Terminé ! Hot / Sex Friend, Contract. ANACKIEL

Sex Friend, contract
Ezeckiel & Anastasia
Elle avait une réunion avec les professeurs de l'université des arts. Professeur de théâtre - le nouveau venu - d'art visuelle, d'arts plastiques, de cinéma et de musique. Autant dire qu'elle n'était pas enchantée de se retrouver dans une salle, fermée, avec Ezeckiel à côté d'elle. Rien qu'à cette idée elle se sent terriblement nerveuse, mais elle doit prendre sur elle. Après tout c'était une réunion professionnelle qu'est-ce qu'il pouvait bien lui arriver ? Accompagnée du chargée en communication de l'université et de la directrice évènementiel de l'Aloysius Club, elle se dirigeait vers le grand bâtiment. La salle des profs avait été aménagé en salle de réunion pour l'occasion. Dans un coin, Anastasia se servit un café, pendant que tous les professeurs arrivent. Treize heures, la réunion commença. « Bien. Je ne vais pas y aller par quatre chemins. Nous sommes là pour vous parler de la soirée de Noël. » Commença la jeune femme en s'asseyant à sa place. Juste à côté d'Ezeckiel. Dont le parfum entêtant lui faisait presque tourner la tête. Elle regarda ses fiches, n'ayant pas tourné un seul regard vers le musicien, pour ne pas perdre le fil de ses pensés.
Ils ne s'étaient pas revus depuis la soirée au Camera Night Club. Ezeckiel avait surpris une conversation entre Anastasia et Tobias Nightingale. Orgueilleuse, la jeune femme avait refusé de céder face au professeur, partant avec l'élève pour se faire sauter dans un coin. Hurlant le prénom d'Ezeckiel, incapable de voir autre chose que son visage quand elle regardait son amant. Incapable de ne pas s'imaginer dans ses bras pour réussir à jouir. Putain concentre toi Ana. Sa respiration commençait déjà à s'emballer rien qu'à se souvenir. Honteuse et agacée, elle ne pouvait pas croire qu'en si peu de temps Ezeckiel avait prit une telle place dans sa vie. D'une manière ou d'une autre il marque les esprits. Pourquoi fallait-il que Crowlley ait raison une fois encore ? Non. Ezeckiel l'avait marqué par sa faculté exceptionnelle à la faire jouir. Rien de plus. Il était sans doute le meilleur amant qu'elle ait eut depuis des années. Depuis Néo. Et peut être même pas d'ailleurs. Voila qu'elle se mettait à la comparer à l'amour de sa vie. N'importe quoi.

Concentre toi Ana. Elle sourit, alors que ses collègues se chargent de parler du thème de la soirée, et des attentes envers les professeurs des arts. Une soirée qui doit être illustrer par des vidéos et des photos, mais également qui demande un concert, et donc un orchestre. De quoi occuper tout ce beau monde. Une soirée spectacle et féérie : pour les élèves, leurs parents, et l'administration. Mais alors qu'elle tente de garder le cours de la conversation, essayant de ne pas penser au fait qu'Ezeckiel l'ignore et l'évite depuis leur dernière rencontre au Camera, elle sent soudainement le pied de ce dernier glisser sur sa cheville. Figée, sursautant face à ce contact, la jeune femme ignore l'emballement de son coeur. Qu'est-ce que ..? Elle ne trouve pas les mots. Son esprit se fige, Stand by. Il l'ignore puis vient lui faire du pied devant leurs collègues ? Colère, agacement. Elle répond par un coup de talon dans le tibias de son voisin de table. Un sourire orgueilleux sur le visage.
La réunion suit alors son cours, prendre presque quarante-cinq minutes. Les idées fusent, chacun prend note de ce qu'il doit faire, et les représentants administratifs donnent enfin conger aux professeurs. Pause. Anastasia a deux heures devant elle avant de devoir retourner à son bureau. Elle voit Ezeckiel, qui va dans un coin de la salle - sans doute se prendre un café ou quelque chose à manger - et n'hésites pas à le rejoindre laissant ses collègues partir pour le bâtiment principal. Elle arrive devant le - beau et sexy - brun et le cloue sur place par un regard froid. « Est-ce que je peux savoir à quoi tu joue Bennett ? » Demande-t-elle, essayant de ne pas hurler alors qu'il reste encore un ou deux professeurs dans la salle qui tournent vers elle un regard interrogatif. Elle leur répond par un air si dur qu'ils récupèrent leur affaire et claquent la porte derrière eux. « Tu m'ignores pendant des jours, et soudainement tu me fais du pied sous la table ? C'est quoi ton problème ? » Elle est plus agacée par la situation qu'elle ne le voudrait. Parce qu'il l'a caressée sous la table ? Parce qu'elle a aimé cela ? Parce qu'il l'ignore depuis des jours ? Parce qu'elle a hurlé son nom en couchant avec un autre ? Parce qu'il ne quitte plus ses pensés ? Un peu pour tout ca à la fois, sans doute, mais cela elle ne l'avouera pas facilement.

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Ezeckiel & Anastasia
Ils se retrouvent seuls dans la salle des professeurs, le regard d'Anastasia ayant fait fuir les derniers professeurs restés après la réunion. Elle se tourne vers Ezeckiel, se perdant dans son regard, agacée par sa manière d'agir, sans réussir à expliquer cette véhémence soudaine et presque incroyable. Il était capable de la mettre dans des états incroyables, elle s'en rendait compte à présent. La première fois qu'ils s'étaient vus déjà, son comportement presque jemenfoutiste l'avait mise hors d'elle et elle avait été exécrable le restant de l'après-midi, refusant aux élèves toutes les requêtes de bourses ou de financements qu'ils sont venus lui faire pour les clubs et associations de l'Université. Quand ils s'étaient croisés au diner donné pour le Conseil, l'excitation dans lequel son regard et leurs sous-entendus l'avait mise l'avait guidé dans une partie de sexe sauvage dans les toilettes près de la salle de réception. Un comportement et une manière de faire dont elle n'était pas habituée. Elle avait des amants, et parfois elle faisait l'amour dans des lieux inapproprié, mais jamais de la sorte. Jamais sur un tel coup de sang, alors que ses réflexions laissaient la place à ses désirs pour la guider dans les bras du peau professeur. Et alors qu'ils s'étaient croisé au Camera Night Club, son regard et sa prétention avaient tant agacé la jeune femme qu'elle était partie piquée dans son orgueil, coucher avec un autre homme. Mais le nom d'Ezeckiel restait sur ses lèvres, et elle l'avait hurlé au moment de jouir. Un instant assez honteux pour son amant, et qui - pour sa part - l'avait profondément agacée. Et aujourd'hui, alors qu'il l'ignorait depuis cette soirée, son indifférence et son attraction l'énervait, la mettant hors de ses gongs. Un comportement démesuré sans aucun doute, qu'elle ne s'expliquait même pas. Elle le regardait, et elle avait tout à la fois envie de le gifler, et le besoin de l'embrasser.
Jamais aucun homme ne l'avait mise dans cet état, pas même Néo. Jamais aucun homme n'avait sucité en elle tant de passion, et elle se le refusait. Elle ne pouvait que lui en vouloir pour cela, et elle le regardait avec toute sa colère à l'heure actuelle. Alors qu'ils se retrouvaient seuls, elle lui demandait des explications sur son comportement, incapable de le comprendre. Refusant de voir ce qui pourtant serait évident pour quiconque. Ce qui l'était pour Eliakim, sous-entendant que déjà Ezeckiel avait marqué la jeune femme bien plus profondément qu'elle n'aurait voulu l'admettre. Elle ne l'admettait pas. Elle le refusait. Aveuglée par sa peur de souffrir, et par des années d'habitude, son coeur ne savait comment réagir. Rageux, colérique, plus que tendre ou aimant. « C'est à moi que tu demandes ça ? Après m'avoir ridiculisé dans la boite en partant avec ce minet ? Je t'ai vu dans la ruelle Ana. Avec lui, en partant je vous ai vu contre le mur. » Et la réponse colérique d'Ezeckiel ne fait que décupler la sienne, alors qu'elle le regarde sans pouvoir répondre tant elle est surprise. Lui en voulait-il d'être partie avec Tobias ? De quel droit lui en faisait-il le reproche ? Y avait-il quelque chose entre eux qui lui permettait de la bouder parce qu'elle couchait avec un autre ? Rien. Ils avaient couché ensemble une fois, ne s'étaient pas vraiment revus depuis, et aujourd'hui il ne voulait pas la voir avec quelqu'un d'autre ? Elle passait outre le fait qu'il les avait vu, se demandant simplement si... Non. Il n'a pas pu entendre le hurlement de jouissance de la jeune femme, sinon il ne la regarderait pas ainsi. Mais sans doute y aurait-il une marque d'orgueil plutôt que du ressentiment. Ou alors cela ne comptait pas pour lui ? Elle était définitivement perdu.
Mais face au silence d'Anastasia, alors qu'elle essayait de ne pas montrer l'embarras dont elle était soudainement victime il continua sur sa lancée : « Je pensais simplement que ça avait été fun toi et moi et qu'on pourrait recommencer mais ce jeune homme est plus doué que moi si j'en juge par ton choix. » Jalousie ? Elle hausse un sourcil. A présent ce serait sans doute à lui d'être dans l'embarras. Etait-il en train de lui dire qu'il était jaloux de Tobias ? Alors sans doute avait-elle bien fait de partir avec lui. Qu'il était agréable de voir qu'un amant vous courrez après. Hors de tout sentiment amoureux - car elle n'y pensait même pas en réalité - elle était ravie de voir qu'il avait le désire de réitérer cette expérience. Elle aurait été sans doute la première à le dire mais elle était ravie qu'il l'ait prise de court. Elle avait moins honte d'avouer que le sexe avec Tobias n'avait été bon qu'à partir du moment où elle avait laissé les souvenirs d'Ezeckiel l'envahir. Peut être ne devrait-elle pas l'avouer en outre, c'était bien plus amusant ainsi.
Ezeckiel lui tourne alors le dos, sans lui laisser le temps de répondre et prend son café, s'assoit, ouvre un magazine, et feint l'indifférence. « Tu n'as pas besoin de le dire j'ai compris le message Ana. Personne ne saura pour notre petite crise de folie et... Je suis désolé de t'avoir fait du pied. » Il semblait sincère, et la gorge de la jeune femme se serra ? What ? Sa gorge se serrer ? D'où ? Pourquoi ? Qu'importe, elle ignore sa déception, prend un café à son tour et s'assoit en face d'Ezeckiel, qu'elle reluque pendant quelques instants, buvant son café. « Tu es jaloux ? »  Demanda-t-elle soudainement, cachant un sourire dans la voix, elle le regarde droit dans les yeux, jouant une fois encore avec ses nerfs. La colère à laissait place à autre chose, qu'elle ne saurait décrire avec un seul mot. Mais elle n'y pense pas, elle se concentre sur Ezeckiel. « Ce qui te dérange, c'est que j'ai couché avec un autre que toi, que tu l'ai su, ou qu'on ait pas recouché ensemble tous les deux ? »  Demande-t-elle en haussant un sourcil, l'invitant à répondre avec toute sa sincérité. Sans doute devrait-elle lui dire que Tobias était une erreur, un pêcher d'orgueil de sa part, mais elle refuse de montrer ses faiblesse, et ses comportements si paradoxaux vis-à-vis d'Ezeckiel.
Elle prend encore la tasse à café entre ses lèvres, et la termine, la posant sur la table avec un air plus défiant vers Ezeckiel. « Tu veux qu'on réitère l'expérience ? Tu voudrais que... » elle se penche vers lui, étourdie par les mots qu'elle est sur le point de prononcer. « ... je ne sois qu'à toi ? » 

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Ezeckiel & Anastasia
« Oui. » Jaloux. Ezeckiel était jaloux. Et putain elle adorait cette idée. Elle n'oserait pas le dire à voix haute mais sa manière d'agir était assez éloquent déjà. Elle était là, debout, souriant d'un air satisfait alors qu'Ezeckiel s'asseyait à une table, lui tournant le dos. Il était jaloux à l'idée de la voix dans les bras d'un autre ? Bon, il ne s'agissait pas uniquement d'être dans les bras d'un autre. Elle avait baisé avec Tobias, d'une manière terriblement peu romantique et sauvage. Peu digne de la lady que tout le monde voyait en elle. Mais en ce qui concernait sa vie privée, Anastasia avait décidé il y a bien longtemps de faire ce qu'elle voulait. Elle avait réussi à éviter les rumeurs de l'Oxymoron. Et de toute façon le journal préféré se concentrer sur les excès des élèves, laissant de côté les habitudes étranges des membres de l'administration. Pour ce qui la concerne, elle pouvait bien jouer la nymphomane, elle le faisait avec assez de discrétion pour que cela ne saute pas aux yeux de toute l'université. Et fort heureusement car elle risquait de perdre sa réputation. Réputation de salle ordure, de salope prétentieuse et sans coeur, qui aimait faire chier les élèves plutôt que de leur rendre la vie plus simple. Elle aimait jouer avec son pouvoir. C'était une chose qui la rendait heureuse et la faisait sourire. Passons, là n'était pas la question. Dans sa vie privée, depuis Néo, elle n'avait jamais eut à nouveau une relation sur le long terme. Jamais aucun de ses amants n'avaient demandé à être avec elle plus longtemps qu'une seule nuit. Et jamais aucun ne lui avait fait une réelle crise de jalousie. C'était grisant, amusant, et nouveau. Excitant aussi, mais elle s'étonnait de se voir excitée dés qu'Ezeckiel entrait dans une pièce.
Il avait un pouvoir sur elle qu'elle ne voulait pas admettre. Il l'excitait tellement qu'elle avait dû mal à réfléchir convenablement. C'est à dire qu'elle avait dû mal à ne pas repenser à leur partie de jambes en l'air lors du dîner du Conseil. Putain, jamais aucun homme ne l'avait marquée à ce point. Elle en rêvait même. Des rêves érotiques qui la rendait folle au réveil. Frustration, expliquant son caractère terribles ces derniers jours. Mais personne ne posait de question, trouvant cela presque normal de la part d'Anastasia.

Mais peut être que les choses allaient changer. Elle s'assit devant Ezeckiel et lui posa LA véritable question. Elle savait que sa réponse allait changer les choses, mais elle s'en fichait. Elle le regardait, et elle savait qu'elle pourrait se satisfaire d'être sa seule amante. Cela ne serait pas facile, elle n'était pas une femme facile. Elle ne se donnait pas à lui, et ne désirait pas de relation amoureuse et tendre. Mais coucher avec lui, et uniquement lui ? Oui. Elle le voudrait. « Je veux être ton seul amant. Je sais très bien que tu as pris un pied monumental avec moi. Je ne vois pas pourquoi tu te refuserais à moi alors qu'on le veut tous les deux et qu'on pourrait largement se combler l'un et l'autre. » Elle lève le regard, et lui offre un sourire complice. Il a raison. Jamais un homme ne l'avait autant satisfaite que lui. Il était un amant incroyablement doué. Mais elle ne l'avouerait pas aussi rapidement, lui donnant la satisfaction de savoir qu'il était véritablement doué. A la place de cela, elle se mit au font de sa chaise. Il se lève, marche jusqu'à la porte de la salle des professeurs, et elle entend le verrou. Etait-il sérieux ? Il était prêt dés à présent à faire en sorte de ... Sceller cette promesse d'être des amants fidèles ? Est-ce qu'il avait conscience qu'elle avait un côté très insatiable ? Qu'elle pouvait très bien débarqué chez lui à trois heures du matin si l'envie lui prenait ? Et que les week-ends ils ne se verraient jamais ? Elle devra imposer ses règles, elle le savait. Mais sans doute l'accepterait-il. Il semblait prêt à tout pour l'avoir. « Oui je veux que tu sois uniquement à moi. Ose me dire que ces mots ne t'excitent pas... » Il se penche vers son cou et l'embrasse. Déjà Anastasia sent une vague de désir l'envahir, et un soupire d'aise lui échapper. Elle sent sa main descendre sous sa jupe, remontant le long de sa cuisse. Elle retient son souffle sous l'effet de l'excitation. Est-ce qu'il allait ... La toucher ici et maintenant ? « J'ai envie de t'allonger sur cette table et de te faire crier mon prénom comme tu l'as fais l'autre soir contre ce mur. Oui j'ai entendu... Et je sais qu'à l'idée de ce que je peux te faire ici te rend déjà trempe... » Sérieusement ? Elle se lève soudainement, ôtant sa main et se retourne vers lui. Il l'avait entendue, et il lui avait fait croire le contraire ? Et il pensait s'en sortir comme cela ? Certainement pas. Elle n'aimait pas que l'on se moque d'elle de la sorte. Alors, elle s'assoit sur le bureau, un pied sur la chaise, lui offrant un passage vers son sous-vêtement déjà trempé - en effet. « Bien, Bennett. Je serai uniquement à toi, si tu fais la même promesse de ton côté. Evidemment. » Dit-elle en haussant un sourcil. Elle ne voudrait pas que cela ne soit que dans un sens. Qu'il s'amuse de son côté alors qu'elle se retrouver dans une relation unique. Monogamme. Putain elle n'avait pas été la maitresse d'un seul homme depuis Néo. Ne pas y penser. Ne pas flipper.
« Mais comme nous ne sommes qu'amants, tu devras respecter mes règles. Je ne dormirais jamais chez toi. Et tu ne dormiras jamais chez moi. Tu devras mériter le droit de m'embrasser. C'est un acte bien trop... intime. Et les week-ends, tu m'oublie. C'est un temps qui m'appartient. Aucune question personnelles. Aucun surnom romantique. Aucun mot tendre. Du sexe. Uniquement. » Dit-elle en le prenant par la nuque, avant de venir embrasser sa joue et remonter jusqu'à son oreille. « Je veux que tu me fasse jouir maintenant. » DIt-elle d'une voix souave.

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Ezeckiel & Anastasia
Elle était en train de mettre en place une sorte de contrat pour une relation sexuelle. Quand est-ce qu'elle en était arrivée là dans sa vie ? Sincèrement c'était la première fois qu'elle faisait ce genre de chose. Un premier pas, sans doute, vers la guérison et l'oublie de sa relation passée et meurtrière avec Néo. Elle s'était laissée détruite par cet amour, l'absence la rendant folle et la coupant du reste du monde. Aujourd'hui elle semblait faire un pas en avant. Ce n'était sans doute pas l'idéal, et sans doute Eliakim serait assez déçue de la voir faire les choses ainsi, mais elle n'était pas prête à quoi que ce soit d'autre. Elle n'était pas prêtre à se faire des nattes avec Ezeckiel, parlant de leurs souffrances passés en buvant du thé. Ou du whisky. Ou les deux. Si entre eux le sexe était terriblement bon, elle doutait de leur bonne entente en dehors. Après tout, les seules fois où ils s'était retrouvés à parler ils s'étaient envoyer chier. Ou alors le ton était si glacial que personne n'osait se mettre entre eux. Ils ne s'entendaient pas, comment Eliakim pouvait émettre même l'hypothèse qu'Ezeckiel était un homme particulier, qui l'avait marquée. Non, il n'était définitivement pas fait pour elle, c'était une évidence.
Alors elle se refusait à s'ouvrir à lui. Sauf en ce qui concernait le sexe. Et sans doute pensait-il la même chose, car alors qu'elle lui énumérait ce qu'elle accepterait ou pas de sa part, il n'émet aucune réserve. Même quand elle exige qu'il ne l'embrasse sous aucune raison. Tant qu'il ne l'aura pas mériter. Elle n'embrasse pas ses amants, jamais. Pas alors que embrasser est un acte si romantique et intime dans sa vision des choses. Elle n'embrassera pas Ezeckiel, elle le baiserait, simplement. « D'accord. Mais n'essaye pas de me refuser quelques caresses. Je ne suis pas une bête, j'aime prendre mon temps et j'adore faire languir mes partenaires. » Elle hausse un sourcil. Il aime faire languir ses partenaires ? Elle n'avait pas eut l'occasion de le constater la dernière fois qu'ils avaient couché ensemble. Bien au contraire, il avait su la prendre sans même cajoler sa poitrine. Mais s'il lui demandait cela, qui était-elle pour le lui refuser. « Tu aimes les faire languir ? »  Demande-t-elle par pure esprit de curiosité. Elle aimerait être de celle qu'il fait languir. Sans doute ne résisterait pas longtemps avant de lui demander de la prendre violemment mais elle aimerait y gouter. Elle aimerait le gouter. Vraiment. « Et puis avoue que mes caresses sont délicieuses.. » Sans doute l'aurait-elle su si elle y avait eut droit, pensa-t-elle. Mais elle ne dit rien, préférant se laisser approcher du bellâtre. Il venait embrasser son cou, et elle mit ses mains en arrière pour lui laisser libre accès à cette zone si érotique. Elle soupira profondément. Avant de lui demander de la faire jouir. Une manière de mettre à profit de nouveau contrat entre eux. Une relation qui - elle l'espère - sera assez lucrative pour tous les deux. C'était rare de trouver un amant aussi doué. Elle aimerait en profiter. C'était bien l'un des premiers qui la mettait dans un tel état, et qui la faisait jouir aussi bien.
« Oups... » Elle sentit sa poitrine libérer tout à coup, alors que les boutons de sa chemise se retrouvaient sur le sol. Enfoiré. Un chemisier qu'elle aimait énormément, et qui savait mettre sa poitrine en valeur. Il devra lui en retrouver un. C'est une clause qu'elle rajoutera à leur contrat : Tout vêtement endommagé devra être remplacé. Avec lui elle sent qu'elle pourra bien vite se refaire une garde-robe. C'est comme cela qu'il savait se montrer doux ? Et bien ma foi... Elle n'allait pas s'en plaindre. Un amant aussi téméraire, c'était terriblement sexy. Enfin il s'attaque à sa poitrine, et elle laisse échapper un gémissement. « Tu devras... M'offrir un... Chemisier. » dit-elle avec difficulté alors qu'elle a dû mal à trouver ses mots, perdu dans un nuage de plaisir. Putain c'était bon. C'était terriblement bon. Et excitant. Et elle mouillait. Cascade Pensa-t-elle, réprimant un sourire, alors qu'il la fait s'allonger sur le bureau.
Bien vite, elle sent qu'il va à la rencontre de son intimité. « Trempe en effet... » Elle se mord la lèvre, et ne peut réprimer une répartie stupide : « Comme les scoots, toujours prête. »  Dit-elle avant qu'il ne plonge en elle, léchant son sexe pour lui faire découvrir des sensations qu'elle pensait perdue depuis longtemps. Bordel ! Il est doué avec sa langue cet enfoiré. Pense-t-elle alors qu'elle se tient aux côtés de la table, comme une manière de garder les pieds sur terre. Plus ou moins. Une manière de ne pas perdre pied dirons-nous plutôt. Plusieurs minutes de tortures durant lesquels son corps se tord et se tend. Jouissance immense en vague qui vient et la terrasse. Elle réprime son hurlement en mordant sa lèvre. Et s'effondre sur la table en cherchant son souffle. C'était bon. Terriblement bon. Beaucoup trop bon. « Il vous reste encore un peu d'énergie ma chère ? » Elle hausse un sourcil, se tournant vers lui pour découvrir qu'il a sortie son érection. Son sexe immense et tendu vers elle, sous la protection en latex. Regard gourmand de la belle alors qu'il se place devant son intimité. « Donne moi ta main... » Elle s'exécute sans demander son reste. Il lui avait assez prouvé qu'il savait comment rendre une femme complètement folle. Elle le regarde alors qu'il lèche deux de ses doigts, la regardant droit dans les yeux - au point de la faire rougir de plaisir et de gêne - avant de les guider sur son clitoris. Rien que ce contact léger la fait frémir. « Caresse toi... » Avec plaisir. Pense-t-elle, commençant à caresser son bouton de plaisir par des mouvements circulaires. Doucement, le sexe d'Ezeckiel l'envahit soudainement. Elle gémit à cette invasion, avant de se laisser aller en arrière. Sa poitrine levée vers Ezeckiel, alors qu'il la fait sienne. Ils sont en train de baiser dans la salle des profs. Normal. Et cela ne semble en déranger ni l'un ni l'autre. Et ca l'excite. L'idée que peut être un professeur peut essayer de rentrer, ou les entendre. Ca l'excite, étrangement. Elle ne l'aurait jamais cru. Elle ouvre les yeux, croise le regard d'Ezeckiel et sourit. C'était bon. « Plus vite. » Exige-t-elle alors qu'elle se caresse plus vite allant à l'encontre de son amant, de sa main libre elle prend une des siennes pour la mettre sur sa poitrine, l'invitant à jouer avec ses tétons. Excitation. Bordel. Elle allait jouir une seconde fois. Et ca allait être terriblement bon. Et ca allait la rendre terriblement folle. « Je viens ... Putain Ez c'est bon... »  Dit-elle, alors qu'elle sent le plaisir monter de plus en plus, la submergeant. Soudainement elle se relève et s'accroche à Ezeckiel. Dans cette position son sexe semble la prendre plus profondément encore, et la jouissance l'envahit. Alors qu'elle enlace son amant. Son corps se tend et tremble sous le plaisir. Elle embrasse son cou, le mordille, gémissant son plaisir. « Tu es bien trop doué pour ma santé mentale. »  Avoue-t-elle une fois que les sensations se sont calmées, et qu'elle arrive à nouveau à respirer normalement.