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 Welcome to the Mad House ALIKIM

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Alice Kensington-Crowlley




Alice Kensington-Crowlley
ADMIN & POSH - la reine mère


☆ date d'arrivée : 06/12/2014
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MessageSujet: Welcome to the Mad House ALIKIM   Welcome to the Mad House ALIKIM EmptyLun 16 Nov - 22:31

Welcome to the mad house
Eliakim & Alice
Elle regarda l'appartement et soupira. Un sourire flottait sur ses lèvres alors qu'elle fit le tour des pièces. Dans la chambre il ne restait qu'un placard mural. Ils en avaient des nouveaux, ils n'en auront pas besoin. Tout comme le lit, qui resterait là comme relique d'un passé révolu. Dans la salle de bain il ne restait aucune trace de la moindre vie, de la moindre existence, de la moindre présence. Sans parler de la pièce à vivre. Ce salon immense, ouvert sur la cuisine et une partie salle à manger. Il ne restait rien. Le canapé, le meuble télé, les cadres photos, l'horloge murale, la table. Tout cela était dans le camion de déménagement qui se trouvait à présent devant leur nouvelle maison. Mais elle avait besoin de réaliser ce qu'il se passait, alors elle était restée seule un moment dans cet appartement.
Elle n'avait vécu ici, officiellement, que trois mois. Depuis son retour mi-Août pour son homme. Mais cet appartement elle y avait tout connu. C'est là qu'elle avait réalisé qu'elle était amoureuse d'Eliakim, un soir alors qu'il lui avait fait visiter, la faisant venir pour lui faire l'amour. Peut être la deuxième ou la troisième fois qu'ils se retrouvaient pour ce genre d'activité. Il lui avait fait l'amour dans son lit, au début de l'automne. Il faisait encore bon à l'extérieur, et il avait laissé la fenêtre entre-ouverte. Nus, allongés sur le lit, elle avait regardé les lueurs du coucher de soleil éclairaient la peau d'Eliakim. Sa peau s'était illuminée d'une lueur mordorée surnaturelle. Ses cheveux cuivrés, son regard brillant, et chaque muscles saillant, brillant sous les perles de sueurs qui coulaient sur sa peau. Elle avait souri, s'était glissé jusqu'à ses lèvres et l'avaient embrassé. Durant cet instant elle était en paix avec elle-même. Durant cet instant elle sut que son inclination pour Eliakim était évidente. Elle était amoureuse, éperdue, de cet homme. Puis le soleil avait disparu. Elle s'était levée, et était partie, refusant de se laisser aller à de telles sentiments dans les bras d'un professeur.
Dans cet appartement ils avaient ri tous les deux, se taquinant comme des enfants. Il avait essayé de la faire jouer à des jeux vidéos avec des êtres qui s'entretués. Elle était incapable de tirer, viser, et bouger en même temps, déclenchant les moqueries et l'hilarité chez son homme. C'est ici que leurs vies avaient été brisés. La première fois quand elle avait perdu la face, lui dévoilant qu'elle jouait avec lui pour le compte de leur père. Ce soir-là elle lui avait arraché le coeur, et il avait répondu par la violence pour la première fois. Certes, il ne l'avait pas frappé réellement, mais la violence de sa réaction avait terrifiée la jeune femme. Elle prit conscience de la force de leurs passions amoureuses. C'est ici qu'il l'avait brisé, qu'elle avait perdu leur enfant, qu'il avait perdu l'esprit, qu'il avait failli mourir. C'est ici qu'ils s'étaient retrouvés, et qu'ils s'étaient cherchés, essayant de trouver la confiance entre eux.
Cette appartement était le fief de leur amour depuis six ans. Un passé, fait de douleurs, de souffrance, de trahison, de cruauté, de peur, de larmes. La naissance d'un amour terrible et passionné. A présent leur amour avait mûri. Ils avaient grandi. Et il était temps qu'ils laissent tous ces souvenirs derrière eux. Ils prenaient un nouveau départ, une nouvelle vie, sans erreur. Une vie où ils seront enfin heureux, ensemble, et capable de penser à l'avenir. Elle souriait, disant adieu à ces souvenirs terribles mais qui l'avaient forgée. Elle soupira, quitta la pièce à vivre, ouvrit la porte, et la ferma - à clé - derrière elle sans se retourner.

Son homme l'attendait en bas de l'immeuble avec leur agent immobilier. Alice alla dans les bras d'Eliakim. Il y a quatre jours elle lui avait demandé à déménager rapidement. Ses règles l'avaient empêchés de le faire avant. Mais ils avaient réussi à terminer les cartons pour leurs affaires personnelles et importantes. Pour le reste ils avaient fait appel à des déménageurs. Elle sourit à son homme et tendit les clés à l'agent immobilière. Eliakim avait le choix entre vendre ou louer son appartement. Il choisira. Alice n'avait pas vraiment son mot à dire, et elle n'en avait cure. Pour sa part elle préservait son Duplex. Dans l'espoir qu'Oliver revienne un jour. Et le louait à quelques étudiants en attendant, de temps en temps.
Elle monta dans la voiture - et prit le volant pour une fois - et attendit que son homme la rejoigne. Une fois qu'il fut à ses côtés - muni de leurs nouvelles clés - elle se tourna et lui sourit, mettant le moteur en marche. « Que notre nouvelle vie commence ! Alors... Heureux ? »  Demanda-t-elle avant de s'engager sur la route. Ils mirent dix minutes à rejoindre leur nouveau quartier. Incroyablement calmes, terriblement riches, leurs voisins avaient de magnifiques villas, avec piscine et voiture de luxe. Elle tourna vers leur portail, et monta l'allée jusqu'à arriver devant les garages. Près du camion de déménagements. « Allons dire à ces hommes où poser nos affaires. Sinon notre maison ne ressemblera à rien ! » Dit-elle, surexcitée, avant de sortir de la voiture pour aller dans la maison. Il n'y avait rien, à part des grands espaces. Les déménageurs avaient ouvert le camion, et commençaient à descendre les grands meubles. A commencer par les tables, et les canapés que le couple avait décidé de garder. Peu de chose au final. Le camion de livraison avec les nouveaux meubles arriveraient plus tard. « Du coup que fait-on mon coeur ? On prend la grande chambre du fond ? Et une fois que ces hommes ont tout poser on ... profite de notre nouveau chez nous ? » Proposa-t-elle avec un air pervers.
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Eliakim A. Crowlley




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MessageSujet: Re: Welcome to the Mad House ALIKIM   Welcome to the Mad House ALIKIM EmptyMar 17 Nov - 13:02

Alikim

« Welcome to the Mad House. »

Il inscrit sa signature sur quelques papiers encore, en compagnie de l'agent immobilier. Un dernier sourire pour elle et voilà qu'il lève la tête pour regarder son ancien appartement. Il a vécu énormément de chose ici, le départ de Maxime, ses premiers mois en tant que professeur, la première fois avec Alice, toutes les autres fois où ils ont fait l'amour ici. C'est ici qu'ils ce sont aimés, détestés, déchirés. Les pires disputes étaient dans son appartement, les fois où il a voulu se suicider c'était aussi ici, dans son salon. Ce lieux renferme tellement de bon et de mauvais en même temps, qu'il a besoin de tourner la page pour redémarrer une nouvelle vie. C'est aussi ici qu'il a emmené Summer, son petit chien, pour la première fois. L'animal courait dans le salon, joyeux, en mordillant tout ce qui lui passait un peu trop prêt. Adorable, mignon comme tout, c'est devenu sa maison. Il regarde cette rue où il ne reviendra quasiment plus avec un petit air de nostalgie, il a également fait venir beaucoup de personne ici, d'amants et d'amantes pour oublier ses nuits trop calme loin de la personne qu'il voulait vraiment. Oui trop de souvenirs, un passé très lourd pour qu'il puisse continuer à vivre ici. Dans la poche de son jean son téléphone vibre, signe qu'il vient de recevoir un sms. En ouvrant le message, il constate qu'il vient de l'entreprise où ils ont achetés leurs meubles neufs. Ils préviennent qu'ils seront livrés en début d'après midi, dans trois heures. Eliakim répond qu'ils les attendront et alors qu'il range son portable, sa femme revient vers lui toute joyeuse. Il la réceptionne dans une étreinte très douce et dépose un baiser sur ses lèvres. Il se retourne et alors qu'il donne les clefs du camion de déménagement à sa femme, il regarde une dernier fois la façade de son immeuble. C'est aussi ici qu'il a recouché avec Maxime. Eliakim baisse la tête et monte dans le camion. La voix guillerette de sa femme l'accueille alors qu'il la laisse conduire, pour une fois. « Très heureux oui ! J'ai hâte d'être installé chez nous. Et toi ? » Lui répond le professeur avec ce même sourire. Elle démarre, ils roulent dans Oxford en quittant ce quartier populaire pour rejoindre un quartier très calme et huppé. Ils passent devant quelques maisons où des voitures de collection sont rangés dans l'allée. « La notre est la plus grande et la plus belle... » Constate Eliakim en regardant leur maison se dessiner devant eux. Ils arrivent, ils sort du camion et constate que quelques déménageurs sont déjà là. « Allons dire à ces hommes où poser nos affaires. Sinon notre maison ne ressemblera à rien ! »

Il rit et l'attrape par la main mais avant de rentrer chez eux, elle le retient pour lui parler. « Du coup que fait-on mon coeur ? On prend la grande chambre du fond ? Et une fois que ces hommes ont tout poser on ... profite de notre nouveau chez nous ? » Une image tellement perverse passe dans son esprit alors qu'il vient l'embrasser tendrement. « C'est comme tu veux pour la chambre... » Murmure Eliakim en l'embrassant dans le cou, lentement, d'une façon qui veut dire je-vais-te-faire-l'amour-bientôt et qui embrase généralement très vite sa femme. « De toute façon tout m'ira pour baptiser cette maison... » Ses mains glissent sur les fesses bien fermes de son épouse alors qu'il presse ses mains dessus, d'un air gourmand et pervers. Là, en relevant les yeux il croise le regard choqué d'une voisine. Âgée d'une soixantaine d'année bien tassée, richement habillée mais ayant tout de même un air de poisson sortant de l'eau, elle fixe le couple avec la bouche pincée. Malaise. « On vient de choquer notre première petite vieille... Ce n'est qu'un début ! » Il rit, adresse un sourire d'excuse à cette vieille femme et prend la main d'Alice pour la guider à l’intérieur. Un rapide tour sur lui même lui fait constater comme cette maison est grande, belle, magnifique même. « Les meubles seront livrés en début d'après midi. Et Rae nous ramène les monstres ce soir. » Sa meilleure amie a acceptée de garder Ocklahoma, Summer, Chester et Kinaï pour la journée, afin que le déménagement se passe bien et que les animaux ne soient pas au milieu. Il croise deux déménageurs qu'il salue d'un signe de tête alors qu'ils déchargent les rares meubles qu'ils ont dans le camion, ils n'ont pas gardés grand chose, seulement les canapés et les tables qui sont neuve. Tout le reste est la-bas, ils en feront ce qu'ils en veulent. D'ailleurs Eliakim doit penser à vendre son appartement, il ne compte pas le garder de toute façon. Trop de souvenirs dans ces murs, un passé trop lourd dont il a besoin de tourner la page. C'est aussi dans cet appartement qu'Alice a arrêtée de respirer et ça, c'est un traumatisme pour lui. Sans parler du fait qu'elle a perdue leur bébé dans son salon, également. Il la guide jusqu'au jardin où une grande piscine magnifique les attend. Doucement il vient se placer derrière elle et approche sa bouche de son oreille. « Je te ferais l'amour dans cette piscine... » Murmure Eliakim, joueur.

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MessageSujet: Re: Welcome to the Mad House ALIKIM   Welcome to the Mad House ALIKIM EmptySam 21 Nov - 21:46

Welcome to the mad house
Eliakim & Alice
Ils allaient emménager dans une maison. Dans une grande maison, où ils pourront se créer une vie de famille. Ils allaient y recevoir leurs amis. Ils allaient y faire des repas de familles, et des soirées pantoufle à regarder la télévision, mangeant tous les deux des sucreries. Ils allaient s'y disputer, sans doute, parce qu'ils étaient pas fichus de ne pas se disputer pour des conneries. Et puis avouons qu'un couple qui ne se dispute jamais, ça n'existe pas. L'amour va de paire avec la peur de perdre l'autre, et avec la peur de ne pas être à la hauteur. Alors les mots violents fusent, preuve de cette angoisse inhérente à la relation amoureuse. Mais c'est sans doute là aussi qu'ils vivront leurs plus belles années. C'est là qu'elle apprendra qu'elle est enceinte, qu'ils élèveront leurs enfants. Ils feront des gouters d'anniversaire grandioses, des fêtes d'Halloween terrifiantes. Ils loueront pour des américains l'été, ou à des étudiants quand leurs enfants iront faire leurs études. Soudain elle sentit le vertige de l'avenir lui enserrer la gorge. Elle avait envie de tout cela, c'était sûr, mais elle n'était pas encore prête pour tout cela. Elle devait avancer pas à pas. Et pour le moment elle devait emménager dans cette maison pleine de nouvelle promesse.
Elle laissait derrière elle toutes ses angoisses. Elle prenait le partie d'aimer. Elle avait décidé de se laisser aller à aimer. Quitte à changer, quitte à ne plus être vraiment elle-même. Sa réputation à Oxford n'était plus à faire, et avec les hauts et les bas qu'Eliakim et elle avaient traversé ils étaient devenus LE couple Oxford - titre donné par l'Oxymoron si ce n'était pas merveilleux. Elle n'avait pas de crainte à avoir. Apparemment les gens étaient toujours de grands fans des histoires tragiques. Pour l'heure elle se laissait aller contre son homme alors qu'ils arrivaient dans leur nouveau quartier. « La notre est la plus grande et la plus belle... » Nouvelle vie, et toujours cette prétention formellement masculine. Elle avait entendu dire que tous les hommes un jour avait mesuré leur pénis pour savoir qui en avait la plus grande. Et apparemment cette ferveur pour la grandeur ne changeait pas avec l'âge. Levant les yeux au ciel la jeune femme changea de sujet, se mettant tout de suite en mission d'amménager leur nouvelle maison.
Alors qu'elle regardait les déménageurs descendre les quelques cartons et les meubles qu'ils avaient dans le camion, Eliakim vint la rejoindre. Elle lui posa la question sur la chambre qu'il voulait aménager. Ils n'auront pas des enfants tout de suite, mais sans doute d'ici un ou deux ans. ALors peut être qu'il voulait déjà préparer les pièces pour les bébés qu'ils auront ? Pas tout de suite, mais bientôt. Alors peut être qu'ils devraient tout de suite prendre la plus grande des chambres. Ou alors utiliser la chambre la plus proche de la sortie, pour ne pas être au fond d'un couloir sombre, tous les deux. Elle ne sait pas. Ca faisait bien longtemps qu'elle n'avait pas vécu dans une maison aussi grande. Et encore, la maison de son père à Londres n'était pas aussi immense. « C'est comme tu veux pour la chambre... » Elle n'en doutait pas. Elle croisa le regard lubrique de son homme et se tourna vers lui, mettant ses bras autour de son cou. « De toute façon tout m'ira pour baptiser cette maison... » Elle laisse un rire lui échapper, heureuse de ses taquineries, et de cette complicité entre eux. Elle adorait cela. Jamais elle ne pourrait s'en lasser. « Je n'en doute pas, et nous allons nous y affairer dés ce soir. »  dit-elle en haussant un sourcil, alors qu'il venait lui voler un baiser qui avait tout sauf de la chasteté. Il semblait ivre d'elle, et elle ressentait ce désir l'envahir à son tour. Elle avait envie d'être nue et de courir dans leur maison pour qu'il l'attrape... Putain des idées torrides commençaient à naitre dans son esprit. Le baiser s'arrêter, et Eliakim se tourne vers la rue, où une femme d'un certain âge les regarde outrée. « On vient de choquer notre première petite vieille... Ce n'est qu'un début ! » Murmura-t-il alors qu'elle sent le rouge lui monter aux joues. Oui, apparemment. Alors qu'Eliakim fait un signe vers la voisine avant de tourner les talons, Alice regarde la jeune femme. « Bonjour Madame ! J'espère vous voir à la pendaison de crémaillière ! »  Dit-elle avec un sourire immense. Que la vieille dame lui rend, sans vraiment savoir à quoi s'attendre.

Hilare, la jeune femme tourne les talons, et se rend dans la maison avec Eliakim. Il regarde un instant son téléphone alors qu'elle montre aux déménageurs où placer le canapé qu'ils ont gardé. « Les meubles seront livrés en début d'après midi. Et Rae nous ramène les monstres ce soir. » Elle acquiesce, et sourit en imaginait Rae avec leurs quatre compagnons. Il faut dire que si Summer et les chats écoutent naturellement l'irlandaise, Oklahoma est beaucoup moins adorable, fixant Rae comme pour sonder son âme. Cette chienne a un caractère de merde. Tout comme Rae. Au final elles s'entendent surement très bien. Passons. Alors que les déménageurs viennent poser la centaine de cartons contenant les affaires du couple Eliakim va dans le jardin. Alice se tourne vers eux. « Les cartons qui sont marqué Chambre vous les amèneraient à l'étage. » Ils font un geste vague pour signifier qu'ils ont entendu l'ordre. Elle sourit avant de retrouver son homme.
Dans une étreinte tendre il vient la prendre dans ses bras. « Je te ferais l'amour dans cette piscine... » Cet homme est un pervers que rien n'arrête, pense-t-elle. « Et dans la cuisine, la maison des invités, les chambres... Tu me feras l'amour partout chéri. Absolument partout. Mais avant nous devons attendre que les déménageurs partent, et nous devons ranger nos cartons. » Dit-elle en se tournant vers lui, l'embrassant tendrement sur la bouche. Pendant une dizaine de minutes, ils profitent de la douceur de la journée, alors que les employés terminent de vider tout ce qu'ils doivent à l'intérieur. Alice en profite pour prendre une cigarette et la fumer distraitement. « Tu as eut des nouvelles de Liam ou des Crowlley ? Maintenant qu'on a une grande maison on va pouvoir faire de grands repas avec tous nos amis et notre... famille. »  dit-elle avec un sourire rêveurs aux lèvres.
Quand les déménageurs terminent enfin leur travail, elle rentre, leur donne quelques billets pour les remercier, et les laisse partir. Enfin seul. « On a de quoi manger chéri ? On commence le rangement tout de suite ? » Demande-t-elle à son homme, surexcitée à l'idée de s'installer enfin dans leur chez eux.
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MessageSujet: Re: Welcome to the Mad House ALIKIM   Welcome to the Mad House ALIKIM EmptyLun 23 Nov - 17:18

Alikim

« Welcome to the Mad House.  »

Moment tellement parfait, être superbe qui se dessine sous ses yeux. Tant d'amour, de tendresse pour une personne. Jamais il n'aurait cru pouvoir aimer autant, pouvoir être en symbiose avec lui même sans se poser de question. Son être tout entier est reposé, il se sent bien. En phase avec lui même, son passé, son présent et surtout son futur qui se dessine joyeusement sous ses yeux. Il y a encore quelques mois Eliakim se levait le matin pour réussir sa vie, voir son nom expos dans les magasines scientifiques. Il ne croyait pas en l'amour et en l'adoration totale, seulement il se levait, travaillait, baisait et recommençait le lendemain. Maintenant il se lève pour Alice, si il réussit professionnellement c'est pour elle et pour lui apporter tout ce qu'elle veut. Cette maison est le reflet de son amour, d'une nouvelle vie et d'un nouveau départ dont ils ont besoin. Elle a bien râlé lorsqu'il a signé le chèque en premier, le traitant de macho et râlant sur le fait que si elle joue à l'enfant, il ne devra pas la traiter de capricieuse. Mais c'est ainsi qu'il l'aime, enfant, gamine, capricieuse et tellement adorable. En regardant cette maison immense il sourit, ici ils vont vivre leur première expérience de couple, leur premier enfant, la pendaison de crémaillère, les repas en famille. Tout ce qu'il n'a jamais vécu lorsqu’il était enfant lui même. Pas le temps, pas envie, jamais à la maison, il aura été incroyablement seul et il ne veut pas imposer cela à ses enfants lorsqu'il en aura un jour. Eliakim sera un père présent et attentionné, il le sait. Par réflexe il le sait, il le sent. Mais ce n'est pas le moment de penser à des enfants, ils doivent d'abord s'installer et profiter de leur vie de couple avant d'envisager d'avoir un bébé, ils ont besoin de se retrouver avant de s'occuper d'un autre être qui quémandera toute leur attention et leur temps. Ils se retrouvent à peine, ils apprennent encore à se connaître et à vivre ensemble, ils ont besoin d'être seulement ensemble. L'idée et l'image le frappe en plein fouet alors qu'elle vient l'embrasser d'une façon très tendre, comme une jeune fille qui embrasse son petit amie. On dirait deux adolescents qui se retrouvent derrière le gymnase, essayant vainement de se cacher des professeurs et des parents. Elle est magnifique, tellement parfaite que son cœur rate un battement sous cette perfection brute.

Alors qu'il part vers le jardin, il entend sa femme donenr quelques ordres mais sans pour autant distinguer les mots qui sortent de sa bouche. Satisfait, Eliakim sort une cigarette de son paquet et l’allume tout en regardant la piscine devant lui. Ils passeront des moments magiques ici, à jouer dans cette piscine. Il devra inviter Liam, Lucia, le petit et Rae lorsque le soleil reviendra. Une partie de volley-ball s’impose. Sans parler d'Anastasia, Lily et Ezeckiel. Car d'ici là son amie sera avec le musicien. Il a tellement hâte de recevoir tout le monde, ce sera parfait. Une vie qu'il voulait sans oser le formuler, une vie rêvée qui pourtant lui faisait peur sans qu'il n'ose le dire. Comme toute personne qui n'a pas toujours eu de chance et qui a peur de l'avenir, Eliakim craignait énormément de s'engager ainsi. Et finalement, Alice l'aura mis en confiance. Elle revient vers lui, il l'embrasse doucement. Ensuite il prend une taffe de sa cigarette et recrache la fumée tout en regardant au loin le soleil briller bien haut. « Nous avons une vue magique ici. » Constate le professeur. Elle énumère les lieux où ils pourront faire l'amour, un grand sourire naît sur les lèvres du professeur. Partout, cette maison sera leur zone de jeux. « Tu as eut des nouvelles de Liam ou des Crowlley ? Maintenant qu'on a une grande maison on va pouvoir faire de grands repas avec tous nos amis et notre... famille. » Lui demande la belle alors qu'il tire une latte de sa cigarette. « Aedan et Mischa viennent, je vais harceler Mischa pour qu'il ne décommande pas. Je pense que mon frère à une fille dans le nez... Je dois mener l’enquête. » Sourit le professeur en embrassant encore sa femme. « Et Arabella je ne sais pas encore. Elle viendra sans doute. Et pour toi ? Angelus peut venir ? » Demande le professeur, il aimerait rencontrer le cousin de sa femme. Il n'a jamais eu la chance de le croiser, n'enseignant pas dans le même bâtiment, il n'a jamais pu lui parler. « On a de quoi manger chéri ? On commence le rangement tout de suite ? » Il termine sa cigarette et rentre dans la maison après sa femme. Les déménageurs sont partis, libérant l'endroit et laissant au milieu du salon quelques cartons. « Nous irons chercher traiteur. Où Pizza. Où McDo. Où Chinois tiens ! » Il attrape un carton et avec un sourire, fait mine de le lancer vers sa femme en criant « Attrape ! » Il ne le lance pas évidemment, mais voir le visage choqué de sa femme lui arrache un éclat de rire franc. « En même temps mon amour, comment veux-tu ranger sans aucun meuble ? Ils arrivent dans deux heures... » Eliakim laisse tomber le carton sur une autre pile et avec un sourire, s'approche de sa femme. Juste devant elle, il ôte son tee-shirt et le balance dans la pièce. Là sans prévenir, il porte sa femme tel une jeune mariée et lui sourit. « Toi tu as ton devoir conjugal à assurer sur l'unique meuble confortable de la maison ! » Lance le professeur en montant les escaliers pour rejoindre la chambre où les déménageurs ont posés le canapé qu'ils ont gardés. Il s'approche du canapé et dépose son épouse dessus. « Je t'aime... » Murmure le professeur en venant l'embrasser passionnément.

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MessageSujet: Re: Welcome to the Mad House ALIKIM   Welcome to the Mad House ALIKIM EmptyMer 25 Nov - 19:00

Welcome to the mad house
Eliakim & Alice
Ils sont dans leur maison à eux. Une maison qu'Eliakim avait offert à Alice, donnant le chèque d'un montant exorbitant à l'agent immobilière. Une maison payée cash, sans plus de réflexion que cela. Il avait eut un coup de coeur. Quand il était rentré dans cette maison son visage c'était illuminé et elle a sut que c'était la bonne. Elle s'était imaginée Eliakim voyant cette maison comme la maison familiale qu'il n'avait jamais eut. La famille dans les familles de la haute ce n'était pas vraiment quelque chose de simple. Elle ne connaissait pas une seule famille bourgeoise où la famille était au centre des attentions. Une famille où on se rejoint pour dîner le soir autour d'un bon repas cuisinait à plusieurs. Une famille où on échange des idées, et des nouvelles sur la journée que les uns et les autres ont passé. Une maison où on porte attention aux angoisses des enfants, plutôt que sur les repas d'affaires avec quelques associés veineux. Elle savait qu'Eliakim avait bien plus souffert qu'elle de cette situation. La raison en était d'un père violent, punissant injustement son fils. Parce qu'il avait embrassé un garçon. Parce qu'il ne voulait pas reprendre l'affaire familiale. Parce qu'il était un homme intelligent et libre. Parce qu'Eliakim avait toujours su qu'il serait libre de ses choix, et qu'il se battrait pour cela. A tout son opposé Alice avait toujours joué le jeu. En même temps elle était faite de la même matière que son père, il était facile pour elle d'être la fille qu'il attendait. D'être l'héritière de son empire dans la communication. D'être la futur PDG des entreprises Kensington. Son père ne lui aurait jamais fait le moindre mal. Elle n'avait pas souvent eut de grands repas où chacun s'écoutait, mais elle s'en fichait. Elle savait que son père prenait soin d'elle, la protégeait, envers et contre tout. Et elle faisait de même. C'est tout ce qui comptait pour elle.
Pas pour Eliakim. Lui, il était un meilleur homme que son père, là où Alice espérait simplement se lever comme l'égale du sien. Eliakim voulait une famille unie. Cette maison était à l'image de son envie. Elle était faite de bois et de pierre, des matériaux qui la rendait chaleureuse et confortable. Il y avait une cheminée centrale, des grandes pièces à vivre, et une cuisine ouverte sur le salon. C'était une maison familiale, non pas celle d'un couple de bourgeois qui voulaient simplement afficher leurs richesses. Ici ils recevrons leurs amis, leur famille, ils élèveront leurs enfants. Ici ils seront heureux, elle en était sûre. Jamais elle n'aurait cru faire sa vie à Oxford, mais ce n'était pas plus mal. Après tout elle pourrait faire les allers et retours à Londres sans trop de difficulté. Et elle pourrait décrocher du boulot en revenant dans la maison de famille. Eliakim pourra continuer à donner ses cours, et elle prendrait le contrôle de leurs deux entreprises. Elle souriait à cette idée. Elle allait devenir une des femmes d'affaires les plus jeunes et les plus riches d'Angleterre. C'était excitant !

Pour l'heure ils reprenaient possession des lieux, sur la terrasse, observant leur jardin immense. Ils semblaient hors du temps. De loin ils pouvaient deviner le sommeil de l'Observatoire, mais rien de plus pour prouver qu'ils se trouvaient à Oxford. De la vieille pierre et beaucoup de verdure. C'était reposant.
« Nous avons une vue magique ici. » Elle se tourne vers lui et sourit. Oui. La vue était magnifique, et ils pourront en jouir toute leur vie durant s'ils le désiraient. Elle aimait cette idée, de plus en plus. Elle s'y faisait. Alors avec un naturel étonnant elle parle de l'idée de recevoir leurs familles ici. « Aedan et Mischa viennent, je vais harceler Mischa pour qu'il ne décommande pas. Je pense que mon frère à une fille dans le nez... Je dois mener l’enquête. » Elle se tourne vers Eliakim, étonnée qu'il ne soit pas au courant de toutes les rumeurs qui couraient depuis un moment sur Mischa. Il était adorable. Sérieusement ? Il n'en savait rien ? C'était mignon, vraiment. Il vivait à Oxford depuis des années mais il n'avait pas encore compris comment le jeu se jouait. « Et Arabella je ne sais pas encore. Elle viendra sans doute. Et pour toi ? Angelus peut venir ? » Elle sourit, et se penche vers lui pour l'embrasser. « T'es trop mignon. Sérieusement t'es pas au courant ? » Demanda-t-elle en souriant. Elle finit par sortir son portable et ouvrir Instagram sur le lien d'Eden. Où une magnifique photo de Mischa avec une cheval s'affiche presque tout de suite. Elle le montre à Eliakim. « Ton frère squatte de plus en plus souvent avec Eden. Ils sont pas mignons tous les deux ? Ma main à couper que c'est plus qu'une soudaine amitié. » Dit-elle en haussant un sourcil entendu. Elle aime les ragots, les rumeurs, les qu'en-dira-t-on. Il faut dire que c'est un petit peu son gagne-pain. Elle est comme Big Brother, toujours au courant de tout sur tout le monde. Elle a une petite armée de petit soldats qui sont là pour surveiller tous les faits et gestes de tout le monde et la ternir au courant aussi. « J'ai même entendu dire qu'ils ont échangé quelques baisers à la soirée d'Halloween... »  Dit-elle par avouer. Souriante. Elle adorait Eden, elle ne connaissait pas vraiment Mischa. Mais il avait l'air gentil. Un peu à l'ouest, et baroudeur sur les bords. Mais gentil. Alors ca lui convenait. « Et Angelus viendra sans doute pour Noël. Il fera tout pour éviter un repas avec mon oncle et ma tante. »  Dit-elle en levant les yeux au ciel. Ce côté de la famille était bien moins protectrice que son père. En attendant le Lord était dans les Bahamas pour Noël. Cependant, il espérait voir le couple se joindre à lui quelques jours à New-York avant la nouvelle année. Ou juste après. Elle en parlera à Eliakim. Plus tard.

Pour l'heure elle avait envie de ranger ses affaires, sortir tout ce qu'il y avait dans les cartons, comme si cela allait marquer une nouvelle vie pour les objets aussi. Comme si elle allait les re-découvrir. Mais elle avoue aussi qu'elle a faim. Terriblement faim. « Nous irons chercher traiteur. Où Pizza. Où McDo. Où Chinois tiens ! » Elle avait envie de nems. Elle réfléchit un instant, quand son homme prit un carton dans les mains et lui lança un regard joueur. Qu'est-ce qu'il... « Attrape ! » Elle sursaute d'un coup, et dans la précipitation trébuche pour se mettre en position de rattraper le carton. Sous l'hilarité de son homme. Ordure ! Choquée, la jeune femme ouvre un carton à côté d'elle avec le mot Coussins écrit au marqueur noir. Elle prend rapidement un des coussins énormes pour le lancer dans la tronches d'Eliakim. « Appelle plutôt le chinois du centre ville qu'il nous livre de quoi manger. » Dit-elle en lui tirant la langue, feignant un instant d'être vexée.
Elle regarde les cartons autour d'elle et fait mine de vouloir les ouvrir. « En même temps mon amour, comment veux-tu ranger sans aucun meuble ? Ils arrivent dans deux heures... » Il s'est approcher d'elle et elle se relève pour le foudroyer du regard, les poings sur les hanches. « Oh ca va ! Tu pourrais faire preuve d'imagination toi aussi ! » Dit-elle sur un ton moqueur, le cherchant pour ne pas avouer qu'elle est trop impatiente. Soudainement il la prend dans ses bras, sous le cris de surprise de la jeune femme qui passe ses bras autour du cou de son homme. Comme si elle était une mariée. « Toi tu as ton devoir conjugal à assurer sur l'unique meuble confortable de la maison ! » Elle part dans un rire non contrôlé. Levant les yeux au ciel. A les hommes... Voila qu'ils ont deux heures à tuer alors monsieur veut du sexe. Il la monte dans les escaliers et elle se laisse faire en le regardant. « Tu te rends compte que je ne te ferai rien tant que tu n'auras rien commander pour me nourrir ? C'est donnant-donnant... De la bouffe, du sexe. » Dit-elle en les désignant l'un et l'autre.
ils arrivèrent dans la chambre et il l'allongea sur le canapé. Pourquoi il est là lui ? Se demanda-t-elle en outre. « Je t'aime... » Dit-il en venant l'embrasser, et elle ne peut pas lui résister, elle l'embrasse en réponse, glissant ses mains dans ses cheveux. « Un p'tit coup alors ? » Propose-t-elle sans le moindre romantisme. Elle sourit, avant passer ses mains sous son propre t-shirt pour l'enlever. Elle rit, avant de venir ré-embrasser son homme, cherchant à atteindre son jean pour le déshabiller lui aussi.
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Eliakim A. Crowlley




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MessageSujet: Re: Welcome to the Mad House ALIKIM   Welcome to the Mad House ALIKIM EmptyDim 29 Nov - 1:04

Alikim

« Welcome to the Mad House.  »

Une nouvelle vie, un nouveau départ commencent pour eux alors qu'ils entrent dans cette maison immense. Ici ils connaîtront la joie d'avoir un premier enfant, des disputes, des réconciliations, des dîners en famille monumentaux. C'est avec soulagement qu'ils rentreront chez eux après des vacances, heureux de retrouver leur petit nid. C'est dans cette maison que leur enfant fera ses premiers pas, dira ses premiers mots. C'est ici sans doute dans ce salon où dans cette cuisine qu'Alice lui dira qu'elle attend son second enfant. Dans cette chambre qu'ils feront l'amour encore et encore jusqu'à s'endormir épuisé, se réveiller le lendemain et refaire l'amour encore. C'est dans cette pièce qu'il parlera au père d'Alice pour le convaincre de lui donner la main de sa fille, ce qui ne sera pas facile étant donné les circonstances. Il sait que la tache sera rude mais il veut bien relever le défis, sinon rien de tout ce qu'il espère ne sera possible. Pour elle, pour eux, pour leur avenir il veut bien se battre. Dans quelques années, leurs enfants seront à la FAC, ils auront des entreprises prospères et une vie bien remplie. Alors ils se poseront dehors dans le jardin, ils regarderont le soleil se coucher lentement avant de rentrer chez eux, dans cette maison qui aura accueillie autant de souvenir. C'est eux qui vont construire leur avenir ensemble maintenant, rien n'aurait été mieux qu'une maison neuve pour cela. Il l'a achetée cash, sans même se poser de question sous le regard ahuri de l'agent immobilière. Alice a râlé, prétextant que c'est aussi sa maison et qu'elle aurait pu payer mais déjà il ne l'entendait plus. Cette maison est un coup de cœur, le mélange de bois et de pierre, le parquet au sol, les poutres apparentes et ces ouvertures sur le monde, laissant entrer une lumière douce et chaude. C'est la maison de ses rêves, Alice semble l'avoir compris en le voyant entrer en premier.

Une odeur très chaude, une odeur de bois et de vernis flotte dans l'air. C'est tellement agréable, il s'imagine déjà l'hiver au coin de la cheminée, travaillant ses cours pendant que sa femme pianote sur son ordinateur. C'est tellement parfait. Et c'est tellement ce qu'il a toujours voulu sans oser le dire. D'un pas léger la belle le rejoint dehors alors qu'ils parlent un peu de leur famille. Il butte sur le ton moqueur qu'elle utilise alors qu'elle lui demande si il ne sait vraiment rien. Savoir quoi ? Il fronce les sourcils en se tournant vers son épouse. Alors qu'il ouvre la bouche pour lui demander, elle lui met sous le nez l'instagram d'Eden, apparemment accompagnée de Mischa. « Ils sont mignons si... » Sourit Eliakim en la prenant contre lui. « J'espère juste... Que Eden ne fera pas toucher à mon frère les saloperies qu'elle prend. On risque de pas être d'accord sinon. » Lui dit-il d'un air désolé. Il préfère être franc avec Alice même si Eden est son amie. Eliakim se rend compte qu'il développe pour ses frères et sa sœur un côtés incroyablement protecteur. Envers et contre tous il assumerait son rôle de frère aîné protecteur, il a besoin de savoir qu'ils vont bien et surtout qu'ils ne trempent pas dans les drogues. Aedan et Arabella n'y touchent pas ou pas beaucoup du moins, ça il le sait. Pour avoir l'un et l'autre dans des clubs très sélect, ils doivent avoir une image très classe. Mais Mischa, en soirée, pourrait tremper dans de la poudre surtout avec Eden. Et même si Eliakim adore cette dernière, il n'accepterait pas que son petit frère devienne accroc à cette merde. Il a tellement eu de mal à s'en débarrasser, il ne le souhaite à personne et encore moins à son frère. Très proche de Mischa, plus que de Aedan malheureusement, il refuse qu'il arrive quoi que ce soit au musicien. Mischa est fragile, bien plus que Aedan même si il refuse de le reconnaître. Et ça Eliakim le comprend, et veut le protéger pour ça.

Elle lui fait part de quelques ragots, il rit doucement avant qu'elle ne confirme la présence de son cousin au dîner. Comprenant que ce dernier a également des problèmes familiaux, il n'en demande pas plus. Finalement ils rentrent à l'intérieur alors que sa femme propose de ranger. Il évite un coussin qu'elle lui lance, tirant la langue au passage pour la faire râler. Comme toujours quand sa femme est prise de court, elle boude, ce qu'il trouve passablement adorable. Une gamine, vraiment. « Tu te rends compte que je ne te ferai rien tant que tu n'auras rien commander pour me nourrir ? C'est donnant-donnant... De la bouffe, du sexe. » Tu parles ! Il la porte dans ses bras et grimpe à l'étage avec sa femme avant de la poser sur le canapé. « Arrête de râler, tu ne peux pas résister à ça... » Murmure Eliakim en l'embrassant tout en posant les mains de son épouse sur son torse. Elle lui enlève son tee-shirt en lui proposant un petit coup, ce qui lui arrache quelques rires. « Quel manque de romantisme ! » Se désolé le scientifique en parsemant son cou de baiser mouillés. Doucement il vient lui retirer son chemisier, touchant ses seins à travers son soutien gorge en dentelle. « Tu ne voudrais pas te nourrir de mon corps d’Apollon ? » Demande le professeur en se relevant et en contractant les muscles de ses bras, dans une parodie de body-builder absolument ridicule. Alors qu'il se couche au dessus d'elle et qu'il part à l'assaut de son corps, embrassant chaque parcelle de peau qu'il peut atteindre, il entend sonner en bas. « On répond pas... » Murmure Eliakim en remontant jusqu'à ses lèvres pour l'embrasser sauvagement. Mais alors que sa main droite part à l'assaut de l’agrafe de son soutien gorge, il entend une voix masculine crier dans la maison. « C'est le livreur ! Il y a quelqu'un ? » Il sursaute et relève la tête pour croiser le regard de sa femme. « Fuck ! Ils sont en avances! » Lâche Eliakim comme ultime signe de frustration. Il se relève, rapidement, enfile sa chemise et dépose un smack sur les lèvres de sa femme. « Tu ne perds rien pour attendre toi ! » Râle le beau blond avant de redescendre en bas, sans se rendre compte qu'il a boutonné mardi avec mercredi.

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MessageSujet: Re: Welcome to the Mad House ALIKIM   Welcome to the Mad House ALIKIM EmptyLun 30 Nov - 21:43

Welcome to the mad house
Eliakim & Alice
« J'espère juste... Que Eden ne fera pas toucher à mon frère les saloperies qu'elle prend. On risque de pas être d'accord sinon. » Scepticisme. Elle se tourne vers lui, lui lançant un regard noir. Etrangement elle n'a pas cette impression en regardant les photos d'Eden et Mischa sur internet. Elle s'est même étonnée de voir la jeune femme trainée avec un homme si éloigné de leur milieu. Ce n'est pas une mauvaise chose, cela dit, jamais elle n'avait vu Eden avec un tel regard. Un regard pétillant de jeune enfant. Elle semblait vraiment apprécier Mischa, et lui semblait être quelqu'un de bien. Alice ne le connaissait pas vraiment. Tout comme elle ne connaissait que très mal son frère jumeau Aedan. Dans la famille Crowlley elle n'était proche que d'Arabella. La raison en était de l'accession au Posh club de la jeune femme. Cela leur avait permit de devenir proche en peu de temps. Alice avait - du reste - tendance à être assez exigeante avec la jeune femme. Arabella était quelqu'un d'extraordinaire qui trainait avec des personnes peu recommandable. La polémique autour de son amitié avec Noah avait fait parlé durant quelques jours à Oxford. Mais Alice n'en démordait pas : elle se méfiait de Noah comme de la peste. Son frère était un enfoiré fini. Il n'était sans doute pas mieux. Elle aurait aimé qu'il reste loin de sa belle-soeur, et elle fera tout pour éloigner cette dernière. Pour la protéger. C'était sa manière à elle de prendre soin d'elle.

Passons, rentrant chez eux le couple se recentre sur lui-même, se retrouve dans une nouvelle intimité qui les ravie et les excite. Sans aucun romantisme il la monte dans leur chambre - qui pour le moment est une simple pièce vide avec un canapé et trois cartons - se retrouve sur le canapé pour une petite séance de sexe avant l'arrivée des meubles. Mais la jeune femme meurt de faim, et quand Alice a faim rien ne peut lui changer les idées. Depuis qu'elle avait retrouvé Eliakim elle avait reprit le gout à la nourriture. Elle avait reprit gout à la vie, en générale. Elle mangeait, elle faisait la fête, elle jouissait de son intimité avec lui, et le sexe n'avait jamais été aussi bon. Vraiment. Il était terriblement bon. « Arrête de râler, tu ne peux pas résister à ça... » Dit-il en lui offrant son torse nu. Elle rit, et le fait venir à elle pour l'embrasser à pleine bouche. Qui est-ce qu'elle pense tromper ? Il y a bien une chose qui peut la distraire quand elle a faim, c'est le corps de son homme. Elle vient lui ôter son t-shirt, lui offrant une déclaration des plus terre-à-terre. « Quel manque de romantisme ! » Elle rit. Un rire crystallin et joyeux. Elle est bien avec lui. Naturelle elle ne se prend plus la tête pour savoir si elle est à la hauteur de sa réputation. Elle est juste Alice, elle est elle-même et elle adore cela. Mutine, elle le cherche, comme une enfant, jouant à cache-cache pour le faire râler. Elle aime le voir perdre patience quand elle lui refuse son corps. Elle aime le voir la dévorer des yeux quand elle se promène à moitié nue l'air de rien dans tout l'appartement. Elle aime briser le romantisme parfois très niais qui s'installe entre eux par une boutade mal placée. Rire, enfantins, ils sont heureux ensemble et cela se voit.
Doucement il vient lui retirer son chemisier et elle jette sa tête en arrière pour lui laisser plus de liberté. « Tu ne voudrais pas te nourrir de mon corps d’Apollon ? » Elle hausse un sourcil et se tourne vers lui. « Tu pense que ça va me satisfaire ? »  demanda-t-elle, comme pour mettre en cause ses dons au lit. Ils savent que c'est de l'ordre de la plaisanterie, mais cela l'amuse beaucoup. Ils s'embrassent, encore, les seins d'Alice pointant déjà vers Eliakim. Il embrasse chaque parcelle du corps d'Alice, qui gémit sous son touché, doucement. Sonnette. Elle ouvre de grands yeux, étonnée d'entendre déjà la sonnette de leur maison. « On répond pas... »   Sérieusement ? Mais déjà l'esprit de la jeune femme est en fusion : ils attendant des gens ? Les livreurs de meubles. Mais pas avant dans deux heures non ? si ? Non ? Putain. Il vient chercher ses lèvres et elle répond pas un gémissement de désir.  « C'est le livreur ! Il y a quelqu'un ? » Il IL EST SERIEUX ? Son visage change rapidement, passant de l'excitation à la colère et la stupeur. Elle est ravie d'entendre le livreur arriver, mais putain, il est vraiment rentré chez eux sans y être invité ? C'est une blague ?
Eliakim est le plus rapide des deux, se levant pour se rhabiller rapidement. « Fuck ! Ils sont en avances! » Il se penche vers elle et l'embrasse rapidement. « Tu ne perds rien pour attendre toi ! » Rire de sa femme alors qu'il s'élance dans le couleur pour rejoindre le rez-de-chaussée et aller chercher à manger. Une tout autre femme serait resté dans la chambre attendant que son amant revienne pour la satisfaire. Mais Alice est agacée. Et ses hormones la travaillant elle se lève à son tour, rattachant simplement son soutien-gorge pour rejoindre son amant. Sa chemise est ouvert, on corps à moitié dévoilé, elle rejoint son amant qui se trouve avec le livreur. « C'est une habitude chez vous d'entrer chez vos clients sans y être invité ? » demanda-t-elle d'une voix furieuse et sévère. Elle se place non loin de lui, les mains sur les hanches. Eliakim a entre les mains le contrats de livraison qu'il est en train de remplir. « J'espère pour vous qu'il ne manque rien, et vous pourrez oublier votre pourboire pour la course. Ca vous apprendra. » Le rouge sur les joues du livreur ne la calme pas, et baissant le regard il prend l'argent de la livraison avant de prendre ses jambes à son cou. Alice se tourne vers son homme et remarque son regard sévère. « Je pars en courant parce que je me suis montrée à moitié à Poil ? C'est ca ? »  dit-elle en se tournant vers son homme, un regard mutin sur le visage, laissant les livreurs commencer à amener les meubles dans la maison, le temps que son homme s'occupe de son cas.
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