(terminé) Erwan veut te voir. (Aedyes) - HOT

Aedyès.

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J e ne peux pas dire que je suis très joyeux en ce moment. En effet depuis ma dernière sortie au parc, on ne peut pas dire que j’ai eu envie de beaucoup sortir. Il faut dire que je m’étais pris un sacré râteau avec toi, Aedan. Pourtant je le savais depuis le départ que ça se terminerais ainsi. Je savais que tu ne ressentais pas les mêmes sentiments que moi. Je m’étais finalement brûlé les ailes. Mais je n’avais jamais pensé que ça m’aurait fais aussi mal. J’avais l’impression que tu as écrasé mon corps. Oui je sais c’est idiot mais je m’étais attaché à toi. Mais aujourd’hui tout était gâché, par ma seule faute. Je n’aurais jamais dû t’embrasser. Je ne pouvais que m’en prendre à moi-même.

Erwan s’était demandé où tu étais passé quand il était revenu vers moi, je n’ai pas osé dire que tu étais parti à cause de moi. Il semblait déjà t’avoir adopté. C’est pour cela que quelques jours plus tard Erwan a insisté pour passer une après-midi chez toi. JE n’avais pas pu résister et puis je t’avais donné ma parole que tu pourrais t’occuper de lui et je ne suis pas du genre à me défiler. Je t’avais donc envoyé un message pour savoir si tu étais disponible aujourd’hui pour qu’Erwan puisse passer une après-midi chez toi.

Tu avais finalement accepté, ce qui fait que je suis sur la route pour aller chez toi. Je ne suis pas très serein, je dois bien l’avouer. Je ne sais pas comment tu vas réagir, ni même comment moi je vais réagir. Il fallait que je garde mes distances. Mas tu peuplais désormais mes rêves le plus fous et je n’avais pas oublier la douceur de tes lèvres sur les miennes. Au contraire c’était même devenu une obsession. Arrivé devant ta porte j’hésite pendant plusieurs minutes avant de frapper à ta porte et attendre que tu ouvres. Je n’avais pas l’intention de m’éterniser, juste te donner le sac avec tout ce qu’il faut et m’en aller. Je ne peux pas supporter de te voir, pas encore, ça me fais trop mal. Tu ouvres la portes, et je ne peux que déglutir, tu étais toujours aussi beau. Moi j’étais banal avec mon bandeau dans les cheveux et un bermuda en jean troué assorti d’un débardeur blanc. Je laisse Erwan entré comme une fusée chez toi, sans même m’accorder un regard, fils indigne ! Je dépose le sac à l’entrée. « Salut, y a tout ce qu’il faut dans le sac, jeux et nécessaire pour faire la sieste. Je repasserais le prendre en début de soirée. » Je soupire, j’avais réussi à rester à l’essentiel, sans dériver. Mais je ne t’avais pas accorder un regard, je ne le peux pas c’est au-dessus de mes forces.

Codes par Wild Hunger.

Aedyès.

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J e ne sais plus quoi penser. Est-ce que l’amour va être un jour fait pour moi ? Je vais finir par croire que toutes les histoires d’amour que j’entreprends sont vouées à l’échec. Pourtant j’avais été mins affecté par l’échec de ma relation avec mon ex-femme, elle était bien finie avant qu’elle ne décide de mettre fins à ses jours, laissant son fils orphelin de mère. Je lui en ai beaucoup voulu, même si je n’aurais pas dû. Mais elle avait abandonné un fils sans même vouloir le connaître. Et maintenant que je me donnais une nouvelle chance à l’amour, un nouvelle chance d’être heureux, il fallait encore que je gâche tout. Bien sûr j’aurais dû taire mes sentiments et préférer préserver notre amitié, mais tout ce que j’avais cru voir dans tes regards et dans tes gestes m’avait poussé à me dévoiler, à tort. Mais j’aurais dû t’en vouloir de me laisser croire tout cela, de ne pas avoir éclairci les choses plus rapidement. Tu m’as laissé faire et j’ai même cru pendant un instant que tu avais répondu à mon baiser. Ca ne devait être que le fruit de mon imagination, ça ne peut pas être autrement.
J’avais essayé d’être distant dans le message, passant plutôt sur le fait qu’Erwan voulait te voir. Ce qui ne m’arrange pas parce que je ne sais pas comment me comporter avec toi, j’ai besoin de prendre un peu de distance, de savoir si notre amitié pourra être préservée ou non. Je ne suis pas encore prêt de te voir, mais je n’ai pas le choix. Je suis certain qu’Erwan a senti mon désespoir, et mon fils est loin d’être idiot car il a bien vu ma tristesse quand tu t’es enfui. Je suis certain que c’est pour cela qu’il me tanne depuis plusieurs jours pour voir le nouveau baby-sitter. Il t’a d’ailleurs trouvé un nouveau surnom, ‘Dada’, qui me fait sourire, si seulement tu le savais.
Je m’étais arraché les cheveux pour trouver une tenue correcte, comme si tu en avais quelque chose à faire. À force de me tirer les cheveux, je finis par prendre ma préférée, ce débardeur et ce bermuda troué, comme disent mes parents j’ai de vrai goûts de chiottes qui me rendent sexy. Mais ce n’est pas ce que je cherchais à faire, je ne voulais surtout pas paraître débraillé comme je l’étais ces derniers jours.
On finit par arriver tous deux devant chez toi. Erwan piétinait d’impatience tandis que moi j’aurais aimé disparaître. sous le sol, sous la terre même. Mais il était trop tard pour faire demi-tour et je ne voulais pas décevoir mon fils. Frappant, je n’ai pas à attendre trop longtemps que tu ouvres et que mon fils filent dans ton appartement sans un regard. J’évite tes yeux, je ne veux pas y voir du ressentiment, je ne le supporterais pas. Je secoue négativement la tête, je ne veux pas t’entendre dire que tout cela n’est qu’une erreur. Ce serait trop dur. « Je… J’ai un rendez-vous. Et je ne crois pas que l’on ai des choses à se dire. »
Je relève mon regard et je croise pour la première fois ton regard. Tu peux certainement lire dans le mien toute la douleur de ces derniers jours qui s’est accumulé. La fatigue de mes insomnies accumulées se lit sur mon visage. Et je sais que je n’aurais jamais dû te regarder parce que maintenant je n’ai qu’une envie : celle de me fondre dans tes bras !

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Aedyès.

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J ’avais été soufflé par la force de mes propres sentiments envers Aedan. Je n’avais jamais ressenti une telle puissance, pourtant j’avais sincèrement cru aimé celle qui avait donné naissance à mon fils, mais là c’était encore plus puissant. Je n’avais jamais pensé même ressentir une telle tornade de sentiments. Mais tu avais finir par fuir, sans même me donner une raison valable et sans que j’ai eu le temps de réagir. J’étais resté littéralement sur les fesses, heureusement j’étais assis. Je m’étais laissé emporter par la fougue de ce baiser qui n’avait pourtant rien de passionnel. Il était resté doux, mais pourtant tellement passionnel et fort. J’avais espéré que ce baiser voulait dire quelque chose pour toi, mais je m’étais apparemment fourvoyé. Tu ne ressentais pas la même chose que moi. Sinon tu ne serais pas parti comme un voleur. Mais même si tu me faisais souffrir le martyr, je ne te priverais pas de mon fils. Une promesse est une promesse. Et puis Erwan semblait t’avoir adopté dès la première seconde. Alors pour une fois qu’il s’ouvre à quelqu’un, je ne vais pas le priver de cela.
Alors je n’avais pas pu refuser à Erwan l’envie de te voir. Ce n’aurait pas été juste pour mon fils de l’empêcher de te voir alors que moi je voulais à tout prix t’éviter. On était des adultes bon sang. Et même si je t’amenais mon fils je n’étais pas obligé de te parler plus que nécessaire. J’étais bien déterminé à l’éviter le plus possible. Je devais me forger une carapace avant de te laisser entrer de nouveau dans ma vie ! Ce n’était pas définitif, mais pour le moment te voir demeurait insupportable. Je ne pouvais même pas relever mes yeux, je n’arriverais pas à affronter ton regard. Tes mots me transpercent tel un poignard. Tu remuer le couteau dans la plait, cela t’amuse-t-il de me voir me morfondre ainsi ?
« Qu’est-ce que tu en sais ?! En tout cas c’est certain qu’il n’a pas le même sens pour moi que pour toi ce baiser …. » J’attaquais, je mordais même. Mais c’est ma manière à moi de me protéger, pourtant en croisant ton regard, j’y vois une certaine vulnérabilité. Mon coeur semble se remettre en route. Hum que c’est bon de le sentir battre, même si c’est encore douloureux.

« D’accord, je t’accorde cinq minutes. » Si tu savais que mon rendez-vous est totalement bidon. J’ai tout mon temps à t’accorder. Et en pénétrant chez toi, je me sens déjà flancher surtout quand je vois Erwan t’agripper à la jambe, ce qu’il ne fait jamais avec d’autres personnes que moi. Je m’installe sur une chaise avant de te regarder avec Erwan, un léger sourire ornant mon visage fatigué. Je pourrais vivre cette routine indéfiniment, je le sais.

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Aedyès.

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M on fils a toujours été la consécration de ma vie. C’est simple, s’il n’était pas là aujourd’hui je ne me serais pas autant battu pour avoir la tête hors de l’eau. Et je ne t’aurais probablement pas rencontré, mon coeur serait donc encore intact et pas brisé en mille morceaux. Mais en même temps ma vie serait bien triste, fade. Alors on peut dire que notre rencontre, il y a quelques mois, c’est grâce à mon fils. Mon fils m’a sauvé de beaucoup de choses, et pas seulement de la rue et d’un enfer certain. Grâce à lui je sais maintenant me battre pour ma vie, parce qu’il a besoin d’un père. Et il m’avait finalement redonné goût à la vie, me permettant de créer quelques liens sociaux, même si ce n’est pas énorme. Ces derniers jours il m’avait permis de ne pas sombrer de nouveau dans l’alcool et de garder un minimum la tête hors de l’eau. Il faisait tout pour me faire rire alors que mes pensées étaient obnubilées par ton visage, et mes cauchemars où tu me riais au nez après m’avoir laissé t’embrasser. J’avais l’impression que ce cauchemar devenait réalité. C’est pourquoi je repoussais l’échéance pour te voir. Pour te dire j’ai même pensé à demandé à une connaissance de t’amenais Erwan pour t’éviter, mais c’étais complètement puéril de ma part. Mais te voir me ramènerais inlassablement à ce que l’on a partageait dans le parc, et je commence seulement à ne plus être obnubilé par ce souvenir. J’avais cru, pendant ce baiser, que tu ressentais vraiment quelque chose pour moi, mais ta fuite m’a prouvé le contraire. C’est comme si le monde m’avait aspiré au fond d’un trou noir. Comme si le rideau sur une vie heureuse avait été tiré définitivement. Pourtant j’aurais pu me bouger, j’aurais pu prendre les devants et venir te voir, mais j’étais probablement aussi lâche que tu l’étais. Et c’est encore mon fils qui a trouvé la solution. Comme s’il savait alors que je n’avais rien dis, seulement que tu avais un rendez-vous important.

Je finis par redresser le visage en entendant ta première phrase. J’allais répliquer, mais ton ton ne voulait aucune réponse. Je soupire donc, maintenant tout se mélangeait, et je recommençais à penser au baiser, ce que je m’étais évité de faire depuis que tu as ouvert la porte. JE fronçais les sourcils, je ne comprenais pas tout, mais je finis par bien accepter de t’écouter. Mon fils semblait sincèrement t’apprécier, c’est la première que je le vois courir dans les jambes de quelqu’un d’autre que moi ou mes parents. Il hoche la tête avant d’aller sur le canapé avec sa peluche. Moi je me dirige vers la table et m’assied sur une chaise. « Il semble déjà t’avoir adopté, c’est la première fois que je le vois aussi à l’aise avec quelqu’un qui n’est pas de ma famille. »

Cette constatation me fait du bien, je craignais de voir mon fils avoir du mal à se lier avec les autres, à être asocial, mais cela ne semble pas le cas et ça me rassure. Je te laisse préparer le café, je ne sais pas ce qui va se passer entre nous, pourtant depuis que je suis entré dans ton appartement, je sais que je ne pourrais pas reculer, ni même effacer ce baiser. Alors si tu ne peux pas imaginer une histoire entre nous, cela sonnera la fin d’une certaine forme d’amitié entre nous, enfin ce que je laissais croire, car il y a toujours eu plus pour nous.Mais tes paroles réchauffent mon coeur, qui se met à battre bien trop rapidement. Mais je ne dis rien, je veux te laisser continuer.

Je sens qu’en plus je ne dois pas t’arrêter. Je ne peux plus m’arrêter de sourire. Quel idiot je fais, franchement ! Comment n’ai-je pas pu envisager que tu aies eu simplement peur ? Je mord ma lèvre inférieure, le fait de savoir que je m’étais trompé sur toute la ligne en croyant en ton indifférence me donnent des milliers de papillons dans le ventre. Je secoue la tête, ne te lâchant pas du regard. Si c’était ça ton baiser romantique, alors je te l’offrirais, promis. L’espoir venait enfin éclairer mon avenir tâché de noir. Le soleil pénétrait de nouveau dans ma vie. J’ai les yeux qui pétillent tandis que je me relève pour être à ta hauteur. « Oh, Aedan… Ce baiser je l’ai tellement attendu, la première fois que j’ai posé les yeux sur toi, j’ai su.. J’ai su que tu serais plus qu’un simple ami, pourtant jamais je n’ai imaginé ne serait-ce une seule seconde que tu puisses ressentir la même chose que moi. Je suis tombé amoureux de toi dès le premier jour Aedan Dempsey. » Je mordille de nouveau ma lèvre inférieure avant de glisser mes mains sur ses hanches. Je ne quitte pas ton regard.

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Aedyès.

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M Je souris à tes mots. Je ne doutais pas un seul instant de la véracité de tes propos. Et si tu aimais mon fils alors entre nous ça ne peut qu’aller. Parce que je n’étais pas seul, mon fils faisait partie prenante de ma vie, il était l’équation qui changeait la donne. Si tu n’aimais pas mon fils, alors je n’aurais pas pu t’accueillir dans ma vie. C’est ce que j’avais crains au final, mais tu semblais être adoré de mon fils. Tu as charmé toute la famille au final.

J’avais cru tellement fort au contraire, que tu m’as littéralement scié en te dévoilant ainsi, balayant d’un revers de mains toutes mes craintes. Je m’étais fourvoyé sur toute la ligne, comme un idiot débutant. J’avais tellement eu peur que j’avais été incapable de raisonner suite à ta fuite. J’avais eu l’impression que en une seconde tu as briser mon coeur. La douleur avait pris le pas sur ma vie. J’avais refoulé tout ce que je voyais comme signe au plus profond de moi, les ignorant superbement. Je refusais désormais de croire ce que j’avais vu, de penser que toi aussi tu pouvais peut-être ressentir quelque chose pour moi. Pourtant je n’avais pas eu tort. Je ne peux que regretter d’avoir été trop lâche pour venir te demander des explications, on aurait pas perdu tout ce temps.
Plus tu parles et plus mon intérêt grandi, et mon affection aussi. Je ne pouvais pas résister à une telle déclaration, tu m’émeuts encore plus qu’au premier jour, et mon attachement à toi est plus que sincère. Alors je me lève, mordant ma lèvre inférieure, geste que je fais quand je suis plus ou moins stressé. C’était à mon tour de te dévoiler que je t’avais toujours vu comme beaucoup plus qu’un ami, mais que je ne pouvais pas forcément me dévoiler, tu étais mon seul ami après tout et je n’osais pas, à ce moment-là, imaginer te perdre. Maintenant j’étais rassuré, je pouvais donc me laisser aller. Glissant mes mains sur tes hanches pour rapprocher nos deux corps, je frissonne en sentant tes mains sur ma joue et tes lèvres sur les miennes, je ferme les yeux, collant un peu plus mon corps contre le tien.

« Et toi donc… Quand tu es parti, j’ai eu l’impression de te perdre, et maintenant je sais combien c’était idiot… » Je glisse mes mains dans ton dos avant de me faire plaquer contre la table,  m’arrachant un cri étouffé de surprise et plaisir mêlés. JE me perds dans ton baiser avant que tu ne l’interromps. Je te jette un regard interloqué avant de sentir une petite main sur mon jean. Je baisse le regard tombant sur les prunelles endormi d’Erwan qui tient son doudou tout en suçant son pouce. Mais c’est vers Aedan qu’il tourne son regard. « Dada…. » Il tend ses bras vers Aedan en une demande silencieuse. « Je crois qu’il veut faire la sieste et que tu es de corvée… » Je ne peux m’empêcher de sourire, attendri par cette scène « File le coucher, je t’attends. » J’embrasse mon fils avant de me décaler, non sans une caresse dans le dos d’Aedan. Je finis par regarder la décoration avant de voir revenir Aedan.

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Aedyès.

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J e ne pensais pas qu’il y aurait eu un tel dénouement entre nous. Pas après tout ce que j’ai pu m’imaginer. Je n’avais pas connu une telle force de sentiment, jamais. Pas même avec la mère d’Erwan. Bon il y avait une certaine complicité et tendresse entre nous, mais ce n’était pas aussi puissant. Tu avais tout pouvoir sur moi. Tu peux faire ce que tu veux de moi. Et sache que je ferais tout pour toi. LE bonheur m’envahissait de plus en plus. Tu es ma source intarissable de bonheur. Mais également de malheur. Si tu es capable de m’apporter tout le bonheur, tu es aussi celui qui fera ma destruction si tu le décides. Mais je dois avoir foi en toi, en nous. Je vois dans tes yeux les mêmes sentiments que je ressens. Tout est clair maintenant.
Je perd le contrôle de mon corps alors que tes mains sont sur moi. J’oublie tout ce qui nous entoure alors que j’approfondis le baiser. J’écarte mes jambes pour t’accueillir entre celles-ci. Mes mains remontent dans ton dos. Je sens la pièce se réchauffait, quelques degrés supplémentaires alors qu’il faisait déjà bien chaud. Mais trop vite ça se refroidit. Un peu de plus et j’aurais oublié mon fils. Mais il finit par se manifester. La fatigue se voyait et il demandait de lui-même, ce qui est assez rare, je le soupçonne même de vouloir se faire voir dans son meilleur jour à Aedan, ce qui me fait sourire. Mais je garde dans l’idée que c’est un fils indigne, Aedan est là et il oublie son pauvre père !

Je les laisse aller, sous mon regard attendrit. Cette scène m’émeut vraiment. Et ça me réjouit d’autant plus de savoir que cela se reproduirait certainement. Erwan était plutôt solitaire, alors qu’il se lie avec quelqu’un d’autre que moi ne peut que me faire plus plaisir encore. Restant dans le salon à observer la décoration, je dois me retenir de ne pas me diriger dans la chambre pour voir comment ça se passe.
« Dada ? » Erwan se mordille le pouce tout en fixant Aedan « Papa pas bien avant, papa voulait pas voir toi, papa pleurait… » Erwan se mord la lèvre, avant d’hôcher la tête « Papa t’aime, moi aussi, toi gentil ! » Erwan bat des cil, innocemment, et tend les bras pour un câlin.

De mon côté, je suis toujours en pleine admiration avant deux sentir deux bras musclés m’encerclé, me faisant ainsi sourire. Je laisse un frisson me parcourir en sentant tes lèvres brulantes dans mon cou. « Hum je sais pas, quelque chose par là… » Je me retourne dans ses bras, sans faire attention que mon lacet est défait. Maladroit comme je suis, je ne peux pas m’empêcher de trébucher dessus et de manquer de m’étaler, si je n’étais déjà pas dans les bras d’Aedan, qui m’empêche de tomber à terre, mais plutôt dans ses bras. C’est plus fort que moi, j’éclate de rire tout contre ton épaule. « désolé… »

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Aedyès.

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M on fils était incapable de garder quelque chose pour lui, il était une vraie éponge à sentiment. Tout ce que l’autre ressentait, il le ressentait encore plus fort. Alors je devais faire attention quand je ne voulais pas que mon fils soit une vraie boule de nerf, car cela est encore plus fort quand cela me concerne. J’avais essayé de cacher tout ce que tu me faisais vivre comme tornade de sentiment, je ne voulais pas que mon fils perçoive le trouble qui m’habitait. Je trouvais d’ailleurs que tu mettais bien du temps à revenir, Erwan te donnait-il du fil à retordre ? Ce serait quand même très étonnant de sa part.

Mais je finis par me retrouver dans tes bras, ce qui me fait sourire et me rend totalement fébrile. Si tu savais depuis le temps que j’attends ça, c’est encore plus beau que je ne l’imaginais. Mais, comme toujours, je gâchais tout. Cette fois-ci c’était par ma maladresse légendaire. Il n’y a que moi pour arriver à trébucher sur mon propre lacet. Mais au moins ça a le mérite de nous rapprocher encore et surtout de nous faire rire. J’aime entendre ce doux son qu’est ton rire dans mes oreilles. Je serais capable de me damner pour l’entendre encore et encore. Mais le rire s’estompe et je plonge mon regard dans le tien avant de déglutir. Posant mes mains sur tes hanches je te rapproche de moi. « Avec plaisir, bébé »

Je finis par monter sur la table avant d’écarter mes jambes pour t’attirer tout contre moi, entre celles-ci. Je frissonne au contact de tes mains, avant de glisser les miennes dans ta tignasse. Le baiser est plus chaotique, l’envie et le désir s’y mêlant. Mais tu t’éloignes, m’arrachant un grognement de frustration. Je te garde contre moi, n’es pas l’idée de fuir cette fois-ci, c’est trop tard maintenant. Je soupire doucement avant de poser une main sur ta joue. « Ce n’est pas grave, le plus important c’est que l’on est réussi à se parler, à mettre les choses à plat. »

Je glisse mes bras autour de tes épaules. Posant mes lèvres dans ton cou, je veux te rassurer « Chut, tais-toi et embrasse-moi » Je redresse mon visage avant de me retrouver envahi par tes lèvres. Glissant cette fois-ci mes mains sous ton haut, je découvre tes pectoraux, tes hanches, ton ventre de mes doigts. Estimant que tu es bien trop couvert, je remonte ton haut avant de me détacher et de passer ton tee shirt au-dessus de ta tête. Je te dévore des yeux. Tu es magnifique.

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Aedyès.

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M Je brûlais de l’intérieur, ou de l’extérieur, ou de partout, je n’en sais rien. La seule chose que je sais c’est que c’est toi qui me rend ainsi, et que j’aime ça. Et on avait encore tout nos vêtements, je n’ose pas imaginé ce que ça sera quand nos peaux se toucheront, à nue. Mais je ne reviendrais pas en arrière, plus maintenant que j’ai goûté à tes lèvres exquises, à tes mains sur moi. Je compte, grâce à toi, accorder une nouvelle chance à l’amour. Je ne pensais pas un jour retrouver quelqu’un avec qui j’envisagerais de partager ma vie. Et même si c’est encore trop tôt pour envisager quoique ce soit de sérieux, je ne pouvais pas m’empêcher d’imaginer que ce serait totalement différent et tellement fort. Peut-être que tu serais le bon cette fois-ci. Pour le moment je voulais simplement profiter du moment idyllique entre nous.
Je resserre mes jambes autour de ses hanches et mes bras sur ta peau chaude. Je soupire de plaisir alors que je sens tes mains dans mes cheveux. J’appuie d’ailleurs un peu plus ma tête sur tes mains, j’adore quand on ne masse les cheveux, c’est un de mes points faibles. Je ferme les yeux pour savourer ta caresse. Mais je les rouvre rapidement alors que tu t’excuses. Je suis touché de t’entendre t’excuser, cela prouve que tu tiens réellement à moi. Mais tu insistes un peu trop à mon goût, et je ne désire qu’une seule chose en ce moment : toi. Heureusement tu accèdes rapidement à ma demande. Je frissonne en gémissant ton nom, tandis que mes mains s’activent encore sur ton torse, découvrant chaque parcelle de cette peau que j’ai tant désirée. Je retrouve tes lèvres avec envie. Mes doigts s’accrochent à tes hanches, te rapprochant encore de moi si c’est possible. Tu as un corps parfait que je vais adorer admirer pendant des heures sans m’en lasser. Je n’allais plus reculer maintenant que je t’ai entre mes bras, au contraire même je n’attends que cela. Je t’aide à retirer mon haut, j’aime voir ton regard couler sur mon corps, ça m’embrase. Je me recule pour te faire de la place, prolongeant ton baiser avidement. Je glisse mes mains dans ton dos. Je gémis, penchant ma tête en arrière pour te laisser plus d’espace tandis que mes ongles s’enfoncent dans ta peau. Je glisse une main dans tes cheveux dans un soupir. L’autre main se dirige vers la ceinture de ton pantalon. « Je ne peux pas m’arrêter, pas maintenant… »

J’attrape tes lèvres en otage tandis que je déboutonne ton pantalon tandis que mes lèvres cherchaient l’air désespérément. Tes lèvres dans mon cou m’enflammaient littéralement. Je cambre mon corps pour plus de contact avec le tien. Me débattant avec ton pantalon afin de le retirer, je grogne en sentant tes dents contre ma peau. « Bon sang, Ae… » J’entoure tes hanches enfin dénudées de mes jambes. Ce geste me fait d’ailleurs grogner de plaisir alors que nos deux corps se soudent. Je plonge mon regard dans le sien avant d’inverser les rôles et d’aller au-dessus de lui. Je me mords la lèvre inférieure, mais d’envie maintenant. Je dépose mes lèvres sur les siennes dans un chaste baiser, puis dans ton cou. Traçant un sillage jusqu’à tes hanches, je cherche un endroit susceptible d’être sensible pour toi avant d’insister avec les dents pour te laisser ma trace.

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Aedyès.

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On était allé trop loin pour que je m’arrête. Tu me tentes bien trop maintenant. Et surtout j’attendais cela depuis bien trop longtemps pour refuser de m’offrir à toi. Je trouvais d’ailleurs que tu étais bien trop habillé. Je me débat avec ton pantalon qui fait de la résistance. Je grogne d’ailleurs de frustration, j’ai bien trop envie de sentir ta peau contre la mienne. Heureusement je parviens à jeter le pantalon à terre. Je remonte mes doigts sur tes cuisses, caressant ta peau. Je me cambre en gémissant de nouveau ton prénom. Ta bouche brulante à souhaite sur ma peau me rend transi de plaisir. Je ne sais plus où donner de la tête tellement c’est bon.
Je finis par prendre le dessus, en profitant ainsi pour admirer son corps tandis que mes mains voyageait sur son torse, et mon regard suivait celles-ci. Tu avais un corps à en damner un saint. Un corps que beaucoup doivent jalouser, moi en premier. Mais je suis encore plus fier que tu sois tombé amoureux de moi. Je descend mes mains sur tes hanches puis sur tes cuisses, tout en évitant ton renflement, exprès évidemment. Dans chacun de mes gestes transpercent mon amour pour toi. Si tu savais combien ce moment est important pour moi, tu rougirais certainement. Tu représentais, à mes yeux, la perfection incarnée, je ne pouvais pas rêver mieux.
Je finis par venir te vénérer de mes lèvres sur ta peau brûlante, commençant par tes lèvres puis ton cou et enfin ton torse, où je cherche ton point sensible, là où tu réagirais parfaitement. Mes mains s’accrochent à tes hanches, puis finissent par glisser sous la ceinture de ton boxer. Trouvant ton point sensible, entendant un accroc dans ta respiration et surtout te voyant te cambrer. Attaquant cet endroit de mes dents, afin de laisser ma trace aussi. Je me relève pendant quelques secondes afin d’admirer mon oeuvre. J’y dépose un baiser avant de continuer ma progression. Laissant ma langue prendre le relais de mes dents. Je finis passer mes mains entièrement dans ton boxer, pour les poser sur tes fesses.
Je souris quand je sens tes mains me remonter. J’ai à peine le temps de terminer de retirer ton boxer avant de remonter retrouver tes lèvres. Ce baiser est torride, envieux. Et un prémisse délicieux à ce qui va suivre. Je gémis tout contre tes lèvres alors que tes doigts enserrent ma chevelure. L’amour se mêle au plaisir de la chair. Je ne voyais plus que le plaisir que je pourrais te procurer et inversement. Je t’aide à retirer mon bermuda tout en continuant à t’embrasser passionnément. Tout mon corps frissonne sous ton toucher. Je me retrouve que vêtu de mon boxer, alors que a peau brûlait de toi. J’avais l’impression que tu étais partout et nulle part à la fois. Que c’était trop et pas assez. Je laisse une main sur tes fesses. L’autre part se loger sur ta joue pour la caresser tendrement. Mais je finis par gémir fortement alors que tu introduis ta main dans mon boxer. « Oh mon dieu… » Je ferme les yeux tout en me cambrant pour appuyer contre ta main. J’expire bruyamment avant de t’embrasser longuement.

Codes par Wild Hunger.

Aedyès.

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Tout est là pour un cocktail détonnant plein d’amour. Mes mains ne décrochent pas de son corps si tentant. Mes lèvres, elles, ne lâchent pas les siennes, ou seulement pour reprendre mon souffle. C’était tellement intense que j’ai l’impression que toutes les étreintes que j’ai pu avoir auparavant n’était rien comparé à celle-ci. Peut-être parce que cette fois le plaisir était mêlé à un amour sincère et fort. Je me perds un peu plus dans chaque baiser que tu m’offres. Même si je grogne de frustration alors que tu ne me laisses pas retirer ton boxer. Je finis par accrocher mes mains à tes fesses, les malaxant sans aucune retenue.
Je soupire de plaisir en sentant nos deux corps presque nus entrer en contact,se coller ensemble, comme s’ils étaient fait l’un pour l’autre. C’est entêtant, je ne pourrais plus m’en passer maintenant que j’y ai goûté. Je n’en ai même pas assez, au contraire, je cherche encore plus le contact, en appuyant sur tes fesses pour que tu te rapproches encore et m’appuyant sur toi. J’aimais vraiment te voir réagir à mon contact, tu es si beau ainsi. Je me mordille de nouveau ma lèvre inférieure.
Mais tu me rends complètement fou alors que ta main brulante s’infiltre dans mon boxer. Je ne retiens pas d’exprimer tout le plaisir que je sens. Je ferme les yeux, profitant de tes mains sur moi. Chaque millimètre de mon corps réagit, il est couvert de frisson. Je suis tellement soumis au plaisir, que je suis surpris alors que les rôles s’échangent. Je rouvre les yeux, tombant sur deux orbes brillante d’envie. Je caresse rapidement ta joue avant de me laisser aller nouveau au plaisir de tes lèvres sur mon corps. J’expire plusieurs fois bruyamment, rejetant ma tête en arrière. J’agrippe tes cheveux, ne voulant pas que tu t’éloignes. Je cherche l’air alors que mon boxer me quitte. J’écarte un peu plus les jambes, me donnant un peu plus l’air d’un débauché. Mon souffle devient plus erratique alors que ton corps et tes lèvres remontent tout contre moi. Je prolonge ton baiser avidement. Mes mains glisses le long de l’élastique de ton boxer. Je finis cette fois-ci par le faire glisser le long de tes jambes. Je remonte ensuite mes mains le long de tes cuisses avant de te souffler à l’oreille « Fais-moi tien… » Je mordille ton oreille avant de t’attirer tout contre moi. Je glisse une main dans mes cheveux avant de retirer mon bandeau, laissant retomber ma chevelure sauvagement.

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Aedyès.

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J’étais obnubilé par ta personne. Mon monde ne tournait qu’autour de toi. J’en oubliais même à cet instant précis Erwan qui dormait dans la chambre d’à-côté. Plus que nous ne comptait, n’existait. Il n’y a que toi que je veux en ce moment même, entièrement. J’ai besoin de t’aimer et de me sentir aimé en retour. Je vois exactement la même chose dans tes yeux. Ca ne peut que me rassurer sur la nature de tes sentiments. Je m’offre tout à toi. Tu peux tout prendre. Je suis tout à toi, vulnérable. Tu peux faire ce que tu veux de moi, c’est toi qui a la main-mise sur moi.
Je soupire, pris dans les affres d’un plaisir incroyablement fort. Je n’ai plus pied dans la réalité, je ne vois pas plus loin que ton corps et surtout tes yeux. Une fois tous les deux totalement dénudés, je gémis en sentant ton corps chaud tout contre le mien. Je profite de découvrir ton corps sous mes mains, sentant la douceur de ta peau, ta chaleur. Ca me rend fou.
Je ne peux plus attendre avant de te sentir en moi. Je suis bien trop impatient. En même temps, j’avais l’impression d’attendre cela depuis tellement longtemps que j’ai l’impression que c’est un rêve. J’ai encore du mal à réaliser que tu puisse m’aimer. Je glisse mes bras autour de toi, te rapprochant encore plus de moi. Je souris en sentant ton souffle dans mon cou, qui frissonne.

Je te lâche à contrecoeur, et frémis alors que le froid m’envahit quand tu t’éloignes, après un baiser. Je m’assieds sur la table, passant une main rêveuse sur mes lèvres. Tu ne tardes pas à revenir. Je me mords la lèvres avant de t’aider à remonter, juste une excuse pour poser de nouveau mes mains sur toi. Prolongeant ton baiser avidement, je me rallonge, t’entrainant avec moi. Je glisse une main dans tes cheveux, les décoiffant. Je me cambre, appuyant sur ta main ce qui me fait soupirer encore une fois. Je gémis alors que ta main s’enroule autour de mon sexe. Je ferme les yeux, soulevant mes hanches, te donnant ainsi plus accès à mon autre intimité. « Ae… Bon sang » Je râle tout en allant à la rencontre de tes doigts. Je rouvre les yeux avant de m’approcher de tes lèvres. « Je t’aime aussi petit coeur » Je t’embrasse, jouant avec ta langue, tout en glissant ma main sur ton sexe, enroulant mes doigts autour.

Codes par Wild Hunger.

Aedyès.

Play with Us

Tout s’effaçait sous tes baisers, sous tes yeux. Le temps se mettait sur pause. Je ne voyais que toi, et ton corps splendide. J’avais complètement occulté la présence de mon fils dans la chambre d’à-côté. Non, tout ce que je voulais c’était tout découvrir de toi, assouvir enfin ces pulsions, ces rêves bien trop réel. Mes mains glissent le long de ton corps, peur encore que tu t’envoles. Je profite de chaque instant. J’ai encore bien du mal à croire que tu es là, avec moi, que mon rêve le plus fou est en train de devenir réalité. J’ai enfin l’impression d’être à ma place, d’être complet. Je n’explique pas ce sentiment, mais je sais que je ne le ressens qu’avec toi.
Le peu de temps que tu t’éloignes, le froid m’entoure déjà me faisant frissonner. Je guette ton retour. Ne prend pas trop de temps. Je suis déjà en manque de toi, et j’ai bien trop envie de toi maintenant. Je ne peux plus faire marche arrière. Tu t’arrêtes à quelques mètres de moi, me faisant grogner de frustration. Mais je pouvais au moins profiter de la vue enchanteresse qui s’offrait à moi. Tu étais beau, parfaitement parfait. Je hausse un sourcil, me demandant bien ce qui t’avait fait stoppé dans ta progression. Dépêches-toi, je commence à avoir vraiment froid.
Le geste mécanique, ce tic de me mordre la lèvre avait vraiment l’air de te faire un sacré effet. Ne t’en fais pas, j’enregistre cette donnée, et j’en abuserais si tu aimes autant. Je repose mes mains sur ton corps en soupirant tandis que ta chaleur m’enveloppait enfin. Ma bouche retrouvait la tienne avec avidité et gourmandise. Je relâche tes lèvres simplement pour murmurer « À moi » Sache que je suis possessif.
Je donne tout, je reçois tout. C’est tellement bon. Je me cambrais pour te donner un meilleur accès à mon corps. Je gémis, et mes mains cherchent à s’agripper là où elles peuvent. Ta déclaration m’émeut, et je ne peux qu’y répondre. Je glisse une main sur ton visage. Tu es mon autre. Jamais je n’aurais imaginé cela.
Il était maintenant temps de passer à la vitesse supérieure. Je commençais sérieusement à m’impatienter, et je n’allais pas rester inactif longtemps à assouvir ton plaisir. Même si c’était déjà tellement fort. Enroulant mes doigts autour de ton intimité, je gémis d’anticipation tandis que je commence de léger va-et-viens. Je finis par grogner quand tu m’en enlèves l’accès. Ta bouche est brûlante. « Oh.. Ae… » Je glisse une main dans tes cheveux avant de souffler bruyamment. Je finis presque par ‘étrangler avec ma salive alors que je sens la chaleur de tes lèvres m’entourer « Oh mon dieu… » Je pose une main sur ma bouche pour étouffer mon cri. Erwan ne doit absolument pas se réveiller.

Codes par Wild Hunger.