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 love me like you do (adanix)

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Phoenix C. Feuerbach




Phoenix C. Feuerbach
TEACHER — guide du savoir.


☆ date d'arrivée : 01/01/2016
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MessageSujet: love me like you do (adanix)   love me like you do (adanix) EmptyDim 20 Mar - 16:40

love me like you do
Adam & Phoenix
Alors qu’il observe les étudiants qui l’entourent, il se dit qu’il est finalement assez content d’être de retour à Oxford. Finalement c’est peut-être le seul endroit où il s’est vraiment senti chez lui, et où il est resté assez longtemps pour pouvoir avoir l’impression d’avoir une place. Il avait des amis à l’époque, tout une bande de rebelles prêts à tout pour se faire remarquer, et pour trouver les moyens les plus sûrs pour sécher les cours en toute sécurité. Ce n’était pas un problème pour Phoenix. Il n’avait pas beaucoup séché les cours en réalité, et il lui suffisait d’être en cours – même si c’était pour somnoler – pour se souvenir de tout en détail. De lire une feuille pour pouvoir la réciter. De poser les yeux sur le tableau une demi-seconde pour pouvoir le reproduire. Alors sécher les cours il n’y voyait pas l’intérêt, parce que finalement il ne donnait pas beaucoup d’énergie pour y être, n’est-ce pas ? Et à présent qu’il était professeur il se retrouvait à son tour confronté à des étudiants qui cherchaient tous les moyens pour lui échapper. Ils n’étaient pas extrêmement doués cela dit, et à la différence de son époque (coup de vieux) ils étaient bien mieux surveillés par l’administration. Les portables et les mails qu’ils avaient donnés au début de l’année, permettait à l’administration de les prévenir quand ils étaient notés absents, et de pouvoir les joindre à tout instant. Phoenix s’en donnait à cœur joie, envoyant à ses étudiants absents les devoirs auxquels ils pensaient échapper. Comme ca aucune excuse pour ne pas les rendre ou pour râler après un zéro pointé. Le pouvoir d’un prof était jouissif, et il s’étonnait à aimer cela, en fin de compte.

Sans compter que depuis deux semaines il ne pouvait se rattacher qu’à cela. Son boulot de professeur, pour passer ses nerfs et sa frustration. Depuis deux semaines, il n’avait pas eut l’occasion de recroiser Adam Harper. Son amant. Son ex-amant ? il ne sait pas, et il n’est pas prêt de mettre un mot sur leur relation étant donné qu’Adam s’est donné pour mission de l’éviter. Il venait à ses cours cela dit, mais s’échapper dés que l’heure se terminait sans répondre aux appels de Phoenix. Appels parfois assez désespéré il le conçoit. Voyant qu’Adam ne semblait pas prêt à lui parler quand ils étaient en cours – et Phoenix ne devait pas donner l’impression d’être le genre de prof à se taper ses élèves – il décida de changer de tactique. Il avait essayé de l’appeler, en fin de journée, une ou deux fois par jour… Il lui avait envoyé des sms, espérant avoir un message, ou un signe de sa part. Mais rien. Adam faisait le mort, et lui ne savait plus comment réagir. Ils avaient couché ensemble. Non . Il lui avait fait l’amour dans une étreinte terriblement passionné, qui avait fait remonter en lui des sentiments qu’il pensait perdu, et il ne savait pas ce que cela signifiait. Est-ce que cela signifiait quelque chose ? Adam s’était tiré en le laissant encore pantelant suite à la jouissance qu’il avait eut, sans un regard, sans un baiser. Il était parti en le laissant planter là. Qu’est-ce que ca signifie ? Phoenix se sentait comme un drogué à qui on venait d’ôter sa dose. Mais une dose salvatrice et agréable. Depuis il passait ses journées à tanguer entre des moments de déprime extrême, et des moments de joie intense en y repensant.

Il tire sur sa clope, la jette au sol et l’écrase. La journée vient de se terminer, et il ressent une profonde frustration aujourd’hui : Adam était absent. Finalement au bout de deux semaines à jouer à cache-cache il avait finit par vraiment … se tirer ? Une angoisse sourde afflige le cœur de Phoenix alors qu’il se demande si vraiment Adam pourrait quitter Oxford sans rien lui dire ? Sans doute pas. Il est peut être tout simplement malade. Ou alors il ne supporte plus même de le voir en cours. Est-ce qu’il était en colère contre lui ? Et pour quelle raison ? Agacé, et frustré, Phoenix prit une décision qu’il était sûr de risquer de regretter : il alla chez Adam. Resserrant les pans de son manteau sur lui il regarda son portable – aucun message. Grimaçant il prit le chemin de l’appartement d’Adam, sentant une colère sourde et un sentiment d’injustice le saisir.
En une demi-heure il se retrouva devant l’appartement de son cher et tendre . Serrant les dents il entre dans l’immeuble alors qu’une jeune femme en sort – prétextant de lui garder la porte ouverte. Un coup d’œil sur les boites aux lettres et il découvre que son homme vie au deuxième étage. Fort bien. Il monte les escaliers, incapable de rester en place en attendant l’ascenseur. Un coup d’œil sur les plaques près des portes et il trouve rapidement celle d’Adam. Il sonne. Une fois. Deux fois. Attend. Mais rien ne se passe. Est-ce qu’il est vraiment malade ? Est-ce qu’il l’évite ? Il grimace, sentant que ces deux semaines de frustration remontent soudainement en lui : « Adam c’est moi ! Ouvre ! » Exige-t-il alors qu’il entend de l’autre côté quelqu’un qui s’agit.


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Adam E. Harper




Adam E. Harper
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MessageSujet: Re: love me like you do (adanix)   love me like you do (adanix) EmptyMar 22 Mar - 23:44

Love me like you do.
Phoenix & Adam
Cela fait deux semaines qu'ils ont couchés ensemble, qu'ils ont partagés ce moment parfait dans un endroit calme, à l’abri des regards indiscret de cette boite. Il y a dix ans en arrière Adam aurait tenté de revenir vers Phoenix pour expliquer son geste et surtout, envisager de recommencer. Mais dix ans ont passés, dix longues années qui ont forgés Adam, il a un caractère difficile maintenant et ne se laisse plus prendre par ses rêves d'adolescent, il ne croit plus vraiment en l'amour et au possible bonheur avec quelqu'un à côté de lui. Seul une seule et unique personne  i apporter ce bonheur mais cette personne en a décidé autrement, et justement il a recouché avec cette personne. A son grand désespoir il n'a pas pu se refuser à Phoenix et ses caresses bien trop parfaites. Il se déteste pour ce soir là, il aurait du résister et au pire s'enfuir à travers la boite, tout pour ne pas céder car il savait que si il cédait, il aurait plus de problème qu'autre chose. Quel idiot ! Comme toujours lorsqu'il a tendance à boire de toute façon, il se laisse aller à des gestes et des paroles qu'il regrette par la suite. Alors, voilà deux semaines qu'il évite royalement Phoenix. Il ne veut pas parler de cette soirée, il ne veut pas attendre de la bouche de son amant que cette soirée restera unique où alors, pire, qu'il ne peut pas le rendre heureux etc... Phoenix et son baratin habituel, Adam ne veut pas, refuse de l'entendre. Sinon il risque encore de rentrer dans un colère noire, seul Phoenix peut le faire sortir de ses gonds de cette façon de toute façon. Au grand désespoir d'Adam qui tente tout le temps de se maîtriser au maximum. Il porte constamment un masque, une façon de se cacher et de ne pas avouer publiquement ce qu'il ressent. Maître de lui même, à tout instant. Sauf avec Phoenix. C'est pour cela qu'il doit rester loin.

Mais ce matin en se levant, un étrange mal de gorge l'a violemment empêché de déglutir pendant quelques secondes. Jusqu'à ce qu'une gorgée d'eau passe dans sa gorge en lui arrachant une grimace de douleur. Bon, il est malade. C'est étonnant, il se balade quasiment à poil de toute façon. En sortant de son lit il remarque qu'il a froid et que pendant la nuit, il c'est levé pour augmenter le chauffage et enfiler un gros pull. Bon, impossible pour lui de se rendre en cours, la fièvre augmente et sa gorge lui fait plus mal encore, si c'est possible. Alors, il rejoint sa cuisine et sort un doliprane pour la fièvre et un cachet pour la gorge. Il trouve également des anti-biotiques, de quoi calmer son angine rouge où blanche qui menace de le clouer au lit pour la journée. Il se fait un chocolat chaud et plonge le doliprane effervescent dans un verre d'eau claire. Là, tout en prenant la moitié d'une crêpe à la confiture de fraise, il repart dans son lit en mâchouillant sa crêpe. Il n'a pas faim mais il sait que si il prend ses cachets sans manger, il aura l'estomac retourné toute la journée. Alors après une demi-heure à mâcher sa nourriture et à regarder sa télévision -une télé dans la chambre, qu'elle bonne idée pour ses jours de flemme!- et voilà qu'il s'allonge dans son lit après avoir avalé ses cachets. La télévision l'endort, heureusement car il commence à avoir froid et il sait que si il ne dort pas quand la fièvre aura atteint son apogée, il va trembler pendant des heures. Adam n'est pas souvent malade mais lorsqu'il l'est, c'est une horreur. Heureusement il s'endort rapidement et pendant un certain temps, il ne sait pas si il somnole entre le rêve et la réalité. Mais lorsque quelqu'un vient sonner, il sursaute et se tourne dans son lit, bien décidé à dormir quoi qu'il arrive. Hors la personne derrière la porte semble bien décidée à le harceler. Adam soupire et ôte la couverture de son corps, difficilement. « Je sais pas qui c'est mais j'vais le tuer. Où la tuer. » Dit-il, grognant dans sa barbe tout en se levant. Sa tête tape, il ferme violemment les yeux et marche vers la porte. « Adam c’est moi ! Ouvre ! » « J'arrive ! Ca va ! » Crie l'étudiant en tâtonnant contre la porte pour l'ouvrir. Il reconnaît le visage de son amant aussitôt, son odeur le frappe de plein fouet alors que Adam marque un geste de recul. « Salut Phoenix. » Dit-il en se poussant pour le laisser rentrer et refermer la porte derrière lui. En traînant les pieds, Adam marche jusqu'à sa cuisine où il fait couleur deux cafés. En se réveillant doucement, il remarque déjà que sa gorge ne le brûle plus tant que ça et surtout, la fièvre semble l'avoir quitté. Il prend les deux cafés prêt et les emmène jusqu’à la table basse du salon. Il a également pensé à emporter le sucrier, Phoenix sucre toujours beaucoup ses cafés. Et ce n'est jamais la même dose, en fonction de son état de nerfs où de la fatigue il sucre plus où moins. « Qu'est ce que tu fais là Phoenix ? Comment tu vas ? » Demande Adam en plongeant dans son café trois sucres et en remuant avec sa cuillère. Il ne pensait pas le voir, pas après deux semaines de fuite inutile.
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Phoenix C. Feuerbach




Phoenix C. Feuerbach
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MessageSujet: Re: love me like you do (adanix)   love me like you do (adanix) EmptyJeu 24 Mar - 12:15

love me like you do
Adam & Phoenix
Phoenix n’a pas toujours été quelqu’un de capricieux. Tout d’abord il n’a jamais eut besoin de demander son avis à qui que ce soit durant des années. Il prenait sans poser la question, sans demander s’il en avait le droit, et parfois sans payer. Il n’avait pas de maitre, pas de loi. Il était un orphelin, abandonné dans un monde de non-droit. Il voulait, il prenait, et si quelqu’un voulait le choper il n’avait qu’à prendre les jambes à son cou. Il n’avait pas de parents à mettre au courant, et quand il en avait ils prenaient ce prétexte pour le dire instable et refuser de s’occuper de lui plus longtemps encore. Alors il n’avait pas de raison de faire des caprices, parce qu’il n’y avait personne pour lui céder. Jusqu’à ce qu’il rencontre Adam. Adam a sans doute été la première personne à avoir une place définie dans la vie de Phoenix. La première personne qu’il voulait voir dés qu’il se levait le matin, et contre laquelle il voulait s’endormir le soir. La seule personne qui pouvait lui refuser quelque chose, ce qui mettait souvent Phoenix dans des colères sourdes. Il ne supportait pas qu’Adam lui échappe, qu’il lui refuse un dîner en tête à tête, ou encore de passer la nuit chez lui. Il était capable de le harceler jusqu’à ce qu’il accepte de le voir, quitte à aller chez lui et en virer ses amis. Phoenix était devenu un gamin capricieux, dés lors qu’il avait pu dire « c’est à moi ». Et avec Adam il s’était toujours montré terriblement possessif.
Mais il avait fuit. C’est lui qui était parti du jour au lendemain, en balançant à Adam tout ce qu’il ne voulait – et à fortiori ne pouvait – pas entendre. Tout ce qui le terrifait, tout ce qui le touchait et le blessait. Phoenix était parti, incapable de vivre comme tout le monde, incapable de croire qu’il allait devenir un homme bien, et un homme heureux. Un homme chanceux. Toutes les personnes qu’il avait pensé aimer un jour l’avait finalement quitté. Son père était parti. Sa mère était morte. Ses familles d’adoption avaient préféré l’abandonner dés qu’il devenait trop rebelle. A l’âge de treize ans il se promit de ne plus jamais laisser personne prendre une place importante dans sa vie. De ne plus jamais prendre le risque de souffrir de ce sentiment terrible d’abandon. C’est sans doute pour cela que pendant longtemps il avait refusé de devenir proche de ses mères adoptives, de les laisser prendre une place constante dans son cœur. Aujourd’hui elles avaient son estime, mais il était toujours incapable de leur dire qu’il les aimait comme des mères. Sans doute parce qu’au fond ce n’était pas le cas.

Il voulait se protéger, mais il en était incapable il l’avouerait sans gêne. Après tout si tôt qu’Adam lui avait sourit lors de cette soirée deux semaines plus tard, il était retombé dans ses anciennes habitudes. Adam contre lui. Adam l’embrassant. Adam qui gémissait à son oreille. Le corps d’Adam s’arquant contre son torse alors qu’il le faisait sien. Les souvenirs étaient si précis dans son esprit qu’il avait encore l’impression de pouvoir le sentir, de le ressentir au plus profond de lui. Mais quand il ouvrait les yeux, le froid glacial de son silence revenait. L’abandon. Il grimaçait. Sans doute était-il le moins bien placé pour venir demander des explications à son amant, mais Phoenix n’était pas un homme d’une intelligence sociale folle. Sans doute aurait-il dû passer à autre chose, et abandonner l’idée de se considérer comme un tout avec Adam. Il méritait mieux, il avait toujours mérité mieux. Mais Phoenix était devenu capricieux, et dans son esprit empli d’illogisme, Adam était à lui à nouveau. « Salut Phoenix. » Il se trouvait tétaniser à cet instant, alors que son homme – il le revendiquait comme tel – lui ouvrait enfin la porte. Il venait sans doute de se réveiller à en croire son air fatigué et ses cheveux en bataille. Putain qu’il est beau. Phoenix inspire profondément pour réprimer la vague de désire qui l’envahit. Il a toujours eut cet effet sur lui. C’est injuste. « Bonjour Adam. » Répondit-il avec une voix roc qui ne pouvait que prouver de son trouble. Ou pas. Peut être pas tant que cela.
Il rentre chez son amant, et le suit du regard alors qu’Adam va dans la cuisine pour leur faire deux cafés. Il reste à bonne distance, alors que son corps entier hurle pour le sentir à nouveau entre ses bras. Il ferme la porte derrière lui, détournant son regard pour tenter de reprendre contenance. Le silence est tendu, il le sent bien. Il est tendu, combattant son instinct et son désir.

Adam va jusqu’à la table basse du salon, et Phoenix le suit, toujours à bonne distance. Putain s’il s’assoit sur ce canapé il sera proche d’Adam. Trop proche pour son propre bien, pour réussir à tenir la conversation, alors il reste debout pendant un moment. « Qu'est ce que tu fais là Phoenix ? Comment tu vas ? » Phoenix regarde son amant mettre trois sucres dans son café, le sien étant fumant à côté. Il sent une colère sourde l’emporter soudainement. « J’suis bien obligé de venir jusqu’à chez toi puisque tu t’évertue à m’ignorer et m’éviter. » Dit-il d’une voix sourde, se retenant de hurler. Il … il est incapable de penser avec cohérence, incapable d’admettre que cette situation est de sa faute entièrement. Il est un enfant capricieux, désireux d’avoir quelque chose, quelqu’un. Et cette personne c’est Adam. Adam qu’il ne peut pas avoir. Qu’il ne pourra jamais avoir totalement. Et ca le tue. « Tu n’étais pas en cours aujourd’hui, je me suis inquiété. Je te réveille excuse moi. » Dit-il, loin d’être désolé en réalité. « Pourquoi tu … » Comment le formuler sans paraître trop acerbe ou sans mettre à nue cette fierté qui lui colle à la peau. Peine perdue, c’était impossible, alors il s’avance vers la table basse, et met du sucre dans son café. Un. Deux. Trois. Quatre. Il est agacé. Plus il est agacé et plus il sucre son café. « Pourquoi tu m’as laissé te faire l’amour pour m’ignorer ensuite pendant deux semaines ? » lâcha-t-il finalement alors que son corps tremble presque de rage.

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Adam E. Harper




Adam E. Harper
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MessageSujet: Re: love me like you do (adanix)   love me like you do (adanix) EmptySam 26 Mar - 15:57

Love me like you do.
Phoenix & Adam
Dés qu'il ouvre la porte et se retrouve devant Phoenix, il sent qu'une conversation pas forcément agréable va s'en suivre. Il grimace d'avance, il n'est pas dans son assiette aujourd'hui, il n'a pas envie d'entendre crier où pire. Il est comateux, tout simplement et il espère que Phoenix vient seulement pour prendre des nouvelles. Mais c'est Phoenix et Adam le connaît trop bien, il sait d'avance que cela annonce une discussion et sans doute des haussements de ton que Adam voudrait éviter. Pour autant il s'écarte de le laisse passer tout en remarquant que la voix de son amant est plus rauque. Comme avant, quand d'un regard le corps de son amant s'enflammait. Au final c'est toujours aussi grisant d'avoir ce pouvoir sur lui, il ne doit pas en abuser pour autant. Adam pendant une seconde se rend compte qu'il est en gros pyjama, avec un pull deux fois trop grand pour lui. Comment Phoenix peut le désirer ainsi ? Il ne comprendra jamais cela. Mais bon, il se détourne et part faire deux cafés avant de poser les tasses sur la table basse. Il s'assoit dans le canapé et pendant un instant ferme les yeux, luttant contre ce mal de tête qui tape à l'arrière de son crane et qui lui donne envie de se coucher. « J’suis bien obligé de venir jusqu’à chez toi puisque tu t’évertue à m’ignorer et m’éviter. » Crache Phoenix, ce qui fait grimacer Adam. Pourquoi il a eu la bonne idée de lui demander les raisons de sa visite ? Qu'il est idiot parfois ! « Crie pas bordel ! » Lâche Adam en portant sa main à sa tête, dans l'espoir de calmer le vacarme qui se joue dans ses méninges.

« J'suis malade, parle doucement. » Dit-il en se penchant pour prendre son café. Il porte la tasse à sa bouche et prend une gorgée chaude. « Tu n’étais pas en cours aujourd’hui, je me suis inquiété. Je te réveille excuse moi. » Il hausse les épaules d'un air incroyablement je-m'en-foutiste. Il s'en tape tant que Phoenix ne crie pas, c'est tout ce qu'il demande. « Ca va. Tu ne me déranges pas... » Dit-il en relevant les yeux vers Phoenix. Qu'est ce qu'il est beau ce con ! Avec ses yeux bleu, son visage parfait et ses abdos que Adam peut deviner sous son tee-shirt. Ca l'excite. Malade, de la fièvre et la migraine et il trouve le moyen d'être violemment excité par son amant. Il ne s'en sortira jamais de ce mec ! « Pourquoi tu … » Pourquoi je quoi ? Il regarde son amant, sans comprendre, l'incitant à aller au bout de ses idées. « Pourquoi tu m’as laissé te faire l’amour pour m’ignorer ensuite pendant deux semaines ? » Adam soupire et se lève, fait quelques pas dans le salon. Il ne voulait pas en arriver là. Il ne voulait pas en parler et pourtant Phoenix vient uniquement pour ça évidemment. « C'était une erreur. Ca ne se reproduira plus. » Dit-il. Puis, conscient qu'il doit s’expliquer, il ferme les yeux et murmure quelques mots. « Tu me laisses parler, c'est clair ? » Puis, il se tourne pour regarder Phoenix, scellant ses yeux au regard glacial de son amant. « Lorsque tu es parti je ne pensais pas te revoir. J'ai vécu avec la douleur, l'absence, le manque. Je t'ai cherché chez d'autres hommes. Je trouvais parfois quelque chose pour me raccrocher mais évidemment ils n'étaient pas toi. Dix ans. Dix longues années où j'ai fini par me faire une raison. J'ai pensé que tu ne reviendrais pas, que je finirais seul. C'était douloureux mais à force, on s’habitue au manque. » Il revient vers la table basse pour boire un peu de-café et s'humecter les lèvres, il commence à avoir la bouche sèche. « Et puis depuis un mois tu es de retour. Bien. C'est très bien... On a fait l'amour... Et alors ? J'ai quoi en échange Phoenix ? » Dit-il avec un sourire triste. « Ca me fait bien plus mal de me dire que j'ai le droit de t'avoir qu'un soir, que me dire que je ne t'aurais pas du tout. » Il regarde son amant. « Je ne t'ai pas demandé de nous afficher tel un couple. Si tu viens ici pour me cracher au visage que je n'aurais pas une vie parfaite avec toi tu peux directement repartir. Mais je suis quoi moi ? Un mec que tu rejoins quand tu as envie, tu me fais espérer et le lendemain... Tu t'afficheras avec une autre ? Où pire, tu ne me calculeras plus avant de me rappeler ? » Il s'arrête et le regarde. « J'ai qu'elle place dans ta vie Phoenix ? »
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Phoenix C. Feuerbach




Phoenix C. Feuerbach
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MessageSujet: Re: love me like you do (adanix)   love me like you do (adanix) EmptyMar 29 Mar - 0:07

love me like you do
Adam & Phoenix
« Crie pas bordel ! » Il déglutit avec difficulté. Il doit se calmer, il doit prendre son lui, et contrôler ses réactions. Il pose son regard sur Adam, et constate qu’il a vraiment pas l’air bien. Il est livide, le regard vitreux, et les lèvres sèches. Il a une perle de sueur sur le frout qui descend sur l’arrête de son nez. Il est malade, c’est une évidence, et Phoenix sent la culpabilité lui serrer le cœur pendant une seconde. Mais il ne peut pas contenir sa colère et sa tristesse. Deux semaines qu’ils ont fait l’amour. Deux semaines qu’il a retrouvé cette complicité et ses sentiments qu’il a voulu oublier, enfermer dans une partie close de son esprit. Il avait fallu d’une seconde, d’une crise passagère pour que tout se rouvre. Depuis il tanguait entre des moments de dépression plus violente encore, se sentant terriblement mal d’avoir laissé ses pulsions l’éprendre, et des moments de délires complets où il voulait retrouver Adam ou un autre homme pour l’aider à l’oublier. C’est comme cela qu’il s’était retrouvé une semaine avant à flirté avec un crétin d’étudiant. Alexandre, un truc du genre. Il s’en souvenait, mais ce souvenir n’avait pas d’intérêt à ses yeux. En réalité il n’avait que le corps nu d’Adam qui dansait sur son sexe dur et tendu pour l’obséder. « J'suis malade, parle doucement. » Il hoche la tête, assurant qu’il va faire un effort. Il inspire profondément, et se pince l’arête du nez, comme si ce simple geste lui permettait de reprendre le contrôle sur ses émotions. Il inspire profondément et tente de reprendre ses esprits. Pendant ce temps-là Adam va faire deux cafés et lui en offre un.

Il le rejoint au salon, sucre son café avec 4 sucres, et le mélange sans vraiment y faire attention. Il pose sa question. Une putain de question, et il voit dans le regard d’Adam un regret qui s’illumine. Sans doute n’aurait-il pas dû venir pour cela. Peut être qu’il aurait mieux fallu qu’il appelle. Mais pour cela il aurait fallu qu’Adam réponde. Hors il s’évertuait à l’ignorer. Il est malade putain ! Et Phoenix se rend malade à l’attendre, à espérer. Espérer quoi ? Il ne sait pas. Il est pommé, complètement et peut être espère-t-il qu’Adam lui donnera une bonne raison pour partir une fois encore. Mais quelque part, aussi, il espère qu’il le laissera revenir à ses côtés. Il ne sait pas. Putain . Pourquoi les choses ne peuvent pas être simples ? « C'était une erreur. Ca ne se reproduira plus. » Il sert les dents, accuse le coup et baisse les yeux. Une erreur. Il est une putain d’erreur. En outre il ne sait pas ce qui l’agace le plus. Le fait d’être considérée comme une putain d’erreur, ou le fait d’apprendre que ca ne se reproduira pas. Un élan de désir l’étreint, preuve qu’il ne pourra pas le supporter. La crise arrive, il le sent. Il va devenir un putain de connard. Ses émotions le quittent, il ne peut pas les soutenir, il ne peut pas les contrôler. Il ouvre la bouche, sans savoir quoi dire, se ravise alors qu’Adam fait un geste brusque de la main. « Tu me laisses parler, c'est clair ? » Il se renfrogne. Bien. Il le laisse parler, se tourne vers lui, prend son café, boit. Dégueulasse.

Il se tourne vers Adam. Regard glacial. Il sert les dents, il sent qu’il ne va pas aimer ce qu’il va entendre, clairement. « Lorsque tu es parti je ne pensais pas te revoir. J'ai vécu avec la douleur, l'absence, le manque. Je t'ai cherché chez d'autres hommes. Je trouvais parfois quelque chose pour me raccrocher mais évidemment ils n'étaient pas toi. Dix ans. Dix longues années où j'ai fini par me faire une raison. J'ai pensé que tu ne reviendrais pas, que je finirais seul. C'était douloureux mais à force, on s’habitue au manque. » Il ne dit rien. Il se retrouve dans ces paroles, et se rend compte alors qu’il a fait une erreur en partant de la sorte. Il pensait qu’il protègerait Adam, qu’il l’aidera à passer à autre chose. En réalité il aurait dû l’éviter dés le départ. Dés que sous son regard il s’était senti exister. Dés qu’Adam lui avait parlé, la première fois, il avait ressenti ce besoin d’être dans ses bras, de lui faire l’amour, de l’embrasser… Un coup de foudre auquel il a succombé avec toute la folie égoïste de l’adolescence. Aujourd’hui il se rendait compte qu’il avait détruit Adam, et la culpabilité l’enserra dans un étau glacé. « Et puis depuis un mois tu es de retour. Bien. C'est très bien... On a fait l'amour... Et alors ? J'ai quoi en échange Phoenix ? » Phoenix baisse la tête, fautif. Il n’aurait pas de belles déclarations, et une perspective d’avenir auprès de Phoenix. Impossible, alors que lui-même ne savait pas combien de temps il resterait à Oxford. Ou même s’il désirait y rester. Il sait qu’il ne doit pas répondre, cela dit. Adam n’a pas terminé, il lui a promis de ne pas parler. « Ca me fait bien plus mal de me dire que j'ai le droit de t'avoir qu'un soir, que me dire que je ne t'aurais pas du tout. » Je préfère t’aimer un soir et en mourir, que passer le reste de ma vie sans avoir le droit de t’aimer à nouveau, ne serait-ce qu’une fois. Putain de paradoxe. Amour de merde. Parce qu’il l’aime encore. Parce qu’il l’a toujours aimé.
Il retrouve le regard d’Adam qui a fini de tourner en rond comme un lion en cage et sent une boule se former dans sa gorge. « Je ne t'ai pas demandé de nous afficher tel un couple. Si tu viens ici pour me cracher au visage que je n'aurais pas une vie parfaite avec toi tu peux directement repartir. Mais je suis quoi moi ? Un mec que tu rejoins quand tu as envie, tu me fais espérer et le lendemain... Tu t'afficheras avec une autre ? Où pire, tu ne me calculeras plus avant de me rappeler ? » Il sert les dents. Ce genre de chose il aurait pu le faire. Il l’a fait à d’autres. Mais pas à Adam. Adam était… Adam n’était pas pour lui. « J'ai qu'elle place dans ta vie Phoenix ? » « Tu es le seul qui compte. » Dit-il simplement, sans même réfléchir. Il sait qu’il peut le détruire avec ces mots. Qu’il lui dise qu’il l’aime, il le fera souffrir. Qu’il lui dit qu’il disparaîtra à nouveau et il le perdra. Il ne sait pas quoi dire, et les émotions qui l’étreignent risque de prendre le dessus. Putain de crise. Il lui offre un sourire carnassier, mauvais, un connard. « Tu vas pas me dire que tu n’en avais pas envie aussi Adam. J’ten prie. Tu abandonnes ton Noah sans un regard en arrière, pour venir exiger que je te fasse l’amour, et tu oses me dire que tu regrettes ? » dit-il en le fixant d’un regard chaud, et caressant. Il s’approche, pose sa main sur la cuisse d’Adam sans hésitation, souriant. « Tu veux être le seul Adam ? Ne m’ignore pas pendant deux semaines. Trois mots et je suis à toi à nouveau. Oseras-tu les dire ? » Demanda-t-il en haussant un sourcil. Il s’approche encore, un peu trop proche sans doute. « Je n’ai baisé personne depuis deux semaines. J’peux pas chercher ta chaleur dans d’autres étreintes, Adam. Tu as toujours ton putain de pouvoir sur moi. Tu me rendrais fou. » Murmure-t-il avec une voix emplie d’une sensualité qu’il ne retient pas. Il sent le désir l’étreindre à nouveau, l’envie de lui faire l’amour alors qu’il est bien plus proche de lui, et vient frôler ses lèvres. « Me diras-tu non ? Par peur de me voir partir encore ? Aimer aujourd’hui comme un fou, plutôt que de ne plus aimer, jamais ? » Dit-il en restant terriblement proche. « Qu’est-ce que tu veux Adam ? »


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Adam E. Harper




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MessageSujet: Re: love me like you do (adanix)   love me like you do (adanix) EmptyJeu 31 Mar - 15:15

Love me like you do.
Phoenix & Adam
Il tente par tous les moyens de se protéger, éloigner Phoenix pour arrêter de souffrir, pour cesser cette douleur qui le ronge comme un virus ignoble dont il ne parvient pas à se débarrasser. Son amour pour lui devient un fardeau, il n'arrive plus à lui échapper et cela le tue petit à petit, Adam se sent perdre pied avec Phoenix à côté de lui. Il voudrait lui hurler de partir et en même temps, il a besoin de sa présence. Ca lui fait peur d'être aussi accroc, il tremble tel un drogué en manque et en même temps sait que si il cède, ce sera plus difficile et douloureux la fois suivante. Phoenix est son professeur, il sera obligé au moins une fois par semaine de supporter sa présence, d'aller en cours, de le voir et de lui parler au minimum. Qui plus est les regards brûlants de Phoenix n'arrangent rien, ils lui donnent envie de se réfugier contre lui et de se droguer de son parfum. Cet homme est une torture. Plus encore lorsqu'il est énervé, il est sexy à en crever lorsque la colère déforme ses trais. C'est dans ces moments là que Adam avait le plus envie de lui, il atteignait des niveaux de sensualité jamais égalée encore. Ce qui, pour l'étudiant, était assez dévastateur quand on y pense. Mais avant, il y a dix ans il pouvait céder. Il ne risquait rien sauf peut-être quelques bleus le lendemain à cause d'une nuit trop violente. Mais aujourd’hui si il cède, c'est des nuits d'insomnie et de souffrance qu'il s'impose. Il ne peut pas, il ne doit pas et pourtant tout son corps lui hurle de céder, demain sera un autre jour, il aura le temps de penser et de réfléchir demain. « Tu es le seul qui compte. » Non... Pas cette phrase avec ce ton si sensuel et charmeur, il n'a pas le droit. Adam déglutit difficilement et détourne les yeux, refusant de regarder encore son amant une seule seconde. Ils ont fait l'amour il y a deux semaines, ce souvenir brûle encore ses pensées, il ne peut pas se laisser tenter. Il en va de sa survie, il ne supporterait pas un deuxième rejet de la part de Phoenix. Ce dernier s'approche et Adam ne peut rien faire d'autre que le regarder et se mordre la lèvre, sentant que sa raison flanche dangereusement.

« Tu vas pas me dire que tu n’en avais pas envie aussi Adam. J’ten prie. Tu abandonnes ton Noah sans un regard en arrière, pour venir exiger que je te fasse l’amour, et tu oses me dire que tu regrettes ? » Dit-il en posant sa main sur la cuisse de l'étudiant qui ferme les yeux et lutte contre l'envie et les émotions qui déferlent en lui. Cette main chaude qui, il y a deux semaines, courait sur lui et caressait son membre pendant qu'il bougeait au dessus de Phoenix. Il ne regrette par leur séance de sexe, il regrette de ne pas pouvoir en supporter d'autres sans sentir qu'il flanche. Là est tout le problème. Ce que Phoenix ne veut pas entendre. « Tu veux être le seul Adam ? Ne m’ignore pas pendant deux semaines. Trois mots et je suis à toi à nouveau. Oseras-tu les dire ? » « Pour combien de temps ? » Dit-il en déglutissant avec peine. Il se perd dans le regard bleu de son amant et sent que ses forces l'abandonnent, qu'il va se laisser tomber dans cet abysse qui menace de prendre le dessus à chaque instant. « Je n’ai baisé personne depuis deux semaines. J’peux pas chercher ta chaleur dans d’autres étreintes, Adam. Tu as toujours ton putain de pouvoir sur moi. Tu me rendrais fou. » « J'veux pas savoir. Bordel garde tes détails pour toi. Je veux pas savoir si tu en sautes d'autres ou pas ! » Dit-il d'un ton rageur, colère causée par le ton sensuel de son amant. Ce dernier s'approche et frôle ses lèvres, Adam retient sa respiration sans pouvoir se contrôler. « Me diras-tu non ? Par peur de me voir partir encore ? Aimer aujourd’hui comme un fou, plutôt que de ne plus aimer, jamais ? » Il ferme les yeux. Il se retient, une seule barrière reste debout malgré toutes celles qui cèdent.

« Qu’est-ce que tu veux Adam ? » « Toi. » Et en une seconde, il presse sa bouche contre celle de son amant et le force à s'allonger, prenant le dessus jusqu'à venir s'agenouiller au dessus de lui. Il l'embrasse, mord ses lèvres, le dévore, lui fait mal. Les dents s'entrechoquent, les mains cherchent à toucher le plus de peau possible. Il ne sent plus la fièvre, la douleur dans sa tête, tout semble avoir disparu. Il va mieux où peut-être est-ce les conséquences de cette envie qui font partir les symptômes de son début d'angine. Il ne sait pas, il ne veut pas. La seule chose qu'il voit c'est le corps nu de Phoenix sous ses yeux, c'est la seule chose qu'il veut retrouver pour l'instant. Et son sexe en lui, labourant, déchirant son cœur et son âme jusqu'à s'imprimer en lui comme une marque indélébile. Ses mains glissent sous le tee-shirt de son amant qui vole bientôt dans la pièce, rapidement il trouve le chemin de son jean qu'il déboutonne en tremblant. Il n'est plus qu'une boule d'envie, d'un désir trop longtemps contenu. De dix ans à rattraper, dix années à le chercher sans le trouver. Dix ans, que c'est long lorsqu'on désire quelqu'un sans jamais l'avoir. Avec plaisir, il retrouve son torse bien dessine qu'Adam embrasse, goûte, imprime cette odeur masculine et forte dans son esprit. Le bout de sa langue vient redessiner les muscles de son amant avant qu'il ne vienne capturer ses lèvres dans un baiser brûlant. Les barrières tombent, il cède. Une dernière fois.
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MessageSujet: Re: love me like you do (adanix)   love me like you do (adanix) EmptyVen 1 Avr - 0:12

love me like you do
Adam & Phoenix
Il serait facile de céder à la tentation. Adam était sans doute la plus douce et la plus agréable de toute, et Phoenix le regardait avec tout le désir qu’il était capable de ressentir. Adam le rendait fou, avide, éperdu. Il pouvait faire de lui ce que bon lui semblait et sa seule présence suffisait à le faire sourire et à ôter de son esprit toute pensée cohérente. Il ne désirait alors que le toucher, l’embrasser, l’étreindre. Il le regardait, et il le trouvait magnifique. Jamais un homme ne lui avait fait un tel effet. Quand il se perdait dans le regard d’Adam il n’avait qu’un seul désir : l’embrasser. Le basculer sur ce canapé et lui faire l’amour une fois encore. Mais il se retient, essayant de respirer profondément pour que ses ardeurs s’éteignent. Impossible, sans aucun doute. Adam c’est son pêcher, sa raison d’être, son interdit. Le fruit interdit et délectable. Il y a goûté, et il sait à présent qu’il est perdu. Jamais plus il ne sera libre, jamais plus il ne saurait aimer quelqu’un d’autre. Adam était encré dans son corps. Dans son esprit. « Pour combien de temps ? » Il ne sait pas. Il ne veut pas se poser la question parce qu’elle lui semble stupide. Depuis le premier jour, et jusqu’au dernier. Comment vivre cet amour malgré tout ? Comment passer outre la famille d’Adam, et le besoin irrépressible de Phoenix d’être libre, de partir, de voir le monde, de trouver sa place. Parce qu’il s’agit sans doute de cela. L’angoisse constante qui l’étreint depuis la mort de sa mère sous ses yeux à l’âge de sept ans. Depuis qu’il avait combattu des êtres atroces, leur mettant des coups de feu en plein cœur. Il avait vu la mort en face. Il avait tué des gens. Il sent sa gorge se fermer à cette pensée.
Adam, son Adam était … Il était sa perfection, son fruit défendu. Il voyait en lui une utopie qu’il ne pourrait jamais atteindre. Un utopiste, qui pensait encore pouvoir aimer au grand jour celui qu’il aurait choisi. Impossible, aux yeux de Phoenix. Alors que lui avait les mains souillées par le sang, les meurtres, la drogue. Alors qu’il avait vu en face la souffrance, le deuil, le manque… Il avait vécu dans des milieux austères et hostiles, il avait fait des choses dont Adam n’avait aucune idée, et il avait l’impression de risquer de l’emporter avec lui dans ce monde terne chaque fois qu’il lui parlait, le regarder, ou lui faisait l’amour. Mais il ne pouvait pas s’en empêcher. Dans la pénombre qu’était devenu son existence, Adam était un phare, une lueur, un espoir. Quelque chose contre lequel il n’avait pas envie de se battre. Quelque chose qu’il voulait accepter tout en sachant que ca ne pourrait pas durer.

Ils discutent, plus ou moins calmement. Il essaie de lui montrer, s’approchant de lui plus qu’il ne devrait, combien il tient à lui sans être capable de le dire. Il ne peut pas le lui dire en premier, il en est incapable. Putain d’handicapé des sentiments. Mais il le regarde dans les yeux, il attend, il espère. Pourquoi combien de temps ? Ce n’est pas ce qu’il espérait, mais il ne perd pas son esprit dérisoire et vain de le voir lui avouer qu’il l’aime. Pour le faire rester, pour l’avoir à lui seul. Mais si Phoenix est terrifié, Adam est traumatisé. Sa perte l’a marquée d’une manière terrible, sans qu’il ne s’en rende compte. Sans qu’il ne s’y attende. « J'veux pas savoir. Bordel garde tes détails pour toi. Je veux pas savoir si tu en sautes d'autres ou pas ! » « Ou pas. » Répète-t-il comme pour appuyer ses propos sans s’arrêter sur la requête de son homme. Il ne veut pas savoir, mais son regard pourrait hurler une jalousie maladive qu’il retient. Ce regard il le connaît, il le reconnaît, il l’a toujours connu. Alors il s’approche plus encore.
Que veut-il maintenant ? « Toi. » Son cœur fait une embardée mais il ne peut pas répondre. Stupeur. Le baiser vient violemment s’écraser sur sa bouche et naturellement ses mains trouvent le chemin vers les hanches de son amant.
Il se retrouve allongé sur le canapé, Adam au-dessus de lui, le touchant comme un affamé. Il sourit contre ses lèvres, attrape sa nuque et le pousse à s’appuyer plus encore contre sa bouche. Gémissement plaintif et désireux, il ouvre les lèvres et l’invite à danser avec sa langue. Putain que c’est bon. Il quitte cette embrassade que pour qu’Adam lui ôte son t-shirt, passant ses mains sous celui du bellâtre pour en faire de même. Adam s’attaque alors à la peau de son torse qui réagit en lui envoyant des frissons délectables et délicieux. Il veut plus, son désir appuyant contre la fermeture de son jean. Il est fou, complètement. Il ne pense plus avec cohérence plus jamais. Adam semble le goûter, le redécouvrir, le posséder à nouveau, à sa manière. Il gémit, tirant sur les cheveux de son amant avec force pour le faire revenir contre sa bouche. Il se fiche de savoir qu’il le regrettera demain. Il se fiche de savoir s’ils en souffriront, l’instant présent est trop précieux. L’instant présent les rend ivre tous les deux. Il écrase encore sa bouche contre la sienne, et de sa main droite descend entre leur corps pour passer sous le jogging d’Adam et se saisir de son sexe brûlant. Il ne peut pas attendre pour le sentir devenir fou sous son toucher, il le prend, le saisit, le caresse. D’un geste ample il le fait se retourner, et c’est à terre qu’ils se retrouve. Phoenix sur lui, désireux de le prendre en bouche cette fois. Il descend, l’aidant à quitter ce morceau de tissu bien trop présent, pour venir embrasser son ventre, léchant sa peau sucrée tout en gardant sa virilité en main. Finalement il y pose sa bouche, l’embrassant, le titillant, avant de le dévorer.

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MessageSujet: Re: love me like you do (adanix)   love me like you do (adanix) EmptySam 2 Avr - 18:17

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Phoenix & Adam
Il voudrait le repousser, le rejeter le plus loin possible de lui. Se caler dans un coin et ne plus bouger, refuser le moindre contact avec cet amant trop parfait qui lui fait naître un désir violent et dévastateur en lui. Adam a toujours été dingue du regard brûlant de Phoenix, il a toujours eu peur également que ce regard change un jour et qu'il en retrouve au fond de ses yeux, que la lassitude d'une relation qui a durée trop longtemps. Il n'a jamais retrouvé cette passion chez un autre homme où chez une autre femme, où peut-être est-ce sa faute. Il n'a jamais attendu que les sentiments se mettent dans la moindre relation qu'il commençait, il brisait toujours avant que quelque chose deviennent sérieux entre lui et la personne ne face. Il a refusé toute personne qui n'était pas Phoenix, cherchant dans les étreintes de ses autres amants, les caresses de son amour perdu. Il ne l'a jamais trouvé. Et il c'était résigné à ne jamais revoir Phoenix et à vivre avec le manque, même si il était douloureux.

Voila pourquoi depuis deux semaines il tente par tous les moyens de se tenir loin de son amant et de ses regards brûlant. Il ne doit pas lui céder, surtout que rien ne sera jamais possible avec Phoenix. C'est un être libre qui veut pouvoir partir en un claquement de doigt, qui ne veut aucune attaque. Adam recherche quelque chose de sérieux, il ne veut pas être qu'un amant de plus, un trophée pausé sur un étagère. Hors une relation sérieuse n'est apparemment pas dans les projets de Phoenix. Adam l'aime trop pour être uniquement un amant. Il n'a jamais attendu de lui une vie parfaite, la maison avec le chien et les enfants ce n'est pas pour lui. Il veut seulement pouvoir se réveiller la nuit sans craindre de se retrouver seul et d'apprendre dés que le lendemain que son amant a quitté la ville. L'apprendre par une tierce personne évidemment. Car Phoenix n'aura pas eu le courage de lui dire lui même, à cause d'une quelconque peur idiote de le faire souffrir. Il souffre déjà assez, il a mal de le voir loin et craint également d'être trop proche de lui. Il vit dans un entre-deux horrible et angoissant depuis deux semaines, ni trop ni pas assez. Il va en devenir fou, cela explique qu'il craque aujourd'hui. Il oublie la fièvre, la migraine, il oublie la fatigue et tout ce qui accompagne une angine comme il a actuellement. Il fond sur les lèvres de son amant et dévore sa bouche d’un baiser bouillant, le mordant, le touchant, lui arrachant presque les cheveux tant il veut le sentir proche de lui. Ses mains glissent sur les épaules de Phoenix alors qu'il se plaque contre son torse avec un soupir d'envie.

Rapidement, les mains glissent sous les tee-shirts pour qu'ils puissent se toucher, Adam savoure la douceur de la peau de son amant sous ses doigts. Il ferme le yeux et dévore le cou de Phoenix de baisers, lèche sa peau et le mord pour lui laisser une petite marque qui s'estompera en quelques heures. Il sent la main de Phoenix glisser contre lui et passe sous son jogging, attraper son érection brûlante. Il gémit et se mord la lèvre pour ne pas crier de frustration et d'envie à la fois. Ce mélange de sensations, ce tout va le rendre fou. Inconsciemment il marque le mouvement contre la main de Phoenix, se droguant de ce touché parfait. Puis, alors qu'il ouvre les yeux pour croiser le regard bleu de son homme, il sent que Phoenix le fait basculer d'un geste ample et prend le dessus sur lui. Il glisse le long de son corps, l'embrasse, le touche pendant que Adam laisse sa tête glisser sur le parquet glacé. Il se tend alors que la bouche vorace de son amant entoure son membre, automatiquement il vient glisser ses mains dans la chevelure de son homme et lui imprime un mouvement lent, laissant l'envie et le plaisir monter plus vite en lui. Pendant quelques minutes il reste ainsi, complètement soumis aux caresses de son homme. Puis, d'un geste, il le fait arrêter et ôte son tee-shirt, chose qu'il n'a pas eu le temps de faire tant leurs gestes sont rapides. « Arrête de jouer Phoenix... » Murmure Adam qui part à tâtons vers un meuble à côté du canapé. Il ouvre un tiroir et sort un préservatif et un petit tube de lubrifiant, il fait toujours en sorte d'avoir de quoi se protéger dans toutes les pièces. « Viens me faire l'amour. Je te veux en moi... » Dit-il en venant ouvrir le jean de son amant pour en libérer son membre. Avec un sourire, il pose sa main sur lui et commence à le caresser, doucement, le titillant du bout des doigts pour lui donner un avant-goût de ce qui l'attend.
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MessageSujet: Re: love me like you do (adanix)   love me like you do (adanix) EmptyLun 4 Avr - 23:19

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Adam & Phoenix
Il ne devrait pas faire cela. Il sait qu'il devrait s'arrêter maintenant, avant qu'il ne soit trop tard. Avant qu'Adam ne se mette à le regretter - selon ses propres dires - encore une fois. Avant qu'il ne puisse plus s'arrêter, et qu'il ne redevienne accroc, désireux de recommencer. Encore. Son amant lui a avoué avoir regretter leur petite séance dans la boite de nuit deux semaines avant, mais il ne pouvait pas y croire; lui-même n'avait eut qu'un regret : le silence d'Adam. Ne pas avoir réagi avant pour lui courir après et retrouver son attention. Sa putain d'attention sans laquelle il ne se sent pas lui-même. Sans laquelle il n'est rien. Alors que le regard d'Adam s'arrête sur lui il se sent capable de tout. Il se sent à nouveau lui-même, il se sent homme, il se sent fort. Il sait qu'il serait capable d'être l'homme qu'Adam a besoin, un homme qui le fera vibrer et le sentir vivant. Dans ses bras, Adam se laisse aller à la passion. Il est fou, ivre, et sauvage. Il adore le voir ainsi, il a toujours adoré jouir de cette image si sensuel. Adam Harper est un être incroyablement sensuel, sans même qu'il en est conscience. Toujours sur la retenue, une pudeur timide affichée sur le visage, il ne montre pas cela au reste du monde. Mais dans les bras de Phoenix il laisse tomber le masque, et il devient cet amant passionnée et peu farouche. Il prend les commandes, il donne les ordres, il s'assume, et il s'enivre. Phoenix aime à penser qu'il est le seul à le connaitre ainsi, le seul à l'avoir vu ainsi.
Il savait qu'Adam avait eut d'autres amants, qu'il avait senti d'autre sexe entre ses cuisses. Il le sait, et il l'exècre, mais quelque part il espère vraiment être le seul à avoir le droit à ces baisers profond, ses mots doux, ses sourires carnassiers. Le seul à l'avoir vu avec les joues rouges, et le regard voilé par le désir. Le coeur battant si fort qu'alors qu'il embrasse sa poitrine il peut le sentir sous ses lèvres; et ça le fait sourire. Adam est en train de perdre pied, et il est le seul à mettre dans cet état. Son égo surdimensionné le lui susurre.

Il vient prendre le sexe frémissant d'Adam entre ses lèvres, et se délecte des soupirs qui échappe à son amant. Il vient le suçoter, aspirant la peau sans ménagement, le rendant fou. Il sent les mains d'Adam venir dans ses cheveux et accompagner ses mouvements. Il joue avec la la base de son sexe, caressant sa peau tendue et sensible. Mais bien vite - en tout cas trop vite au gout de Phoenix - Adam l'arrête, l'oblige à quitter son gout si délectable, et lui ôte son t-shirt.
Il le regarde avec ses yeux brulant de désir, et sourit. Il vient chercher un carré de plastique sur le meuble le plus proche, sans jamais le quitter des yeux. « Arrête de jouer Phoenix... » Il hausse un sourcil. « Je ne joue pas. » Répondit-il sur le même ton impatient. Il le redécouvre, se délectant de son intimité comme il en avait envie depuis deux semaines. Il avait l'impression que le souvenir de leur dernière séance était trop loin. Il avait l'impression qu'il perdait les sensations, tout en ayant le souvenir de chaque détails de ce qu'ils ont fait. Mais les sensations sont si fortes, si incroyable que les souvenirs ne leur rendent pas justice. « Viens me faire l'amour. Je te veux en moi... » Lui murmure Adam alors qu'il cherche à ouvrir son jean. La déclaration coupe le souffle de Phoenix, et durcit d'autant plus son intimité que le désir s'exalte. Il a besoin de le prendre, aussi. Il a besoin de le sentir. Adam libère son membre et s'en saisit, alors qu'un gémissement glutural échappe à Phoenix. Dieu que c'est bon Il se mord la lèvre, jusqu'au sang, avant de finalement se retirer, pour ôter son jean, et se retrouver nu devant son homme. Avant de faire de même avec lui, et d'ôter son jogging d'un geste presque rageur; Il n'y avait plus de morceau de tissu entre eux et il se délectait de cette vue.

Rapidement, il déroule le préservatif sur sa verge, et vient se placer entre les cuisses d'Adam, les yeux dans les siens, il vient prendre un doigt entre ses lèvres, et l'humidifie, avant de placer devant l'antre de plaisir d'Adam pour le préparer un peu, le caressant tendrement. Le but n'est pas de lui faire mal, bien que l'envie de le sentir l'entourer risque d'exploser soudainement. Il inspire profondément comme pour reprendre le contrôle de ses pensés, mais peine perdue. Il introduit son doigt, doucement, souriant face aux réactions de son homme, jouant pendant quelques minutes avant. Avant de finalement revenir sur lui, prenant son sexe pour le guider, et venir en lui, centimètre par centimètre... « Tu es si serré... putain, ca me rend fou. » murmure-t-il en donnant un coup de hanche plus violent, incapable de se maitriser.


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MessageSujet: Re: love me like you do (adanix)   love me like you do (adanix) EmptyMar 5 Avr - 3:15

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Phoenix & Adam
Il regrette déjà. Tout comme il sait qu'il aurait du le repousser et qu'il va regretter dans quelques minutes ce qui se passe actuellement. Il n'a pas menti à son amant tout à l'heure, il sait qu'ils ne devraient pas faire ça, que cela va faire souffrir autant l'un que l'autre. Mais ils sont idiot, de toute façon Adam n'a jamais prétendu être très intelligent lorsque cela concerne Phoenix. Au contraire, il manque cruellement de jugement lorsque cela concerne son amant. Il se met vite en colère, perd pied très rapidement et se laisse emporter dans un flot d'émotions assez violentes qui lui font tourner la tête et le rendent agressif. Il perd son masque social avec Phoenix, c'est ce qui l'enrage depuis que son amant est revenu dans sa vie. Dix année qu'Adam ne c'est pas laissé emporter, qu'il vit avec ce masque et qu'il s'en porte plus où moins bien. Il suffit d'un regard pour que tout tombe et qu'il se retrouve nu, physiquement et moralement, devant Phoenix. C'est angoissant d'être ainsi devant quelqu'un. Se dire que vous pouvez faire ce que vous voulez, la personne lit en vous comme dans un livre ouvert. Ca lui fait peur, son masque lui permet de se protéger des gens, des sentiments et des relations qui peuvent faire mal. Mais avec Phoenix il n'a plus rien, il ne se protège pas et ça c'est dangereux. Ca va mal finir, il le sait, il le sent. Ils vont faire l'amour et après ? Après rien du tout. Ils repartiront à leur petite vie et se retrouveront pour se faire plaisir mutuellement. Car ils ne sont bon qu'à ça, ça les fait vivre d'être ensemble, tout comme ça peut les détruire. Dieu qu'il l'aime son homme et le déteste en même temps Il voudrait l'embrasser et le gifler, le griffer et lui faire l'amour sur ce sol. Pour l'instant il opte pour le sexe, il verra après pour lui crever les yeux. Ses beaux yeux bleu, son regard envoûtant et mystérieux qui laisse Adam toute chose à chaque fois que son homme le regarde. « Je ne joue pas. » Ca c'est lui qui le dit, mais Adam décide de ne pas relever. De toute façon il a trop envie, il brûle déjà trop pour que Phoenix se lève et parte vexer. Alors il ne dit rien et en quelque sorte, flatte son ego en venant l'embrasser plus fort encore. Quelque part en lui, Adam a l’impression qu'il dit vrai, qu'il ne joue pas et qu'il n'a jamais joué avec lui. Mais sa raison, pour le protéger, lui brûle de ne pas croire ça. Un véritable combat se mêle dans son esprit et rend ses baisers bien plus violent. Et cette étreinte bien meilleure encore.

Rapidement les vêtements rejoignent le sol, ils se découvrent, s'embrassent, se dévorent, s'impriment dans l'âme de l'autre et ils espèrent, l'un comme l'autre, d'y faire sa place à vie. Adam cherche son amant et d'une phrase bien placée, comprend que Phoenix perd le peu de raison qu'il lui restait et qu'il tentait vainement de contenir. Adam sourit de voir le regard de son homme s'assombrir sous un désir violent. Pour parfaire son geste sensuel, il écarte les cuisses dans une invitation presque indécente tant le regard qu'il jette à Phoenix ferait rougir un autre homme. Mais avec son amant il ne c'est jamais caché, il a toujours été lui même. C'est le seul avec qui il pouvait se lâcher et encore aujourd'hui, il ne parvient pas à garder le peu de pudeur qu'il a en lui. Phoenix vient prendre le préservatif et l'enfile. Puis d'un geste hautement sensuel, il vient lécher son doigt et le prépare alors qu'Adam devient une véritable loque humaine. Il gémit, se tord, vient plus fort sur les doigts de Phoenix qui semblent le titiller pour le rendre fou sans jamais lui donner ce qu'il attend. Heureusement son amant vient se placer au dessus de lui et d'un geste lent, entre en lui. Adam ferme les yeux alors qu'un râle de pur bonheur franchit ses lèvres. « Tu es si serré... putain, ca me rend fou. » Il glisse ses bras autour du cou de Phoenix et le prend contre lui, l’empêchant de bouger pendant un instant. Juste assez pour s'habituer à lui, à son membre imposant qui déchire son corps et son âme à chaque mouvement. Puis, alors que la légère douleur laisse place à l'envie, il relève les yeux vers Phoenix et lui sourit. « Montre moi toute ta folie... Montre moi que tu m'aimes... » Dit-il en venant l'embrasser. Bien vite, Adam se met à pousser des râles qui se transforment en cris à mesure que Phoenix tape en lui. Puis d'un geste ample, il prend le dessus. Phoenix se retrouve au sol alors qu'Adam s'empale sur lui, bougeant lentement, lissant le plaisir monter, savourant l'instant tout simplement. Il vient poser ses mains au sol, à côté du visage de son homme et là, l'embrasse tendrement. « Je viens bébé... Laisse toi aller pour moi. » Dit-il en calant son visage dans le cou de son amant alors qu'une vague plus violente ravage son esprit et le fait se tendre.
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MessageSujet: Re: love me like you do (adanix)   love me like you do (adanix) EmptyJeu 7 Avr - 22:37

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Adam & Phoenix
Les affres de la passion l'enveloppent dans une étreinte chaleureuse. Il se retrouve une fois encore dans les bras d'Adam, et les sensations qu'il ressent le font sourire. Il a l'impression d'être à sa place, d'être exactement là où il désirait être. Egoïstement il ne faisait pas cas de l'état de santé de son amant, du fait qu'il ait sans doute de la fièvre (ou qu'il en est eut) et qu'il devait être fatigué. Tout ce qui compte pour lui à cet instant c'est l'envie d'Adam. L'envie de l'embrasser, de passer sa main dans sa chevelure désordonnée, de lécher chaque parcelles de sa peau d'ivoire, de le posséder encore et encore jusqu'à s'écrouler d'épuisement. Il ne voit que lui, dont le regard s'est enflammé dés que leurs corps se sont frôlés. Son regard où brûlait à présent un bûcher, ardent, une passion dévorante qui le rendait sauvage et fous. Adam était un dieu, dont la beauté est douloureuse tant elle est parfaite aux yeux de Phoenix. Quand il le voit en cours, il a du mal à se concentrer, son esprit se mettant sur un mode automatique alors qu'il tente juste de ne pas penser à lui. Lui, ses mains, son regard, sa bouche, son sexe tendu... Il lâche un gémissement quand sa bouche vient embrasser son cou, le faisant frissonner de toute part. Les vagues de chaleur qui l'envahissent le font sourire. Son corps ne lui appartient plus vraiment, mais répond simplement aux caresses de son amant. Son doux adonis, qui le regarde ardemment.
L'étreinte s'intensifie, et rapidement Phoenix ne peut plus attendre pour venir le faire sien. Dans un instant de lucidité - qu'il ne s'explique que parce qu'il sait au fond qu'il est amoureux d'Adam - il s'arrête, prend son temps, le détaille, le prépare. Avant de venir prendre possession de son être dans un mouvement terriblement long. Alors il n'est plus lui-même. Le sentir l'entourant, l'encerclant, autour de son être comme une aura délirante le rend ivre. Il en veut plus, il veut le faire suffoquer, hurler, crier. Il veut le sentir griffer son dos, et mordre dans sa chaire au moment de la jouissance. Il croise son regard, et dés qu'il le sent se détendre il l'attaque. Ses coups de hanches le poussent sans ménagement dans les tréfonds de son être, tapant contre son point de plaisir pour qu'il exalte. « Montre moi toute ta folie... Montre moi que tu m'aimes... » Et c'est ce qu'il fait. Il attrape ses mains qu'il plaque sur le sol et vient en lui plus rapidement encore, dansant à l'horizontal comme un beau diable, sans jamais quitter son regard, sans jamais se départir de son sourire. Il le regarde, l'observe, fasciné par cet être qu'il connait par coeur. Et qu'il a le sentiment de découvrir à chaque fois.
Un geste ample, rapide et le voila qui sent la dureté du sol dans son dos. Ca le fait gémir, cette sensation de froid et de chaud. Alors que son coeur est bouillant, prêt à imploser à tout instant. Adam vient sur lui, bougeant sur sa verge tendue de la manière la plus érotique qui soit. Phoenix le regarde faire, mais sent que la jouissance face à ce spectacle risque d'être rapide. Trop rapide. Il ferme les yeux, et tente de se concentrer, de calmer les battements hiératiques de son coeur, de reprendre son souffle. Mais rien à faire, sa pression sanguine est toujours aussi forte, et son désir d'autant plus présent. Son amant se penche sur ses lèvres, et il répond avec passion au baiser, quémander l'entrée de sa bouche, sans qu'Adam ne l'y autorise. Gémissement de frustration. « Je viens bébé... Laisse toi aller pour moi. » Il sourit, ses mains trouvant rapidement le chemin vers les hanches d'Adam qu'il maintient, prenant appuie sur ses pieds pour venir plus profondément en lui, enserrant leur étreinte. « Viens pour moi ... » Grogne-t-il à son oreille alors qu'il sent lui-même l'orgasme envahir ses membres. Un dernier coup de hanche, violent, et dans un hurlement il se déverse, les vagues de jouissance étreignant son corps, suite à cette étreinte sauvage et soudaine. Il reste là, allongé et pantelant sur le carrelage froid d'Adam, les yeux dans le vague, le sourire aux lèvres. Il se sent bien. Terriblement bien. « Whoa... » Murmure-t-il alors que ses bras se glissent dans le dos d'Adam pour l'inviter à se coller à lui, pour un instant plus tendre. « J'ai bien fait de venir finalement... » Lâche-t-il avec un petit sourire prétentieux, alors qu'il tente de reprendre son souffle. Il cherche le regard d'Adam, sarcastique et moqueur et lui parle d'une voix joviale. « Tu penses toujours que c'est une erreur ? » Cette fois la question n'est pas dit sur le ton du reproche mais d'une moquerie cachée. Comment autant de passion, de violence, de plaisir, peut-elle être mal ?

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Adam E. Harper




Adam E. Harper
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MessageSujet: Re: love me like you do (adanix)   love me like you do (adanix) EmptyVen 8 Avr - 0:18

Love me like you do.
Phoenix & Adam
Pendant un instant il s'oublie, ne lutte plus et se laisse simplement emporter par son envie, son désir violent qui l’englobe et le rend fou alors qu'il sent son amant déchirer son cœur et son corps. Il pourrait crier de l'avoir si proche et si loin en même temps, il voudrait se fondre en lui, jusqu'à se perdre et ne plus exister. Il le veut, il le désire si fort que c'est douloureux. Il a mal partout là où Phoenix passe ses mains et en même temps, il souffre lorsque la peau chaude de son amant s'éloigne de son propre corps glacé. Il s'accroche à lui, l'embrasse comme si il pouvait mourir à tout instant, comme si le fait de l'avoir un peu trop loin le faisait souffrir plus que de raison. Adam ouvre les yeux et croise le regard plein de désir et de plaisir de son homme, il se laisse aller également aux sensations qui déferlent en lui par vague. Il n'est plus qu'une boule de nerfs, le monde pourrait s'écrouler, on pourrait lui apprendre le pire qu'il s'en moquerait, il veut seulement graver ce moment en lui à jamais. Il sait que c'est mauvais, que dans quelques minutes il se rendra compte de ce qu'il a fait et il sait qu'il va regretter. Car il ne peut pas en être autrement, il aime trop Phoenix pour pouvoir accepter l'idée de n'être qu'un amant. Il l'aime à en crever, ses gestes, ses regards, son corps le lui hurle en se collant contre le torse de son amant. Il l'adule, l'adore, le vénérerait presque tant il le trouve beau et parfait. Mais Phoenix ne lui appartiendra jamais vraiment, Phoenix est le genre d'oiseau libre qui a besoin de n’avoir aucune attache pour partir quand cela lui chante. C'est le genre de mec beau comme un dieu avec un regard de braise qui le lendemain ne t'attend pas pour le petit déjeuner. Il t'offre la meilleure nuit de ta vie et s'en va pendant que tu dors, te laissant comme un couillon sans que tu ne puisses l’appeler car en plus il ne laisse même pas son numéro. Phoenix lui appartient ce soir, demain il ne sera plus à lui et c'est ce qui désespère Adam.

Finalement d'un regard et d'un geste habile de hanche il prend le dessus. Il vient bouger au dessus de Phoenix, en profitant en même temps pour le regarder de la manière la plus sensuelle qui soit. Il sent le plaisir monter, il sent que dans quelques secondes une vague plus violente que les autres va chavirer son âme et son cœur. Il va se laisser aller, c'est si bon et si parfait. Sa main droite glisse sur son corps pour qu'il vienne se caresser tout en bougeant, suppliant son homme de venir en même temps. Chose qui ne tarde pas, d'un même geste et d'un même instant de plaisir ils s'accompagnent dans une jouissance délicieuse et violente. Ils retombent l'un contre l'autre, Adam la tête sur le torse de son amant, il attend, reprend son souffle. Il tousse un peu, preuve que son angine est toujours là et qu'elle tourne, elle menace à tout moment d'augmenter sa température. « J'ai bien fait de venir finalement... » Le ton mi-moqueur, mi-amusé de Phoenix lui arrache un sourire alors que Adam relève la tête. Et en une seconde il reprend ce moment, ses mots, son erreur en plein visage. « Tu penses toujours que c'est une erreur ? » Il détourne le regard et se lève doucement. Il cherche son caleçon qu'il enfile. « S'il te plait... Pars. » Dit-il en mettant également son tee-shirt. Il voit que son amant est prêt à faire un geste, dire quelque chose. « J'ai besoin d'être seul. Je ne veux plus qu'on parle de... Ce qu'on vient de faire. » Dit Adam en refusant de croiser le regard de Phoenix. « Allez va-t-en ! » Rajoute Adam, plus fort cette fois-ci. En colère. Contre lui, contre Phoenix, contre tout. Il se détourne et après avoir enfilé son jogging, part dans la salle de bain pour prendre une douche.
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Phoenix C. Feuerbach




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MessageSujet: Re: love me like you do (adanix)   love me like you do (adanix) EmptyLun 11 Avr - 23:41

love me like you do
Adam & Phoenix
Il reste pantelant, regardant le couloir où Adam a disparu, furibond. Il est là, nu, encore allongé sur le sol soudainement terriblement glacé de son appartement. Et il ne sait pas quoi faire. Il entend l'eau de la douche qui se met à couler, et il reste là. Que s'est-il passé ? Ils avaient fait l'amour, une fois encore. Et il ne pouvait pas penser à cela d'une autre manière. Baiser, il l'avait fait avec un nombre incalculable d'inconnus durant ces dernières années. Comme le bel enfoiré qu'il pouvait être il se fichait de savoir si oui ou non ils prenaient leur compte, se concentrant sur son unique plaisir et les abandonnant une fois qu'il a tiré son coup . Un putain d'enfoiré, mais pourquoi se soucier de personne qui le laissait indifférent ?
Mais là il s'agissait d'Adam, et son coeur s'emballait toujours dés qu'il le touchait, le regardait ou l'embrassait. Il pourrait mourir dans ses bras, à cause de ces émotions qui le rendait ivre. Il était amoureux de lui. Indéniablement. Mais tu es un putain d'enfoiré. Un handicapé des sentiments humains, incapable de voir ce qu'il peut bien avoir à offrir à Adam Harper. A part cela : des moments de sensualité sans équivalence. il n'était pas stable. Pas avec sa bipolarité, ses démons, ses traumatismes et ses envies de partir qui pouvaient le reprendre à tout moment. Est-ce que son désir de fuir pouvait être lié à sa bipolarité ? Il fronce les sourcils, notant de demander cela à Sasha Koroleva.

Il se lève, doucement, son corps encore endoloris par l'orgasme qui l'avait terrassé. L'eau coulait toujours. « S'il te plait... Pars. » Il grimace en se souvenant des mots de son amant, qui s'était relevé sans un geste de tendresse à son écart. Putain. Il reprend ses affaires et se rhabille rapidement. Est-ce qu'il devait... « J'ai besoin d'être seul. Je ne veux plus qu'on parle de... Ce qu'on vient de faire. » Il sent son coeur battre à tout rompre dans sa poitrine alors qu'il avance doucement vers la salle de bain, habillé à présent. Il entend l'eau couler, imaginant le corps nu d'Adam... Il ferme les yeux, inspire profondément, et pinçant l'arrête de son nez. « Allez va-t-en ! » Le crie résonne dans son esprit, et il sursaute sous l'assaut de l'ordre de son amant. il grimace, blessé dans son orgueil.
Adam avait eut ce qu'il voulait de lui. Et maintenant il lui intimait de partir. Putain. Il fit volte-face, trouvant une feuille et un stylo, il annota un mot, s'arrêta. Soupirant profondément, agacé, il lâcha son stylo et prit ses affaires pour partir en claquant la porte derrière lui.

Il ne restait de son passage que ce mot, unique, qui restait sur la feuille au milieu de la table du salon : Bientôt. à la manière d'une promesse.


THE END.
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