il y a quelqu’un de responsable c’est ta famille et personne d’autres, et surtout pas toi, tu es autant victime que moi ? Alors maintenant tu vas me faire plaisir, et me faire chier tout le week-end parce que j’ai bien l’intention d’être légèrement invivable. »
Sujet: Re: Paris, Paris s'éveille (Aaron) [Pas pour les enfants -18] Sam 14 Mar - 1:00
"Living For Love."
Beaucoup de personnes pensent de moi que je suis ce garçon né avec une cuillère en or dans la bouche, à qui tout sourit et qui ne pense qu’à lui. C’est vrai qu’à première vue comme ça, je peux paraître un peu hautain, prétentieux et assez excentrique, je dois l’avouer. Mais au fond les personnes qui me connaissent vraiment savent que je suis loin d’être cette image fausse que la majorité des gens se font de moi. Bien au contraire, une fois que vous faites partie de mon cercle d’amis proches (cercle qui se veut assez limité je vous l’accorde), vous verrez que suis un être au grand coeur. Et oui, j’aime me faire plaisir c’est certain comme chacun d’entre nous, mais il faut aussi mettre en avant toute la générosité dont je peux faire preuve auprès des personnes que j’apprécie tout particulièrement. Quand j’aime que ce soit en amitié ou en amour, je donne tout sans compter, sans limite, autant financièrement que socialement. C’est ainsi que je peux ouvrir mon petit jardin privé en venant me confier ou bien vous couvrir de cadeaux car le simple fait de vous voir apprécier ou sourire, me rendra d’autant plus heureux. Je suis donc loin de l’image du bad boy sans coeur, au porte monnaie bien rempli qui ne pense qu’à son petit plaisir personnel, je vous le confirme. Bien entendu, si vous ne faites pas les démarches pour me connaître, pour essayer de me comprendre, alors oui, je vous paraîtrais alors être un véritable connard.
C’est ainsi que je n’avais pas hésité une seule seconde à organiser tout un weekend pour Andrea et moi. Après tout il était bien la personne que je voulais rendre la plus heureuse sur cette terre, alors organiser un séjour pour lui (et pour moi certes par la même occasion) avait été une affaire qui m’avait particulièrement enthousiasmé et tenue à coeur. Je m’étais ainsi retrouvé à réserver un weekend pour deux à Paris, j’avais jonglé entre la réservation du vol, de l’hôtel, mais j’avais aussi toute la semaine noté dans mon petit carnet de bord, toutes les visites que je comptais faire au bras de mon Apollon. Bien entendu nous passerions par la case Tour Eiffel, par le Louvre aussi, Notre Dame, nous dînerions dans les bons petits restaurants parisiens aux spécialités diverses et à la cuisine française si exquises, nous ferions également les boutiques bras dessus dessous, tout ça dans une ambiance placée sous le signe de l’amour et des retrouvailles. Car c’était bel et bien là le but de cette petite escapade aussi, outre le fait de profiter d’un nouvel environnement, c’était celui-ci de pouvoir se retrouver lui et moi, apprendre à nouveau tout l’un de l’autre, nous avions six ans à rattraper et je comptais bien ne pas me retrouver perdu face à un inconnu, je voulais à tout prix retrouver l’homme que j’avais quitté à l’époque. C’est donc dans un état totalement euphorique et enjouée que j’avais passé toute cette semaine, même si je l’avais trouvais interminable. Chaque jour je griffonnais sur le calendrier du frigo la date avec une seule hâte arriver à ce vendredi, jour où nous nous envolerions pour la capitale française. Le jour-j étant finalement arriver, mon excitation n’en fut que décuplée jusqu’au moment où Andrea vint me retrouver à l’aéroport.
Je n’avais pas pu imaginer une seule seconde qu’il puisse ne pas venir, toute la semaine il m’avait démonter son enthousiasme à ce que l’on se retrouve seuls tous les deux, loin d’Oxford et de toute son agitation. C’est donc juste un coup du stress qui me fit lui faire entendre sur les dernières minute de mon attente que j’avais eu peur qu’il ne vienne pas, je n’avais jamais douté de sa venue ou bien alors que l’espace d’un millième de seconde, qui fut bien vite rattraper par ma raison. Ce à quoi je ne m’attendais pas par contre, ce fut ta question concernant ma conversation avec Romeo quelques heures plus tôt. Je dois avouer que quand tu me fis part de cette situation là, j’ai tout de suite sentit mon coeur tapait si fort contre ma poitrine que j’ai cru mourir. J’ai eu peur que tu interprètes ce que tu avais vu de la mauvaise façon et que l’on retourne dans un quiproquo comme nous l’avion été durant ces six dernières années. Ah non ! jamais je ne laisserai à nouveau une mauvaise compréhension, une fausse réalité à nouveau nous séparer, ce n’était strictement pas possible ! C’est pourquoi je me lançais alors instinctivement dans un monologue sans fin, se voulant dès plus sincère et détaillé pour te faire entendre la vérité. Malgré ça, je me sentais tellement coupable, tellement mal et surtout tellement apeuré que tu puisses tout remettre en question pour ça, que j’étais venu me morfondre sur moi même en laissant ma tête trouver refuge entre mes mains. Par chance, ta réaction fut celle que j’espérais au plus profond de moi, tu me faisais confiance et tu venais alors à me rassurer. Buvant tes mots comme un véritable remède miracle, je relevais la tête et croisant ton regard je fus toute de suite plus soulagé, mais si au fond je me sentais toujours aussi coupable … de n’avoir pourtant concrètement rien fait « Je te promets que tout ce que je t’ai dit est vrai … jamais je ne pourrais te faire du mal Andrea, encore moins maintenant que je viens tout juste de te retrouver, il faudrait vraiment être sado-maso pour agir de la sorte … tu ne crois pas ? » Frottant ma joue et ma barbe naissante de trois jours contre la main que tu venais de porter à mon visage, je fermais les yeux quelques instants profitant de ta tendresse, avant de les ouvrir à nouveau tout en souriant en entendant la suite de tes mots « Tu ne l’as pas oublié celle-là … c’est un bon point, elle nous sera utile, crois moi » terminais-je en te lançant un clin d’oeil amusé. Me relevant en suivant en attrapant ta main tendue, j’appréciais ton étreinte lorsque tu vins à me serrais tout contre toi. Ah qu’est ce que cela m’avait manqué, cette sensation de bien être, de sécurité, d’aimer autant une personne. J’avais supprimé l’amour de ma vie pendant ces six dernières années et retrouver ce sentiment était je dois l’avouer tellement extraordinaire que j’espérais ne jamais à devoir m’en séparer. Gardant tout de même une once de culpabilité, qui devait sans doute se traduire sur mon visage trop expressif, je m’arrêtais net quand tu vins à me faire comprendre qu’à partir de maintenant je devais laisser tous les ondes négatives ici à Oxford et que je ne devais me concentrer que sur notre weekend en amoureux. Après tout tu n’avais pas tord, je ne m’étais pas creuser la tête depuis une semaine, pour remuer le couteau dans la plaie, je devais aller de l’avant et profiter tout simplement. Me mordant finalement la lèvre inférieur, je gloussais à t’entendre me parler de la sorte « Oui tu as raison Andrea … mais fait attention si tu t’avères être invivable comme tu l’insinues si bien, tu risques d’avoir droit à de sacrés punitions crois-moi … » te lançais-je sur un ton arrogant tout en venant attraper d’une main ton col pour venir te voler un baiser, avant de discrètement te donner une légère fessée. Attrapant finalement mon bagage, je le trainais en ta compagnie jusqu’au borne d’enregistrement, avant de rejoindre le passage de sécurité. Passant alors le premier sous le détecteur, je fus surpris d’entendre l’alarme sonner à mon passage. Me retournant vers toi légèrement anxieux, mais amusé je te lançais « Ne vas pas t’imaginer que je me sois fait percer je ne sais quelle partie du corps … ce n’est pas dans mon genre, je te rassure … détruire un si bel objet, ce serait du gâchis ...». La femme chargée de la sécurité s’avança alors devant moi, sans un sourire et me lança dans un grognement à peine audible « Votre ceinture, enlevée là … » Faisant les gros yeux, je m’exécutais et retourné au point de départ « En voilà une qui c’est donner des ordres » te susurrais-je insinuant que tu devrais en prendre de la graine, avant de repasser sous le porche, sans déclencher l’alarme cette fois-ci.
Nous retrouvons enfin dans le hall d’attente, je profitais d’un petit recoin où personne ne pourrait nous observer méthodiquement pour te pousser contre un mur « J’espère pour toi chéri que tu es en pleine forme … je compte bien exploiter ton énergie jusqu’à son dernier degré » Glissant ma main le long de ton torse, jusqu’à ton ventre, m’arrêtant finalement sur la légère bosse formé par ton sexe bien membré au travers de ton pantalon « Que ce weekend soit l’occasion de nous retrouver plus que jamais mon amour … » Je relâchais finalement la pression de ma main et te volait un tendre baiser remplis de passion et d’amour, avant de te laisser entendre « Je t’aime tellement … ». Se fit alors entendre l’écho de la voix d’une hôtesse, invitant tous les passagers du vol à destination de Paris de se rendre en porte d’embarquement. Faisant une petite moue, je devais pourtant me rendre à l’évidence que je n’allais pas pouvoir profiter de toi comme je le désirais précisément sur le moment précis « Bon malheureusement on continuera cela plus tard … un avion nous attends je crois … ».
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Sujet: Re: Paris, Paris s'éveille (Aaron) [Pas pour les enfants -18] Mer 18 Mar - 0:31
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Les apparences peuvent nous être bénéfiques, mais si on en abusent, cela finit par se retourner contre nous. Parce qu’on ne sait plus distinguer ce qui est réel de ce qui ne l’est pas. Heureusement je voyais toujours le bon chez aaron, comment passer à côté. Même si en public il est tout le contraire de celui que je connais, je n’arrive même pas à lui en vouloir. Au contraire mon côté possessif en était même flatté, car plus il était inaccessible et plus j’avais cette impression qu’il m’appartient. Surtout qu’il se faisait un malin plaisir de me montrer matériellement combien j’étais important pour lui. J’étais vraiment gâté que parfois ça en devenait gênant. Mais je n’arrivais pas à lui refuser quoi que ce soit. Parce que maintenant mon appartement était rempli de pleins de petites choses qui me rappelait sans cesse Aaron. C’était ainsi plus facile de supporter son absence sur plusieurs jours, j’avais des choses sur lesquelles me raccrocher. J’essayais de lui rendre la pareille, je voulais qu’il se sente bien avec moi, qu’il soit heureux.
Mais Aaron avait de nouveau sorti le grand jeu avec ce week-end à Paris. Il savait que j’adorais voyager et il avait choisi une des villes les plus romantiques qui soit. J’adorais vraiment quand il me faisait ce genre de surprises. Un week-end en amoureux, c’était tout ce dont j’avais besoin en ce moment. J’avais besoin de me retrouver dans un autre monde qu’Oxford, d’avoir cette impression d’être seul au monde parmi tout cette population. Et nul doute que le voyage serait merveilleux et plein de surprises. Ne serait-ce déjà que se promener main dans la main serait déjà extraordinaire. Je n’avais qu’une envie, profiter de ce week-end. Mais s’il avait prévu des choses, j’en avais également prévu. Un de mes amis tenait un restaurant en plein du quartier du marais, c’est donc tout naturellement que j’amènerais aaron dans ce restaurant. J’avais envie de me montrer à son bras à tout mes amis. Montrer que l’amour pouvait triompher de tout et de tout le monde. Que notre amour à nous, en plus d’être fusionnel était aussi indestructible. J’étais vraiment heureux de le retrouver, et fier de lui, parce que pas grand monde ne saurait traversé ce qu’il a traversé lui sans tomber au plus bas, mais lui y était parvenu. Et cela me rendait vraiment très fier de lui, comme je l’étais tout le temps à cette époque où on était encore ensemble. Je ne cessais de penser à ce week-end même lorsque je travaillais. La semaine fût une vraie horreur, mais heureusement le jour fatidique est enfin arrivé.
Au fond de moi, je comprenais qu’il puisse craindre que je ne vienne pas. Parce que, si la confiance est belle et bien présente, il nous reste encore énormément de chose à reconstruire. Mais tu n’avais vraiment pas à t’en faire, parce que notre couple était la priorité primordiale pour moi en ce moment. Et que ne pas venir, cela ne ferait que rouvrir le fossé qu’on tentait de recouvrir avec pas mal de succès, et de nous éloigner un peu plus. Je venais à peine de le retrouver, j’avais mené un branle bas de combat pour le reconquérir, alors je n’allais pas me séparer de sitôt avec lui, même jamais même. Et quand bien même j’avais perçu quelques temps auparavant une scène compromettante à mes yeux, je voulais entendre ses explications, si désagréables soient-elles. Parce que j’avais vraiment du mal à croire qu’il pouvait me tromper, me trahir de quelque manière que ce soit. Pas après toute cette histoire de fausse tromperie de la part de sa famille. C’était même impensable selon moi. Mais je suis totalement rassuré par ses propos, auquel je ne doute absolument pas. Même si la colère apparait quelque peu. Il semble se perdre dans ses propos, semblent être complètement apeuré à l’idée de me perdre. Te voir tellement mal, me fend le coeur, même si tu n’as aucune raison de t’en faire, je n’aime pas te voir ainsi. C’est mon côté altruiste, je me préoccupe toujours plus des autres que de moi-même. Et c’est encore pire quand il s’agit de toi. M’accroupissant pour être à ta hauteur, je fais preuve de tendresse, parce que je sens que c’est ce que tu as besoin maintenant. Caressant tes poignets, je pose un regard inquiet sur toi, je ne peux pas dire que je ne suis pas inquiet, parce que ce serait alors mentir. Croisant nos doigts ensemble, je pose mon front contre le sien. Je n’aimais pas ce sentiment de culpabilité que je ressentais comme si c’était moi qui le ressentais. « Je te crois bébé, je n’ai jamais douté de toi, mais de ce que cette personne te voulais. Je ne pouvais pas croire une seule seconde que tu ai pu me tromper, alors que ça a causé notre séparation. » Caressant ta joue, je te rassure quand au fait que rien n’aurait pu m’empêcher de partir avec toi. J’aimais te voir réagir ainsi, le manque de cette semaine se faisait ressentir, mais j’avais tout préparé pour que ce week-end soit totalement magique, même cette fameuse cravate. Je me demandais bien ce qu’il avait derrière la tête, même si j’en ai quand même une petite idée. « Comme si j’avais bien pu oublier cela, alors que tu m’a mis l’eau à la bouche toute la semaine avec tes insinuations sur cette cravate ! » Je me retiens de grogner alors que je remarque son coup d’oeil, pas certains qu’on reste sage avant d’arriver à l’hôtel si ça commence ainsi. Profitant de t’avoir dans mes bras, ma tête retrouve son endroit préféré, dans son cou, là où ton parfum est le plus fort. Glissant mes bras autour de ton corps, je resserre mon emprise sur toi et t’empêche d’aller plus loin. Cette inquiétude qui ne me quitte pas quand à ton état réel, ne me donne pas du tout envie de te lâcher. Cherchant à te faire comprendre que tu dois arrêter de t’en vouloir pour tout cela, parce que c’est à ta famille que j’en veux et pas à toi. Et je ne le pensais pas que pour le week-end à paris qui se profile mais également pour le reste du futur. Tant que tu t’en voudras on ne pourras pas balayer le passé et donc on n’avanceras jamais réellement. Passant par l’humour, je cherchais à te faire entendre raison, et à te faire retrouver le sourire. « Oh, tant que cela te rend heureux ou te fais penser à autre chose, je serais le plus heureux! Et tu sais que j’adore quand tu me punis, bébé » Je souris machiavéliquement avant de te rendre avec ardeur ton baiser. Je finis par te suivre pour faire enregistrer nos bagages, j’étais impatient d’atterrir sur le sol français ! Le suivant, je le laisse passer en premier le sas de sécurité. L’entendant sonner, je fronce les sourcils avant de lever les yeux au ciel d’exaspération, passant sur la borne voisine, sans encombre, je l’attends de l’autre côté. Me rapprochant de toi je te murmure « Je crois que je connais parfaitement ton corps pour savoir si tu as un bout de métal dans ton corps ou non, puis il paraît qu’à certains endroit ça fait grimper le plaisir en flèche, je dis ça, je dis rien. » Je m’amusais littéralement de son expression outrée. J’adorais quand il se sent gêner en public. Je grogne sournoisement en entendant ses paroles, je croise les bras avant de lui lancer sur un ton bourru « T’as qu’à l’inviter pour notre voyage, mais je te préviens tu dormiras sur le canapé. » Jaloux. Et en plus il s’en amusait, le bougre !
Te laissant m’entraîner dans un coin, je décroise les bras, bien incapable de te résister bien longtemps. Je souris en glissant mes bras autour de ton cou « Je suis en pleine forme, et j’espère que cette fois-ci je ne ferais pas tout le travail » Je souris avant de laisser échapper un râle en sentant ta main sur mon pantalon. Les yeux mi-clos et la bouche ouverte pour respirer, je savourais tes caresses. Glissant mes main dans tes cheveux, je resserre mes doigts dedans. « Alors fais-moi l’amour bébé, j’attends que ça depuis qu’on s’est remis ensemble. » Ma voix était rocailleuse, lourde de désir pour toi. Alors que tu me ravis les lèvres, je profite de ce baiser, priant pour que l’on ne soit pas interrompus. Je souris, toujours aussi touché par tes mots. « Moi aussi je t’aime bébé » Je passe une main sur ton visage alors que l’hôtesse nous appelle. Je grogne de frustration, j’aurais bien continué ce jeu un peu plus longtemps. Gardant un bras autour de tes épaules, je me dirige vers la porte d’embarquement. « Direction paris ! » Tendant mon billet à l’hotesse, je lui jette un regard noir alors qu’elle lorgne un peu trop sur Aaron. Je n’étais pas partageur, mais vraiment pas. Montant dans l’avion, je me laisse guider par l’hôtesse. « Je prend le hublot. » J’avais besoin de voir dehors, et s’il voulait que je donne des ordres alors je vais le faire ! M’installant sur mon siège j’attends patiemment en regardant, pensivement dehors. J’étais légèrement stressé pour ce soir, j’avais prévu de l’emmener à Notre-dame pour faire ma demande. J’entends la voix du pilote puis celle de l’hôtesse qui nous demande d’attacher nos ceintures, ce que je fais, avant d’attraper la main d’Aaron entre la mienne. Et, après toutes les vérifications de bases et les démonstrations, je serre, ou plutôt je broie, instinctivement la main de mon cher et tendre. Oui, j’ai une peur bleue de l’avion, et je ne lui en ai jamais parlé, je ne voulais pas le décevoir. Je n’osais même pas le regarder, je ne doute pas un seul instant qu’il allait allégrement se moquer de moi !
Sujet: Re: Paris, Paris s'éveille (Aaron) [Pas pour les enfants -18] Ven 20 Mar - 23:38
"Living For Love."
Il suffisait qu’un moment vienne nous rappeler le temps d’un instant ce que nous avions vécu, pour que je me retrouve complètement anéanti et dépourvu de toute véritable conscience. Et c’était un peu ce qui c’était passé, lorsque tu étais venu me poser la question de mon altercation avec Romeo, il y a quelques heures plus tôt. À peine avais-tu prononcé les premiers mots, que mon esprit s’en était allé ailleurs. Il était partis rejoindre, le peu de raison dont je disposais aujourd’hui pour me faire croire que tout allait tomber à l’eau. Qu’à nouveau le destin allait jouer en notre défaveur et que par le biais d’un malentendu on finirait cette fois-ci pour de bon par se séparer définitivement. Jamais je ne pourrais aujourd’hui avoir à nouveau la force de te perdre, à l’époque déjà j’avais tenter de mettre fin à mes jours, n’imaginant pas ma vie sans toi. Alors aujourd’hui après t’avoir retrouvé, je n’arrive même pas à imaginer à quel point cela pourrait m’être douloureux à vivre. Je préférais ne pas m’imaginer ce genre de chose, car avec le peu de chance dont je disposais, je risquais de me porter la poisse et ainsi m’attirer des ennuis, qu’aux premiers abords, je n’aurais peut être pas été pourvu rencontrer. J’essayais ainsi de chasser toutes ces horribles images de ma tête et pourtant ma culpabilité resté toujours là dans un petit coin de ma tête et prenait une place de plus en plus importante. Par chance après mon explication très détaillée et véritablement sincère, cherchant à te rassurer au plus haut point et surtout à ne pas risquer qu’un quiproquo vienne à nouveau tout gâcher, tu me laissais entendre que tu me croyais et que tu n’avais jamais douté de moi (même si je pense que tu avais un peu douté quand même … sisi un tout petit peu) et que tu doutais surtout des intentions de Romeo. Et d’ailleurs en y réfléchissant bien tu avais de quoi, car il m’avait fait comprendre qu’il ne lâcherait pas l’affaire avec moi et qu’il tenterait de me récupérer pour qu’on puisse tenter notre chance lui et moi. Bien entendu je ne désirai en aucun cas construire une quelconque histoire avec lui, mais au fond j’avais tellement de peine à son encontre. C’était quand même ma faute s’il se retrouvait dans une telle situation aujourd’hui et voilà que je lui tournais le dos en lui brisant le coeur. Même si entre toi et moi tout allait pour le mieux pour mon plus grand bonheur, au fond j’avais tout de même cette petite appréhension de comment Romeo allait pouvoir avancer dans sa vie en étant aussi perdu et surtout froissé de par le fait que je l’ai rejeté.
Par chance mon esprit fut rapidement chassé de toutes ces mauvaises ondes du moment où tu te montras beaucoup plus tendre avec moi. En effet, tu savais comment me brosser dans le sens du poil ou plutôt comment faire en sorte que j’oublie tout, pour ne plus que sois seulement concentré sur toi et moi. Le contact de ta peau contre la mienne, de ta main glissant sur mon dos, allant trouver sa place habituelle sur le bas de mes reins avait le don de me ramener à notre douce réalité, dans laquelle je vivais un rêve éveillé depuis plusieurs semaines maintenant, depuis la Saint-Valentin à vrai dire. En même temps, comment pourrais-je dire le contraire. Depuis ce soir-là, depuis le soir de nos retrouvailles officielle et de notre seconde chance, tu te montrais si attentionné, si généreux et parfait à mon égard, que parfois je pensais réellement qu’un jour je me réveillais pour finalement me retrouver dans la situation où l’on était avant. Par chance, j’avais tenté à plusieurs reprises de me penser et la seule douleur que je ressentais n’était pas sentimentale, mais bien celle du pincement sur ma peau. Il y a six ans déjà tu faisais preuves de maturité et d’une grande bonté à mon égard, mais je dois avouer qu’aujourd’hui j’ai l’impression que jamais personne n’a jamais fait autant pour moi, que personne ne m’a jamais aimé comme tu peux m’aimer aujourd’hui chaque jour. Oh oui je suis heureux, oh oui je ne laisserai plus jamais rien nous séparer toi et moi, je le jure sur tout ce que j’ai. Que mes mots soient à jamais graver, toi et moi c’est pour la vie. Je serai prêt à donner ma vie pour toi, à me battre jusqu’au dernier souffle, dans le seul but que tu puisses vivre. Ne cessant ainsi de croiser ton regard dans lequel je ne voyais qu’amour et bonheur, je me faisais alors la promesse de ne jamais à devoir revoir le regard que j’avais croiser le soir où j’avais claqué la porte de notre appartement.
Après avoir passé les bornes de sécurité et avoir par la même occasion laissé nos bagages, je dois avouer que ce douloureux souvenir était bel et bien loin, très loin même. À vrai dire, je profitais d’un instant et surtout d’un recoin à l’abri de tous les regards, pour me rapprocher un peu plus de toi, venant même à caresser ton sexe qui me faisait tant d’effet. Il faudrait être aveugle pour nier le fait que tu étais l’archétype même de l’homme idéal, rien que physiquement parlant, j’avais souvent honte de me promener à tes bras. Pas honte d’être avec toi, oh non bien au contraire, à tes côtés j’étais tellement fier de pouvoir montrer à tout le monde que je vivais au côté du plus bel homme qui existe sur cette planète terre, mais honte de n’être que banal face à toi. Je m’étais d’ailleurs souvent demandé depuis notre réunion, comment cela avait été possible que tu puisses m’aimer encore durant toutes ces années, comment tu n’avais pas pu tomber sur un homme de ton envergure, bien que personne ne t’arrive à la cheville, mais qui aurait très bien pu surpasser l’être que je suis. C’était une question que je n’arrêtais pas de me poser en vain, car aucune réponse ne me paraissait bonne. Enfin bref, profitant de toi dans ce petit recoin, profitant de tout le plaisir que tu pouvais dégager pour mes yeux, je commençais à devenir de plus en plus tactile et vicieux, pour ton plus grand plaisir « Te faire l’amour ! Vraiment ?! … Eh bien tu sais qu’il ne faut pas me le demander à deux fois mon grand » te rétorquais-je quand tu me fis entendre cette requête si exquise à mes oreilles. Il était vrai que depuis qu’on s’était remis ensemble, j’avais plutôt endossé le rôle du passif, pas par habitude loin de là même car durant ces six années aucun homme ne m’avait touché à cet endroit là, mais seulement parce que quand ces moments peu orthodoxes se présentaient, tu étais si viril et bestial que tout naturellement je te laissais prendre le dessus sur moi. Mais ta demande me réjouissais d’autant plus, car dieu seul sait là encore, à quel point j’aime tes fesses et encore plus quand je peux m’y retrouver à l’intérieur. Mon esprit complètement égaré dans ce mon de perversion que tu venais de m’offrir sur un plateau d’argent, je répondais à tes baisers, sans pour autant être concrètement présent. Ma seule pensée était maintenant tourné vers mon envie de te faire l’amour, comme tu me l’avais demandé. Vint alors nous sortir tous les deux de notre petite bulle, la voix de l’hôtesse qui nous invitait à rejoindre notre avion. Prenant toi comme moi plutôt déçus de devoir remettre à plus tard notre rapprochement, on approchait alors de la porte d’embarquement lorsque je remarquais ton regard noir en direction de l’hôtesse qui semble t-il lorgner un peu trop sur moi. Riant nerveusement en te voyant faire, j’agrippais alors d’une main l’une de tes fesses, histoire de te rassurer et de te montrer que j’étais ta propriété et toi la mienne.
Arrivant finalement dans notre avion, je te laissais en tant que parfait petit ami que je suis le hublot, en même temps tu ne me laissais pas trop le choix, ce qui vint à m’étonner à première vue, mais par la suite la façon dont tu me l’avais dit, me procura un frisson dans tout le corps. Cet ordre que tu m’avais donné, vint là à raviver mes pensées perverses. Les laissant finalement se dissoudre progressivement, je m’installais confortablement dans mon siège, attrapant dans mon bagage de cabine, ma tablette. Il y avait environ 1h15 de vol, j’allais donc pouvoir m’occuper l’esprit en écoutant la musique, en jouant à des jeux ou bien encore en lisant un ebook. Oui mais voilà, au moment où l’on nous demanda d’attacher nos ceintures, à peine avais-je terminé avec la mienne, que tu venait m’attraper la main. Pensant que c’était encore là un geste tendre de ta part, j’appréciais tout simplement sans me poser de questions. Mais quelques secondes plus tard, alors que le grondement des moteurs se mit à retentir dans l’enceinte de l’appareil, tu vins littéralement à me broyer la main que tu venais d’attraper quelques secondes plus tôt. Me retournant aussitôt vers toi, les yeux écarquillés par la douleur (même si elle était minime), je te cherchais du regard pour essayer de comprendre ce qu’il en était vraiment « Bébé ! mais qu’est ce que tu as ? … » Te voyant alors fuir mon regard, je comprenais que quelque chose n’allait pas et le fait que tu continuais à me broyer la main plus l’appareil résonnait de bruit, je compris alors d’où venait le problème. Me rapprochant alors un peu plus de toi, serrant ta main aussi fort que je le pouvais encore malgré ma douleur, je cherchais à te rassurer « Andrea, tout va bien se passer. On est dans l’avion de la compagnie la plus réputée de toute l’Angleterre, le temps dehors est juste excellent, aucun nuage, le ciel est bleu donc arrête de stresser … puis je suis là moi, je ne bouge pas, je resterai là avec toi jusqu’au bout … »terminais-je tout en venant déposer un tendre baiser sur ta joue. Sentant que l’avion prenait maintenant de la vitesse afin de s’élancer, je continuais à exercer la pression sur ta main et pour essayer de te distraire tenter tout ce que je pouvais « Tu sais toute à l’heure quand tu m’as demandé de te faire l’amour … je peux te garantir que ce n’est pas tombé dans l’oreille d’un sourd. Ce soir tu auras droit à la totale et crois-moi tu risques d’en redemander encore et encore tellement je vais te faire grimper aux rideaux mon amour … Ce soir tu seras mon objet sexuel et prépare toi à assouvir le moindre de mes désirs … » Espérant que mes mots aient détourné son esprit le temps de quelques secondes, je sentais le moment du décollage arrivé et c’est ainsi que j’amenais ta main toujours coincé dans la mienne frotter la bosse qui était venue se former au niveau de mon entre jambe « Tu vois je ne t’avais pas menti chéri … » avais-je à peine eu le temps de prononçais, que nous nous retrouvions enfin dans les airs.
Quelques minutes plus tard, ta pression semblait enfin avoir un peu descendue, mais tu n’étais toujours pas très serein. Profitant du passage de l’hôtesse, je l’interpellais aussitôt « Excusez-moi, puis-je avoir deux coupes de champagne et un petit relaxant pour mon compagnon, il n’est pas dès plus confiant en avion, si vous voyez ce que je veux dire … » Acquiesçant d’un signe de la tête à ma requête elle s’en alla aussitôt chercher ce que je lui avais demandé. Me retournant une nouvelle fois vers toi, je dois avouer que si à mon habitude j’aurais été plutôt du genre moqueur ou du moins taquineur, là sur le coup, ma seule préoccupation était que tu te sentes au mieux. Te voir aussi fragile tout à coup m’avait déchiré le coeur et surtout m’avait fait prendre conscience que je ne connaissais pas toutes les facettes de ta personnalité, en six ans j’avais loupé beaucoup de chose et notamment le fait de savoir que tu avais peur de l’avion « Bébé, pourquoi tu m’as pas dit que tu avais peur de l’avion, on aurait pu prendre le train si j’avais su ça … ou alors on aurait fait en sorte de te rassurer un maximum pour que tu stresses moins …Ah Andrea Fitzwilliam, comme quoi je ne te connais pas encore totalement, à mon grand regret, sinon j’aurais pu t’éviter ça … désolé mon chéri » T’offrant un doux baiser sur le coin des lèvres, je fus interrompu par l’hôtesse qui était déjà de retour, lachant finalement ta main histoire de pouvoir attraper les deux coupes qu’elle me tendait, je la remerciais avant qu’elle ne nous laisse « Tiens, bois ça, ça te fera peut être tourner un peu la tête, mais moins ça te feras penser à autre chose, puis l’hôtesse m’a donné ce relaxant à base de plantes si tu veux … à moins que ta virilité en prenne un coup et que tu préfères te la jouer dur » terminais-je amusé avant de reprendre « Dans les deux cas, je continuerai à t’aimer encore et encore ne t’inquiètes pas … »
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Sujet: Re: Paris, Paris s'éveille (Aaron) [Pas pour les enfants -18] Dim 22 Mar - 16:57
You can stay with me, baby.AARON&ANDREA;
You want everyone to think you're above it all... but I can see right through you.
❆
You say having feelings makes me weak, but you're weak for hiding from them.
Notre équilibre était encore fragile. Notre couple ne pourrait tenir sur le long terme que si on en prenait tous les deux soins. Et si on était franc l’un envers l’autre. J’avais besoin d’éclaircir ce que j’avais vu quelques heures plus tôt. J’en avais besoin, pour mon bien et pour celui de notre couple. Mais je t’avais vu te décomposer, te fermer en quelques secondes. J’avais compris que mes mots pouvaient faire penser que j’allais mettre fin à notre week-end romantique mais aussi ) notre histoire. Or j’étais bien incapable de mettre fin à ce bonheur pour tout l’or du monde. Tu étais ma vie, ce lien au coeur qui me permet de respirer convenablement. Te perdre signerait mon arrêt de mort définitif cette fois-ci. Et je ne pouvais pas l’accepter. nous avions déjà bien assez souffert comme cela dans le passé, je n’allais pas refaire la même erreur une seconde fois. de toute manière je ne pense pas que cette fois-ci mes soeurs laisseront faire cela. Elles m’avaient vu après toute cette histoire, et elles en avaient tout autant souffert que moi. Il faut dire que je n’étais plus vraiment moi-même. Alors prenant les devants, je te rassure autant que faire se peut. Tes mots semblaient sincères, et le maigre doute que j’ai pu avoir s’est estompé avec tes mots. Par contre cela ne m’empêcha aucunement de douter de Roméo, cet homme ne m’inspirait pas du tout confiance. Pourtant je ne le connaissais pas, mais j’avais cette intuition qu’il allait me donner du fil à retordre. Surtout s’il te mettait dans un tel état à chaque fois, mon amour pour toi ne pouvait pas supporter de te voir aussi malheureux. Même si je pense que la cause de ta douleur est un tout en ce moment… Je n’ai envie que d’une seule chose c’est de te rendre le sourire.
J’avais besoin de sentir ta proximité, de te sentir te détendre. Savoir que l’effet de mes mains sur ton corps parvenait à te détendre, cela ne pouvait que me rendre fier. Je ne me vantais pas, mais j’osais quand même espérer qu’il n’y ait que moi qui ait ce pouvoir-là sur toi. Mais tu avais également le même pouvoir sur moi, je m’apaisais dès que tes mains se mouvaient avec amour contre ma peau. Quand tes yeux me sondaient au plus profond de mon être, je sais que j’étais perdu, que je ne pourrais plus rien te cacher. Mais là, c’est moi qui devait te rassurer, te rappeler que depuis ce 14 février, tout était magnifique entre nous. Que notre amour était encore plus pur et plus fort. Je prenais soin de toi, de cette relation. Tu étais spécial pour moi, comme tu l’as toujours été. Ce rêve éveillé que j’étais en train de vivre, je n’avais pas envie qu’il se termine, alors je faisais tout pour que ça dure, pour que jamais on ne descende tous les deux de notre nuage. Parce que je ne voulais plus revivre une séparation douloureuse avec toi. J’avais toujours veiller sur toi plus que n’importe qui d’autre. Tu ne méritais pas de souffrir, jamais. Et maintenant plus que jamais je ne t’abandonnerais. Parce que sans toi je ne suis pas complet, sans toi je ne suis pas moi tout simplement. Mais depuis nos retrouvailles les preuves d’amour était plus nombreuses les unes que les autres. De ma part je ne cessais de te prouver que tu comptais plus que quiconque et toi de mon côté tu m’assurais que plus jamais tu ne m’abandonnerais. J’aimais croire en tes paroles. Parce que j’étais prêt à me donner corps et âmes pour notre amour, pour toi, je ne voulais que ton bonheur, et même si ce bonheur se présentait sans moi, je sais que je finirais par te laisser aller vers ton bonheur. Même si je devais souffrir.
Mais on avançait pour le week-end. Ca commençait sérieusement à se concrétiser, et j’étais de plus en plus impatient de poser les pieds sur le sol parisien, main dans la main avec mon homme. Pour le moment je prenais la température de notre week-end dans ce recoin reculé de l’aéroport. Ta proximité avait le don d’éveiller tous mes sens. Surtout ta main sur une partie de mon corps qui réagit immédiatement. Glissant mes bras autour de toi, ma respiration se bloque dans ma gorge, me faisant râler de plaisir. Glissant mes doigts dans ses cheveux, je vais chercher tes lèvres pour un baiser enflammé. Un avant-goût paradisiaque de ces deux jours. J’avais hâte de me balader à ton bras. Parce que je ne pouvais être que fier d’être ton homme. Tu étais vraiment magnifique, une représentation parfaite de l’homme de mes rêves. Je n’avais jamais cessé de t’aimer, et je ne peux d’ailleurs que t’aimer davantage. Ta discrétion, ta ‘timidité’ avait le don de me faire retomber amoureux à chaque fois. Comme en ce moment où tu me fixes le regard empli d’amour. Te souriant, je viens t’embrasser de nouveau mais plus tendrement cette fois-ci. Mais bon sang, je n’allais pas pouvoir tenir jusqu’à Paris, j’avais bien trop envie d’assouvir cette envie. Mais j’allais devoir prendre mon mal en patience. Je finis par lâcher ce que j’attendais depuis des semaines, à savoir te savoir en moi. « Hum.. J’en ai bien trop envie bébé, j’attends ça depuis tellement longtemps. » Je pose une main sur ta joue, plongeant mon regard dans le tien, pour te montrer combien je suis sincère. Parce qu’il n’y avait pas de dominant ou de passif défini entre nous. On faisait l’amour c’est tout, l’un ne prenant jamais le dessus sur l’autre. J’avais, pour le peu d’amant que j’ai eu pendant nos 6 ans de séparations, le rôle de dominant, il était même d’ailleurs hors de question que je me laisse atteindre par des sentiments que je n’avais pas choisi. Alors maintenant je pouvais lâcher les rênes avec toi. Et te voir me dominer me donner des sueurs froides durant mes rêves quand tu n’es pas à mes côtés, alors maintenant j’avais hâte de concrétiser ce rêve avec toi. Collant mon corps au tien, je ressens ton envie, aussi imposante que la mienne. Ce qui me fait grogner sourdement de plaisir. L’envie ne faisait que grimper. Nos baisers d’autant plus enivrant. Mes doigts virevoltaient sur ton corps, ton visage. Je commençais à nous perdre dans nos douces attentions lorsqu’une voix grésillante nous coupe dans notre élan romantique. J’avais juste envie de grogner de frustration, mais si on ne voulait pas rater notre avion, nous devons nous arrêter là, de toute manière on a tout le temps pour profiter sans aucune restriction du corps de l’autre. Mais il n’y a que moi qui peut en profiter, et surtout pas cette hôtesse de l’air qui semble en profiter un peu trop à mon goût. Je lâche son regard pour me tourner vers mon homme et embrasser sa tempe.
M’installant dans l’avion, après lui avoir fait comprendre que je prendrais le hublot qu’il soit d’accord ou pas, je m’y installe, ne me sentant pas à l’aise du tout. Mais je me tais, ne voulant pas embêter mon homme avec cela. Je soupire, essayant de me détendre seul, tandis que mon homme menait sa vie. Mais, alors que l’on devait s’attacher pour décoller, j’agrippe sa main, la serrant autant que je peux. Et je resserrais encore plus mon emprise lorsque l’avion commença à se diriger vers la piste de décollage. Je souffle doucement, tentant encore vainement de me détendre. Mais tu te doutes de quelque chose. J’avais encore un égo qui m’empêchait de l’avouer à voix haute. Je ne réponds pas à ta question tandis que je continuais à te broyer la main. Je finis cependant par te lancer une oeillade pas du tout rassurée vers toi alors que tu me rassurer. Je ne contrôlais absolument pas cette peur. J4avais toujours crains l’avion, c’est vrai, mais je n’avais jamais penser que ce serait aussi fort. « Je ne compte pas te laisser t’éloigner. Je.. J’ai besoin de toi… » Lui seul me connaissait assez pour me détendre. Me tournant vers lui, j’avais l’air d’un gamin apeuré. Cependant, une rougeur apparut sur mon visage et ce n’était pas du tout dû à la peur. Je grogne légèrement, mes pensées se tournant vers l’envie d’assouvir de nouveau cette envie. Je te lance un regard des plus lubrique sous ton discours. « Bébé, j’ai tellement envie de toi… » Je grogne de nouveau, alors que ma main se presse contre ton érection. Relâchant enfin tes doigts je caresse ton érection, j’avais envie de t’emmener au septième ciel. Je commençais seulement à me détendre.
Enlevant ma main alors que l’hôtesse arrivé, je souris faiblement à ton attention pour ma personne. J’aimais vraiment quand tu prends soin de moi de cette manière. J’enfouis ensuite ma tête dans ton cou, relâchant enfin la pression. Je soupire doucement tandis que ma main glisse le long de ton torse Être dans tes bras me rassurer, je pourrais affronter toutes les horreurs du onde avec tes bras autour de moi. Je redresse les yeux pour te regarder avant de simplement hausser les épaules comme un gamin pris en faute. Ton inquiétude m’allait droit au coeur. J’étais plus en plus amoureux de toi à chaque fois. « Parce que je ne pensais pas que ça me prendrait autant aux tripes. Mais j’ai peut-être un peu sous estimé ma crainte des engins volants. Heureusement que tu es là mon coeur. Je ne voulais pas ralentir notre week-end, prendre plus de temps dans les transports et avoir moins de temps pour nous n’était pas dans le programme. Tu n’as pas être désolé, c’est plutôt à moi d’être désolé de t’imposer tout cela. » Je prends ce que tu me tends avant de l’avaler d’une traite. Je secoue la tête d’un air amusé. « Tant que tu ne me ressers pas cela contre moi. Mais je t’aime aussi bébé, encore une fois tu es l’être parfait, j’ai tellement de chance de t’avoir… »
Sujet: Re: Paris, Paris s'éveille (Aaron) [Pas pour les enfants -18] Dim 29 Mar - 1:26
"Living For Love."
Se retrouver dans des situations où l’on n’est pas toujours maître de nous même, nous permet parfois de nous rendre compte alors, que l’on peut compter sur une autre personne, qui se trouvera être le pilier de ce manque de contrôle. C’était d’ailleurs je l’espérais un peu le cas en ce moment même, lorsque je me retrouvais aux côtés de Andrea, dans notre avion prêt à partir pour notre weekend en amoureux à Paris. Et oui sous son imposante prestance, sous son physique impressionnant se cachait un homme sensible et même assez fragile quand il s’agissait de prendre l’avion. Je ne m’étais jusqu’à présent jamais vraiment posé la question de savoir si tu faisais partie de ces personnes qui ont une peur bleue de l’avion. Je dois avouer que sur le coup j’avais peut être été un peu trop égocentrique, en faisant de mon cas une généralité. C’est pourquoi lorsque j’avais compris ton malaise au moment où tu étais venu me broyer concrètement la main au passage, que je n’avais pas rigoler à ton nez en venant me moquer de toi. Au contraire me sentant en quelque sorte coupable de te mettre dans un tel état de stress, de panique, j’avais alors essayer d’être prévoyant et aux petits soins pour toi. C’est ainsi que je n’avais pas trouvé de meilleur moyen pour te détourner de ta peur, que de venir à te faire entendre le fond de mes pensées concernant la requête que tu m’avais fait entendre un peu plus tôt, lorsque l’on se trouvait tous les deux dans la salle d’embarquement, au moment où je t’avais coincé dans un coin, pour profiter de tes lèvres. Te faisant alors entendre que tes désirs étaient des ordres et que ce soir tu allais avoir le plaisir de goûter aux joies d’être celui qui serait le passif. Il est vrai qu’entre nous, nous n’avions jamais réellement établis une règle explicite mettant en avant cette partie là du sexe. Six ans auparavant même déjà, jamais nous n’avions eu à nous poser cette question. Le sexe entre nous avait toujours eu une part importante et il avait toujours été quelque chose d’instinctif. Nous agissions au gré de nos envies, sans réellement prédire ou réfléchir quoi que ce soit. Cependant depuis nos retrouvailles, il y a un peu plus d’un mois maintenant, j’avais toujours endossé le rôle du passif, peut être parce que retrouvé ton corps si parfait, m’avait en quelque sorte complexé sur le mien et sur mes capacités à pouvoir prendre le dessus, bien qu’avant qu’on se remette ensemble, même si je couchais avec des hommes bien plus musclés que moi, jamais ô grand jamais il n’avait eu le plaisir, l’honneur et la chance de pouvoir goûter à mes fesses. Enfin bref, tout ça pour dire que pour essayer de t’enlever toutes ces mauvaises images de ta tête, toutes ces images, où tu pouvais imaginer le pire quand à notre avenir dans cet avion. J’avais fait diversion en usant une fois de plus de la tension sexuelle qui rythmait encore aujourd’hui notre vie, notre amour étant tellement fort, notre désir l’un pour l’autre l’était tout autant.« Parfait, je ne pense pas, mais je suis pas mal, je dois l’avouer … » te lançais-je amusé, histoire de toujours essayer de tirer ton attention vers quelque chose de plus positif. Te mettant alors le plus à ton aise possible en collant ma tête contre la tienne lorsque tu te rapprochas, je déposais un tendre baiser sur ton front « Maintenant ferme tes yeux, dors un peu … rassure toi, je reste là à veiller sur toi, il ne t’arrivera rien mon amour ».
C’est donc une heure plus tard et après un voyage qui s’était déroulé sans le moindre accros, que nous atterrissions enfin sur le sol Parisien. Une fois le voyant des ceintures éteint, je détachais la mienne avant de tourner mon regard vers toi « Tu vois, il n’y avait pas de quoi t’inquiéter, tout s’est bien passé … » Je te volais un baiser remplis de tendresse et d’amour avant d’attraper nos bagages de cabines et de prendre la direction de la sortie. Une fois nos bagages récupérés, voilà que nous nous retrouvions assis à l’arrière d’un taxi qui allait nous mener jusqu’à l’hôtel que je nous avais réservé, à savoir The Peninsula Paris. Un hôtel de luxe à deux pas de l’arc de Triomphe et des Champs Elysées. Arrivant enfin devant cet établissement de prestige, je ne pus m’empêcher d’avoir les yeux qui brillent, au moment où main dans la main, nous sortions du taxi. La façade se dévoilait être une véritable oeuvre d’art, un savant mélange de modernisme et d’historique, tout ce qui avait le don de me plaire. T’entrainant alors vers la montée des marches, nous fûmes accueillis par un majordome qui se chargea de prendre nos bagages et de nous inviter à le suivre. Arrivant à l’accueil il prononça alors quelques mots à sa collègue « Voici monsieur Evans et son compagnon monsieur Fitzwilliam, je les accompagne jusqu’à leur suite Deluxe … Messieurs si vous voulez bien me suivre » nous invita t’il une fois encore. Dans l’ascenseur nous menant à notre chambre, il n’y avait pas un bruit, mais je pouvais voir dans tes yeux que tu étais heureux et parfaitement comblé, ce qui me réjouissait encore plus. Arrivant finalement dans notre chambre réservée pour le weekend, l’homme nous fit une rapide visite avant de nous quitter tout en stipulant bien qu’il était à notre entière disposition à tout moment de la journée, il suffirait de faire appel à lui pour quo’n obtienne le moindre de nos désirs. L’accompagnant alors jusqu’à la sortie, je lui glissais quelques billets dans la main tout en lui faisant part d’un premier souhait « Faites-nous privatiser le Spa voulez-vous … nous y descendrons d’ici une vingtaine de minutes … merci » terminais-je tout en refermant la porte. Me pressant alors de te rejoindre, j’attrapais ton visage entre mes mains, avant de l’embrasser passionnément « Que notre séjour Parisien commence mon amour ! … Je t’aime tellement si tu savais Andrea … » t’avouais-je un peu gêné en plongeant mon regard dans le tiens. Balayant notre petite suite du regard, je retournais finalement mon attention vers le centre d’intérêt le plus grand à mes yeux, à savoir toi « L’hôtel te plaît ? Et la chambre … j’en ai pas fait trop ? ». Je me rendais compte que peut être j’y avais été un peu fort, mais après tout je désirai tout ce qu’il y avait de mieux pour lui, pour nous alors tant que je le pouvais, autant que j’en profite. Me mordant les lèvres, je me rapprochais un peu plus de toi et te retirait alors ton polo Ralph Lauren et tout en en profitant pour venir caresser ton torse, puis tes abdos si bien dessinés, je te laissais entendre la suite de notre programme « Tu ferais mieux de te débarrasser de tous tes vêtements … j’ai fait privatiser le Spa de l’hôtel pour nous … Et je compte bien en profiter pour admirer la moindre parcelle de ton corps … nu » terminais-je tout en venant agripper le bas de tes reins pour venir à te rapprocher contre mon corps « Peut-être même que l’on pourra passer aux choses sérieuses … » susurrais-je au creux de ton oreille, alors que je te quittais finalement pour aller chercher dans la salle de bain, les deux peignoirs qui allaient nous servir de seuls vêtements d’ici peu de temps.
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Sujet: Re: Paris, Paris s'éveille (Aaron) [Pas pour les enfants -18] Lun 30 Mar - 8:47
You can stay with me, baby.AARON&ANDREA;
You want everyone to think you're above it all... but I can see right through you.
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You say having feelings makes me weak, but you're weak for hiding from them.
Je n’aurais jamais cru avoir autant peur de prendre l’avion. J’avais bien une petite appréhension, mais pas aussi fort. Mais dans mon malheur, j’ai de la chance que tu sois à mes côtés pour m’épauler, me soutenir. Si tu n’avais pas été là, je ne sais pas comment j’aurais réagi. Je n’aurais probablement jamais pris l’avion et serait resté dans le hall de l’aéroport à regarder cet avion décollait sans ma personne. Mais tu as fais preuve d’une patience incroyable. Parce que je n’étais pas le Andrea que tu connaissais. J’avais mes points de fragilités, comme tout le monde. Mais tu m’avais toujours perçu comme un homme fort, et je ne m’étais pas fait prié pour te laisser croire une telle chose. Mais on continuait à se découvrir chaque jour, même après des années. Et je dois bien dire que j’apprends encore à te connaître, ce nouveau toi depuis nos retrouvailles. Et tu étais encore plus étonnant lorsque tu pris soin de moi. Grâce à toi, j’arrive à surmonter ma peur de l’avion. Ce n’est pas aussi agréable que tu l’espères, mais c’est déjà beaucoup mieux qu’au départ. Je profitais allègrement du fait que tu t’occupes de moi, que tu es au petit soin pour ma personne. Tu avais été simplement parfait, j’avais vraiment de la chance de t’avoir, et que tu m’aimes surtout. Tu avais trouvé le meilleur moyen de détourner mon attention de cette peur constante du vol. Et quelle meilleure raison que de parler de ce qui allait se passer dans les heures qui viennent, parce qu’il est sûr que je n’allais pas attendre indéfiniment que l’on réalise ce fantasme que j’ai depuis quelque temps. Et rien que le fait que tu en parles dans l’avion a le don de me mettre dans tout mes états. Bon sang, je ne sais pas si je vais tenir des heures avant de profiter d’avoir la chance de sentir ton corps contre moi et en moi. Entre nous il n’y a jamais eu de rôles bien défini, on a toujours fonctionné à l’instinct. À vrai dire, notre activité sexuelle avait toujours été très importante, et donc cela était devenu naturel. On connaissait chaque partie du corps de l’autre sans pour autant s’en lasser. Nos mains savaient où se faufiler pour faire monter le plaisir. Mais depuis nos retrouvailles, tu semblais vouloir me laisser prendre le dessus à chaque fois. Je ne m’en suis jamais plaint, mais j’avoue que j’avais besoin de te sentir en moi, de te voir prendre les commandes, c’était un signe de confiance aveugle pour moi. Je voulais être à ta merci physiquement, comme je l’étais déjà mentalement. On avait surpassé bien des épreuves pour laisser le passé nous entraver encore. Je l’avais pardonné et maintenant on était passé à autre chose. Mais je commençais à m’égarer dans mes pensées alors que tu prenais soin encore et encore de me rassurer. Je n’avais qu’une envie c’était de t’emmener dans un coin reclu pour te faire des choses pas des plus catholiques. Mais je devais me tenir à carreaux, on aurait tout le temps plus tard. « Oh que si tu es parfait, crois-moi, j’ai vraiment beaucoup de chance de t’avoir dans ma vie bébé » Je resserre mes doigts sur ta bosse proéminente. Profitant du voyage pour me caler dans tes bras, la tête dans le creux de ton épaule, je soupire de bien-être alors que je sens tes lèvres sur mon front. Glissant ma main contre ton torse. « De toute manière tu ne risques pas de t’enfuir puisque je ne comptes pas m’éloigner de l’oreiller confortable que tu es bébé… »
J’avais fini par m’endormir dans tes bras, confortablement installé contre ton torse. Je ne vois pas passé le temps du voyage, me réveillant seulement au moment de l’atterrissage. Encore un peu stressé par ce moment, je peux compter sur le soutien de mon amant pour y faire face. « Grâce à toi bébé, bon je ne ferait pas cela toutes les semaines non plus. » Prolongeant avec une certaine envie ton baiser, je glisse ma main dans ta nuque. Te suivant pour sortir de l’aéroport, je me retrouve dans le taxi, assis à côté de toi, nos jambes se frôlant. Je me demandais bien où tu m’emmenais, mais pour le moment je profitais simplement d’admirer le paysage. Attrapant ta main, j’enlace nos doigts ensemble, caressant avec tendresse ta main. Cette ville était vraiment magnifique. On s’arrête dans un endroit paradisiaque à mes yeux. Sortant du taxi, je me place derrière toi avant de t’enlacer, posant ma tête sur ton épaule, pendant que le chauffeur sort nos bagages. Embrassant ton cou, je ne peux m’empêcher de murmurer « C’est magnifique… » Tu avais vraiment sorti le grand jeu pour moi, et ça me touchait vraiment. Tu étais bien trop généreux pour ton propre bien. Une personne au grand coeur, voilà ce que tu étais. Je te suis tandis que le majordome s’occupe de nos affaires, attrapant ta main, je ne compte pas me décoller de ton corps ô combien alléchant. Souriant comme un gosse dans son magasin préféré, je me colle à toi dans l’ascenseur. « Dommage que l’on ne soit pas seul… » murmurais-je alors que j’en viens à pincer une de tes fesses. Attendant que l’ascenseur s’ouvre, je savoure cette tranquillité. Découvrant ensuite une chambre plus que luxueuse, chose que je ne m’offrais jamais… J’étais complètement sur les fesses. Tu avais le don de me toucher en plein coeur. C’était trop, beaucoup trop. Mais tu faisais cela par amour, et ça me bouleversait. Te laissant raccompagner ce majordome, j’admire la pièce, c’était vraiment splendide. Te voyant revenir, je prolonge avidement ton baiser en glissant mes bras autour de ton corps pour le coller au mien. Glissant mes mains dans les poches arrière de ton pantalon, je souris à tes mots. « Je t’aime aussi mon coeur. Tu m’as fais le plus beau des cadeaux… Toi… » Je caresse ta joue, j’aimais cet air timide que tu prenais à chaque fois que tu te dévoilais un peu plus. « C’est splendide, mais il ne fallait pas, c’est trop.. Beaucoup trop… Mais je t’aime pour ce que tu es… Tu es un homme généreux amour… » tu avais toujours su montrer ton amour, tu voyais les choses en grand, et ça me charme toujours autant. Une vague d’amour déferle alors que je te regarde. La certitude de vouloir passer ma vie avec toi est encore plus puissante que jamais. Te laissant faire, je frissonne en sentant tes mains sur ma peau. Glissant mes mains sous ton haut, je souris à ta proposition. « Tu es incroyable bébé. Je me prépare, je sens que cette soirée va être prometteuse… » Me retrouvant collé à son corps, je pose mon front contre le sien avant de sourire pleinement « Il n’y a pas de peut-être possible… » Je me mords la lèvre inférieure avant de venir t’embrasser. Te voyant t ‘éloigner, l’esprit fugace de la soirée romantique que j’avais prévu pour faire ma demande apparaît, mais je ne peux plus attendre. Non, il fallait que je le fasse maintenant, c’est comme une évidence. Attrapant mon portable, je cherche ma musique avant de lancer celle que tu avais mise à la Saint Valentin. La lançant, je te vois te figer dès que les premières notes sortent. Souriant, et vérifiant, alors que tu es dos à moi, que j’ai bien l’écrin dans ma poche, je me rapproche de toi « Veux-tu m’accorder cette danse ? » Te retournant alors, je passe mes bras autour de ta taille, te faisant danser pendant une petite minute avant de me stopper. Juste de quoi me donner du courage. Plongeant dans tes yeux, je commence ma tirade, qui m’a hantait jour et nuit jusque là… « Bébé… Je t’aime tu le sais cela… Je t’aime plus que ma propre vie. Tu es le soleil autour duquel je gravite nuit et jour. Tu es ma drogue, tu es chacune des cellules qui me permettent de vivre. Si je m’éloigne de toi, je ne peux plus respirer. Pendant six ans j’ai été en apnée parce que tu n’étais pas dans ma vie. Puis on s’est retrouvé, et notre amour n’en a été que plus fort. Maintenant, je ne veux plus et ne peux plus te laisser t’éloigner, j’ai besoin de toi. Tu me rends meilleur, heureux. » Je prends une inspiration avant de m’accroupir, et de sortir l’écrin qui dévoile sa bague. « Je sais, j’ai senti ta déception l’autre jour, mais je voulais que toi et moi nous nous souvenions de ce jour… Aaron William Evans, veux-tu m’épouser ? » Ce sont des yeux pétillant d’espoir et d’impatience que je pose sur toi en attendant ta réponse.
Sujet: Re: Paris, Paris s'éveille (Aaron) [Pas pour les enfants -18] Ven 3 Avr - 23:19
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Paris c’est la ville de l’amour par excellence. Avec sa grand dame de fer, la Seine et ses bateaux mouches, ses monuments et leur architecture à couper le souffle, puis enfin la gastronomie et le luxe parisien, cette ville à décidément tout pour elle. C’est un peu pour cet attrait indéniable que j’avais choisi cette destination pour notre petit weekend en amoureux, étant donné qu’on était en pleine phase de retrouvailles et que nous avions besoin d’échapper à l’atmosphère de l’Angleterre où certaines personnes n’étaient pas très heureuse de nous savoir à nouveau ensemble, entre autre ma famille, mais aussi Romeo et sûrement tout un tas de prétendants qui auraient voulu se retrouver à ma place, car il fallait avouer que j’avais de la chance. J’avais aujourd’hui rien que pour moi l’homme le plus sexy, le plus séduisant, le plus drôle, le plus beau, le plus intelligent qui puisse exister sur cette terre. J’étais donc un sacré chanceux de pouvoir vivre une vraie grande et belle histoire d’amour, le début de cette histoire avait été difficile, mais maintenant que nous nous étions retrouvés je n’allais en aucun cas le laisser s’échapper, maintenant qu’il était à moi, il le resterait aussi longtemps que je vivrai.
C’est donc dans cette optique de repartir sur d’excellentes bases et ainsi débuter notre seconde chance, que j’avais fait en sorte de réserver dans l’un des hôtels les plus prestigieux de la capitale française afin que nous puissions profiter au mieux de ces retrouvailles. J’avais peut être été un peu trop gourmand dans ma vision des choses, mais au moins j’étais sûr que même si j’avais vu trop grand, nous allions passer d’agréables moments. La chambre d’hôtel était juste sublime, d’une élégance à couper le souffle, ne parlons même pas de la vue qui allait avec. Enfin bref, tout était réunis pour que l’on passe un séjour placé sous le signe de l’amour. Et c’est au moment où nous allions rejoindre le Spa que je venais de nous faire privatiser pour l’occasion, du moins le moment où j’allais me débarrasser de mes vêtements pour adopter la tenue adapté aux lieux, que tu m’invitas à t’accorder une danse, alors que tu venais de mettre en route la chanson que l’on avait écouté le soir de la Saint-Valentin. Me retournant aussitôt en faisant des gros yeux, surpris par cette proposition, je ne pus m’empêcher de te taquiner « T’accorder une danse ? … Toi qui ne veut jamais danser car tu te qualifies de mauvais danseur ? … Cela cache quelque chose ça …Serait-ce un moyen d’approche pour tenter un acte sexuel ? » Trouvant l’idée pas si mauvaise que ça, après tout on pouvait arriver un peu à l’heure que l’on voulait dans le Spa, puisque j’avais demandé à nous le faire privatiser, je ne me faisais alors pas prier et je te laissais m’attraper par la taille pour me retrouver tout contre toi. Tu commenças alors à me faire danser, ce qui me fit rire puisque cela n’est pas tellement dans tes habitudes, bien au contraire même « Hum, mais c’est que monsieur se découvrirait presque des talents de danseur … C’est que cela pourrait être sexy … complètement nu » terminais-je alors que soudain je remarquais le regard de mon homme devenir beaucoup plus sérieux, mais vraiment beaucoup plus sérieux. Son visage quand à lui sembla se pétrifiait de peur, je n’aimais pas du tout ça. « Andrea ? … tu es sûr que ça va ? ». Plongeant mon regard dans le tiens, je ne bougeai plus, je restais là muet à te regarder, effrayer par ce que tu allais m’annoncer. Tu commences alors ton discours et c’est stupéfait, mais agréablement surpris que je t’écoute sans broncher. Tu me dévoiles tout ton amour à mon égard, les mots que tu utilises sont si purs et puissants, que les larmes viennent se former au creux de mes yeux, pour finalement glisser le long de mes joues. Jamais personne ne m’avait donner autant d’amour. Mais ce qui m’acheva concrètement, ce qui vint à me donner un véritable coup de massue, ce fut le moment où tu vins à t’agenouiller pour venir me dévoiler cette bague et à me demander de t’épouser.
À ce moment là, le monde tout entier s’arrêta autour de moi. Plus rien n’exister à part, toi, moi et cette bague si parfaite, si sublime qui venait m’aguicher en se présenta devant moi. Je restais là, fondant en larme à cette demande à la fois si modeste et si intense de ta part. Elle traduisait parfaitement l’homme que tu étais, un être bon et si pur que te dire NON aurait été la plus grande erreur de toute ma vie. J’essayais tant bien que mal de me calmer, de calmer le flot de mes larmes, mais c’était bien trop difficile. C’était bien entendu des larmes de bonheur. Mon coeur quant à lui était entrain de battre comme il n’avait jamais battu, c’est comme si tout à coup il avait trouvé la source d’énergie la plus puissante pour lui permettre de venir taper contre mon torse et cette source c’était ton amour, c’était notre amour. Te tendant alors ma main gauche tremblante et moite à la fois j’acceptais ta demande « Andrea, comment je pourrais refuser ! Bien sûr que je veux t’épouser, plus que jamais même ! » Te laissant me glisser la bague au doigt, je t’attrapais aussitôt pour te relever et t’embrasser avec tout l’amour que pouvais. « Andrea si je connais ce que c’est l’amour c’est grâce à toi ! …. et je peux t’assurer que la meilleure chose à propos de moi, c’est toi » T’embrassant à nouveau encore et encore, je te serrais si fort dans mes bras que j’aurais très bien pu te casser une cote sans m’en rendre compte. Relâchant la pression, je posais finalement mon regard vers ma main où je venais à contempler la sublime bague que tu m’avais choisis « Elle est parfaite, vraiment parfaite, je l’adore ! j’ai tellement hâte de la dévoiler à toute le monde, pour leur montrer que je t’appartiens et que je suis l’homme le plus chanceux sur cette Terre ! Alice risque d’être folle en la voyant ! » Me rapprochant à nouveau de toi, je te volais un nouveau baiser, avant de chuchoter « Merci bébé, merci pour tout ce que tu fais pour moi, je t’aime tellement ». Posant ma tête dans le creux de ton cou, je restais comme ça blottit contre toi, mon futur mari, profitant de cet instant pour faire redescendre toute la pression, toute l’excitation. Quand soudain, je fis quelques pas en arrière et d’un regard inquisiteur te lançait « Mais attends un peu ! En tant que futur mari qui se respecte je dois moi aussi t’offrir une bague ! Je crois que notre petit détour par le spa va devoir attendre ! Il faut qu’on aille te chercher la bague parfaite ! Moi aussi je veux que le monde entier sache que tu m’appartiens et surtout je veux qu’ils sachent que mon amour pour toi et plus fort que tout ! » Je te regardais les yeux pleins d’étoiles, attendant de savoir ce que tu en pensais.
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Sujet: Re: Paris, Paris s'éveille (Aaron) [Pas pour les enfants -18] Sam 4 Avr - 15:34
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On dit toujours de Paris que c’est la ville romantique par excellence, et je donnais totalement raison à ce dicton. J’étais littéralement tombé amoureux de cet endroit. J’adorais l’architecture, l’ambiance vivante et tellement romantique. Les marais, Montmartre. Tous les endroits que j’avais visité avec Aaron ne faisait qu’accroître mon amour pour cette ville. Et d’autant plus que c’était un week-end romantique avec l’homme de ma vie. Profiter de lui sans avoir le poids du quotidien qui vienne nous entraver, avoir ces remarques de gens qui préfèreraient certainement nous voir nous détester au lieu de nous aimer aussi fort qu’on peut le faire aujourd’hui. Ici on était loin de tout, on pouvait tout oublier et se concentrer exclusivement sur notre couple. Je pouvais enfin aimer aussi fort Aaron sans avoir à faire attention de ne rien montrer, comme on est obligé de le faire à l’université pour que je puisse garder le suivi de sa thèse. Même si j’allais certainement devoir le lâcher très vite. Je pouvais enfin profiter de l’homme le plus parfait sur cette terre et lui montrer combien je l’aimais. Je pouvais me montrer à son bras sans aucune honte, au contraire, j’étais très fier de me savoir aimé par cet être si parfait.
Et ce séjour commençait plutôt bien. Il avait choisi un hôtel (bien trop cher) somptueux, rendant encore plus splendide ce séjour. Je reconnaissais bien là la générosité de mon homme. Il voyait toujours les choses en (trop) grand, mais c’est ce qui faisait son charme. J’avais l’impression d’être traité comme un roi, ce que je ne méritais aucunement. J’étais tout simplement un homme amoureux qui voulait donner le meilleur à l’être aimé. Je ne faisais rien d’exceptionnel qui méritait un tel traitement de faveur. Mais je n’allais pas mentir, cette suite était tellement splendide que ce serait un blasphème de ne pas en profiter. Et aaron prouvait une nouvelle fois qu’il était aux petits soins pour moi en faisant privatiser le spa rien que pour nous, de quoi alimenter les pensées les plus perverses qui soit. Te voyant partir, un sentiment d’urgence me prend au plus profond de mon être. Je ne pouvais plus attendre, et même si ce n’était pas l’occasion rêvée, j’avais besoin de savoir que tu allais m’appartenir à vie, tout comme j’allais également t’appartenir. Lançant cette musique, déjà lourde de sens pour chacun de nous, je savoure les premières notes. Je roule ouvertement des yeux avant de m’approcher sensuellement de lui. « Si tu veux, je peux arrêter la musique, et j’irais voir si quelqu’un d’autre est intéressé pour juste danser avec moi. Peut-être bien, qui sait… » Je souris mystérieusement, s’il savait seulement ce que je préparais. L’attrapant lors contre moi, je dépose un baiser avant de commencer à bouger doucement. Je fronce les sourcils. J’étais complètement dans l’improvisation. Faisant une moue vexée, je m’éloigne quelque peu. Je fronce les sourcils avant d’éclater de rire. « Quand c’est avec toi, j’ai tout les talents du monde. Ton amour m’amène à me surpasser. Mais n’y compte pas trop, j’ai d’autres projets pour quand on sera nu, tous les deux… » Je pose une main sur ta joue alors que je prends une profonde inspiration alors que je retrouvais mon sérieux. Gardant ma main sur sa joue, la caressant tendrement du bout des doigts. « Je vais bien, plus que cela même… » Si seulement tu savais. J’ai simplement peur que tu refuses ma demande, j’avais peur d’aller trop vite, que tu soit effrayé, parce que pour moi les fiançailles ont toujours voulu dire énormément de choses. Mais je finis par prendre la parole et enfin prononcer les mots qui brûlaient dans ma gorge. Je te regarde chaque seconde passant, voyant tes larmes valsaient sur tes joues. Je les essuient, avant de m’agenouiller pour enfin faire ma demande officielle. J’attends avec une impatience non feinte ta réponse. Et même si je tremble de tous mes membres parce que le stress a envahi chacun de mes pores, j’espérais encore et encore.
J’avais l’impression d’avoir mis la vie sur pause en attendant ta réponse, c’est comme si plus rien n’existait autour, plus rien ne bougeait. Ma main tenant cet écrin où ta bague était exposé, tremblait, de peur, d’appréhension mais aussi d’excitation. J4attrape ta main droite, posant un baiser dessus pour te rassurer, je n’aimais pas te voir pleurer, même si c’était de bonheur. Je ne lâche pas ta main, la caressant tandis que mon regard restait accroché désespérément au tien. Pourtant si je doutais encore, tes yeux disaient tout le contraire. Je finis par changer de position, je commençais à ressentir des fourmis dans les jambes, avant de voir ta main se tendre face à moi. J’affiche un sourire ravi, j’ai les yeux qui pétillent de bonheur. Je passe fébrilement ta bague au doigt avant de porter ta main à mes lèvres pour y déposer un baiser. Relevant un regard larmoyant, mais de bonheur, je lie nos mains avant de sourire. « Alors dis-le moi, clairement, j’ai besoin de l’entendre. » Je me redresse avant de prolonger avec toute la passion dont j’étais capable ton baiser. Glissant mes mains autour de toi pour te serrer fortement. « tu m’as fais découvrir aussi ce qu’était l’amour, ce qu’était d’aimer quelqu’un. Tu es la plus belle chose qui me sois arrivée, jamais plus je ne te laisserais, même si pour cela je dois t’enfermer. » Je ne peux plus bouger tellement tu me serres, mais je ne dis rien, j’aime sentir ta possessivité à mon égard. Regardant cette bague, faite par un joailler français, sur mesure et unique au monde je souris. « J’espère car il n’y en a pas deux pareil dans le monde entier. Tu auras toute la vie pour la montrer à tout le monde. Elle risque de nous rendre sourd, je pense » rigolais-je avant de t’embrasser comme si ma vie en dépendait. Glissant ma main sous ton haut, que je retire, je caresse ta peau nue. « tu n’as pas besoin de me remercier mon coeur, tu me rends au centuple tout ce que je te donne, je t’aime tellement aussi… » Glissant mes bras autour de toi, je t’étreins tendrement avant d’embrasser tes cheveux « Tu fais de moi l’homme le plus heureux du monde. » Je ferme les yeux, souriant béatement et profitant simplement de l’instant présent. te laissant, à regret, t’éloigner je grogne légèrement « Tu auras tout le temps pour m’offrir cela, bébé, on n’est pas obligé de le faire maintenant… Mais j’avais pensé que tu aurais pu montrer ta possession en me faisant l’amour, là sur-le-champ, me marquant de ton odeur et de tes dents… Mais si tu tiens tellement à cette bague on peut y aller. » J’éclate de rire à ta tête, avant de m’éloigner et d’attraper mon tee-shirt pour l’enfiler avant de m’éloigner vers la porte « Tu viens chéri ? » Je lui lance un sourire narquois avant d’ouvrir cette porte et d’attendre qu’il passe.
Sujet: Re: Paris, Paris s'éveille (Aaron) [Pas pour les enfants -18] Dim 5 Avr - 23:23
"Living For Love."
Même dans mes rêves les plus fous, je ne m’étais jamais laissé à rêver à un mariage et encore moins avec Andrea. Comment aurais-je pu ne serait-ce qu’un instant pouvoir imaginer que j’allais me retrouver la bague au doigt, après une demande dès plus authentique et sincère que m’avait faite Andrea. Comment aurais-je pu croire que j’allais à nouveau pouvoir connaître l’amour. Il y a exactement 50 jours de cela, je n’étais que l’ombre de moi-même puisque cela faisait plus de six ans que j’avais fait de ma vie un véritable cercle vicieux dans lequel je m’étais laissé embarquer. En effet, depuis que j’avais perdu ma seule raison de vivre, à savoir Andrea le seul homme qui avait réussi à à la fois faire de ma vie un véritable bonheur, puis un véritable enfer, j’avais alors tiré un trait sur le bonheur. C’est ainsi que je m’étais d’abord enfermé sur moi-même, faisant même une dépression tellement sérieuse que j’en étais même venu à tenter de me suicider. Par chance tentative raté. Après cette malheureuse histoire, je m’étais laissé embarqué par de mauvaises fréquentations qui tentaient seulement de profiter de ma richesse et de ma « célébrité » pour commencer à trainer chaque soir dans les bars gays, buvant jusqu’à outrance sans même parfois pouvoir me souvenir d’un moindre instant de mes soirées. J’avais ainsi rapidement changé totalement de caractère, terminé le Aaron contrôlé et guidé par les règles soumises par sa famille et bienvenue au Aaron bad boy couchant avec un gars différents chaque soir, sans se soucier de l’image ou des soucis que cela pouvait lui engendrer. J’étais donc devenu cet être espiègle, vicieux et arrogant que la plupart des gens connaissent aujourd’hui. Certes il y a de nombreux côtés malsains qui sont apparus avec cette phase là de ma vie et je les regrette. Mais cette rupture m’a aussi permis de m’émanciper, de prendre conscience que je n’étais pas une simple marionnette et que je pouvais agir par moi-même. C’est ainsi que j’avais également développé plusieurs traits de caractères qui m’étaient d’une grande utilité aujourd’hui : comme mon esprit de compétition, ma prétentieux, mon déterminisme et mon perfectionniste ou bien aussi ma force face aux épreuves. Enfin bref, tout ça pour dire qu’il y a de ça quelques semaines encore, ma vie était loin d’être celle que je vivais aujourd’hui. Et pour rien au monde je ne retournerai en arrière.
Comment pouvoir imaginer, penser à devoir quitter ma nouvelle vie, c’était tout simplement impensable et innenvisageable. Je ferai tout ce qui est en mon possible pour garder ma nouvelle vie, celle dans laquelle Andrea fait à nouveau partie. Car oui il faut bien l’avouer, si ma vie est aussi exaltante et parfaite aujourd’hui c’est grâce à lui. Andrea c’est l’homme de ma vie, je l’ai toujours su au fond de moi, même si j’ai longtemps essayé de le nier durant ces dernières années, par simple protection. Car je savais qu’à tout moment, je pouvais retomber dans la dépression et en y ayant eu vent une fois, je savais que je n’avais pas envie d’y goûter à nouveau. Andrea c’est donc un peu mon sauveur, ma vie tout simplement. Il est clair et certain qu’aujourd’hui si je devais à le perdre une seconde fois, je ne pourrais pas affronter la douleur qui s’emparerait de moi et il est indéniable que je finirai certainement très mal, pire que ce que j’ai pu vivre antérieurement. C’est quand même fou de pouvoir se dire qu’une personne à autant de pouvoir sur nous. Car je ne peux nier le fait qu’il a toutes les clés en main, pour faire de moi ce qu’il veut. Il est le seul à avoir l’emprise de mon coeur et il est donc le seul à pouvoir affecter ma vie de manière aussi forte autant positivement que négativement. Aujourd’hui ma vie n’a de sens que du moment où elle est vécue à ses côtés.
Il fallait donc qu’il soit vraiment stressé, bête ou aveugle pour craindre le fait que je puisse un seul instant refuser sa demande en mariage. Après tout le soir de la Saint-Valentin j’avais été assez clair sur notre avenir et pourtant c’était seulement le point de départ de notre nouvelle vie. Après je peux comprendre qu’il ait pu douter un peu, mais au fond je suis sûr qu’il était sûr que j’allais dire oui. D’ailleurs il voulait réellement entendre ce mot là. « Oui, oui oui ! Je veux t’épouser Andrea ! » lui laissais-je entendre tout haut, histoire qu’il puisse être rassuré et que tout son stress puisse laisser place à notre bonheur. Profitant ainsi quelques minutes de NOTRE MOMENT, qui resterait j’en suis certain à jamais gravé dans ma/nos mémoires, je ne pouvais m’empêcher de te serrer contre moi, de t’embrasser tout en ne lâchant pas des yeux cette bague que tu venais de me glisser au doigt. Cette bague était d’une perfection à couper le souffle, un anneau d’une pureté et d’une finesse exquise travaillée dans la plus grande minutie, un vrai petit chef d’oeuvre qu’il avait prit le temps de me faire faire sur mesure puisqu’elle était unique, je n’imaginais même pas le prix qu’il devait l’avoir payé. En tout cas j’étais tellement fier de pouvoir porter un tel bijou, que j’aurais du mal à changer mon regard de direction, quoi que. Au moment où Andrea décida de se jouer de moi, lorsque j’avais émis l’idée d’aller chercher sa bague à lui, il avait insinuer le fait qu’il aurait penser qu’en guise de contrepartie à sa demande et à mon oui, je puisse lui montrer toute ma gratitude et toute ma dévotion à son égard … et cela de manière sexuelle. Il n’en fallait pas plus pour aiguiser tous mes sens, du moins ceux contrôler ma libido, puisque aussitôt mon envie de lui faire l’amour comme jamais s’était emparé de moi. Mais c’était là aussi s’en compter sur la vilaine manie de mon homme pour venir se jouer de moi, puisque ne me laissant pas le temps de réagir, voilà qu’il se trouvait déjà à l’autre bout de la pièce, vers la porte d’entrée enfilant son T-shirt sous mes yeux ébahis. Je restais là, figé, complètement con en le voyant ainsi aussi rapidement retourner la situation. Reprenant finalement mes esprits, ma détermination à lui montrer à quel point je pouvais l’aimer ne m’avait pas quittée et c’est ainsi que j’entamais à vive allure mon ascension vers lui, quand soudain se trouvant sur mon chemin une paire de chaussure, voilà que je trébuchais et tombé sur le sol. « Tout va bien ! Je vais bien … juste une petite chute de rien du tout ! » (merci le défi des oeufs ^^). Me relevant sans perdre de temps, j’arrivais à sa hauteur et repoussé la porte qu’il venait d’entrouvrir, d’un geste brutal « Toi tu restes ici avec moi mon beau … » Aussitôt la porte refermée, je le poussais à son tour contre le mur attrapant ses deux mains que j’entremêlais aux miennes et que je relevais au dessus de sa tête contre le mur. « Je vais te montrer à quel point mon amour pour toi peut être sauvage, aride et puissant bébé, tu ne vas pas le regretter » terminais-je tout en venant embrasser ses lèvres avec toute la passion dont j’étais maintenant pourvu, terminant même en mordant sa lèvre inférieure, si fort même que j’en laissais une trace rouge. Relâchant mon emprise sur ses mains, j’arrachais son T-shirt littéralement (je lui en achèterai un autre ce n’est pas bien grave), avant de venir à le retourner pour qu’il se retrouve le ventre face au mur. Là, je me plaçais derrière lui, laissant mon souffle chaud se poser contre sa nuque dévêtue tout en laissant mes mains se balader sur son dos. Léchant le lobe de son oreille, je terminais finalement par lui susurrer quelques mots alléchants « Retrouve moi dans deux-minutes dans la chambre … je veux que tu arrives complètement nu ! …Une dernière chose, ne te retourne pas avant que je sois sorti de la pièce, dans le cas contraire tu risquerais d’avoir droit à une sacré punition, je te le garantis » Relâchant la pression que mon corps exerçait contre lui, je le quittais et prenait la direction de la chambre. Là, je fouillais dans sa valise pour y trouver finalement ce que j’y cherchais … à savoir sa fameuse cravate que je lui avais demandé d’apporter. Souriant face à ma découverte, je l’attrapais dans mes mains, quand j’entendis le bruit de ses pas derrière moi « Il t’en aura fallut du temps pour arriver … ». Je me retournais alors et découvrait cet apollon nu devant moi. Ne pouvant m’empêcher de le violer littéralement de mon regard qui balayait son corps tout entier, je secouais la tête tout en me mordant les lèvres « Oh putain … » laissais-je entendre tout haut sans pouvoir me contrôler, pour finalement reprendre « J’en connais un qui ne vas pas regretter de m’avoir fait sa demande … ». J’enroulais la cravate autour de ma main, tandis que mon érection se dévoilait amplement sous mon jean, face à la tentation qu’il représentait.
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Sujet: Re: Paris, Paris s'éveille (Aaron) [Pas pour les enfants -18] Mar 7 Avr - 14:24
You can stay with me, baby.AARON&ANDREA;
You want everyone to think you're above it all... but I can see right through you.
❆
You say having feelings makes me weak, but you're weak for hiding from them.
J’étais un romantique invétéré alors j’avais toujours rêvé de me marier avec celui que je considérerais comme mon âme-soeur. Et cet âme-soeur n’est autre qu’Aaron. Je ne pouvais pas être plus chanceux, parce qu’il était vraiment parfait. Et j’étais carrément au paradis parce qu’il a accepté et que c’est le plus beau cadeau qu’il puisse me faire. Surtout après toutes ces épreuves que l’on a du traverser nous deux, pendant notre séparation, mais même avant, quand sa famille essayait à tout prix de nous séparer cela avait été vain. Et aujourd’hui c’était un sacré pied de nez qu’on leur fait puisqu’ils ne pourront plus jamais nous séparer. Et c’est à eux que j’enverrais mon premier carton d’invitation, rien que pour les narguer et leur montrer que l’on devient encore plus inséparables. Ils n’avaient fait que répandre le malheur dans ma vie et dans celle d’Aaron, alors je n’allais plus les laisser faire, ils vont devoir me passer sur le corps s’il veulent tenter quoique ce soit à Aaron. Ils avaient radicalement changé ma vision de l’amour, ils l’avaient entaché de cette douleur que je ne pensais pas ressentir un jour. À cause d’eux, on avait non seulement été séparé mais on avait plus souffert qu’autre chose. Heureusement grâce à ma famille et à mes amis, je n’avais pas fait de conneries, même si j’avais bien eu l’envie à un moment donné. De ce que je sais sur Aaron, des torchons que j’ai pu lire quand on me les as mis sous mon nez. Des rumeurs qui ont pu courir dans le couloir de l’université. Mais je n’y avais jamais prêté grande attention. Je ne voulais peut-être pas y croire. Je ne voulais pas que ça entache la vision que j’ai de cet être si parfait qu’est Aaron. C’était peut-être une erreur que de ne pas regarder la réalité en face, mais j’avais peur que le bonheur ne s’envole définitivement loin de moi. Je n’avais pas forcément appris grand chose, c’était comme si je m’étais mis en mode ‘off’. Je ne vivais simplement que pour le travail, j’avais été invivable pour mes soeurs et ma mère. J’avais fait que bosser encore et encore, jusqu’à atteindre l’excellence, et alors que ma famille priait pour que j’ouvre mon coeur à quelqu’un d’autre, mes pensées continuaient d’être hantées par Aaron, comme si son fantôme gravitait autour de ma personne et de mon esprit. Mais, aujourd’hui, tout avait changé, et pour le meilleur.
Aujourd’hui, j’étais heureux, parfaitement comblé, et je voyais l’avenir d’un nouvel oeil, bien plus gai. J’espère que cela va continuer pendant un long moment. En fait que je ne verrais rien d’autre d’aussi douloureux que les lendemains de débauche d’avec mon homme. Il n’y a que cette douleur-là que je veux me rappeler. Le reste n’avait plus aucun intérêt dans ma vie. Aaron est tout ce qui m’importe maintenant. Je sais que je met peut-être trop d’espoir en nous, que je risque d’être déçu car une relation ne répond jamais totalement à nos attentes les plus profondes. Mais je ne peux pas m’empêcher d’espérer toujours plus, cela était déjà le cas par le passé. Aaron avait toujours eu le don de me faire espérer, il me rendait meilleur. Sans lui je ne suis plus rien, alors maintenant il est hors de question que je ne l’abandonne encore une fois, on pourra toujours essayer de nous séparer, ce sera vain. Je ne peux pas m’imaginer un seul instant ma vie sans lui, elle n’a plus aucune valeur sans l’être aimé. Et Aaron était cette personne qui a le pouvoir de me faire respirer correctement. Sans lui je ne suis qu’un déchet de plus. L4amour absolu existe, et il en est la preuve vivante. Aimer à en perdre la raison, voire la vie. J’en étais capable seulement pour lui. L’impossible devient possible grâce à lui.
Mais, j’avais besoin de l’entendre dire clairement qu’il voulait m’épouser et non pas passer par des détours, même si je sais qu’il avait accepté, mais c’était comme une assurance pour moi. Le mariage n’était pas seulement pour moi un bout de papier que chacune des parties signent, mais c’était plus que tout ça. Me lier à lui pour la vie était plus que vital, et je voulais voir si lui aussi semblait sur la même longueur d’onde que moi. Plongeant mon regard dans le sien, je ne peux que sourire à ses paroles avant de l’embrasser passionnément. Glissant mes bras autour de sa taille, je glisse mes mains sous son haut, caressant sa peau brûlante. Je garde ton corps contre le mien. Je n’avais pas envie de te lâcher de sitôt. J’étais en train de graver ce moment dans ma tête pour l’infini et au-delà. Mes yeux ne lâchait pas ton visage encore plus splendide avec ces yeux pétillant de bonheur , ce sourire qui ne quittait pas ton délicieux visage. Cette bague ne te rendait que plus beau encore. Mais si elle ne te faisait te sublimer, elle n’était pas encore assez parfaite à mes yeux pour toi. Tout simplement parce qu’il n’y a rien de plus parfait que toi. Je pourrais dépenser toute ma fortune pour toi, qu’il n’y aurait rien à ta hauteur. Mais tu émets l’idée, toi aussi, d’aller en quête pour une bague de fiançailles, pour mon annulaire. Tant que ton coeur m’appartenait, je n’avais besoin de rien d’autre.Cela m’amuse, parce que j’avais eu une autre manière de te lier à moi, que je porte ta marque, mais tu m’as devancé. Alors bien sûr je m’en amuse, parce que c’est terriblement tentant. Et rien qu’à voir ta tête, je jubile intérieurement. Je me dirige donc vers la porte tout en renfilant mon haut. Je faisais cela pour le provoquer, bien entendu. Et comme je l’espérais, il avait mis les pieds dans le plat, littéralement, ce qui me rendait totalement hilare. Je m’amusais comme un gamin, cette légèreté dans notre relation me faisait le plus grand bien. En plus ce petit jeu qui est en train de s’instaurer ne fait qu’augmenter mon propre désir pour sa personne. Et il était déjà bien attisé. Me retournant tout en lui ouvrant la porte, j’attends qu’il s’avance, mais il semble complètement figé, incapable de bouger. Mais il semble soudainement se mettre en action et se précipite vers ma personne, souriant davantage, je le dévore des yeux. Vois son corps se mouvoir attise encore plus mon désir. Mais il finit par aller trop vite puisqu’il trébuche avant de se retrouver le nez à terre. J’essaye de me retenir, mais je laisse échapper un rire. C’est plus fort que moi. « Je vois ça, Toujours aussi maladroit à ce que je vois… » J’éclate cette fois-ci franchement de rire avant de me retrouver le dos collé à la porte. Martyrisant ma lèvre inférieure, je serre ses doigts avant de lui voler un baiser.Je grogne d’anticipation sous tes paroles avant de chercher à coller mon bassin au tien. « Oh j’attends que ça mon coeur, si tu savais. Epuises-moi, fais de moi ce que tu veux. » Je souris avant de prolonger ton baiser tout aussi férocement que toi, même si je te laisse un semblant de contrôle. Mes mains étant de nouveau libre de leurs mouvements, elles ne perdent pas une seconde avant de se faufiler dans ton dos avant de rejoindre le galbe parfait de tes fesses. Mais je n’ai guère le temps d’en profiter, que je me retrouve face contre la porte. Acculé entre celle-ci et ton corps parfait, je pousse un grognement de plaisir. Tout mon corps frissonne, ton souffle sur ma peau, tes mains qui virevoltent dans mon dos, créant dans leurs sillons des frissons qui transpercent toute ma peau. Tu finis de m’achever par les quelques mots que tu me susurres. « Et si je me retourne ? Qu’est-ce que je risque ? » ma voix est rauque, signe de mon désir latent pour toi. Je cherche à me fondre dans ton corps, poussant pour me coller à toi. Mais tu t’éloignes bien trop rapidement. Je souffle, avant de me retourner, juste assez pour voir sa silhouette s’avançait en direction de la chambre. Alors qu’il se tourne pour voir si je suis obéissant ou non, je lui envoi un regard joueur. Il n’aurait pas dû me parler de punition, il sait que je suis joueur, alors que la partie commence. Le laissant s’engouffrer dans la chambre, je m’adosse contre la porte, j’ai besoin de faire descendre quelque peu avant de le rejoindre après m’être déshabillé. Entrant dans la chambre, je referme la porte derrière moi avant de m’adosser à celle-ci; le laissant maintenant mener la danse. « J’avais juste besoin de faire descendre la tension, si tu veux que ça dure un moment. » Je souris avant d’émettre un rire rauque à son commentaire… « Il n’y en a pas ici, où alors tu m’en verrais déçu que tu es recours à ce genre de personnes… » Oui, je suis insolent, mais il en avait l’habitude. Je lève un sourcil, curieux de savoir ce qu’il me réserve. Lui tendant mes poignets, je souris « Quand tu veux bébé…. »
Sujet: Re: Paris, Paris s'éveille (Aaron) [Pas pour les enfants -18] Ven 10 Avr - 18:15
"Living For Love."
Tout au long de notre vie, nous sommes tous, à un moment ou un autre, tenté ! Les manières et les formes peuvent varier, mais pas le fond. Que ce soit dans l'intégrité, dans les finances, la pureté personnelle, la fidélité, ou mentir afin d'en tirer profit. Nous avons tous, dans nos vies, des moments de triomphe et des moments d'échec face à la tentation. Nous avons tous des instants où nous pouvons sourire fièrement au moment de la photo, et des moments où nous voudrions nous cacher, disparaître pour toujours. Là au moment présent mon seul est unique but était de céder à la tentation que mon homme nu devant moi représente terriblement bien.
Imaginez-vous face à un tel être. Un corps parfaitement bien dessiné des pieds à la tête. Un visage d’ange à en faire tomber plus d’un(es), des épaules larges, un torse bombé où ses pectoraux sont parfaitement bien sculptés et sur lesquels quelques poils lui donne un aspect viril si séduisant. En descendant un peu plus bas ses abdominaux sont un réel délice à regarder, surtout que sur la pente descendante ses poils forment une ligne menant jusqu’à son sexe divin. Je vous passerai les détails de cette partie là de son corps, mais tout ce que je peux vous en dire c’est qu’il n’a pas à se plaindre, loin de là. Si on continue sur la description de son corps, on trouve de larges et belles cuisses musclées, tout comme ses mollets … sûrement une conséquence de ses nombreuses heures de footing qu’il aime tant. Enfin bref, mon homme est tout simplement la définition parfaite de la figure du bellâtre à son excellence et ça personne ne pourra m’en faire dire le contraire. J’en avais connu des beaux hommes, mais lui il était bien au-dessus de tout ceux que j’avais bien pu connaître, bien au dessus. Il représentait tout ce qui pouvait me rendre complètement fou, complètement hors de moi-même. Il avait lui seul ce pouvoir sur moi, il était le seul à me mettre dans un tel état d’excitation extrême, le seul à me donner envie de lui faire l’amour chaque jour que nous passions ensemble. Je me retrouvais donc maintenant face à ce corps nu, la bouche pendante, limite entrain de baver face à autant de perfection, mes yeux le violaient littéralement. D’autant plus qu’il avait cette attitude désinvolte et aguicheuse, qui venait agrémenter mon désir pour lui. Voulant pourtant jouer à merveille mon rôle de dominant coûte que coûte, je restais là droit comme un piquet face à lui, la cravate en main que je venais à resserrer encore et encore dans le but de calmer toute la tension qui s’emparait de mon corps. Seul mon érection grandissante se mettait en scène face à lui. Passant ma langue sur mes lèvres, cela traduisait bien mon état d’esprit à cet instant précis. J’avais envie de l’épuiser, de le faire crier jusqu’à ce qu’il ne puisse plus marcher.
M’avançant finalement jusqu’à lui de manière lascive, une fois à sa hauteur je m’emparais de ses mains que je passais dans son dos, tout en commençant à les attacher à l’aide de sa cravate, serrant les liens de manière forte pour ne puis qu’il puisse avoir possession de ses mains. Je serrais tellement fort qu’il en sursauta « Je peux résister à tout, sauf à la tentation que tu représentes … » lui susurrais-je au creux de l’oreille, alors que je terminais le noeud. Venant finalement à descendre dans son cou, je déposais quelques baisers, pour ensuite remonter à son oreille que je venais à mordre comme il aimait tant. Je baladais ainsi mes baisers, avant de venir croquer à nouveau sa lèvre de manière sauvage, sans le moindre ton de tendresse. Car je n’avais en aucun cas envie de lui faire l’amour de manière tendre et amoureuse, je voulais lui montrer là, à quel point je lui appartenais et surtout à quel point il était mien. « Tu mérites une sacré punition … Je t’ai vu te retourner malgré ce que tu peux croire … Du coup je vais te baiser à en faire pâlir nos voisins de chambre mon amour, je t’aurais prévenu … » Aussitôt mes mots terminés, je le poussais alors de manière brutale sur le lit. Se retrouvant démunis de pouvoir agir à sa guise, je grimpais à mon tour sur le lit et détachant finalement le lien retenant ses deux mains ensemble, je vins à les attacher sur l’un des barreaux du lit. Prenant un peu de recul pour admirer mon homme dans cette position passive, je m’en mordais une nouvelle fois la lèvre « Tu peux pas t’imaginer ce que j’ai envie de te faire quand je te vois dans ce genre de position … cela me ferait presque peur ». Descendant finalement du lit, j’appuyais sur la bosse que formait mon sexe sous mon pantalon, laissant échapper un son lourd et rauque. Me dirigeant vers la petite commode non loin de notre lit, j’y attrapais l’une des bougies trônant sur un bougeoir et l’allumais à l’aide des allumettes posées juste à côté. Me retournant alors de nouveau vers le seul homme de ma vie, je souris de façon perverse en m’avançant lentement vers lui, tenant en main la bougie allumé. Le voyant se tordre de plaisir ou d’appréhension peut être sur le lit, toujours attaché, mon excitation n’en fut qu’augmentée. « On va pimenter un peu le jeu bébé … » annonçais-je alors que je grimpais sur le lit pour le rejoindre. « Tu es prêt ? » J’entamais alors des allers venues au dessus du corps nu de mon futur mari à l’aide de la bougie, quand soudain je laissais couler un peu de cire sur l’un de ses tétons déjà bien dur et excité. Le voyant réagir aussitôt, je continuais alors et fit tomber de nouveau un peu de cire mais cette fois-ci sur ses abdos. Je m’amusais encore et encore le temps de quelques minutes à enduire son corps ici et là de cire, quand trop excité par son corps nu, je l’éteignais et la jeter finalement sur le sol. « J’en peux plus d’attendre ! » Écartant ses deux cuisses, je me faufilais entre et tout en venant poser mon corps contre le sien, je lui laissais tout le plaisir de sentir mon érection bien présente contre le bas de son entrée. « C’est ça que tu veux hein ? Tu veux me sentir en toi … » Sans attendre je me débarrassais de mon pantalon, puis de mon boxer, me retrouvant à mon tour complètement nu. Là alors, j’amenais l’un de mes doigts à sa bouche pour qu’il vienne à le sucer « Suce mon doigt bébé ». Mon doigt bien humidifié, je le retirais finalement de sa bouche et je l’amenais au niveau de son entrée où je le glissais progressivement. L’entendant gémir au fur et à mesure de mon avancée en lui, je ne pus m’empêchais de sourire. M’amusant ainsi avec mon doigt quelques temps, histoire de le préparer, j’en profitais pour l’embrasser de façon torride, avant de finalement descendre mes baisers là où mon doigt s’attardait. Ne quittant pas son regard durant toute mon opération, j’apercevais tout le plaisir que je pouvais lui procurer rien qu’avec ma langue à ce niveau là et c’était d’autant plus appréciable de me sentir aussi talentueux. Terminant mon petit jeu, je réapparaissais maintenant face à lui et tout en affichant ma satisfaction « Je crois que je peux passer maintenant aux choses sérieuses tu ne crois pas ? » N’attendant pas sa réponse, je l’attrapais de mes bras et le retournait sur le ventre, tout en faisant attention à ses mains toujours attachées. Là, je me plaçais alors de tout mon être sur lui et sans prévenir, je le pénétrais de tout mon membre, laissant échapper un cri fort de plaisir. Je savourais plus que jamais de sentir mon sexe pénétrer son antre, où une douce chaleur envoûtante venait me procurait un plaisir indescriptible « Hummm ».
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Sujet: Re: Paris, Paris s'éveille (Aaron) [Pas pour les enfants -18] Sam 11 Avr - 15:18
You can stay with me, baby.AARON&ANDREA;
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Si, au vu de son regard qui me dévore du regard, que j’étais le centre absolu de son attention. Il en était de même pour lui. Il est sacrément sexy avec ce jean qui tombe à la perfection sur ses hanches, mes yeux se fixent sans même que je ne contrôle sur cette partie de son corps. Je me rapproche de lui, inconsciemment, la chaleur de son corps et l’excitation qu’il dégage m’attirant comme un aimant. L’issue de cette soirée n’avait aucun secret pour nous deux. Et ce n’était pas pour me déplaire. D’ailleurs mon érection était grandissante face à la perfection et à cette tentation que représentait mon homme.
Sentant son regard brûler mon corps, je souffle doucement avant de faire de même. Je pars de son visage, un visage aux traits fins. Des yeux malicieux par excellence, encadré par des cheveux jais où j’aime y glisser mes doigts, les décoiffer. Un nez que j’aime attaquer de mes dents, pour le taquiner. Des lèvres que j’aime embrasser, mordiller, découvrir même que je les connaissais par coeur. Passons à son torse. Tout aussi fin que son visage, il était l’image de ce que j’aimais le plus chez un homme. Il était fin, élancé, mais pourtant il ne manquait pas de muscle, juste ce qu’il fait pour que ça m’excite dès le premier regard. J’adorais poser mes mains sur ce torse, ce ventre. J’avais du mal à croire que tout cela est comme à moi, m’appartenant. Descendant mon regard un peu plus bas. Je ne peux pas dire qu’il l’est mal loti, c’est même tout le contraire. Je ne dirais pas que c’est ma partie préférée, mais ce n’en est pas loin. J’adore tout chez lui, comme ses fesses où mes mains adoraient se retrouver. Et ses jambes, n’en parlons pas, elles qui s’accrochaient à ma taille lors de nos ébats, elles dont mes ongles raffolaient à marquer. Tout son corps n’était que pure perfection. Il me faisait tourner la tête tous les jours. Il avait un pouvoir énorme sur mon corps, mon esprit. Il marquait mon âme de son regard. J4étais totalement dépendant de lui. Et j’allais, maintenant, lui montrer à quel point j’étais dépendant de lui, à quel point il pouvait faire exactement ce qu’il veut de moi et de mon corps. Mais je n’allais pas lui rendre la tâche plus facile en étant parfaitement obéissant, c’était bien mal me connaître si on pensait une telle chose. Et puis il sait que j’adore jouer avec lui, alors je ne rate jamais une occasion de m’amuser un peu. Même s’il mettait un peu trop de temps pour démarrer, mais à la façon dont il serre ma cravate, je sais qu’il n’est pas loin, du précipice lui aussi. Finissant par m’approcher de lui, tout mon corps me crie qu’il me prenne, maintenant. Mais il semblait enfin avoir retrouver ses esprit, je vois son regard changer, sa posture aussi, ça ne me rends que plus fébrile et impatient.
Je le laisse faire, grognant légèrement quand même. Mais j’étais docile, je me laissais faire, j’avais une confiance aveugle en lui. Je sursaute en sentant le lien être très serrés, je bouge mes doigts, sentant encore le sang passer. Je frissonne de tout mon corps lorsque je te sens bien trop proche, mais dans mon dos. Je soupire doucement à tes mots, la chaleur montant encore d’un cran. Je me tortilles, tes baisers me brûlent la peau, m’arrache des soupirs. Je ferme les yeux, j’essaie de ne pas faire monter le plaisir trop rapidement. Je te cherche des yeux alors que tu reviens finalement devant pour profiter de mes lèvres comme une friandise. Hum…. Ca promettait vraiment. Je n’étais plus très patient, je cherchais à me coller contre toi, à ce qu’on ne fasse plus qu’un. Je souris de manière effrontée alors que tu me promets de me punir. Si tu savais que je n’attends que ça, que je serais prêt à recommencer encore. Je m’approche de toi avant de susurrer « Et je recommencerais volontiers bébé… Si c’est cela ma punition, alors je recommencerais tous les jours. » Mais j’ai à peine le temps de terminer que j’atterris brutalement sur le lit, les mains toujours liées. Reculant dedans pour être bien installé, je secoue mes mains engourdies avant que tu ne me les attache au lit. attrapant les barreaux, je gémis lamentablement, te voir me surplomber ainsi ne fait que m’exciter au plus haut point. Cherchant plus de contact avec toi, je gémis de nouveau, tu me faisais trop languir, que ça en devenait presque douloureux. « Je n’ai pas peur, je suis tout à toi, j’ai confiance en toi. » JE te souris, tu n’as pas à avoir peur parce que je sais que jamais tu ne me feras de mal. Gigotant alors que tu te touches, j’émets un son rauque, mélange de plaisir et d’impatience. Poussant une plainte en sentant le froid m’envahir alors que tu t’éloignais. Je fronce les sourcils me demandant bien où tu allais soudainement comme cela. Ok, là ça devenait complètement excitant. Décidément tu étais vraiment surprenant. Je ne tenais pas en place, si je ne me retenais pas cela ferait longtemps que j’aurais joui. Ca devenait douloureux et je sais que tu t’amuses à prendre ton temps pour m’amenait à mes propres limites. Je grogne pour simple réponse, je n’étais pas capable d’aligner deux mots cohérents, je lâchais prise et me laissais aller dans les affres du plaisir. Je hoche la tête pour te laisser commencer avant de crier littéralement de plaisir quand la première goutte de cire brulante tombe sur un de mes tétons. Chaque goutte ne fait qu’attiser un peu plus mon désir déjà brulant pour toi. Ne lâchant pas ton regard, j’étais en train de m’offrir totalement à toi. Mais tu sembles soudainement bien plus excité et pressé que moi puisque tu arrête ce petit jeu. Je lâche un rire rauque alors que tu me dis ne plus pouvoir attendre. Je gémis longtemps en sentant ton désir. « Bébé….. » Ce gémissement veux absolument tout dire sur ce que je ressens pour toi, sur combien je te veux maintenant. Attrapant ton doigt, je laisse couler mon regard sur ton corps finalement nu. Mais le manège est bien trop court. Je grogne avant de gémir en sentant ton doigt entrer dans mon entrée. Me cambrant, cherchant encore plus de contact, même si c’était légèrement douloureux. Mais j’attendais cela depuis tellement longtemps que ce n’étais rien comparé au plaisir que je ressentais à ce moment-là. Prolongeant ton baiser tout aussi torridement que toi, je laisse mon corps se cambrer sous ta langue. Je me déchaine contre les liens qui me tiennent. Je hoche la tête avec enthousiasme, enfin on passait aux choses sérieuses. Me retrouvant sur le ventre avant de hurler en te sentant me pénétrer. Bordel que c’était bon. « Oh putain bébé… » La douleur est vite reléguer au second plan. « Bouge. » je grogne, tandis que mes doigts attrapent ce qui est à leur portée. Sentant tes coups, je grogne, crie, et fais trembler les murs. JE ne regrette absolument pas le spa.
Sujet: Re: Paris, Paris s'éveille (Aaron) [Pas pour les enfants -18] Lun 13 Avr - 0:38
"Living For Love."
Le sex. Depuis le premier jour où j’y avais goûté, cela remonte maintenant à un peu plus de huit ans environ, lorsque dans les vestiaires après un cours de sport j’avais fricoter avec un camarade semblant tout aussi intéressé que moi par le goût de l’expérience, j’en étais alors devenu un véritable accro. Mais le véritable plaisir, le véritable sex avec amour que j’ai connu pour la toute première fois, ce fut en compagnie de Andrea. Je n’étais pas à mon premier essai lorsque l’on s’est rencontré, mais je peux vous assurer que c’est pourtant bien lui qui me fit découvrir les joies d’un véritable orgasme. C’est simple, je considère que c’est Andrea qui fut ma première fois, certes dans le sens concret des choses ce n’était pas véridique, mais dans mon sens à moi c’était pourtant bien lui. Car avant lui le sex n’était qu’une banalité sans grand intérêt. À ses côtés j’ai appris à découvrir ce qu’était le véritable sens premier du sex, celui que l’on ne peut pratiquer qu’avec un élément rare, mais pourtant primordial, l’amour. En effet, le sex dans tous les cas, ou du moins apriori c’est censé représenté un moment de satisfaction et de plaisir, partagé ou non. Mais là où l’amour vient prendre tout son sens, c’est qu’il permet au sex de devenir l’élément ultime qui soude un couple. Le sex amoureux est la chose la plus jouissive qui puisse exister à mon sens. Je sais de quoi je parle, j’ai de quoi comparer. Je me rappelle que la première fois que Andrea et moi avions fait l’amour, j’avais cru en mourir tellement cela avait été puissant et intense entre nous. Mon corps lui appartenait comme jamais il n’avait appartenu à personne. Mon plaisir avait été tellement fort que j’en avais perdu toute lucidité pendant de longues minutes. Non rien ne vaut le sexe amoureux.
J’ai d’ailleurs longtemps recherché la satisfaction que j’avais pu ressentir tout le long de notre relation, après notre rupture en devant le Dom Juan, que tout le monde connait aujourd’hui. Oui, durant ces six dernières années j’avais tant bien que mal espéré pouvoir oublier la douleur de ma rupture, mais j’avais aussi espérait pouvoir retrouver un jour l’extase que j’avais connu avec Andrea. Manque de chance, je n’avais jamais retrouvé cet état là. Mon seul plaisir n’était que personnel et très limité. Imaginez-vous donc mon bonheur lors de nos retrouvailles avec Andrea il y a de ça quelques mois. Lorsque l’on s’était retrouvé dans son bureau, la tension qui nous avait animée était celle que j’avais trop longtemps cherché à retrouver.
Aujourd’hui donc, dans cette chambre d’hôtel magnifique où il venait de me faire sa demande, à laquelle je n’avais pas pu répondre autre chose qu’un énorme oui, voilà que l’on se trouvait à nouveau animé par cette tension incontrôlable et tellement puissante. Il était le seul à avoir ce pouvoir sur moi, le seul à me faire autant d’effet. Et le moins que l’on puisse dire c’est qu’il venait de réveiller ma libido comme jamais. En effet, il m’avait laissé entendre son souhait que je lui fasse à mon tour l’amour, que je m’occupe de lui. Car depuis que l’on s’était retrouvé c’était lui qui avait pris le dessus naturellement, car entre nous jamais on avait accordé de rôles à l’un ou à l’autre, tout se faisait au feeling. Il est vrai que je m’étais laissé tenté par être celui qui recevrait les coups de reins depuis la Saint-Valentin, peut être parce que je ne me sentais pas à la hauteur, face à à cet être au corps si parfaitement sculpté. Moi à côté, j’étais bien moins bâtit que lui, je n’étais pas maigre, ni gros, mais je n’étais pas aussi musclé que lui, d’ailleurs j’avais l’ambition de me mettre au sport, dès notre retour. Enfin bref, il m’avait fait entendre sa requête de devenir le dominé et c’est avec une excitation débordante que je m’étais lancé à jouer de mon côté le rôle du dominant. Après tout je dois avouer que j’apprécie tout particulièrement ce rôle. Savoir que mon homme devient l’objet de tous mes désirs, qu’il devient mon esclave, c’est bien trop jouissif et excitant pour que je refuse cette invitation.
On se retrouve donc maintenant dans cette chambre si luxueuse que devoir la salir de notre ébat si passionné et anti-chatolique en serait presque un châtiment irrespectueux, mais peu importe, je ne peux plus résister à la tentation que tu représentes. Rien que mon regard en dit long sur ce que tu est entrain de créer en moi. Tu viens de libérer la bête sauvage, le monstre qui était resté bien trop longtemps enfermé dans sa cage. Je sens mon corps tout entier entrer en ébullition. Il m’en faut alors pas plus pour prendre les devants et commencer à t’infliger les prémisses de ton supplice. Je commence alors par t’attacher à ce lit. Hum cette positon de soumission que tu représente maintenant, ne vient qu’augmenter mes pulsions perverses. Tu libères la partie sombre de ma petite personne, tu n’imagines pas à quel point je peux devenir incontrôlable quand je te vois ainsi. D’ailleurs il m’en faut pas plus pour commencer mon petit manège, aimant te faire endurer les peines de l’attente et de l’excitation poussée à son extrême, je m’amuse quelques minutes avec la bougie et la cire chaude que je fais couler sur ton corps si parfait. Mais mon envie de me retrouver en toi, de te posséder littéralement est bien trop présente pour que je continue à jouer. C’est alors que je décide de passer aux choses sérieuses. Ne perdant pas de temps, je le retournais aussitôt, appréciant la vue sur son fessier digne des plus belles oeuvres jamais créer sur cette terre et sans prévenir, je m’enfonce alors en lui. Cette sensation m’avait tant manqué, tellement qu’au moment de continuer mon avancée en toi, j’ai l’impression que je ne vais pas pouvoir résister à me laisser aller. Par chance, ma raison est plus forte que ma passion et je parviens à me contrôler tant bien que mal. C’était tellement bon, oh mon dieu que c’était bon. Sentir à nouveau mon corps entrer dans le tien c’était digne des meilleurs trips qu’un drogué aurait pu ressentir en consommant sa substance illicite. Je me trouvais maintenant là où j’avais trop longtemps, beaucoup trop longtemps espérait pouvoir me retrouver. Ne perdant pas pour autant mon objectif, celui de t’épuiser, j’enchaine alors aussitôt des mouvements de vas et viens profonds. Je commence doucement pour ne pas te faire mal, du moins pas encore, mais je vais si profond que je t’en arrache des cris si audibles, que tout l’hôtel doit être au courant de ce que l’on est entrain de faire en ce moment même. Si tu continuais à crier comme tu le fais, l’on risquait même de se retrouver entouré par une horde de policiers, croyant intervenir sur une affaire de viol. C’était si bon de te voir si emprunt de moi même. Tu m’appartenais et j’allais te montrer à quel point. « Hum, tu peux pas savoir comment tes fesses m’avaient manqué bébé » Oh que oui elles m’avaient manqué et je faisais en sorte que cette sensation de me sentir en toi te rappelle à quel point cela t’avait manqué aussi. Me penchant un peu plus sur toi, j’accélérais alors soudain mes mouvements en toi, tout en venant posé l’une de mes mains sur ta bouche, pour éviter qu’on ne vienne frapper à notre porte. Le plaisir qui m’envahit, me vaut des gémissements, des hurlements sourds et prononcés. Entre nos deux respirations fortes et saccadées, résonne le claquement de mes mouvements contre tes fesses rebondies. Ce moment charnel devient vite une véritable addiction. J’en veux plus, toujours plus. Une vague de plaisir m’envahit et je me relève alors un peu, tout en l'entrainant dans mon mouvement. Se retrouvant en position de levrette, si je puisse dire, à quatre pattes, les mains toujours attachées au lit, j’attrape alors ses hanches de mes mains et vient les amener de façon abondante vers moi, lui faisant ainsi sentir chaque centimètre de mon sexe. « Putain que tu es sexy bébé » Oh que oui, cette position mettait parfaitement en avant la moindre courbe de ton corps, mon regard se baladait sur chaque millimètres de ton corps que je connaissais par coeur. Continuant mes mouvements, prenant de temps en temps même l’initiative de ralentir la cadence tout en jouant de mon déhanché pour bien te faire ressentir le frottement de mon sexe contre ta paroi anale, je me laissais alors aller à une petite liberté qui me démangeais depuis un petit moment maintenant « Tiens ! ça c’est pour avoir été désobéissant toute à l’heure quand je t’avais interdis de te retourner » lançais sur un ton sexy et dominateur tout en te donnant une fessée de ma main droite, assez forte, puisque je laissais alors là une jolie trace rouge sur ta fesse. Bien déterminé à être conscient du plaisir que je lui procure, bien que ses hurlements en soit déjà le signe, je décidais de changer à nouveau de position. Sortant ainsi mon sexe sans même le prévenir, ce qui lui vaut à nouveau un cri de douleur cette fois-ci, je le détache alors de ses liens et prenant une voie directive je lui donnais un ordre « Sur le bar du salon ! maintenant ! » Lui emboitant le pas, je le retrouvais alors assis sur le bar, les cuisses écartées prêt à m’accueillir. M’avançant vers lui, je collais mon sexe au sien que je venais alors prendre en main ensemble pour venir effectuer quelques mouvements de mains. Profitant de cet instant, je lui volais un baiser fougueux avant de lui demander « Tu en veux encore hein … je sais que tu veux me sentir en toi … je le vois dans tes yeux Andrea » Lâchant l’emprise de ma main sur nos sexes, je l’attrapais alors par ses hanches et amenait son corps à venir se retrouver coller au mien. Le laissant prendre appuie dans mon cou, je le pénétrais alors une nouvelle fois violemment lui volant encore un cri, qui m’excitait au plus haut point. Admirant la perfection de mon homme alors que je m’avancer davantage en lui, je laissais entendre toute mon admiration à son égard « Tu es tellement sexy … je t’aime mon amour » Me laissant à nouveau envahir par mes pulsions, je repris mes mouvements plus amples et profonds, accélérant une nouvelle fois la cadence. J’aurais voulu que cet instant ne se termine jamais. Je me trouvais là dans un autre espace temps, dans un autre monde. Plus rien ne compter à par lui, à part la réunion de nos deux corps. Jamais je n’avais pris autant de plaisir qu’à cet instant précis et j’espérais que ce plaisir soit tout aussi réciproque de son côté. L'amour était donc définitivement le meilleur moyen de pouvoir ressentir ce qu'était réellement le sex.
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Sujet: Re: Paris, Paris s'éveille (Aaron) [Pas pour les enfants -18] Ven 17 Avr - 19:31
You can stay with me, baby.AARON&ANDREA;
You want everyone to think you're above it all... but I can see right through you.
❆
You say having feelings makes me weak, but you're weak for hiding from them.
Je n’avais jamais était particulièrement accro au sexe pour la simple et bonne raison que ça ne m’attirait pas plus que ça à la base. Bien sûr, je n’étais pas non plus ce genre de personne qui pouvait absolument s’en passer, mais je n’étais pas aussi insatiable que ne l’était mon homme. Pourtant, quand j’ai découvert Aaron, et quand je l’ai retrouvé, j’ai un appétit sexuel bien plus développé que la normale. Peut-être parce qu’il y avait cette connexion entre nous, ce petit quelque chose en plus qui rend chacun de nos ébats uniques et puissant. Aaron fût le seul à me convaincre de me laisser dominer, tout en gardant également le rôle de dominant. Je prenais autant de plaisir dans l’un ou l’autre des rôles. L’amour, la puissance de celui-ci a rendu toutes nos étreintes révélatrice de cet attachement pour l’autre, de ce besoin de l’autre que l’on a. Et surtout, avec lui, je ne me suis jamais lassé, au contraire j’en redemandais encore et encore. C’était si parfait que j’en devenais accro.
Pendant notre séparation, j’avais comme perdu le goût de tout. Plus un homme ne m’intéressait après toi. D’aussi peu que quelqu’un tentait une approche, c’était Aaron qui s’imposait dans mon esprit, je n’ai jamais pu imaginer quelqu’un d’autre à sa place. C’était tout bonnement impossible. Je n’avais donc pas couru après bien grand monde, à vrai dire, je préférais réellement être moine plutôt que de tomber amoureux d’un autre homme. J’étais comme lié à vie envers Aaron. Chaque homme dont je m’attardais un peu, c’était comme tromper Aaron. Et pourtant c’est arrivé une fois, une seule. Et depuis, je le regrette chaque seconde. Mais j’avais retrouvé Aaron il y a quelques mois et je ne voulais pas tout gâcher avec une incartade qui n’avait aucun sens. Pourtant je lui dois la vérité. Mais mon esprit est bien trop occupé en ce moment.
Il avait choisi une suite complètement paradisiaque. Si j’avais pensé qu’un lieu touristique serait propice à ma demande, c’est en fait tout le contraire qui s’est passé. Cet endroit hautement intime pour nous deux s’était révélé parfait pour ma demande. Et, peut-être que c’était beaucoup mieux que les toits de Paris, je ne sais pas si j’aurais pu attendre de revenir à l’hôtel pour profiter de son corps en totalité. Il est bien trop désirable pour mon propre bien, je serais capable de perdre la tête par trop de plaisir. J’avais besoin qu’il prenne le dessus, qu’il se laisse aller. Qu’il arrête d’avoir cette culpabilité inutile. Le passé et le passé, et quand bien même il est difficile à accepter, on avait réussi à passer au-dessus. Bien sûr ça ne me dérangeais pas d’être au-dessus, mais on avait tellement l’habitude qu’entre nous il n’y ait pas de rôles prédéfinis que je commençais à me demander si ce n’était pas lui qui se forçait à être le soumis. Je me demandais bien pour qu’elle raison il ferait cela. Ce n’est pas comme s’il m’avait quelque chose de regrettable, au contraire. J’adorais le sentir en moi. Et voilà que maintenant je devais presque le supplier !
Mais il accédait enfin à ma requête dans cette chambre, qui allait être le témoin d’un corps à corps endiablé, fiévreux. Tu serais celui qui m’emmènerais loin dans la débauche de mes propres sentiments. tu serais le gardien de mes cris et de gémissements. Tu perds peut-être le contrôle mais moi-même je ne contrôle plus rien, je ne suis que gémissements. Je me délecte de l’attente que tu m’infliges. L’impatience guette à chaque recoin, mais l’attente, elle, ne fait que décupler mon propre désir et mon plaisir pour toi. Me retrouvant finalement attaché aux barreaux du lit, être complètement à ta merci est à la fois douloureux et extrêmement excitant. Pourtant je finis par lâcher prise et mon corps se détend imperceptiblement. Je n’ai que mon regard pour te dévorer. Je ne loupe pas une miette du spectacle que tu m’offres. Me retrouver complètement passif, ce n’est pas ce que j’avais imaginé au départ, mais je me laisse faire. J’ai une confiance absolue en ta personne, je sais que tu ne me ferais jamais le moindre mal sans mon consentement. quand j’ai vu la bougie, je me suis demandé ce que tu allais me faire, mais je n’ai pas bronché, me contentant de plonger mon regard dans le tien. Je te laisse jouer, même si je ne pense qu’à une seule chose :celle de te sentir en moi. Je pousse un cri de surprise quand tu me retournes brutalement, avant de sourire. Mon supplice arrivait à la fin. Enfin c’était vite dit, car je lusse un hurlement de plaisir et de douleurs mêlées. Je mors dans l’oreiller pour me retenir afin de ne pas venir maintenant. Ce serait gâché le plaisir. Heureusement tu sembles également dans le même état que moi. Tu te stoppes pendant quelques secondes, me laissant ainsi le temps de reprendre mon souffle qui me manquait. Desserrant ma prise autour des barreaux, je pousse une longue expiration, reprenant enfin un tant soit peu le contrôle de mon corps. Ce corps qui n’était plus que sensations, tremblements, ce corps t’appartenait entièrement. Corps et âmes, j’étais désormais lié à toi pour toute la vie et beaucoup plus. Mais très vite ma pensée fût court-circuitée par l’annoncement de tes mouvements rapides et profonds. M’arrachant des râles profond de plaisir, ceux-ci se transforment rapidement en de véritables cris de jouissance. Mes jointures de mes articulations des doigts blanchissaient à vue d’oeil. Je ne pouvais pas m’empêchais de me retenir de crier, c’était trop bon et bien trop fort pour que je parvienne à contenir quoique ce soit. Alors tant pis pour les voisins. de toute manière je ne pense pas qu’il y ait bien grand monde dans un hôtel en plein après-midi. Tout comme le fait que cela doit bien être insonorisé. gloussant à tes mots, j’amorce un mouvement pour te sentir plus profondément. « Et moi combien ça me fait du bien de me sentir baisé par tes soins bébé… » Je termine ma phrase par un cri strident alors que tu t’enfonçais un peu plus en moi. Bon sang, je n’allais pas tenir des lustres à ce rythme. Sentant ta main sur ma bouche alors que tu prenais un rythme effréné, je ne me retiens pas et mords dans ta paume pour étouffer mon cri de plaisir. Je n’avais aucune pitié, tu aurais la trace de mes dents, signe ostentatoire de mon plaisir. Je me remplissais du bruit de nos peaux qui s’entrechoquent. Tirant sur mon lien. J’avais besoin de te sentir, de te griffer, mais le lien ne cédait pas. Surtout que dans le même temps tu me changes de position. Me retrouvant appuyé sur les genoux, changeant ainsi le ressenti. Gémissant, je ferme les yeux, une vague de plaisir m’envahissant soudainement. « Oh bébé… encore » Que j’aimais te sentir en moi de cette manière, c’en était étourdissant. Je sentais ton regard brûler sur mon corps, me rendant encore plus fébrile. Je grogne alors que tu ralentis la cadence. J’en voulais encore plus, alors je bougeais des hanches pour te retrouver plus profondément en moi. Mais je suis saisi par tes paroles, arrêtant ainsi mon manège jusqu’au moment où je sens ta main retomber brutalement contre l’arrondi de mes fesses. Ma peau chauffe et doit être certainement rougi. Criant de plaisir puis de frustration quand je me sens vide de toi. Je fronce les sourcils avant de te sentir te pencher pour me détacher. Massant mes poignets tout en m’asseyant sur mon postérieur, je ne bronche pas et prends mon temps avant de me redresser, avant de le faire languir. Je file ensuite m’asseoir sur le bar, écartant les jambes. J’étais l’image parfaite d’un débauché. Mon regard s’ancre dans le tien tandis que nos deux sexes battent à l’unisson. Glissant mes bras autour de ton cou, j’enserre de mes doigts tes cheveux avant de les tirent de te voler un baiser passionné. nos langues jouant un ballet connus d’elles seules, je glisse mon visage dans ton cou tout en t’écoutant. « Je ne veux que ça bébé, je te veux toi, encore et toujours. » Mon corps se retrouvant de nouveaux soudés au tien. Te sentant entrer en moi violemment, je cri dans ton épaule avant de te mordre une nouvelle fois. Glissant mes mains sur ton postérieur, je le prends à pleines mains avant de le malaxer avec rudesse. Alors que tes mouvements s’accéléraient de plus en plus je sentais que j’atteignais l’orgasme. Un orgasme dévastateur. Grognant pour essayer de te prévenir, ce n’est que deux coups de reins plus tard que j’hurle de plaisir avant de me libérer sur ton torse. Tout mon corps tremblait d’excitation tandis que je m’allongeais contre le bar en essayant de reprendre mon souffle. Je te gardais prisonnier, j’avais juste besoin de quelques secondes pour reprendre mes esprits avant de continuer cette étreinte.
Sujet: Re: Paris, Paris s'éveille (Aaron) [Pas pour les enfants -18] Dim 10 Mai - 13:04
"Living For Love."
Retrouver cette sensation de plaisir intense était quelque chose que je n’avais jamais imaginé pouvoir retrouver un jour, car la première fois que je l’avais ressenti c’était avec Andrea, lors de notre premier ébat sexuel, dans sa chambre chez sa mère et la dernière avait été le soir juste avant notre séparation. Depuis toutes mes autres relations sexuelles avait été bien qu’agréables pourtant pas aussi jouissantes que ce que j’avais pu connaître avec Andrea. Je m’étais alors longtemps dit que c’était une question de talent et que je retrouverai un jour un homme aussi doué que lui et pourtant même avec des hommes aux engins et talents démesurés, je ne retrouvais pas cette sensation si exquise qui m’avait envahit durant de nombreux mois lorsque j’avais goûté aux plaisirs du sex avec Andrea. Je m’étais alors fait à l’idée que la présence de sentiments était alors le générateur de ce plaisir si particulier.
Jusqu’à notre arrivée à Paris nous avions bien évidement goûté à l’attraction de nos deux corps, qui n’avaient pas mis bien longtemps pour retrouver leur complicité d’autre fois. D’ailleurs à peine je l’avais croisé au détour de son bureau alors que nous n’étions pas encore ensemble officiellement, que l’alchimie trop parfaite qui s’était installée avait fait que nous avions franchis le cap et que je m’étais retrouvé sur son bureau à m’offrir à lui complètement pour retrouver enfin ce plaisir que j’avais longtemps cherché à vivre à nouveau. Mais même si cela ne m’avait jamais dérangé d’être le dominé avec lui, aujourd’hui lorsqu’il m’avait fait entendre son désir que ce soit mon tour de jouer au dominant, durant tout notre vol et jusqu’à notre arrivée ici, je n’avais alors pensé plus qu’à ça. C’est peut être un peu pervers et malsain, mais m’imaginer pouvoir offrir à mon homme ce plaisir m’avait alors omnibuler. Et le moment venu voilà que j’avais alors pris les choses en main pour lui faire ce cadeau dont il avait apparemment rêvait depuis un certain temps.
Notre ébat était ainsi devenu plus que jamais sauvage, passionnel, le tout dans une atmosphère où l’amour régnait en maître. Nos deux corps ne cessaient de se chevaucher, de claquer violemment l’un contre l’autre. Mes coups résonnaient autant que les cris qu’il pouvait laisser échapper, toujours de plus en plus fort. Je ne regrettais pas d’avoir abandonné le rôle de soumis que j’avais adopté depuis nos retrouvailles, pour prendre celui du dominant aujourd’hui. Je mettais même tout mon coeur dans ce nouveau rôle. Il voulait voir en moi l’homme viril et amoureux que j’étais, j’allais lui montrer sans prendre de pincettes. En effet, je n’y allais pas de mains mortes avec lui, j’enchainais les coups violents et abondants tout en prenant soin de ne lui laisser la possibilité de prendre le dessus, étant donné qu’il se retrouvait à moitié attaché. Finalement dans le feu de l’action, mon envie de lui faire l’amour dans les moindres recoins de notre suite, nous emmena à nous retrouver sur le bar de la chambre où il vint à m’attendre les cuisses écarter, un véritable appel à la débauche. Je me retrouvais alors maintenant à lui infliger à nouveau la puissance de mes coups de reins, alors que je le sentais proche de libérer tout son plaisir, d’atteindre l’orgasme d’un instant à l’autre. Sentant ainsi ses mains venir agripper mes fesses, quelques mouvements plus tard c’est ainsi qu’il libérait son éjaculation contre mon torse, ce qui me fit grogner à mon tour de plaisir. Ralentissant alors mes mouvements pour ne pas lui gâcher ce moment de pure plaisir, je l’embrassais à pleine bouche, cherchant à être plus tendre. Le laissant finalement s’allonger sur le bar pour reprendre ses esprits, je venais à caresser du bout de mes doigts son torse tout en descendant le long de ses abdos, restant admiratif de son corps sculpté à la perfection « Tu es divin mon amour … » Me penchant sur lui pour lui voler un nouveau baiser, je commençais de léger mouvement de bassin pour accompagner ce dernier, avant de reprendre « J’ai envie de terminer ça sous la douche … » Restant ainsi en lui je lui fis signe de s’agripper à mon cou à l’aide de ses mains, ainsi que de resserrer ses jambes autour de ma taille, pendant que je le soulevai de mes bras pour l’emmener jusqu’à la salle de bain. Là je le posais sur le lavabo, tout en me retirant délicatement de lui. Mon sexe était toujours en érection et il ne demandait qu’à continuait ce que l’on avait commencé, même si mon tour d’atteindre l’orgasme n’était pas loin. Je lançais alors l’eau de la douche et une fois à bonne température, je l’invitais à me rejoindre. Une fois à ma hauteur, je laissais mes instincts sauvages prendre le dessus et venait alors à le plaquer contre la paroi en verre de la douche. Là, je le pénétrais à nouveau sans le prévenir et tout en lui donnant de nouveaux coups violents, je venais à mordre le lobe de son oreille. Nos deux corps étaient collés l’un à l’autre, seul le mouvement de mon bassin à son encontre faisait venir claquer dans un bruit sourd. Quelques minutes s’enchainèrent quand finalement à mon tour je laissais échapper mon orgasme dans un râle de plaisir. Restant comme ça quelques instants, nos deux souffles faisaient écho au son de l’eau ruisselant sur nos corps chauds et abîmés par notre ébat animé. Me retirant pour de bon de lui, je le laissais se retourner face à moi, avant de l’embrasser de tout mon amour. Plongeant mon regard dans le sien je lui laissais entendre le fond de ma pensée « Je t’aime plus que tout Andrea, ne me quitte jamais, je ne survivrai pas cette fois-ci … » Je le serrais ainsi dans mes bras, profitant de cet instant que je gravais dans ma mémoire à jamais.
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Sujet: Re: Paris, Paris s'éveille (Aaron) [Pas pour les enfants -18] Lun 11 Mai - 22:33
You can stay with me, baby.AARON&ANDREA;
You want everyone to think you're above it all... but I can see right through you.
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You say having feelings makes me weak, but you're weak for hiding from them.
Je n’avais jamais imaginé pouvoir ressentir un jour de nouveau un tel plaisir euphorisant. Il n’y a qu’avec Aaron que je peux ressentir un sentiment aussi puissant et euphorisant qu’est l’amour. Notre première fois à tout les deux a été parfaite, tout simplement. C’était dans ma chambre alors que ma mère était en soirée et nous avais laissé la maison à nous deux. Bien sûr j’avais sauté sur l’occasion pour goûter aux joies d’un ébat amoureux avec lui, seulement quelques petites semaines après notre mise en couple. Et, depuis notre séparation tumultueuse, je n’avais pas trouvé d’homme à sa hauteur, en même temps je n’ai jamais trop cherché à retrouver une relation après Aaron. Je ne parvenais pas à l’oublier, ce qui était un sacré frein pour me reconstruire. Ma famille, même si elle adorait tout particulièrement Aaron, avait essayé de m’aider à passer à autre chose, sans aucun succès. Aaron était cette personne que l’on ne peut rencontrer une seule fois dans sa vie, et encore quand le destin le décide.
Depuis nos retrouvailles, et même depuis que l'on s’était revu dans mon bureaux. nos deux corps s’attiraient tels des aimants. Incapable de résister à la tentation qu’il représentait, j’avais faibli dès les premières secondes de nos retrouvailles. Et depuis j’avais l’amour qui coulé dans toutes les veines de mon corps. Il était ma drogue, et je n’avais aucunement l’intention de m’en sevrer. Depuis notre entrevue au bureau, j’ai su que je ne pourrais pas résister à l’appel de la tentation qu’il représentait. Et depuis j’étais véritablement accro à lui et à son corps plus que parfait à mes yeux. Bien sûr j’adorais profiter de son corps sous toutes les coutures, mais j’avoue que j’avais une légère frustration de n’être jamais dans la position de dominé. Même s’il n’y avait jamais de rôle bien défini entre nous, c’était selon l’envie du moment, et parfois on enchainait les deux rôles. Mais depuis quelque temps j’étais totalement obsédé par le fait qu’il puisse, enfin me dominer. Il avait avorté toutes mes tentatives d’inverser les rôles. J’avais désespérément attendu sans rien dire pour autant mais je n’avais pas pu me retenir aujourd’hui. Et j’avais bien fait.
Parce que maintenant c’était littéralement bouillant entre nous, cette suite d’hôtel se réchauffait grâce à la chaleur de nos deux corps. Des bruits obscènes pour autrui se faisait entendre dans la pièce. Je laissais entendre audiblement des sons de plaisirs sous ses accoups. C’était bien trop fort pour mon esprit. Je n’avais jamais ressentis autant de plaisir, comme si l’attente rendait encore plus fort le plaisir. C’était un fait avéré que les choses rares sont excellentes. Et bon sang laisser Aaron prendre complètement le dessus sans que même je n’y oppose la moindre résistance était totalement exhaltant. Je ne sais plus où je suis, la seule chose dont j’ai pleinement conscience, c’est d’Aaron en moi, violemment, entièrement. C’était bon, c’était fort, c’était euphorisant même. En faisant ma demande, je ne pensais pas une seule seconde que le plaisir serait au summum de ce que j’ai pu connaître et pourtant c’est le cas. Mais j’ai à peine le temps de me rendre compte que j’étais détaché qu’on bougeait pour gagner le bar. Le froid, la frustration de ne pas le sentir en moi font de ma personne un vrai débauché, mais il n’y a que lui qui peut me voir ainsi. Je grogne de plaisir alors que je le sens m’emplir de nouveau. Près de l’explosion, je m’accroche là où mes mains trouvent appui, et plus particulièrement sur une partie de son anatomie que j’affectionnais tant. Quelques secondes plus tard je me libère contre lui dans un puissant râle qui me couple le souffle. Essayant de retrouver une respiration normal, je m’effondre sur le bar, passant une main sur mon visage… « Mon dieu… » Je souffle longuement, encore dans le moment de l’extase, je n’ai aucune envie de redescendre sur terre là. Ma peau frissonnant sous le passage de ses doigts, j’émet un râle de plaisir, plongeant mon regard dans le sien. « tu es plus que parfait toi aussi mon amour » Je glisse mes doigts dans sa tignasse décoiffée avant de prolonger avidement son baiser. Dévorant littéralement sa bouche, je grogne alors qu’il s’éloigne. Mais mon érection revient très rapidement sous son insinuation. Accrochant mes mains comme il me le demande, j’enfouis mon visage dans son cou et j’en profite pour grignoter son cou et y apposer ma marque. Je m’y applique tandis qu’on se dirige, enchevêtrés, vers la salle de bain. M’appuyant sur le lavabo, je ne le quitte pas du regard. Mes yeux glissant sur ses fesses rebondies, ma langue passe sur mes lèvres, il est un véritable appel à la luxure. Et il est surtout à moi. Je me perd dans la contemplation de son corps avant de le voir me tendre la main. Je sort de mon hébétude avant de m’en emparer, mais j’ai à peine le temps de faire un pas que je me retrouve plaqué contre la paroi de douche, face contre le mur. Alors que j’allais protester je pousse un cri de douleur et plaisirs mêlés, mon homme ne me donnait aucun répit. Attrapant ses mains, je croisais nos doigts tandis que je cherchais à avoir plus de contact avec son corps. J’étais avide de lui, accro à son corps et à la perfection qu’il représente. Gémissant de manière obscène, je me libère une seconde fois, en même temps que lui. Posant le front sur le mur, bien plus froid que mon corps bouillant, je reprend mon souffle après ce second orgasme qui vient de ma faucher. Me retournant, avant de le prendre contre moi, je dépose un baiser sur son front avant de glisser mes bras dans son dos en de tendres caresses tandis que nos langues s’entremêlent. Le baiser est doux, rempli de promesses. Je caresse sa joue avant de sourire. « Je ne t’ai pas demandé en mariage pour te quitter un jour… » Glissant ma main dans ses cheveux, je pose mon menton contre sa tempe. J’étais au comble du bonheur. « Quoique je veux bien te redemander en mariage chaque jour qui passe si c’est aussi intense entre nous bébé… »